La taverne des héros

Marya ne pouvais s'empecher de penser à tout ces kilomètres parcourus ... oui, pas que la jeunesse ...

"Quel âge ? ... Hmmm ... peut être 25 ans, au plus, mais probablement plus jeune, non ? Ou alors, y'a des trucs que je comprends pas !"

*Inserer l'appel de Athéos ici*. La femme ne put s'empecher de lâcher un soupir ...

"Exigeant ... c'est le mot ... et il en fout pas une rame, en plus. Alors, il attendra ! Qu'il embauche du personnel qualifié et on en reparlera !"

dans la neige marchais une haute silouhette nullement génée pour les monceaux de neige. Lui arrivant a mit cuisse.

A chaque pas on pouvait voir des reflets métalique au niveau de ces jambes. Sans appréhension, elle rentra dans le bouge.

Une femme habiller d'un longs manteau pourpre avec une doublure de renard blanc.

Ses petits souliers noir vernis claquaient sur le sol en bois une aberration vu le temps dehors mais ils chaussait deux magnifiques jambes en metal chromé reflétant la lumiere. d'un pas assuré elle se dirigeat vers le comptoir, les mains dans ces manches.

D'une voie de jeune fille claire comme de l'eau et timide, elle demanda :

_ pourrais-je avoir s'il vous plait un nomade. Au village d'a coté j ai entendu dire que vous recherchiez une serveuse beau gentilhomme.


De son visage caché sous sa capuche on ne voyait que deux longue natte de cheveux blonds et des petites lumieres rouge au niveaux du cous qui monté en barre quand elle parlait.

Le barman avait un large sourire. Les affiches posés un peu partout venaient d'apporter une jeune et jolie recrue, semble t il ... même si d'une certaine facon, la personne devant lui li semblait bien différente de ce que qu'il à l'habitude de voir, mais c'est ce que chaque client qui est arrivé ici ou presque lui à fait comme impression, aussi ignorait il ce que son instinct lui disait.

"Eh bien eh bien ... ma foi, pourquoi pas ? Il faut un minimun de bras pour faire tourner ce genre d'établissement ..."

Puis se tournant vers les deux clients du comptoir, il dit.

"Excusez moi, je vais devoir vous laisser deux minutes, je lui explique son travail et je reviens ..."

Il fait alors signe à la personne de passer de son côté du bar puis commence à lui montrer où son les différentes boissons, en commenant par sa commande.

Yukipe ne pouvait s'empêcher de taquiner la pauvre serveuse qui s'embrouillait l'esprit.
Et il y avait de quoi faire.
C'était très amusant de la voir chercher à comprendre, alors que cela ne servait à rien.

Yukipe esquissa un très léger sourire (un coin de lèvre qui se soulève légèrement)
Il allait essayer de l'embrouiller encore plus quand survint l'appel du patron.
Il prit cette opportunité pour changer discrètement de sujet.

"aller il ne doit pas être si dur que ça ?"

Soudain une femme entra dans l'auberge.
Elle se présenta pour être serveuse sans même mettre à découvert son visage, quel manque de politesse.

"je crois que vous aller pouvoir un peu souffler "
dit yukipe en désignant du menton la nouvelle

J était resté figé, accoudé au comptoir, un énorme sourire lui dévorant la figure, attendant sa commande. bien qu'il n'avait pas bougé d'un millimètre, si bien qu'on aurait pu le croire décédé ou encore fait de matière non organique, il avait remarqué les nouveaux arrivants dans l'auberge. Il pensait... Il pensait si fort que les esprits l'accompagnant pour le damner ne pouvaient s'empêcher de souffler ses inquiétudes à toutes les personnes présentes.

*Maudit tavernier.... Maudit noble sans le sous... il est malin.... il me fait poireauter.... Il va attendre que son établissement soit bien plein pour lancer ma commande histoire que ça me coûte jusqu'à ma chemise.... faisons comme si de rien... Mince il aurait pu au moins me servir mon verre de vin.... Pffff regarde le faire le paon devant la petite qui vient d'entrer... ha ça pour draguer le futur personnel ça y va..... mais pour le reste.... Il leur faudrait surtout une bonne cuisinière sachant cuisiner aussi bien de bons petits plats que les clients.... Qu'est ce que j'ai fait de ce bouquin d'invocation... je leur invoquerais bien L'Affamée au milieux de leur cuisine... elle au moins elle me servirait... Merde, elle va venir ma commande... Je dois commencer à avoir l'air aussi débile qu'un fumiguon en plein brouillard là... bon attirons discrètement et subtilement l'attention de ce tavernier.*

Lentement la main gauche de J pris appuie sur le comptoir, puis la droite fit de même. D'un geste vif et agile, totalement silencieux il poussa de ses deux mains et sauta sur le comptoir pour se retrouver accroupis, sur la pointe des pieds, les deux bras entres ses jambes replier sur le bois de chêne lustré du bar. Le tavernier qui lui tournait le dos pour montrer à sa nouvelle recrue les différents alcools ne remarqua rien. Lentement, J se pencha vers lui, surplombant son épaule tel un oiseau de mauvais augure. Puis il tendit le cou et pencha sa tête dans une position ridicule jusqu'à croiser le regard du tavernier. Le sourire de J continuait de lui dévorer la figure.

