La taverne des héros

Dans un coin de la cité de la Rose se dresse un établissement de bric et de broc. Une sorte de taverne ... mais celle ci est pratiquemnt vide.
Deux individus se trouvant devant semblaient en discuter ...

"Bon ... alors voilà, c'est l'établissement en question ... rappelez moi ce que l'on compte en faire, j'ai oublié !" Fit la voix sévère d'une prêtresse, droite dans sa robe blanche, arborant un symbole de Avandra.

"Allons, dame Marya ! Ce n'est pas l'aspect, somme toute temporaire, du lieu qui va vous rebuter ! Ceci sera la taverne dont tout le monde parlera dans quelques temps.". Son interlocuteur est un noble à l'allure un peu prétencieuce, presque trop bien habillé.

"Peut être. Mais dans l'état actuel des choses, c'est une ruine ! Vous êtes sûr de votre coup, sir Athéos ?"

"Mais oui ... J'ai déjà fait le nécessaire pour avoir du personnel. J'ai passé une annonce dans le journal du coin, les futurs employés et je l'espère les clients aussi devraient bientôt affluer. Ne vous inquietez pas sur ce point !"

"... et qui va faire le ménage en attendant ?"

"Mais vous, chère prêtresse !"

Le noble avait à peine fini sa phrase qu'il reçut un direct dans la machoire. "Mettez le sur mon salaire !" ajouta t elle ensuite pour accompagner son geste, avant de se diriger vers l'intérieur ...




Bonjour et bienvenue dans ce nouveau concept d'animation pour le forum. En ce lieu, il n'existe pas d'utilisateur, pas plus qu'il n'y a de sujet de discussion. Il s'agit de faire vivre nos personnages divers et variés entre eux, tout simplement. Vous venez, vous postez, vous discutez ... en bref, vous vivez ! En espérant que vous trouviez le concept amusant.

Nikoleis

Dehors tout était calme, la nuit était tombée sur la cité enneigée de la Rose. Pas un bruit, pas la moindre petite brise. Seuls des flocons tombant paresseusement.
Jusqu'au moment où un grand corps se laissa choir du toit d'un immeuble. Était-il mort? S'était-il brisé la nuque en tombant ? Il ne bougait plus, étendu dos au sol, la neige commençant à le recouvrir.
Puis d'un coup, d'un seul, il se releva tel un diable à ressort bondissant de sa boite. Une roue, une cabriole, il virevoltait, dansait, sautillait jusqu'à l'établissement tout en éclatant de rire, puis se calma... Un instant, tout juste une minute, il regarda par la fenêtre de l'estaminet. Son inspection fini, il se diriga lentement vers la porte, marquant un temps d'arrêt devant cette dernière.

"Brrrrrrrrrrr. Ce n'est pas un temps à relâcher un fou dehors.... Décidément, j'ai pas vu un endroit aussi miteux depuis la taverne de l'insigne du lac... C'est pas ici que... On ne sait jamais... Oui... Mais... Rhoo toi laisse moi tranquille, depuis que je t'ai tranché la gorge, à l'insigne du lac tu ne fais que ça, me réclamer encore et encore une grappa. Bon c'est pas tout ça mais mais quel froid démentiel! ça gèle. Maudite neige, maudit climat, maudit pays, maudits fantômes, maudit maudit! Gna ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha...."

Le grand échalas, tout de noir et blanc vêtue, la figure maquillée comme une fille de joie morte, tapa la neige collant à ses vêtements, poussa la lourde porte de chêne et rentra dans l'établissement d'un pas décidé.

"Saluuuuuuuuuuuuuuuttttttttttttttt Nounou!
Laissez moi la Judicieuse Joie de me présenter : Jovial et Joueur, J'aime à Jouir de mes Jacasseries sans Jamais Jalouser les Jaseurs de Jadis. Jucher telle un Joker prêt Jaillir pour Jacter jusqu'au petit Jour, Je suis Juste un Joyeux drille qui Jubile à l'idée de Jongler avec des lames Jumelles quitte à devoir viser la Jambe ou la Jugulaire des Je-m'en-foutiste. Je suis J.

