Roleplay à Übersreik
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lome_o_python
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Re: Roleplay à Übersreik
HRP : ben tu n'as pas une tête de porte bonheur, ça ne ressemblait pas des masses à une question et en plus on lui a posé une autre question, plus évidente, entre temps.
Xalendar- Duc/Duchesse
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Re: Roleplay à Übersreik
HRP: Et bah tant pis pour ses sous ! Na ! Par contre, je suis pas contre une redescription physique de la fontaine en question.
Kupfer s'en retourna vers ses compagnons d'aventures. Ils semblaient s'être remis un peu de leurs émotions, s'il était effectivement possible de se remettre d'un tel voyage vers un plan chaotique. Harad lui jeta un de ses regards paranoïaques dont il avait le secret quand l'apprenti prit la parole :
— Bien, le tas me semble aussi chao... désordonné à l'intérieur qu'il n'en avait l'apparence à l'extérieur. Je ne suis pas sûr de tirer bien plus d'informations de la part d'un gamin et il apparaît clair que les gens se fichent bien de leur environnement tant que leurs besoins primaires sont satisfaits. Beaucoup de questions auront leur lot de réponses, mais pour l'heure il me faut réfléchir au calme.
Il apprécia l'état physique des camarades : hormis le bailli, tous semblaient en état de poursuivre l'investigation ; mais psychologiquement - lui le premier - ils avaient besoin de repos.
— Je propose que nous sortions de ce bouge sans nom pour prendre chacun un repos mérité et s'accorder les soins nécessaires. N'est-ce pas, Messire Von Meusmann ? Retrouvons-nous demain matin, devant la caserne, à 8h pour continuer. Je gage qu'après une nuit de sommeil et de réflexion, je saurais quel pion avancer sur notre échiquier. En revanche, si vous ne souhaitez pas voir le Tas partir en fumée, je vous conseille de tenir votre bouche scellée sur... notre rencontre. Les oreilles de Guido pourraient bien être plus grandes qu'on ne le croit et je crains que l'espace entre elles soit aussi vide que nous le pensons.
Kupfer s'en retourna vers ses compagnons d'aventures. Ils semblaient s'être remis un peu de leurs émotions, s'il était effectivement possible de se remettre d'un tel voyage vers un plan chaotique. Harad lui jeta un de ses regards paranoïaques dont il avait le secret quand l'apprenti prit la parole :
— Bien, le tas me semble aussi chao... désordonné à l'intérieur qu'il n'en avait l'apparence à l'extérieur. Je ne suis pas sûr de tirer bien plus d'informations de la part d'un gamin et il apparaît clair que les gens se fichent bien de leur environnement tant que leurs besoins primaires sont satisfaits. Beaucoup de questions auront leur lot de réponses, mais pour l'heure il me faut réfléchir au calme.
Il apprécia l'état physique des camarades : hormis le bailli, tous semblaient en état de poursuivre l'investigation ; mais psychologiquement - lui le premier - ils avaient besoin de repos.
— Je propose que nous sortions de ce bouge sans nom pour prendre chacun un repos mérité et s'accorder les soins nécessaires. N'est-ce pas, Messire Von Meusmann ? Retrouvons-nous demain matin, devant la caserne, à 8h pour continuer. Je gage qu'après une nuit de sommeil et de réflexion, je saurais quel pion avancer sur notre échiquier. En revanche, si vous ne souhaitez pas voir le Tas partir en fumée, je vous conseille de tenir votre bouche scellée sur... notre rencontre. Les oreilles de Guido pourraient bien être plus grandes qu'on ne le croit et je crains que l'espace entre elles soit aussi vide que nous le pensons.
Re: Roleplay à Übersreik
Konrad eut une moue mécontente. Il ne pouvait que redouter de laisser les choses en l'état. Bien sûr, il n'avait aucune envie de dénoncer qui que ce soit. Mais cette endroit avait clairement été corrompu. Et de s'entendre dire "taisez-vous sur le sujet", surtout de la part d'un sorcier, n'était pas exactement la justification qu'il attendait. Mais après tout, il n'était que le cocher. Il approuvait au moins sur un point : ils avaient besoin de repos.
Il se renfrogna donc et relâcha la garde de sa dague. Pour cette fois.
Il s'approcha du bailli.