"Et sinon, fait pas chaud hein.... Je me demandais juste, lorsque vous aurez fini de roucouler... et.. ET MA COMMANDE C'EST QUAND QUE TU T'EN OCCUPES GROS FLEMMARD!"

J venais de hurler ces derniers mots dans l'oreille du noble qui en garderait certainement des séquelles de l'ouïe. La notion de subtilité semblait donc être particulière chez le Scribe fou qui continua lentement comme si de rien était.

"Et puis, je connais un bonne cuisinière, bardée de références, elle a fait la cuisine dans deux de ses vies, je suis sur qu'elle serait ravi de vous aider.... Décidément, fait pas chaud hein?"

La jeune fille ne bougeat pas d'un iota. Durant l'explosion de Mr. J

elle posa quatre verres. lança deux bouteilles en l air tendis qu'elle servit le grappa de l'homme invisible.

posant le grappa. elle recuperat les deux bouteilles durant leur chutes et versa une rasade chaque dans un verre qu'elle melangea avec une olive. D'une petite boite sortie de sa manche elle fit tombe deux glaçons dans le cocktail avec une petite sphere rouge a l'interieur.



Elle pris le thé dans l'atre y jette une poignée d'herbe pour mettre que le thé soit plus .... vivifiant et un peux de miel.

Les trois boissons servie. Elle sauta par dessus la table et c'est en roulant du roller line sortis des ses pieds qu'elle servit sans un mot les trois clients.

ses nattes blonde avait disparut sous sa capuche. elle finit sa course tout pres de Mr. J.



_ On a dit du grappa pour l'homme mystère, une thé fortifiant pour l'homme et un euro pour le poseur a l'ombre. d'une voix ou toutes innocence avait perdu ne laissant la place qu'aux desir brut que peux déclencher une chanteuse de bleues dans un club enfumé. et pour vous aventurier



elle déposa dix anneaux sur le comptoir.



_ La ou les anneaux ce s'accrochent se sera votre cocktail.



elle montra les bouteilles de l'autre cotés du comptoir.



_ on appelle ça un killer chez moi.


Elle approcha sa main de sa capuche un petit clic et du dessus de son poigné sorti une cigarette. qu'elle pris avec la bouche son sourire Mr. J pus voir qu'il était bleuté et ses dents translucide. Puis elle alluma sa cigarette avec une flamme sorti de son pouce dans un petit bzzz. Ses ongles était eux même bleuté et ses mains n'etait pas celle d'une femme. elle accrocha son manteau a une chaise.



on m'appel olga alors tu tu lance beaux brun... de la même voix de chanteuse de Jazz.



" déscription d'Olga: il faut bien l'avouer les seule chose de feminin chez olga ne sont en aucun cas naturel. De haut en bas : une coiffure en tech-chev qui lui permet de changer tant qu'elle le veux de coiffure.
Actuellement, elle a quitté ses traditionnelle nattes blonde pour un coupé bleu pétrole du plus bel effet sur une dame. Hélas le reste du corp ne suis pas.
Un visage tallié a la serpe marquer par des trace de combat ( d'homme voir : marv dans sin city).
un sourire inquiétant en carbo verre. un torse trapu et musculeux (indem que le visage).
Des mains ressemblant à des battoirs surmonté de delicate griffe de chat en guise d'ongle ( faux ongle en carbo verre).
Une voix de femmes elle aussi synthétique. Et deux jambes cybers stylisé sur celle d'un top model. le tout habillé d'un ensemble de soubrette descendant difficilement a mi cuisse. la forme de son manteau laisse indiquer un attirail plus dangereux."

Les vociférations d'un client extirpèrent le jeune homme de sa rêverie. Pris d'un élan chevaleresque il porta la main a la garde de sa lame tout en se levant, le mouvement lui fit perdre son chapeau qui chut sur la table. Mais avant qu'il n'ai put prononcer la moindre parole Une nouvelle arrivante qu'il n'avait jusqu'alors pas remarqué servit tout le monde à grand renfort de singulière science d'outre-monde. Son intervention le figea.
Après quelques seconde il se rassit et déclama à la première serveuse, plus traditionnel et bien plus à son gout.

"Madame, je vous prie, un vin doux et un plat chaud
Pour mon âme en peine qui s'exaspère de boire l'eau."

il se saisit de son baluchon du quel il extirpa sa pipe et son tabac ainsi qu'un globe de métal qu'il posa sur la table. il prépara sa pipe en attendant sa commande.

J restait accroupi sur le comptoir, voyant le jeune homme se lever la main sur son épée, son sourire redoubla mais l'efficacité de la nouvelle serveuse noya dans l'œuf une possibilité sanglante. Il admira la dextérité et la rapidité d'Olga à servir tout le monde. Quand elle revint vers le comptoir et posa ses dix anneaux sur ce dernier, le scribe fou se laissa tomber en arrière, tomba sur le sol y fit quelques roulades et se releva dans le même mouvement tel une masse de limon vert se reformant. Il revint en gambadant vers le comptoir, ses bras se balançant de chaque coté de son corps. Il regarda les dix anneau un sourcil interrogateur soulever en accent circonflexe.

"Un Killer.... Mmmmh je ne suis pas très doué lorsqu'il s'agit de lancer des choses, mais essayons!"