Je sais, je sais si je m'étais appelé V, cela aurait été mieux. Servez moi donc un verre de vin et une grappa."

Le regard des deux propriétaires allaient de l'halluciné à l'intérrogatif. Leur premier client ne laissait rien présager de bon pour les affaires si les autres seraient du même acabit ... c'es le noble qi réagit en premier.

"Heu ... donc vous avez dit ... du vin rouge et du grappa ... Marya. Tu sers ce client ?"

Le regard de la prêtresse en disait long sur les sentiments vaguement meurtrier qu'elle éprouvait pour son patron. Mais elle avait définitivement besoin d'argent, donc ...

"Ok ... et une commande, une !"

Elle s'approcha alors d'une table, un plateau à la main, et installa ce premier client.

"Et ne vous inquiétez pas de votre prénom, nous ne sommes pas regardant sur celui ci ... mais vous maniez la langue française à merveille, en tout cas !"

Malgré la sympathie de ces mots, on pouvait sentir que la femme était sur la défensive.

Il avait froid. Il avait traversé ses déserts natifs, des étendues sans croiser âme qui vive, des forêts denses et pluvieuses, mais là il commençait à vraiment avoir froid. Les températures en ces lieux étaient loind de seulement égaler les plus basses de son désert natal. Il avait tellement froid qu'il commençait à craindre que cela nuise à sa magie du feu. Soudain, il vit des lumières au loin.

"Ah, peut-être de quoi me réchauffer !"

Il s'en approcha donc. Voyant que c'était une taverne, il entra sans plus attendre. Tous les clients y prêtant attention, surtout après le précédent arrivant, pouvaient voir un grand Black élancé de presque 2m de haut, dans des habits de mage rouges perçant à peine sous une longue cape fourrée noire. Son visage devint visible quand il retira sa capuche noire : couvert de tatouages de diverses couleurs. Il s'approcha du comptoir.


"_Bonsoir aubergiste, dit-il d'une voix profonde. J'aimerais une tasse de thé brûlant s'il vous plaît."

Alors seulement l'homme laissa son regard faire le tour de la salle. Il vit ce qui ressemblait à n'importe quelle auberge classique. Ses yeux s'attardèrent quelques moments sur l'homme en noir et blanc, avant de revenir finalement sur l'aubergiste.

"Ah ... je vois que nous avons un nouveau client !"

Athéos se mit alors a chercher la theiere. Un vieux modèle, sans aucun doute, elle sembait avoir connu des jours meilleurs.

"Alors, par contre, concernant, votre thé ... c'est que l'on en a plusieurs. De Chine, de Ceylan, je sais pas trop ... vous avez une envie particulière ?"

Tandis qu'il posait la question, le jeune noble installait la théiere sur le feu, tout en sortant une tasse un peu poussièreuse qu'il frotta négligement avec un torchon.

"Sérieusement ? je m'en fous tant qu'il est brûlant et a du goût... Fait trop froid dans ce pays !

Le magicien se tenait assis, ramassé sur lui-même en un effort presque vain pour se réchauffer...

"Le plus cher, alors ..."

"Pas de souci ! Les flammes de l'enfer, ca me connaît ! Votre thé sera aussi brûlant que vous le souhaiterez, très cher client !"

La sachet de thé est un modèle du genre, le sac étant fait de fil d'or brodés ! Probablement du thé elfique de grande qualité. Cela tranche avec l'aspect simple de la tasse qui est tendu en direction du magicien.

le mage poussa un immence soupir de soulagement en posant sa main sur la surface de la tasse brûlante. Il plongea sa tête en direction de sa boisson, s'arrêtant seulement à quelques millimètres de l'eau. Il respira profondément la saveur du thé, savourant sa chaleur. Il claqua des doigts de la main droite, allumant une minuscule flammèche au bout de son index tendu. Soupirant, il commença à siroter sa tasse.

