28ème session : Adieu belle Altdorf
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28ème session : Adieu belle Altdorf
Salut à tous !
Et bien j'espère que vous avez autant apprécié la partie que moi, c'était vraiment sympa à faire jouer !
Une nuit bien agitée, en somme, pour vos personnages, et qui n'est pas encore terminée avec cette énième péripétie qui vient agiter la Couche d'Edenor
Comme d'habitude, je fais suivre le résumé et je vous fais parvenir un Doodle pour la prochaine partie.
L'idéal serait de jouer dans les trois semaines à venir.
Pour les retours, n'hésitez pas !
A tout !
Et bien j'espère que vous avez autant apprécié la partie que moi, c'était vraiment sympa à faire jouer !
Une nuit bien agitée, en somme, pour vos personnages, et qui n'est pas encore terminée avec cette énième péripétie qui vient agiter la Couche d'Edenor
Comme d'habitude, je fais suivre le résumé et je vous fais parvenir un Doodle pour la prochaine partie.
L'idéal serait de jouer dans les trois semaines à venir.
Pour les retours, n'hésitez pas !
A tout !
kontos- Duc/Duchesse
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Re: 28ème session : Adieu belle Altdorf
Version courte
- La Baronne Margrave vous a subtilisé le 10ème journal d'Ansel Vormann.
- Olaf, qui a chèrement vendu sa statuette, a disparu. Le garde de l'auberge est mort, la porte de cette dernière ouverte et il manque également à l'appel deux estaliens peu avenants selon les dires des tenanciers.
- La Baronne Margrave vous a subtilisé le 10ème journal d'Ansel Vormann.
- Olaf, qui a chèrement vendu sa statuette, a disparu. Le garde de l'auberge est mort, la porte de cette dernière ouverte et il manque également à l'appel deux estaliens peu avenants selon les dires des tenanciers.
kontos- Duc/Duchesse
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Re: 28ème session : Adieu belle Altdorf
Version longue
Le principal fait de cette partie part d’une intrusion dans la chambre de Natascha, au beau milieu de la nuit.
La jeune femme est réveillée par deux silhouettes encapuchonnées, fouillant parmi ses effets pour en extraire le dixième journal d’Ansel Vormann.
Quelques échanges de coups de lames s’ensuivent, entaillant sérieusement le bras de la jeune kislévite, mais les malfrats s’échappent par la fenêtre et détalent dans les rues sombres d’une Altdorf assoupie.
Vous dévalez courageusement les deux étages pour vous lancer à leur poursuite – Natasha, en robe de chambre, Esteban, en braies, suivis de Snörri et Ron plus décemment parés.
Dans les méandres des rues et venelles, les voleurs, sentant le souffle d’une Natascha déterminée sur leurs nuques, finissent par s’engouffrer dans un immeuble et entreprennent d’atteindre le toit.
Natascha évite avec brio ceux qui tentent de lui barrer le chemin, et dans son sillon, Esteban le coupe-jarret les met hors d’état de nuire. La chaîne se referme sur Ron, qui se charge de faire les poches de ces malotrus qui ont bien mérité leur sort.
Au faîte de l’immeuble, entre les panaches de fumée crachés par les cheminées des bâtisses, le dernier voleur s’élance sur les toits d’ardoises pentus avec la grâce d’un félin, journal à la main. Natascha et Esteban El Gato sont sur ces traces, et alors que l’étau se resserre, une ombre apparaît à ses côtés.
L’inconnue au teint pâle, de cuir vêtue comme le serait un homme, s’empare du journal puis bondit de toit en toit avec une facilité toute féline, et son acolyte fait alors volte-face pour vous barrer la route.
Esteban lui livre combat, le manœuvrant jusqu’à le faire chuter, alors que Natascha se glisse pour échapper à l’affrontement, mais ses muscles engourdis et ses pieds nus lui font défaut.
A son tour, elle chute, promise à une mort certaine… jusqu’à ce que Ranald la ravisse à Morr, la faisant choir sur une caisse de poisson frais. Sonnée, elle doit faire face à l’ire du marchand qui l’agrippe au col et la secoue, dans le but peut-être de faire tomber quelques couronnes d’or par cette délicate opération. L’homme se ravisera très vite lorsque, attiré par le boucan, Snörri se mêlera à l’affaire, sourcils froncés et hache sur l’épaule.
Dans l’intervalle, la mystérieuse jeune femme a atteint l’extrémité du pâté de maisons, et sous les yeux hébétés d’Esteban, franchit d’un bond la quinzaine de mètres qui la séparait de l’hôtel dispendieux de l’autre côté de l’avenue. Elle retombe sans bruit à l’un de ses étages puis disparait par une fenêtre ouverte.
Vous vous rendez devant l’établissement en question, Le Donjon, pour tomber nez-à-nez avec le somptueux coche embarquant l’oiseau de nuit qui vous a filé entre les pattes.
Esteban et Snörri se portent à son niveau, tenu en respect par les quatre gardes prompt à dégainer leurs arquebuses, pendant que Natascha et Ron tentent d’entrer dans l’auberge de luxe.