_ Nous devrions y aller messire von Meusmann. Il serait bon cette fois de passer au temple avant de retourner à votre demeure.
Il se renfrogna donc et relâcha la garde de sa dague. Pour cette fois.
Il s'approcha du bailli.
_ Nous devrions y aller messire von Meusmann. Il serait bon cette fois de passer au temple avant de retourner à votre demeure.
Re: Roleplay à Übersreik
Malgré toutes les forces que le bailli avait déployé à paraître en bonne forme, il opina du chef en ajoutant simplement :
"J'en conviens."
puis, après avoir entamé le chemin en direction du temple, il fit une pause, s'adressant a Kupfer :
"malgré le fait que votre bidule nous ait directement envoyé là où ça chauffait", il se tourna alors vers le reste du groupe, et enchaina : "et alors même que je dois bien avouer que je ne comprends pas grand chose à la magie, j'ai du mal à imaginer qu'on ait jamais entendu parler de ça !"
Il montra la marque sur la fontaine, puis, continuant : "Que personne n'ait jamais, ne serait-ce que perçu, des choses bizarres me paraît être absolument impossible, d'autant plus si on considère le fait que notre prêtre de Sigmar local, son excellence Eisenhower est généralement sur le pied de guerre en ce qui concerne les affaires de ce type..."
Il fit une brève pause afin de reprendre son souffle puis termina son discours : "Mais soit, je prendrais soin de ne pas ébruiter l'affaire tant que nous n'aurons pas mis un peu d'ordre dans ce... foutoir." Il avait presque craché ce dernier mot, mélange de dégout et de haine.
"J'en conviens."
puis, après avoir entamé le chemin en direction du temple, il fit une pause, s'adressant a Kupfer :
"malgré le fait que votre bidule nous ait directement envoyé là où ça chauffait", il se tourna alors vers le reste du groupe, et enchaina : "et alors même que je dois bien avouer que je ne comprends pas grand chose à la magie, j'ai du mal à imaginer qu'on ait jamais entendu parler de ça !"
Il montra la marque sur la fontaine, puis, continuant : "Que personne n'ait jamais, ne serait-ce que perçu, des choses bizarres me paraît être absolument impossible, d'autant plus si on considère le fait que notre prêtre de Sigmar local, son excellence Eisenhower est généralement sur le pied de guerre en ce qui concerne les affaires de ce type..."
Il fit une brève pause afin de reprendre son souffle puis termina son discours : "Mais soit, je prendrais soin de ne pas ébruiter l'affaire tant que nous n'aurons pas mis un peu d'ordre dans ce... foutoir." Il avait presque craché ce dernier mot, mélange de dégout et de haine.
lome_o_python- Baron/Baronne
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Re: Roleplay à Übersreik
Les feux de camp gobelin parsemaient l’étendue froide de la rive dans la nuit. Konrad eut un reniflement maussade. Des peaux vertes...
Il revoyait encore les yeux verts crépitants du chamane, bondissant comme des feux follets furieux dans la gueule du monstre rouge. Des yeux haineux et injectés de sang, dont la magie malsaine irradiait jusque hors des mâchoires béantes du Squig. Le carreau d'arbalète l'avait traversé de part en part. Ça n'avait duré qu'une fraction de seconde, comme toujours. L'instant d'après, il avait tiré sur les rennes pour forcer le coche à ralentir. Le temps de se retourner, et le chamane n'était plus qu'une main verdâtre abandonnée sur le sentier. Le Squig était parti en bondissant et mâchouillant bruyamment le reste. Peu de temps après, le mercenaire nain était revenu, le marteau couvert des restes sanglants d'un squig.
Puis ils avaient repris la route. Il avait traversé le camp gobelin en trombe. Heureusement pour eux, l'heure tardive et la surprise avaient pris les assaillants au dépourvu. Tous en étaient sortis indemnes.
Et maintenant il était là, coincé parmi les survivants du siège. L'un de ses chevaux était blessé et mettrait plusieurs jours à s'en remettre. Il n'avait plus qu'une ration pour le retour. La ration de secours avait été partagé avec les hommes des écuries. Haricots pour tous.