Avec beaucoup d'effort et de concentration, il lança un premier anneaux qui décrivit un petit mouvement en chandelle et rebondit contre une bouteille de liqueur de plantes au teint vert sans s'y accrocher. J fit la moue.

"Mmmhh, c'est pas gagné. Olga... Olga... Il me semble que comme moi vous soyez une réfugier trans-dimensionnel."

Avec des gestes non chalands, il continuait de lancer ses anneaux sans regarder, chacun rebondissant de partout sans s'accrocher à rien.

"Mais vous avez la chance de pas vous retrouver dans un corps de pécore à chaque fois que vous débarquez dans un monde de bouseux ne connaissant même pas la télévision.
Il e'tait grilheure; les slictueux toves
Gyraient sur l'alloinde et vriblaient:
Tout flivoreux allaient les borogoves;
Les verchons fourgus bourniflaient.
Commme on dit, vous savez. Mais dites-moi tout, de quel monde aux pratiques les plus abjectes venez-vous pour vous retrouver dans celui-ci ?"

J avait lancé ses dix anneaux, pas un seul n'avait encerclé une bouteille se trouvant contre le mur derrière le bar. Mais en rebondissant ils avaient tous atterri autour du goulot d'une belle bouteille de vin se trouvant entreposée à l'horizontal sous le comptoir.

"Ah, oui, je ne suis pas très alcool fort, ils me font perdre la tête. Mais je suis sur que ce coquin de tavernier garde sa meilleur bouteille de vin sous le comptoir."

Athéos n'en revenait pas ! Alors même que le doux cinglé allait vraisemblablement lui faire la fête, voilà que la nouvelle recrue lui avait démontré l'ensemble de ses compétences ! Il était bouche bée devant ce spéctacle et même quelques secondes après que cela soit fini, avant de décrocher d'une voix tremblante : "... vous êtes embauchée ... votre prix sera le mien ..."

---

"Wouah ... alors d'accord, c'est pas mal ..."

Marya aussi a tout vu. Qui aurait pu rater un spéctacle pareil de toute facon ?

"Euh ... excusez moi Yukipe ... je crois que si je veux pas me faire virer, il va falloir que je m'occupe du dernier client avant qu'elle ne le fasse."

Se dirigeant vers le bar pour prendre la commande de celui ci. En passant, elle interpella J :

"Dites, pour votre cuisinière ... je crois qu'il dira oui, le temps qu'il réalise, hein ... non, parce que je suis pas douée alors que lui ne sais pas allumer un feu correct, donc ca ferai du bien au commerce. Et à mon estomac, j'en ai marre du riz mal cuit."

Prenant son plateau, elle se dirigea alors vers le fumeur de pipe pur lui livrer ses connsomations.

olga reste les yeux dans le vague
sa main droite sur le comptoir tape des doigts frenetiquement la vitesse allant crescendo puis le ryhtme ce calme puis racceler
les tic tic de c est doigts sur le bois font dresser les poils de nuque

le seul mots prononce est yae hon dans murmure a peine audible

La serveuse s'approcha de Raphaël les mains chargés d'un bol et d'une pinte. Elle posa avec délicatesse le plat et le verre. Le jeune homme aperçut un infâme gruau de ris dans le premiers tandis que le deuxième semblais davantage correspondre à ses attentes.

*Tant-pi j'ai fin* ce décidât il en affichant une moue de légère répulsion.

"Madame, je vous suis redevable,
Car, votre nourriture, mon ventre, emplit,
Mes papilles, votre boisson, ravie,
Mes yeux, votre beauté, meurtrie.
Madame, je vous suis redevable,
Prenez donc cette pauvre obole,
Avant que mon coeur s'envole,
Ou dénigre les faribole.
Madame, je vous suis redevable!"

Lui déclamât il à demi ton deux galion d'or à la mains.Il les glissa dans une de ses poche et sans en attendre plus se saisit du couvert et commença à manger d'une main tandis que de l'autre il alternait entre la boisson et sa pipe. Alors que la serveuse s'apprêtait à partir il la retint doucement par le bras.

"Excusez je vous prie mon outrecuidance.
Votre obligé je serais, ça je vous le promets."

Puis il posa son vaire et l'atira doucement à lui il se remit a manger en l'invitant à s'asseoir, sans lui en dire plus ni sans plus d'attention d'ailleurs.

Ne sachant pas trop comment répondre face a cette demande, elle se tourna vers son patron, qui lui fit signe de la tête d'accepter. C'est donc un peu hésitante qu'elle s'assied auprès du client poête.

Le patron, justement, qui cherchait a comprendre ce que voulais sa nouvelle employée.

"Iaeon ? Qu'est ce que c'est ? une boisson ? J'ai pas le souvenir d'avoir ca en stock ... Vous pouvez eclairer ma lanterne, sur ce sujet ?"

Pendant ce temps, il retirait discretement les anneaux de la bouteille de vin de la cuvée de feu son père. Le seul souvenir qui lui reste de son passé, qu'il garde pour une occasion vraiment spécial ... d'une certaine manière, il préfèrerait ne pas l'ouvrir maintenant.

Yukipe dégustait tranquillement sa boisson dans l'ombre de la pièce.
Cela lui permettait d'observer à loisir les personnes dans l'auberge sans se faire remarquer.
Faisant un petit bilan.

