/!\ [Ambiance] Discussion enflammée !
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/! [Ambiance] Discussion enflammée !
Discussion enflammée !!
Texte contenant des propos grossier et violent !! Pour lecteur avertis !!! Mais quand même une petite musique d'ambiance. Oui, aujourd'hui, j'ai pillé le répertoire d'Audiomachine.
Texte contenant des propos grossier et violent !! Pour lecteur avertis !!! Mais quand même une petite musique d'ambiance. Oui, aujourd'hui, j'ai pillé le répertoire d'Audiomachine.
La jeune femme était assise contre la fenêtre. Elle regardait les passants passer en contrebas avec un regard vitreux dénué de la moindre envie de vivre. Ses glandes lacrymales avaient déjà rendu tout leur contenu. Surtout depuis qu’elle l’avait revu à ce fameux bal. Consciente de la menace qui planait sur sa tête, mais aussi sur celle de celui qu’elle aimait, elle avait tenté de le dissuader de poursuivre dans sa folie de vouloir la libérer. Aujourd’hui, elle en était devenue fataliste. Pour elle, il ne faisait aucun doute que le destin prenait un malin plaisir à les séparer. Cette pensée l’attrista jusqu’aux tréfonds de son âme et de son cœur, même si aucune larme ne vint.
De l’autre côté de la porte, il y avait deux bonshommes. Le premier était aussi haut que large. Il transpirait à grosses gouttes à force de faire les cent pas dans la pièce. Deux énormes auréoles débordaient de ses dessous-de-bras et sa bedaine était tellement imposante que les fils qui retenaient les boutons de sa chemise étaient à deux doigts de rompre. De la chair flasque arrivait même à sortir entre chaque bouton. Malgré tout le parfum qu’il avait pu se mettre sur le dos, il n’arrivait pas à masquer son odeur de transpiration. Dominico sentait le fennec jusqu’au bout du couloir, on pouvait aisément le suivre à la trace, tellement on avait l’impression que ses vêtements servaient de cave à fromage. L’autre homme était grand et plutôt mince. Il portait les habits de domestique, pourtant sa posture désinvolte en présence de son maître avait de quoi déconcerter. En le regardant, ce qui choquait le plus, c’était son regard divergeant qui donnait à son visage quelque chose de dérangeant, voir même d’effrayant.
- Carmine, mon bon ami … « tgl », « tgl », « tgl ». Comment se fait-il qu’elle ne m’aime pas ?!
- Je ne comprends pas … « tgl », « tgl », « tgl ». Elle vit dans un palais, elle a de beaux vêtements, de beaux bijoux … « tgl », « tgl », « tgl ».
- C’est quoi son problème ?!
L’ombre du domestique s’agita et rigola dans la pièce avec un rire qui serait capable de glacer le sang à n’importe qui. Elle glissa quelques mots dans la tête de son porteur et celui-ci esquissa un léger sourire avant de pointer son regard dans la direction de son maître.
- Comme je vous l’ai déjà dit « mon seigneur » …
Son ombre ricana en entendant toute l’ironie que contenait la voix de Carmine.
- Ce n’est pas vous le problème … Ce sont les femmes … Toutes les mêmes … Des petites putes tout juste bonne à baiser.
- Elles ont été conçues pour nous vider les couilles, pour nous donner des héritiers et rien de plus … Il ne faut rien attendre de plus de la part de ces viles créatures qui portent en elle le pêcher.
La voix de Carmine tonnait dans la pièce comme le tonnerre dans la plaine. Dominico écoutait et se recroquevillait presque sur lui-même. Visiblement, il craignait le « ténébroso » qui se trouvait en face de lui.
- Tu sais … Tu sais à quel point mes paroles sont vraies et que sans nous … Sans nous … Tu n’aurais pas connu tout ce que tu as connu …
- Alors, laisse-la tomber !
- Faisons la couiner comme toutes les autres avant de nous débarrasser d’elle.
Le soi-disant maître des lieux déglutit bruyamment. C’était une vaine tentative de contrôler la peur qui commençait à faire trembler tous ses membres. Il trouva quand même au fond de lui, la force de proférer quelques mots à l’encontre de son interlocuteur.