Il promena son regard sur le camp gobelin: des tentes noirâtres, une forge mobile, des chariots rudimentaires et des armes. Les affreux gnomes verts n'étaient pas aussi stupides qu'on pouvait le penser. Ils étaient nombreux, armés, et organisés. Et surtout ils avaient tout leur temps. L'armée avait quitté Ubersreik et se dirigeait dans la passe de la Dame Grise à la recherche des hommes-rats. Ubersreik elle-même était en sous-effectif et inconscient de la situation ici. Bogenhafen était loin. Pendant un bref instant, Konrad se demanda si les peaux vertes étaient suffisamment intelligents pour tirer partie de cette situation, ou si le hasard avait simplement bien fait les choses pour eux.
Il vit bouger un petit tas de silhouettes parmi les feux de camp. Ils étaient trop loin. Mais s'ils se rapprochaient, il ne les raterait pas. Il tenait son arbalète à la main, toujours sur le qui-vive. Un autre guet les avait aperçu. Il tenait fermement son arc mais n'avait pas encore pris de flèche. Les silhouettes semblaient se disputer. Des piaillements lointains, puis elles disparurent au milieu des tentes en geignant. Le calme revint.
Pour combien de temps encore ?
Ils devaient trouver un plan. Mais quel plan ? Le magicien s'était mis à l'écart. Konrad avait entendu dire qu'il avait provoqué le responsable des lieux. Un certain Hans...
Le bailli et les deux nains étaient à l'intérieur de l'auberge avec ce dernier. Ils parlaient de stratégies. Farfelues pour la plupart. Ils étaient une trentaine. Les gobelins des centaines. La Teufel était gardée ; les rives envahies.
Le cocher fit un rapide inventaire de ce qu'il avait : une arbalète, un tromblon, et des munitions pour une dizaine de chaque. Quinze ou vingt au mieux en empruntant du matériel aux défenseurs. De quoi repousser une trentaine de peau verte.
Heureusement le rempart était haut et solide. Une pente raide, une base légèrement incurvé, et des renforts convexes sous le parapet. De quoi rendre les projectiles des gobelins dérisoires et l'escalade difficile. Pour ne pas dire suicidaire. Les nains savaient y faire pour construire des murailles. Le chemin de ronde était large, et bien couvert. Les quelques larges créneaux offraient de bons abris en cas d'attaque. Une structure naine aussi vieille que fiable.
Il reprit l'inventaire. Son coche aussi pouvait servir. Le sorcier semblait capable de le... "renforcer". Mais pour aller où ?
Il avait vaguement entendu les stratégies dans l'auberge. Détruire les catapultes sur les rives ? L'expédition serait risqué. Il faudrait sortir en force, galoper jusqu'aux catapultes, tuer les défenseurs, saboter les engins et revenir, toujours en force. Le coche était peut être blindé, mais les chevaux et lui ne l'était pas. C'était une mission suicide face à autant de gobelins. Ils avaient beau être de piètres archers, sur cent flèches, il y en avait toujours une pour trouver sa cible, même par accident. Il avait une chance de sortir. Mais pour revenir, les gobelins qui les encerclaient les attendraient de pied ferme.
Konrad jeta un regard sur les écuries en-dessous de lui. Avec l'aide des soldats, ils pouvaient peut être espérer revenir. Lancer une attaque de cavalerie légère au moment de leur retour pourrait suffire à les faire rentrer. Mais en combien de morceaux ?
L'idéal aurait été de caparaçonner les chevaux et de couvrir l'avant du coche. Mais les écluses ne disposaient pas de ce matériel.
La situation ne lui plaisait pas du tout...
Il revoyait encore les yeux verts crépitants du chamane, bondissant comme des feux follets furieux dans la gueule du monstre rouge. Des yeux haineux et injectés de sang, dont la magie malsaine irradiait jusque hors des mâchoires béantes du Squig. Le carreau d'arbalète l'avait traversé de part en part. Ça n'avait duré qu'une fraction de seconde, comme toujours. L'instant d'après, il avait tiré sur les rennes pour forcer le coche à ralentir. Le temps de se retourner, et le chamane n'était plus qu'une main verdâtre abandonnée sur le sentier. Le Squig était parti en bondissant et mâchouillant bruyamment le reste. Peu de temps après, le mercenaire nain était revenu, le marteau couvert des restes sanglants d'un squig.