Pauvre serveuse qui ne savait pas comment réagir face aux paroles, et à la demande un peu bizarre du poète.
Un patron qui ne comprenait pas sa nouvelle employé, d'ailleurs yukipe ne la comprenait pas non.
Sans compter le look des plus bizarre (hrp: rien compris de la description)
Un homme qui semblait avoir 2 personnalités et qui semblait se déclaré pas de cet univers o_O
Et une sorte de mage.

En parcourant la salle du regard, Yukipe parvins à la conclusion que de tous les consommateurs ici présent, le seul qui semblait normal était le grand black.

*Et bin la populace à bien changé depuis mon dernier passage dans cette ville*
pensa-t-il tout en buvant tranquillement son verre.


(hrp: pitié attention à l'orthographe des mots, m'en fou des "s" qu'il manque ou de trop, pareil avec les "é" et "er". Je ne demande par l'irréprochable, je ne le suis pas moi non plus.
mais pour certain truc on comprend rien, style noter "c'est" pour "ses"
merci ^_^)

J regarda un instant la nouvelle serveuse cliqueter et se tourna vers le noble patron de l'etablissement.

"Woua.... je suis pas certain qu'elle calcule, mais si c'est le cas... son salaire va vous couter un max! Gna ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha..."

De rire, il tapa deux ou trois fois du plat de la main sur le comptoir. et reprit un semblant de sérieux. Il fit un clin d'œil au patron, trifouilla un instant dans son dos, derrière son gilet, et en ressorti un énorme volume à la couverture de cuir ferrée sur laquelle on pouvait lire "les invocations de Sophie, 200 invocations au grès des saisons".

"Ça te la coupe hein... tu te demande ou je range tout ça... Bon maintenant un peu de calme j'ai besoins de me concentrer. Bon voyons voir."

J commença à feuilleter l'épais grimoire.

"Les invocations qui font peurs, comment invoquer une belle mère moustachue... non c'est pas ça. Final Solution ou comment invoquer un receveur des impôts psychorigide, non pas ça non plus.... Rendre fou, l'invocation d'un lapin crétin, non je ne suis pas cruel à ce point... Ah Voilà, Une petite faim, convoque ta pote qui fait trop bien la popote : L'affamée c'est pas une invocation pour les poules mouillés !"

J parcourra rapidement la page du regard en marmonnant ce qu'il lisait.

"Avertissement d'usage... caractérielle... Tu m'étonnes j'ai pas encore récupéré tous mes organes de la dernière fois. Bon voyons. 2 litres de sang souillé, pas de problème!"

J sortit sa lame noir de son dos. D'un geste rapide il se trancha le poignée laissant un flot de liquide épais rouge sombre se déverser sur le planché de l'auberge alors qu'il continuait à lire son grimoire. Il leva un instant la tête en direction du patron.

"T'en fait pas Paulo, c'est aussi la reine de la serpillère, le sang ça la connait... Une nécromancienne de sa trampe, c'est un peu normal. Ah ça devrait suffire."

Le scribe regarda au sol et pris un mouchoir en tissu dans sa poche. Il se fit un bandage de fortune qui ne tarda pas à être lui même gorgé de sang et à gouter sur le livre, le comptoir et le parquet.

"Le sacrifice de l'âme d'une vierge.... bon je vais pas trop présumer des jeune fille ci présentes.... Voyons voir qui j'ai avec moi aujourd'hui."

J scruta la salle et son regard s'arrêta à une table ou il n'y avait personne. Il s'y dirigea d'un pas rapide et sauta dans une tentative de plaquage. Il se releva lentement, tout en essayant de maintenir sa prise contre un adversaire que personne ne voyait.

"Tu vas te calmer oui..... Rho c'est pas vrai, Calme ! Ça peu pas être pire pour toi de toute façon.... Quoique ? Gna ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha...."

Il était revenu au dessus de la mare de sang. D'un geste maitrisé, il fit une arabesque de sa lame noir comme s'il tranchait quelque chose au dessus de la flaque. Puis il écarta les bras et jeta sa tête en arrière, les yeux révulsés.

"Et voila, l'invocation maintenant. Des profondeur des abysses je t'invoque ho toooooiiiii...."

Il redressa sa tête, et sourit aux regards incrédules qui l'observaient.

"Non je rigole c'est pas ça, mais ça aurait pu être classe! Gna ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha..."

Il s'accroupit, mis sa main dans la flaque et prononça a voix basse.

"Apparait grognasse !"

Puis il se releva d'un bond et alla se réfugier d'un pas sautillant derrière la serveuse. La cyborg semblait toujours en plein bug alors que des volutes noirs menaçants commençaient à s'élever du sol.

"Je sais pas si c'est une bonne idée en fin de compte.... Vous avez un programme d'armement j'espère"

Les volutes de fumées noires s'épaissirent, s'étendirent dans des circonvolutions tentaculaires comme si elles s'apprêtaient à envahir la salle.
Soudain, elles se retirèrent, aspirées par la flaque de sang dans un bruit ridicule de pet mal retenu.