"les flammes de l'enfer, vous dites ? Je doute que vous en connaissiez autant que vous le dites, sérieusement !

J pris le verre de vin et y porta ses lèvres avec un regarde de malice pour la personne qui venait de le servir. Le liquide sombre était un peu râpeux mais se laissait boire.

"Correcte. Humm la Grappa est pour cette vieille bique."

Il désigna la chaise vide à coté de lui.

"Posez lui devant, il se débrouillera. HEIN PAPY T'ES CONTENT T'AS TA GRAPPA. DONC MAINTENANT TU VAS UN PEU ME LA LÂCHER LA GRAPPE JUSTEMENT !"

Devant le regard d'incompréhension de la serveuse il ne pu s'empêcher de se justifier.

"Désolé, il est un peu sourd. Vous savez après quelques millénaires...."

J rebut une gorgée de vin et observa de la tête au pied la serveuse.

"Ho Ho Ho, je vois, je vois, prêtresse, Avandra.... Il est étonnant qu'une suivante de la déesse du changement, des voyages et de la liberté se soit enchainée à un tel cul de basse fosse. Je croyais que vous rendiez la vie dure à ceux qui par malheur voulaient vous priver de votre indépendance...."

"Justement ... l'indépendance financière, ca pose des problèmes ... pas toujours comme on le crois, d'ailleurs !"

Le regard assassin qui se dirigeait vers le noble tuerait plus d'un esprit faible sur place.

"Mais ..." reprit-elle, "De qui parlez vous, au juste ? Vous n'allez pas me faire croire que la couche de poussière sur cette chaise est avec vous, quand même ? Ou alors, l'hmme invisible, il a intérêt a laisser un pourboire aussi, sinon, c'est lui qui va voir !"

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"Disons que pour moi, elles ne sont pas simplement qu'une expression ... mais d'admet volontier que une simple flammêche ne puisse en approcher l'intensité ... vous voulez une serviette chaude, pour l'accompagner ?"

Il comence alors à fouiller les placards pour trouver de quoi contenter son froid client.

Le mage inclina gracieusement la tête.

"Avec plaisir. Tout ce qui est chaud sera bienvenu.

Se servant alors de l'eau chaude restant d'après le thé, Athéos arrosa copieusement la serviette. C'est au moment de l'essorrer qu'il manqua de s'ébouillanter, n'ayant visiblement pas l'habitude de l'opération; il jeta la serviette en poussant un petit cri, avant de jurer.

"Bon sang ... ah ! Veullez m'excuser, mais j'avais l'habitude d'avoir des domestiques pour ce genre de chose ... j'espère que cela vous conviendra quand même ?"

Il était clair que le tenancier n'était pas à sa place ici ... tout comme la prêtresse du reste.

"Marya, tu n'aurais rien de chaud sous la main ?"

"Une colonne de feu, ca t'ira ?". Non, ils ne sont définitivement pas à leur place ...

Interloqué par tout ce remue-ménage, le mage leur demand

"_Excusez-moi monsieur, mais vous dites n'avoir pas l'habitude de ce genre de choses. Comment vous êtes-vous donc retrouvé dans cette situation, si ce n'est pas trop indiscret ?

"Une drôle d'histoire, voyez vous ..."

Il prend alors un verre, et se verse un petit vin en faisant signe d'en offrir a son interlocuteur.

"Il se trouve qu'à l'origine, je suis mort. Oui, je sais, ca en surprends beaucoup ... mais la jeune femme, que vous voyez là (en désignant la prêtresse), avait besoin d'informations que je détenais ..."

Il porta le verre à sa bouche, appréciant la texture de son breuvage.

"Malheureusement, le rituel lui avait coûté tout ce qu'elle avait, et moi même ne possédant plus rien d'autre que mon nom, nous nous retrouvâmes tout deux dans le besoin. Alors, j'ai fait appel ma mes talents ... je suis un joueur de carte professionnel, voyez vous. Avec mes gains, j'ai pu acheter cet établissement. Et comme elle ne veux plus me quitter d'une semelle ... voilà toute l'histoire !"