Puis ils avaient repris la route. Il avait traversé le camp gobelin en trombe. Heureusement pour eux, l'heure tardive et la surprise avaient pris les assaillants au dépourvu. Tous en étaient sortis indemnes.
Et maintenant il était là, coincé parmi les survivants du siège. L'un de ses chevaux était blessé et mettrait plusieurs jours à s'en remettre. Il n'avait plus qu'une ration pour le retour. La ration de secours avait été partagé avec les hommes des écuries. Haricots pour tous.
Il promena son regard sur le camp gobelin: des tentes noirâtres, une forge mobile, des chariots rudimentaires et des armes. Les affreux gnomes verts n'étaient pas aussi stupides qu'on pouvait le penser. Ils étaient nombreux, armés, et organisés. Et surtout ils avaient tout leur temps. L'armée avait quitté Ubersreik et se dirigeait dans la passe de la Dame Grise à la recherche des hommes-rats. Ubersreik elle-même était en sous-effectif et inconscient de la situation ici. Bogenhafen était loin. Pendant un bref instant, Konrad se demanda si les peaux vertes étaient suffisamment intelligents pour tirer partie de cette situation, ou si le hasard avait simplement bien fait les choses pour eux.
Il vit bouger un petit tas de silhouettes parmi les feux de camp. Ils étaient trop loin. Mais s'ils se rapprochaient, il ne les raterait pas. Il tenait son arbalète à la main, toujours sur le qui-vive. Un autre guet les avait aperçu. Il tenait fermement son arc mais n'avait pas encore pris de flèche. Les silhouettes semblaient se disputer. Des piaillements lointains, puis elles disparurent au milieu des tentes en geignant. Le calme revint.
Pour combien de temps encore ?
Ils devaient trouver un plan. Mais quel plan ? Le magicien s'était mis à l'écart. Konrad avait entendu dire qu'il avait provoqué le responsable des lieux. Un certain Hans...
Le bailli et les deux nains étaient à l'intérieur de l'auberge avec ce dernier. Ils parlaient de stratégies. Farfelues pour la plupart. Ils étaient une trentaine. Les gobelins des centaines. La Teufel était gardée ; les rives envahies.
Le cocher fit un rapide inventaire de ce qu'il avait : une arbalète, un tromblon, et des munitions pour une dizaine de chaque. Quinze ou vingt au mieux en empruntant du matériel aux défenseurs. De quoi repousser une trentaine de peau verte.
Heureusement le rempart était haut et solide. Une pente raide, une base légèrement incurvé, et des renforts convexes sous le parapet. De quoi rendre les projectiles des gobelins dérisoires et l'escalade difficile. Pour ne pas dire suicidaire. Les nains savaient y faire pour construire des murailles. Le chemin de ronde était large, et bien couvert. Les quelques larges créneaux offraient de bons abris en cas d'attaque. Une structure naine aussi vieille que fiable.
Il reprit l'inventaire. Son coche aussi pouvait servir. Le sorcier semblait capable de le... "renforcer". Mais pour aller où ?
Il avait vaguement entendu les stratégies dans l'auberge. Détruire les catapultes sur les rives ? L'expédition serait risqué. Il faudrait sortir en force, galoper jusqu'aux catapultes, tuer les défenseurs, saboter les engins et revenir, toujours en force. Le coche était peut être blindé, mais les chevaux et lui ne l'était pas. C'était une mission suicide face à autant de gobelins. Ils avaient beau être de piètres archers, sur cent flèches, il y en avait toujours une pour trouver sa cible, même par accident. Il avait une chance de sortir. Mais pour revenir, les gobelins qui les encerclaient les attendraient de pied ferme.
Konrad jeta un regard sur les écuries en-dessous de lui. Avec l'aide des soldats, ils pouvaient peut être espérer revenir. Lancer une attaque de cavalerie légère au moment de leur retour pourrait suffire à les faire rentrer. Mais en combien de morceaux ?
L'idéal aurait été de caparaçonner les chevaux et de couvrir l'avant du coche. Mais les écluses ne disposaient pas de ce matériel.
La situation ne lui plaisait pas du tout...
Re: Roleplay à Übersreik
HRP : Bon résumé de la merde noire dans laquelle vous vous trouvez...