Une drow se tenait là, yeux fermés, la respiration haletante. Ses cheveux blancs filasses manquaient par poignées. Sa peau d'ébène semblait plus sèche encore qu'un désert aride. Ses loques déchiquetées avaient sans doute été une robe rouge brodée de noir en des temps très anciens.
Les trous de ses hardes exposaient ça et là les vestiges d'un organisme rêche; là un coude saillant, là une peau de ventre cassante, plus haut, un téton à demi-rongé, stérile et sans joie.

L'affamée ouvrit des yeux rougis par les psychotropes et balada son regard enfiévré sur son nouvel environnement.

"Tiens, une taverne..." Sa voix était rauque et grinçante, elle servait peu souvent. "la population est hétéroclite, mais nous ne sommes plus à walachia" Ses sourcils froncés, elle cherchait la raison de sa venue en ces lieux inconnus.

Elle aperçut enfin, derrière Olga, une tignasse ébouriffée et familière.
"Ce bon vieux schizophrène..." lâcha-t-elle dans un murmure, avant d'avancer en une amorce de sourire.
Au premier pas, elle fit une glissade dans le sang d'invocation, s'étala sur le dos dans un atroce bruit d'os brisés.

"ça démarre bien" soupira-t-elle.

Le regard de la prêtresse n'abritait généralement pas de lueur de compassion, mais là, c'en était trop. Faisant signe de la main au client qu'elle venait de servir d'attendre deux secondes, elle se dirigeait vers le responsable de cette pagaille d'un pas déterminé ...
Arrivé à sa hauteur, et avant que J ne comprenne ce que voulais la femme, celle ci l'attrapa à la gorge d'une main et le souleva au dessus du sol. C'est qu'elle à une sacrée poigne !

"ECOUTE MOI BIEN ! Le ménage, c'est pas la partie la plus drôle de mon travail alors t'avise plus à recommencer ! Marre des tâches de sang, ca part pas cette saloperie, alors t'as interet a connaître un bon moyen de néttoyer ça vite fait !"

Pendant ce temps, Athéos s'adresse à l'ensemble des personnes prêtes du comptoir en ces termes :

"Et voilà, il me l'a énervée ... quand je pense au prix du mobilier ! Enfin ..."

Il commence à ranger le bouteilles et les verres du comptoir pour les mettre à l'abri, mais assez calmement. Il semble avoir l'habitude de ses crises de furie.

"Je serai vous je m'éloignerais ... elle n'est pas simplement prêtresse et serveuse ... elle s'y connait AUSSI en magie, alors ca risque de faire des dégâts."

Puis se tournant vers la cyborg :

"Vous pourriez aller ramasser cette pauvre créature par terre ? Elle risque d'en avoir besoin ..."

En tout cas, vivement qu'il sache si Gordan, son ancien employé de l'époque où il vivait encore et à qui il avait envoyé une lettre tantôt, acceptait ce nouveau travail dans le service d'ordre ...

J était toujours recroquevillé derrière Olga, et regardait avec attention l'invocation se dérouler. Voyant la répugnante drow apparaitre il ne pu s'empêcher de laisser échapper.

"Woua, je pensais pas que ça marcherait aussi bien.... Pendant un instant j'ai eu peur que ce soit l'autre Affamée qui apparaisse. Bon filon avant qu'elle ne me tape...."

Trop tard ! L'Affamée l'avait repéré, la voyant s'approcher de lui , J recula d'un pas mais..... La nécromancienne décharnée se vautra dans un mouvement des plus acrobatique. Hilare, J tendit le doigt vers le corps de son ancienne collègue.

"Ha ha! ..... glurps!"

La serveuse venait de chopper J par la gorge et de le soulever du sol l'invectivant de lui donner un procédé de nettoyage tout en le secouant un peu.

"argh... pas respirer.... pas vous aussi.... argh...une... mais deux....glurps... rincer ... eaux froide... salé....argh... puis taches restantes... eaux gazeuse... glurps... citronné... lâche.... argh..."

J se débattait comme un beau baatezu mais n'arrivait pas a se libérer de l'étreinte de la prêtresse. A force de gesticulé, son bandage de fortune était tombé et il se remis à asperger le comptoir ainsi que la prêtresse de son sang. Voyant qu'il avait aspergé les vêtement de la serveuse, il reprit.

"Même tech...nique pou.... glurps....vètement si tache... argh....pas importante....directement eaux...gazeuse...citron...argh."

Il se figea un instant comme pour reprendre son souffle et dit d'un seul trait

"Auriezvousmaintenantlobligeancedemelâcheravantquelavieillepeauétaléederrièrevousneserelèveetmefassepourlecoupvraimentlatêteaucarrésilvousplaitellefait
quandmêmevachementpeuravecsasaletêtedelichemêmeelleelleseregardepasdansunmiroir."

Entre la perte de sang et le manque d'air, J était encore plus pâle que d'habitude, il continua un instant de se débattre et sombra dans ce qu'il semblait être l'inconscience.

Alors que Raphaël continuait à manger, Il entendit prononcer le terme Honnit de nécromant. et alors qu'il enfournait sa dernière cuillère la serveuse face à lui se leva en lui faisant signe d'attendre. Il levât la tête, et put apercevoir la nécromancienne. Il extirpât de son baluchon un pistolet du 17ême siècle. et le braqua sur la nécromancienne.