- Mais … « tgl », « tgl », « tgl ». Je … Je l’aime … Moi …
L’ombre quitta le giron de son porteur et se mit à arpenter les murs de la pièce en ricanant, puis en rigolant à plein poumons. Elle adopta une allure tentaculaire afin de rendre sa silhouette monstrueuse. Puis, elle s’exprima à haute voix dans la pièce, en prenant une voix rauque et puissante.
- L’amour ?!
- L’AMOUR ?!
- Laisse-moi rire !!
Et elle explosa de rire sous le regard complètement effrayé de Dominico.
- L’amour, c’est pour les faibles ! Pour ceux qui aiment souffrir inutilement !
- Si tu veux une femme prend là et puis c’est tout !
- Fait la gémir comme les salopes qu’elles sont toutes … Fait là crier comme une truie parce qu’elles ne sont bonnes qu’à ça !! Prends leurs vies si cela te chante parce qu’elles ne servent à pas grand-chose !!
- À part porter ta descendance pourquoi irais-tu t’encombrer d’un être inutile ?!
- Aurais-tu oublié tous ce qu’elles t’ont déjà fait subir dans le passé ?! Crois-tu qu’elle mérite ton attention ?!
On avait l’impression que l’ombre grandissait pendant que Dominico rapetissait. C’était une fausse impression, mais cela pouvait vous donner une idée de la violence des propos et surtout de la peur que pouvait ressentir la maître des lieux. Il finit par se laisser tomber par terre sous la pression de la voix de l’ombre.
- Crois-tu qu’elles méritent ton amour ?!
- La réponse est non ! Tu es l’héritier d’une famille puissante! Tu n’as pas besoin de demander pour avoir les faveurs des paysannes du coin !
- Alors réfléchis bien avant de dire que tu aimes cette garce à la voix de velours ! Ne te laisse pas embobiner par cette vile créature !
L’ombre retourna vers son porteur et laissa le pauvre dominico tout tremblant par terre. Carmine profita de la situation pour prendre congé et s’en alla tranquillement pendant que son visage affichait un large sourire.
De l’autre côté de la porte, il y avait deux bonshommes. Le premier était aussi haut que large. Il transpirait à grosses gouttes à force de faire les cent pas dans la pièce. Deux énormes auréoles débordaient de ses dessous-de-bras et sa bedaine était tellement imposante que les fils qui retenaient les boutons de sa chemise étaient à deux doigts de rompre. De la chair flasque arrivait même à sortir entre chaque bouton. Malgré tout le parfum qu’il avait pu se mettre sur le dos, il n’arrivait pas à masquer son odeur de transpiration. Dominico sentait le fennec jusqu’au bout du couloir, on pouvait aisément le suivre à la trace, tellement on avait l’impression que ses vêtements servaient de cave à fromage. L’autre homme était grand et plutôt mince. Il portait les habits de domestique, pourtant sa posture désinvolte en présence de son maître avait de quoi déconcerter. En le regardant, ce qui choquait le plus, c’était son regard divergeant qui donnait à son visage quelque chose de dérangeant, voir même d’effrayant.
- Carmine, mon bon ami … « tgl », « tgl », « tgl ». Comment se fait-il qu’elle ne m’aime pas ?!
- Je ne comprends pas … « tgl », « tgl », « tgl ». Elle vit dans un palais, elle a de beaux vêtements, de beaux bijoux … « tgl », « tgl », « tgl ».
- C’est quoi son problème ?!
L’ombre du domestique s’agita et rigola dans la pièce avec un rire qui serait capable de glacer le sang à n’importe qui. Elle glissa quelques mots dans la tête de son porteur et celui-ci esquissa un léger sourire avant de pointer son regard dans la direction de son maître.
- Comme je vous l’ai déjà dit « mon seigneur » …
Son ombre ricana en entendant toute l’ironie que contenait la voix de Carmine.
- Ce n’est pas vous le problème … Ce sont les femmes … Toutes les mêmes … Des petites putes tout juste bonne à baiser.