Xalendar- Duc/Duchesse
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Re: Roleplay à Übersreik
HRP : pour le coup, elle est plutôt verte la merde dans la laquelle on est...
Re: Roleplay à Übersreik
[HRP]le bailli vient d'avoir une idée :
=D[/HRP]
=D[/HRP]
lome_o_python- Baron/Baronne
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Re: Roleplay à Übersreik
HRP: subtile comme stratégie... comme toujours !
RP:
Konrad eut une pensée pour le bailli en regardant en direction de l'auberge. En un mois passé à Ubersreik, et après avoir livré des combats à ses côtés, il savait qu'Hildric n'était pas vraiment du genre à échafauder des stratégies. Il espérait simplement que le responsable, Hans, ne se se montrerait prudent quant à ses suggestions. Il avait l'air d'un homme réfléchi et expérimenté.
Quant à Kupfer, malgré le fait qu'il soit un sorcier, le cocher espérait le voir bientôt revenir vers eux avec une de ses idées brillantes. Ou un tour de sorcellerie qui les aiderait à se tirer d'affaire. Malgré tout ce qu'ils avaient traversés depuis son arrivée, il fallait reconnaître que le magicien au visage doré avait quelques talents particulièrement utiles...
RP:
Konrad eut une pensée pour le bailli en regardant en direction de l'auberge. En un mois passé à Ubersreik, et après avoir livré des combats à ses côtés, il savait qu'Hildric n'était pas vraiment du genre à échafauder des stratégies. Il espérait simplement que le responsable, Hans, ne se se montrerait prudent quant à ses suggestions. Il avait l'air d'un homme réfléchi et expérimenté.
Quant à Kupfer, malgré le fait qu'il soit un sorcier, le cocher espérait le voir bientôt revenir vers eux avec une de ses idées brillantes. Ou un tour de sorcellerie qui les aiderait à se tirer d'affaire. Malgré tout ce qu'ils avaient traversés depuis son arrivée, il fallait reconnaître que le magicien au visage doré avait quelques talents particulièrement utiles...
Re: Roleplay à Übersreik
Hildric, après avoir finalement partagé les informations du groupe avec le sergent, ainsi que son jambon avec les personnes les plus accueillantes dans l'auberge, c'est à dire en excluant d'office les marchands, se rendit sur les remparts pour tenter d'y apercevoir les positions ennemies... Malgré une envie grandissante de se ruer sur les peaux-verte afin de leur faire goûter à son marteau qu'il affectionnait tout particulièrement, Hildric fut contraint de se rendre à l'évidence : la méthode forte ne fonctionnerait visiblement pas lors de cette nouvelle aventure, il en avait la conviction, et Kupfer leur avait démontré dès leur arrivée que cette constatation était visiblement applicable au delà de leur seuls ennemis... De manière plus générale d'ailleurs, le bailli, se remémorant leurs aventures, commença à songer que, finalement, il avait a plusieurs reprises échappé de peu à la mort... Face à toutes ses horreurs, s'il devait reconnaître qu'en plein combat, il lui était difficile de contrôler ses pulsions destructrices - il ne pouvait changer son sang, malgré tous ses efforts -, une stratégie préalable pouvait préserver le groupe d'une fin précoce.
Après avoir vu les talents de Kupfer à l’œuvre, Hildric pensa qu'il était un atout de taille, et que cette chose qu'il avait fait au coche pourrait être bien utile à l'établissement d'une stratégie. Il décida alors, espérant que le mage ne dormirait pas encore, d'aller lui poser quelques questions, et notamment à propos des conséquences sur les objets qu'avait ce... sort, en dehors de l'amélioration de leur résistance...*
[HRP] Hildric est seul, il a quitté l'auberge après avoir partagé son jambon, donc Konrad ne l'accompagne pas [/HRP]
Après avoir vu les talents de Kupfer à l’œuvre, Hildric pensa qu'il était un atout de taille, et que cette chose qu'il avait fait au coche pourrait être bien utile à l'établissement d'une stratégie. Il décida alors, espérant que le mage ne dormirait pas encore, d'aller lui poser quelques questions, et notamment à propos des conséquences sur les objets qu'avait ce... sort, en dehors de l'amélioration de leur résistance...*
[HRP] Hildric est seul, il a quitté l'auberge après avoir partagé son jambon, donc Konrad ne l'accompagne pas [/HRP]
lome_o_python- Baron/Baronne
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Re: Roleplay à Übersreik
Konrad redescendit les marches du rempart. Cela faisait une bonne heure qu'il allait et venait sur toute la longueur du chemin de ronde. Les gobelins se tenaient à distance et ne montraient pas de signes manifestes d'attaque. Comme s'ils allaient prévenir, songea le cocher.