"Raphaël Valiarde, petit fils de Nicholas Valiarde. Chasseur de nécromant, et accessoirement gentleman." Dit il, tout sourire, en se saisissant de l'orbe de métal.

"Ô, oui excusez moi d'avance pour la fatigue que vous subirez. mais l'orbe a la fâcheuse tendance de se servir de vos ressources pour capturer celle des autres."

D'un mouvement l'orbe s'axa sur la nécromante. Raphaël appuyas sur un bouton et tira une balle dans la jambe de la nécromante.

"Allez dégénéré, lance moi tes sorts."

personne ne le savait alors, mais l'orbe absorbait les pouvoirs que son possesseur subissait, tout en annulant leur effet et en privant le lanceur de la possibilité de le refaire.

Raphaël se prépara à encaisser lui même n'étant pas mage, toute sa résistance à la magie était généré par son orbe. Il espérait sincèrement qu'aucune autre puissance magique présent dans la pièce ne se mêlerais de son combat au risque d'y perdre elle aussi ses pouvoirs. Raphaël ne tuait pas, il anéantissait simplement les pouvoirs des nécromant tel était son devoir, et celui de sa famille de puis Nicholas Valiarde.

il réarma le chien de son pistolet et y glissa une cartouche de papier(oui poudre plus balle ronde). Il glissa sa pipe dans sa bouche et pris une position de profil.

"Voyons créature, tu ne souffrira pas, dépêche toi de lancer tout tes sort et je te soignerais moi même. Quand au autres si quelqu'un tente de m'empêcher de lui ôter sa magie, il goutera de mes balles, ma lame ou des pouvoirs de l'orbe."

Relâchant la prise, Marya regardait l'infâme souilleur de sols tomber lourdement. Il semblait s'y connaître en nettoyage de tâche de sang, mais ce n'est pas une raison pour ajouter du boulot aux autres.

"... Gmbl ... bon, je vais essayer ... mais je te préviens, si ça marche pas, c'est toi la serpillère, pigé ? Et t'as de la chance que je sois obligé de respecter le client !"

Elle se baisse alors, et une pâle lueur apparait dans ses mains. Elle guérit l'individu qu'elle viens de molester, s'assurant ne pas lui laisser trop de marque. Une fois cela fait, elle se relève et se tourne vers le chasseur de nécromant.

"Et vous, un seul trou avec votre pistolet dans le plancher, et vous le refaite entièrement à vos frais, alors si vous voulez vous battre, allez dehors ou c'est moi qui vous y fout la tête la première !!"

---

"On a de la chance, elle n'a pas rasé le bâtiment ... je vais finir par croire qu'elle s'est calmée, depuis que je la connais !"

Cependant, tout était bien planqué derrière le comptoir. Si la tempête s'est calmé, la pluie risque bien d'arriver et cela n'est pas du goût du tenancier.

"Bon, qu'on se le tienne pour dit, l'établissement est un lieu de rencontre et de consommation, pas une arène ! A défaut, je peut vous ouvrir la cour à l'arrière pour vous défouler. Evitez la rue, ça ferait peur aux futurs clients, merci !"

La conviction dans ces paroles n'était clairement pas palpable. Il en menait pas large, c'est le moins que l'on puisse dire !

"Il n'y auras pas de dégâts,
Si je ne le souhaite pas.
Et nous n'irons pas derrière,
Mais dans une autre sphère."

déclama Raphaël en secouant sa boule. Il en émargea une toile qui absorba la nécromancienne, le sang et Raphaël. Il disparurent tous trois de la vue de tous ne laissant au sol en lieu et place de Raphaël qu'un petit sac arrondit.

Quelques minutes plus tard la nécromancienne apparut dans les bras de Raphaël sans blessure mais inanimé. Il la posa sur sa table la tête sur son baluchon. il sortit une pièce d'or et la lança sur le comptoir.

"Patron y'a marais basse
Fait moi voire la p'tite sœur,
J'ai le gosier qui s'fache
et tousser qu'elle horreur."

sa pipe était cassé aussi se tournât il vers la serveuse robotisé.

"ma douce une petite pipe serais la bienvenue." Et il lui lança une pièce d'argent.

le sang inonda alors le parquets la ou ils était réapparut. Raphaël rangea son attirail dans son baluchon et observa l'invocateur avec une forte attention, les yeux plissé et les mains sur les hanches.

"Alors vous viendrais d'une autre réalité? Hum? Et vous connaitriez une technologie plus avancer que celle de ce monde? Hum? Moi même je revient de "Vienne" la resplendissante, cette ville loin à l'est, qui fait rouler les carrosses sans chevaux. Peut être pourriez vous me parlez de toute ces choses si incroyables, mon père me disait tout le temps que seule la science nous sauverais de l'obscurantisme de la nécromancie."

Il avait vu la taverne. Fatigué, Il y entra. L'homme, devant être agé à ses traits d'une vingtaine d'années, avait pourtant les cheveux gris, plutôt courts et ébourrifés. S'asseyant à une table sans faire attention à ce qui se passait autour.

Il portait une chemise de toile, et un pantalon de la même matière que sa chemise, marrons, que ce soit naturellement ou à cause des voyages. Il avait des bottes en cuir qui montraient elle aussi la régularité de ses voyages. Il portait également une cape brune derrière laquelle se trouvait une épée courte et un bouclier circulaire. Il avait également un sac pendouillant à sa ceinture.