Dans la nuit de la cité enneigée de la Rose, on pouvait voir une forme noir se déplacer rapidement.
Elle était totalement noir car, elle serrait sont manteau noir autour d'elle.
Par moment on pouvait un éclair de blanc provenant de la capuche de l'être.
Avec la nuit, le vent et le froid était arrivé et l'être avait froid.

"j'aurais mieux faire de rester dans les pays chaud" grommela l'être
"au moins la-bas je n'avais pas froid"

Puis soudain, la forme s'arrêta.
Fixant incrédule l'auberge qu'on voyait à l'autre bout de la route.

"la dernière fois que je suis passé là il n'y avait pas une auberge là...
ou du moins pas en état de recevoir"

Content de trouver un endroit où se réchauffer, l'être parti vers l'auberge.
En entrant, il pu sentir la bonne chaleur qu'il y faisait.
L'être resta quelques secondes dans l'entrée histoire d'observer les lieux, puis il repéra une place non loin du feu mais qui était dans l'ombre.
Il se dirigea vers cette place, enlevant son manteau et le posa sur le siège a coté.
L'avantage de cette place c'était qu'avec la différence de luminosité entre sa table et le reste de la salle, les autres clients de verrait de l'être qu'une ombre, une forme assez grande avec une masse blanche au niveau de la tête.

L'ombre attendit tranquillement que l'on vienne à lui pour prendre sa commande.
Enfin elle était au chaud.

"Marya, client pour toi ! ... veuillez m'excuser, il faut savoir donner les ordres de temps en temps mon cher ... mais d'ailleurs, vous venez d'où, pour avoir de telle difficultés avec ce climat ?"

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Pendant ce temps, l'apprentie serveuse se dirigeait vers le nouveau venu, qui semblait préferer la tranquillité.

"Excusez moi, je pourrai prendre votre commande ? Monsieur ... ou madame, tiens, je n'arrive pas à déterminer, donc vous m'excuserez ... votre apparence, c'est pas la joie, alors en plus, vous avez choisi le coin le plus sombre ... vous voulez peut être de la lumière ?"

"_Oh, moi... Je viens des déserts loin, très trèèèèès loin au Sud."

Se retournant à l'entrée de l'ombre, le magicien regarda alors à nouveau l'être étrange en noir et blanc. Il regarda à nouveau Athéos.

"_Vous avez souvent plein de cliens... étranges comme là ?

La personne regarda la serveuse arriver.
Elle ne s'offusqua pas de la confusion de celle-ci, cela était même courant.
En effet, la personne était assez androgyne: elle avait des traits fins, mais certains détail pouvais laisser croire que c'était un homme. De plus il/elle semblait assez jeune (la vingtaine), lorsqu'on croisait son regard améthyste on a l'impression qu'il avait plus vécu que ne laissait paraitre son age. Sans compter qu'il possède une longue chevelure blanche.
Sur son front on pouvait voir un tatouage d'une fleur de lotus. Si on la fixait trop longtemps on avait l'impression que les pétales bougeaient.
Même ses vêtements ne laissant pas deviné la nature de l'humain(e): une sorte d'armure qui ne semblait pas vraiment en métal, indéfinissable, bref qui n'était du continent.

"ne vous excusez pas,
non merci j'aime bien la pénombre, on y est bien."

Voulant jouer un peu avec son apparence, un des plaisir qu'il lui restait, lui répondit:

"appellez moi seulement Yukipe.
Et je prendrai un de vos meilleurs alcools, un fort.
merci"

Tout au long de ses quelques paroles, Yukipe avait garder un visage de marbre.
N'esquissant aucun sourire.

Après le départ de la prêtresse apprentie serveuse, J marmonna tout seul.

"Grrr.... mmmmhhh....Mais comment ça se fait que je sais de quel culte est cette prêtresse.... Mmmmhhh... non... Grrrrrr....tu vas pas me dire.... Mais... Mmmmhh....Dis moi pas que c'est pas vrai...."

Il y avait presque des sanglots dans sa voix maintenant.