- Elles ont été conçues pour nous vider les couilles, pour nous donner des héritiers et rien de plus … Il ne faut rien attendre de plus de la part de ces viles créatures qui portent en elle le pêcher.
La voix de Carmine tonnait dans la pièce comme le tonnerre dans la plaine. Dominico écoutait et se recroquevillait presque sur lui-même. Visiblement, il craignait le « ténébroso » qui se trouvait en face de lui.
- Tu sais … Tu sais à quel point mes paroles sont vraies et que sans nous … Sans nous … Tu n’aurais pas connu tout ce que tu as connu …
- Alors, laisse-la tomber !
- Faisons la couiner comme toutes les autres avant de nous débarrasser d’elle.
Le soi-disant maître des lieux déglutit bruyamment. C’était une vaine tentative de contrôler la peur qui commençait à faire trembler tous ses membres. Il trouva quand même au fond de lui, la force de proférer quelques mots à l’encontre de son interlocuteur.
- Mais … « tgl », « tgl », « tgl ». Je … Je l’aime … Moi …
L’ombre quitta le giron de son porteur et se mit à arpenter les murs de la pièce en ricanant, puis en rigolant à plein poumons. Elle adopta une allure tentaculaire afin de rendre sa silhouette monstrueuse. Puis, elle s’exprima à haute voix dans la pièce, en prenant une voix rauque et puissante.
- L’amour ?!
- L’AMOUR ?!
- Laisse-moi rire !!
Et elle explosa de rire sous le regard complètement effrayé de Dominico.
- L’amour, c’est pour les faibles ! Pour ceux qui aiment souffrir inutilement !
- Si tu veux une femme prend là et puis c’est tout !
- Fait la gémir comme les salopes qu’elles sont toutes … Fait là crier comme une truie parce qu’elles ne sont bonnes qu’à ça !! Prends leurs vies si cela te chante parce qu’elles ne servent à pas grand-chose !!
- À part porter ta descendance pourquoi irais-tu t’encombrer d’un être inutile ?!
- Aurais-tu oublié tous ce qu’elles t’ont déjà fait subir dans le passé ?! Crois-tu qu’elle mérite ton attention ?!
On avait l’impression que l’ombre grandissait pendant que Dominico rapetissait. C’était une fausse impression, mais cela pouvait vous donner une idée de la violence des propos et surtout de la peur que pouvait ressentir la maître des lieux. Il finit par se laisser tomber par terre sous la pression de la voix de l’ombre.
- Crois-tu qu’elles méritent ton amour ?!
- La réponse est non ! Tu es l’héritier d’une famille puissante! Tu n’as pas besoin de demander pour avoir les faveurs des paysannes du coin !
- Alors réfléchis bien avant de dire que tu aimes cette garce à la voix de velours ! Ne te laisse pas embobiner par cette vile créature !
L’ombre retourna vers son porteur et laissa le pauvre dominico tout tremblant par terre. Carmine profita de la situation pour prendre congé et s’en alla tranquillement pendant que son visage affichait un large sourire.
Re: /!\ [Ambiance] Discussion enflammée !
Vincenzo a commencé pacifiste, il finira belliciste !
Flo- Duc/Duchesse
- Nombre de messages : 687
Age : 39
Localisation : Grenoble
Date d'inscription : 10/08/2011
Re: /!\ [Ambiance] Discussion enflammée !
Ca va saigner !
Jrag- Duc/Duchesse
- Nombre de messages : 784
Age : 37
Date d'inscription : 13/09/2011
Re: /!\ [Ambiance] Discussion enflammée !
Hehehehehehe c'est la lutte finnnnnnnaaaaaaallllllllllll !!!!! Tâchez de restef en vie !!!
Re: /!\ [Ambiance] Discussion enflammée !
Flo a écrit:Vincenzo a commencé pacifiste, il finira belliciste !
J'ai hâte de voir ce que ça va donner!!!
Beriaskel- Comte/Comtesse
- Nombre de messages : 1422
Age : 38
Date d'inscription : 07/09/2011
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