Il attendait que l'on prenne sa commande.

Le patron commençait à préparer un citron quand le nouveau client arriva. Comme ses deux serveuses étaient chacune occupés à une tâche, il allait devoir servir lui même ... non, décidément, le personnel n'est plus ce qu'il était ...

"Bienvenue voyageur, et désolé pour ... l'agitation. Vous consommez ou vous anéantissez le bâtiment, que l'on sache tout de suite ?"

---

Quand à Marya, équipée de son balai + 2 frotteur de sol, elle s'attelait non sans passer son temps à pester à sa besogne de technicienne de surface ...

"Je consomme, Je me fiche des problème des autres" *regarde dans sa bourse*

"De l'eau s'il vous plaît, la moins chêre si il y a du choix, l'argent est parti plus vite que prévu. Et moi qui espérait un endroit tranquille, pour une fois... Pas une taverne ne peut se passer de bagares, à ce que je vois."

La dernière phrase fut ponctuée d'un soupir de désespoir.

J était resté allongé sur le sol après que la prêtresse l'eut soigné. Il regarda un instant son poignée qui gardait une cicatrice malgré les soins magiques.

"627? non, 628 je crois...."

Il souriait et avait suivit sans grand intérêt ce qui était advenu à l'Affamée. Quand le chasseur de Nécromant demanda une pipe contre une pièce d'argent à la serveuse robotisé, son sourire se fit un peu plus vicieux. Et lorsque l'homme en question s'interrogea sur lui, les deux mains sur les hanches pour lui demander des détails sur les différents mondes sur lesquels le scribe s'était échoué son sourire devint carrément mauvais.

"Il e'tait grilheure; les slictueux toves
Gyraient sur l'alloinde et vriblaient:
Tout flivoreux allaient les borogoves;
Les verchons fourgus bourniflaient."

Malgré sa récitation, on avait l'impression que le sourire de J lui mangeait de plus en plus le visage. Alors que le reste de sa personne semblait de plus en plus insignifiante face à la présence de ce monstrueux sourire.

"Prends garde au Jabberwock, mon fils!
A sa gueule qui mord, à ses griffes qui happent!
Gare l'oiseau Jubjube, et laisse
En paix le frumieux Bandersnatch!"

Ce sourire toujours présent, de plus en plus présent...

"Le jeune homme, ayant pris sa vorpaline épée,
Cherchait longtemps l'ennemi manziquais...
Puis, arrivé près de l'Arbre Tépé,
Pour réfléchir un instant s'arrêtait."

Il ne restait de J que son sourire, le reste de son corps avait disparu.

"Or, comme il ruminait de suffêches pensées,
Le Jabberwock, l'oeil flamboyant,
Ruginiflant par le bois touffeté,
Arrivait en barigoulant."

Puis son sourire disparu a son tour. De J il ne resta que sa voix, récitant avec conviction cet étrange poème.

"Une, deux! Une, deux! D'outre en outre!
Le glaive vorpalin virevolte, flac-vlan!
Il terrasse le monstre, et, brandissant sa tête,
Il s'en retourne galomphant."

Le corps inconscient de l'Affamée se souleva de la table du chasseur et vola à travers la pièce jusqu'à s'immobiliser au dessus d'une table libre. un instant, un seul, le sourire de J surplomba le corps inerte. Bam! Le corps de la drow tomba d'un coup sur le plateau en chêne de la table.

"Tu as donc tué le Jabberwock!
Dans mes bras, mon fils rayonnois!
O jour frabieux! Callouh! Callock!
Le vieux glouffait de joie."

Un bro d'eau se souleva à son tour du comptoir et voleta jusqu'à la table où la nécromancienne restait inconsciente. Le récipient se pencha un peu sur son visage et quelques goutes d'eau tomba sur l'horrible face féminine.

"Il e'tait grilheure; les slictueux toves
Gyraient sur l'alloinde et vriblaient:
Tout flivoreux allaient les borogoves;
Les verchons fourgus bourniflaient."

Le Bro se redressa toujours en suspension au dessus de l'Affamée. De l'autre coté de la anse du récipient, J réapparut l'air perplexe devant l'état de la nécromancienne. Il haussa les épaules et fini de déverser le liquide sur la figure de l'inconsciente sans aucune réaction de sa part...

"Je vois."

Il se tourna et dévisagea le chasseur du nécromant qui se trouvait à quelques pas de là et croisa au passage le regard exaspéré de la prêtresse qui se démenait pour nettoyé le sol.

"Avant tout mal entendu, ELLE est inconscient, ELLE nettoiera le liquide que je viens de lui verser dessus quand ELLE se réveillera. Quand à vous mon cher, derrière vos poèmes je vous trouve bien mal avisé des usages de ce bas monde. N'avez vous jamais entendu parler de la trêve des Tavernes ? Un bagarre à coup de mobilier de temps en temps passe encore, mais une vendetta contre une ère, une espèce ou une fratrie, que nenni, pour ce faire il faut..."

J farfouilla dans son dos et en sortit un autre épais volume qui portait sur sa couverture une choppe stylisée, un instant il regarda le patron de la taverne et lui lança.