"Je suis redevenu un scribe ? ça veut dire que je suis retombé dans un monde de primates en armures de plaques se battant à coup d'épées et de magie...."

J regarda ses vêtements, son gilet noir et sa chemise blanche, son pantalon de toile noire et ses bottines légère de cuir noir.

Des larmes commencèrent à couler faisant encore plus dégouliné le maquillage noir de ses yeux sur le blanc de son visage.

"Mon... Mon.... beau costume trois pièces.... qu'est-ce que c'est que ces vêtements digne d'un ruffian des bas quartiers... mais c'est quoi ce vocabulaire ! Nooonnn... NOOOOOOOOOOOONNNNNNNN!"

Il bondit de sa place en se tenant la tête. Il se mit à courir dans tout sens dans l'auberge tout en faisant beaucoup de bruit. Il sautait sur les tables et les chaises sans les renverser, se roulait par terre, se relevait continuait de courir partout et recommençait jusqu'à se figer.

"Mais attends ça veut dire que j'ai de nouveaux ma super dague magique trop bien de la mort qui tue capable de tuer tout plein de gens trop fastoch qu'elle est trop bien cette lame de fou!"


Il vérifia dans son dos, au niveau de la ceinture et en ressorti une dague à la lame noir ondulée dont le pommeau et la garde tout aussi sombres étaient sertis de petites onyx brillants à la lumière des flammes éclairant l'auberge. J l'admira ému une larme à l'œil comme un père devant son enfant.

"Mon tout beau.... Bon ça aurait pu être pire! Gna ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha...."

Il rangea la dague et se dirigea tout sourire vers le comptoir.

"Et ça chauffe le mage du sud ! Super, j'adore le rouge, c'est très évocateur ! Un autre verre de vin s'il vous plait... Et puis, aux Baatezus les varices des Guenaudes, c'est ma tournée ! Fait donc péter le tonnelet de bière naine de la grand faille, c'est pas tout les jours qu'un scribe de la Triade revient dans un monde de bouseux maitrisant les arcanes plutôt que le nucléaire ! Et remet une grappa au papy."

A la table de J, le verre de grappa avait été vidé sans que personne n'ai vu ce fieffé coquin de scribe fou le toucher.

He bien vous êtes mon second, donc, c'est mon troisième ... on a ouvert aujourd'hui !

Il est alors interrompu par son "amie", venue prendre la commande.

"Pss ... je ne voudrais pas passer pour alarmiste, mais ... c'est normal que la clientèle soit aussi ... comment dire sans être véxante ... bigarré ? Qui t'as vendu cette bicoque ?"

"La question ne serait pas plutôt de savoir si elle ne t'aiderai pas à trouver ta réponse ?"

Il lui tends alors le plateau pour la commande, avec l'alcool demandé.

"Au fait, je n'ai peut être pas été clair, mais ma réponse a sa question ne l'a pas satisfaite ..."

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... s'approchant alors de la table du fond, Marya livrait la bouteille qui avait été demandé.

"Et voici votre commande, Yupike ... euh, Yukipe ! Excusez moi ... Etrange prénom, du reste. Curieuse de savoir d'où vous venez. Je n'imaginais pas l'endroit aussi ... passant, dirions nous."

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Mais pendant ce temps, un autre client s'était approché du comptoir. Sa commande comme ses commentaires laissait planer des doutes de plus en plus lourd sur la santé mental de celui ci, mais ... du moment qu'il paie !

"Un tonneau de bière naine, une grappa, un verre de vin ... dis donc, notre premier client à l'air d'aimer faire la fête !"

Bien sûr, il faisait aussi allusion au comportement étrange de J, a en juger par le ton employé.

Même s'il ne le montrait pas, cela fait plaisir à Yukipe de parler un peu.
Faut dire que cela faisait un moment qu'il vagabondait dans des zones à moitiés désertique.
Donc un peu de compagnie faisait du bien, même s'il ne devait en aucun cas s'attacher à la personne.