L'immobilisme le rendait de mauvaise humeur. Il lui fallait un plan d'action, et vite.
Il traversa l'endroit en quelques instants. La berge n'était pas immense, et les constructions peu nombreuses. Il lui fallut moins d'une minute pour rejoindre la Teufel. Le fleuve était plutôt calme, et les deux péniches prises au piège de l'écluse flottaient mollement. A une volée de pas de lui, Konrad vit l'une des barques flotter comme une coquille de noix. Les autres étaient plus ou moins tirées à la hâte sur la berge. Les traces de sang encore visible sur les bancs de rameurs laissaient à penser que personne ne s'était soucier de ramener la barque à terre à son retour. Son occupant en revanche, en avait été extirpé prestement. Et depuis l'embarcation avait glissé sur le banc de sable en pente de la rive. Une flèche à empennage noir était planté dans le flanc droit. Le cocher eut une moue songeuse...
Les barques pouvaient facilement accueillir un petit groupe d'hommes, et glisser rapidement le long du fleuve pour atteindre un point éloigner du camp principal des gobelins. Ils n'auraient plus alors à se soucier des chevaux. Qui plus est une cible aussi petite, flottante, et rapide, mènerait la vie dure à des catapultes. En revanche les archers...
Couvrir l'embarcation semblait une solution viable. Les rameurs seraient à l'abri, et les autres pourraient se munir d'arbalètes pour riposter. Mais avec quoi couvrir la barque ? L’alourdir de trop pourrait être périlleux, et l'embarcation se transformerait alors en un piège mortel. Mais d'un autre côté, il avait un magicien. Cette idée lui arracha un rictus d'incertitude. La magie était autant un atout d'une plaie prête à s'infecter. Konrad n'aimait pas l'idée d'y recourir, mais il se devait d'en reconnaître l'efficacité.
Il prit instinctivement la direction de l'auberge, et se mit en quête de Kupfer.
L'immobilisme le rendait de mauvaise humeur. Il lui fallait un plan d'action, et vite.
Il traversa l'endroit en quelques instants. La berge n'était pas immense, et les constructions peu nombreuses. Il lui fallut moins d'une minute pour rejoindre la Teufel. Le fleuve était plutôt calme, et les deux péniches prises au piège de l'écluse flottaient mollement. A une volée de pas de lui, Konrad vit l'une des barques flotter comme une coquille de noix. Les autres étaient plus ou moins tirées à la hâte sur la berge. Les traces de sang encore visible sur les bancs de rameurs laissaient à penser que personne ne s'était soucier de ramener la barque à terre à son retour. Son occupant en revanche, en avait été extirpé prestement. Et depuis l'embarcation avait glissé sur le banc de sable en pente de la rive. Une flèche à empennage noir était planté dans le flanc droit. Le cocher eut une moue songeuse...
Les barques pouvaient facilement accueillir un petit groupe d'hommes, et glisser rapidement le long du fleuve pour atteindre un point éloigner du camp principal des gobelins. Ils n'auraient plus alors à se soucier des chevaux. Qui plus est une cible aussi petite, flottante, et rapide, mènerait la vie dure à des catapultes. En revanche les archers...
Couvrir l'embarcation semblait une solution viable. Les rameurs seraient à l'abri, et les autres pourraient se munir d'arbalètes pour riposter. Mais avec quoi couvrir la barque ? L’alourdir de trop pourrait être périlleux, et l'embarcation se transformerait alors en un piège mortel. Mais d'un autre côté, il avait un magicien. Cette idée lui arracha un rictus d'incertitude. La magie était autant un atout d'une plaie prête à s'infecter. Konrad n'aimait pas l'idée d'y recourir, mais il se devait d'en reconnaître l'efficacité.
Il prit instinctivement la direction de l'auberge, et se mit en quête de Kupfer.
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