"Je sais Paulo, tu te demandes où je cache tout ces bouquins, et non c'est pas dans mon postérieur ! Je disais donc..."

Il feuilleta rapidement le tome.

"Ah, voila, article 4598, alinéa 5, bla bla bla bla bla... Pour que la trêve d'une taverne transdimensionnelle soit rompu, il faut que la cause de la vengeance soit la réparation d'un préjudice personnel au moins vieux de deux millénaires..."

J désigna la table où les serveuses avaient servi deux verres consécutifs de grappa

"Ça c'est l'alinéa que j'ai utilisé pour faire la peau au vieux débris là bas.... Mais je ne vois rien qui justifie ici une autorisation pour vous de priver de ses pouvoirs une voyageuse d'une autre dimension convié pour dans un "havre" transdimensionnel pour faire la popote. En plus moi j'ai la dalle et ELLE a passé deux de ses incarnations comme cuisinière, alors autant te dire que la plus part des "grands chefs" peuvent se rhabillé. Mais heureusement pour toi. Nous sommes Légion!"

En un instant l'apparence de J changea. La partie droite de son corps changea de couleurs, ou plutôt s'inversa de couleurs. Ses vêtements noirs devenant blancs, sa figure devenant noir, le maquillage de son œil droit devenant Blanc. Alors que la partie gauche de son corps resta inchangée.

"Un conseil, si vous voulez pouvoir mourir un jour et ne pas glisser de dimensions en dimensions pour l'éternité, ne rouler jamais un dieu ou une déesse des passages, Mais il peut aussi y avoir des avantages. Quand à vous autres, apparaissez, j'ai besoin de vous."

D'abord le corps translucide d'un veille homme apparu à la table de J, malgré son état diaphane on pouvait voir que sa gorge avait été tranchée. Il rigola d'un rire typique d'ancien et bu d'un trait le verre de Grappa devant lui. L'autre spectre d'un homme apparu devant la cheminé, à lui aussi sa gorge avait été tranchée, puis un autres apparu, puis un autres, et un autres et un autres. Des hommes, des femmes, des enfants, d'espèces bipèdes variées.
La plus part avaient eu la gorge lacéré, mais d'autre avaient les yeux crevés ou encore une blessure au cœur. Au total, mais pendant moins de 5 seconde, une centurie de spectres furent visibles dans la salle de l'auberge.
J en choppa cinq d'un seul mouvement de sa main droite et fourra de force ces formes fantomatiques dans la bouche de l'Affamée jusqu'à ce qu'elle les ait totalement avalé.
L'opération ne dura qu'une poignée de seconde et les autres spectres disparurent en même temps que J reprenait une apparence des plus "ordinaire".

"Te voila rechargée à bloque! Et réveil toi vite, j'ai les crocs avec tout ça"

Il se dirigea en gambadant et en sifflotant comme si de rien était vers le comptoir. Il ramassa la pièce d'argent que Raphaël avait lancé à la serveuse cybernétique et la renvoya à son propriétaire.

"Tu ferais mieux de te débrouiller seul si tu veux pas qu'un de ses lasers ou autres filaments monomoléculaire ne découpent ce qui te différencie d'une femme."

Raphaël n'en croyais pas ses yeux. Cet homme était donc nécromant lui aussi? Il semblait bien, ou alors n'était il qu'un pauvre ère hanté par trop de chimère qu'il avait fini par asservir, ce qui fessait quand même de lui un nécromancien d'une certaine façon. Mais cet article... Qu'est-ce donc que cela. Il n'en avait jamais entendu le moindre épitaphe mais voila qu'on lui en sortait un livre entier. Pour sa part sa rancune méritait largement les dommages causés vu qu'il n'y en avais pas eu, un de ses honnit dont la magie anéantissait la vie et privait les mort de leur repos sacré avais perdu ses pouvoirs, c'était une bonne chose et ce quel qu'en soit le prix hors il n'y en avais pas eu, à part pour sa pipe.

"Hum... le temps n'est plus as la poésie. Une serveuse sert c'est son métiers, et elle en attend pourboire c'est ça récompense, laisse la donc vaquer à ses devoirs pour toucher ses deniers. Quand a la vieillesse de ma rancune elle concerne toute une ville et il y a de ça bien plus que 2000 ans qu'elle a honnit les nécromants. La rancune de mon pays est mienne aussi ma rancune est donc vielle à ce que tu peut l'apprendre aussi ne transgresse-je pas à la règle de ton code."

C'était faux Vienne n'était en rien sa vile et cela fessait seulement 300 ans qu'elle avait interdit l'usage de la nécromancie et crée l'ordre des chasseur de nécromants. Et même par son ascendance on ne pouvait trouver une telle haine aussi loin dans le passé le grand père de son propre grand père étant lui même un nécromant dans son temps. Raphaël n'aimait pas le mensonge mais il ne souhaitait pas faire palle figure devant un furieux pareille. Une chose était sur cette femme ne pourrait plus jamais faire usage de magie noire, il ne lui restait plus qu'as s'occuper de l'homme, mais il présageait que ce dernier ne comptait pas sur ses pouvoirs avant tout, sa dague noire en témoignait. Il relança une pièce à la serveuse mais cette fois elle fut d'or.

"Madame je vous le redemande pourriez vous me procurer cette pipe je vous pris vous seriez fort aimable."