"Yukipe est un nom d'origine japonnaise. Yuki signifie neige en japonnais.
Il est aussi bien porté par les hommes que les femmes.
Je suis surement originaire d'Asie vu que j'ai des origines japonaises.
Mais j'ai un tendance à oublier les choses qui date donc je ne me rappel plus trop d'où je viens.
Faut dire que j'ai tellement voyagé."

Yukipe but une gorgé de sa boisson en jetant un regard en biais au fou.

Un jeune homme fort élégant marchait au hasard de ses pas dans la ville de rose.
Fort élégant dans son dans son doublet de soie bleu celui-ci semblais pourtant abattu.
Les yeux au ciel, il semblais perdue dans ses pensées dans ce froid hivernal.
Son doublet laissait deviner les larges manches d'une houppelande, tandis-que ses heusses montaient tellement qu'on n'en voyait plus le pantalon sous les pans d'une cote de velours blanche qui débordait de son doublet bleu royal. Une rapière pendait à sa gauche et il semblait portait quelques maigres bien dans un baluchon vert qu'il tenait de à la main.

La nuit s'étendit sur Rose tandis que e jeune homme continuait de folâtrer au gré du hasard. Peut après la neige recommença à tomber.
Le jeune homme sembla comme s'éveiller sous les premiers flocons et resta un moment interdit en essayant d'identifier l'endroit ou il se trouvait.
Poussant un vague soupir il posa sur sa tête un tricorne à volet qu'il portait jusqu'à maintenant accroché à sa ceinture.
Après quoi il plongea sa main droite dans son baluchon et en sortit une pipe ainsi qu'une blague à tabac. Il se remit à marcher tout en la préparant. Sans réfléchir il pris une route sur sa droite et alluma sa pipe. Il rangea sa blague et ses allumettes.

Sa marche ne fut pas longue mais solitaire. Le froid commençait à le saisir au cœur malgré son doublet, et sa cote. Il chemina par la rue de Martre, qu'il ne connaissait que trop bien, ou se cotoyer femme à petite vertu et maison de jeu sans plus d'honneur que ces dames. Mais les premières lui avait bien plus donner que pris tandis-qu'au seconde... C'est elle qui l'avait éduqué. Son érance prit fin face a un bouge fort peut fréquentable, qui ne semblait d'ailleur pas fréquenté.

Il y entra. tout en ferment la porte derrière lui il se décoiffa, et s'attablât prés de l'âtre ou rougeoyait quel que braise. Il remarqua trois client deux au comptoir et un troisième dans attablé dans l'ombre, parlant avec la serveuse.

(Merci Sypha de donner confirmation pour la signification de Yuki, en japonais ! Ca me servira bientôt !)

La prêtresse faisait la mou

"Comment peut on oublier de là où on vient ... ? Je suppose que vous voyagez depuis plus longtemps que moi ..."

Elle observait l'individu fixement ...

"D'ailleurs ca vous fai quel age ? Je vous trouve pourtant jeune."

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Alors que la conversation avec les deux individus du bar continuait, le noble fit signe au nouvel arrivant avec maintes politesses que l'on s'occuperai bientôt de sa commande.

"Hé, Marya ! c'est une taverne, ici, et t'es la serveuse ! Au boulot !" puis se tournant vers ses interlocuteurs : "Si je la laisse faire, elle va pas s'arreter ..."

Autant de candeur de la part d'une prêtresse amusa yukipe.

"Oh vous savez il suffit de ne plus aller dans dans votre région d'origine pour l'oublier avec le temps.
Et puis, comme on dit les voyages forment la jeunesse"

Yukipe regarda la femme le dévisager.
Il attendit tranquillement qu'elle pose sa question, lui rendant sont regard.

"Quel age me donnez-vous ?"

Puis entendant le patron appeler la serveuse.
Yukipe but une gorgée de sa boisson, se délectant de son arôme, puis déclara:

"Vous avez un patron exigent."


HRP: je met "il" pour faire généraliste dans mes dialogues car c'est un être.
et que j'ai la flemme d'écrite Il/elle a chaque fois