Le numéro à demi feint de noble outrée qu’entame la jeune kislévite n’a pour conséquence que d’obtenir le nom de celle qui va se révéler à vos regards dans toute sa splendeur quelques instants plus tard : la Baronne Margrave.
Alors que les échanges entre Esteban et la garde de la Baronne se tendent, cette dernière interrompt le débat et sort de son carrosse.
Une créature à la beauté que les mots échoueraient à décrire s’offre à vos yeux, altière, richissime, intouchable. Un visage d’un ravissement à se damner sur le champ, des cheveux d’un noir de jais ramené en une coiffure des plus étudiée, elle se dresse au pied du carrosse, majestueuse, dans une robe de velours noir à fentes blanches.
Mais là n’est pas encore le clou du spectacle, loin s’en faut.
Le principal fait de cette partie part d’une intrusion dans la chambre de Natascha, au beau milieu de la nuit.
La jeune femme est réveillée par deux silhouettes encapuchonnées, fouillant parmi ses effets pour en extraire le dixième journal d’Ansel Vormann.
Quelques échanges de coups de lames s’ensuivent, entaillant sérieusement le bras de la jeune kislévite, mais les malfrats s’échappent par la fenêtre et détalent dans les rues sombres d’une Altdorf assoupie.
Vous dévalez courageusement les deux étages pour vous lancer à leur poursuite – Natasha, en robe de chambre, Esteban, en braies, suivis de Snörri et Ron plus décemment parés.
Dans les méandres des rues et venelles, les voleurs, sentant le souffle d’une Natascha déterminée sur leurs nuques, finissent par s’engouffrer dans un immeuble et entreprennent d’atteindre le toit.
Natascha évite avec brio ceux qui tentent de lui barrer le chemin, et dans son sillon, Esteban le coupe-jarret les met hors d’état de nuire. La chaîne se referme sur Ron, qui se charge de faire les poches de ces malotrus qui ont bien mérité leur sort.
Au faîte de l’immeuble, entre les panaches de fumée crachés par les cheminées des bâtisses, le dernier voleur s’élance sur les toits d’ardoises pentus avec la grâce d’un félin, journal à la main. Natascha et Esteban El Gato sont sur ces traces, et alors que l’étau se resserre, une ombre apparaît à ses côtés.
L’inconnue au teint pâle, de cuir vêtue comme le serait un homme, s’empare du journal puis bondit de toit en toit avec une facilité toute féline, et son acolyte fait alors volte-face pour vous barrer la route.
Esteban lui livre combat, le manœuvrant jusqu’à le faire chuter, alors que Natascha se glisse pour échapper à l’affrontement, mais ses muscles engourdis et ses pieds nus lui font défaut.
A son tour, elle chute, promise à une mort certaine… jusqu’à ce que Ranald la ravisse à Morr, la faisant choir sur une caisse de poisson frais. Sonnée, elle doit faire face à l’ire du marchand qui l’agrippe au col et la secoue, dans le but peut-être de faire tomber quelques couronnes d’or par cette délicate opération. L’homme se ravisera très vite lorsque, attiré par le boucan, Snörri se mêlera à l’affaire, sourcils froncés et hache sur l’épaule.
Dans l’intervalle, la mystérieuse jeune femme a atteint l’extrémité du pâté de maisons, et sous les yeux hébétés d’Esteban, franchit d’un bond la quinzaine de mètres qui la séparait de l’hôtel dispendieux de l’autre côté de l’avenue. Elle retombe sans bruit à l’un de ses étages puis disparait par une fenêtre ouverte.
Vous vous rendez devant l’établissement en question, Le Donjon, pour tomber nez-à-nez avec le somptueux coche embarquant l’oiseau de nuit qui vous a filé entre les pattes.
Esteban et Snörri se portent à son niveau, tenu en respect par les quatre gardes prompt à dégainer leurs arquebuses, pendant que Natascha et Ron tentent d’entrer dans l’auberge de luxe.
Le numéro à demi feint de noble outrée qu’entame la jeune kislévite n’a pour conséquence que d’obtenir le nom de celle qui va se révéler à vos regards dans toute sa splendeur quelques instants plus tard : la Baronne Margrave.
Alors que les échanges entre Esteban et la garde de la Baronne se tendent, cette dernière interrompt le débat et sort de son carrosse.
Une créature à la beauté que les mots échoueraient à décrire s’offre à vos yeux, altière, richissime, intouchable. Un visage d’un ravissement à se damner sur le champ, des cheveux d’un noir de jais ramené en une coiffure des plus étudiée, elle se dresse au pied du carrosse, majestueuse, dans une robe de velours noir à fentes blanches.
Mais là n’est pas encore le clou du spectacle, loin s’en faut.
kontos- Duc/Duchesse
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Re: 28ème session : Adieu belle Altdorf
A l’impuissance va se succéder l’incrédulité lorsqu’elle prononce les mots suivants :
« Ecoutez-moi bien, mes amis. Votre colère tout ce qu’il y a de plus compréhensible. Vous nous avez servis de pions à votre insu, faisant des choses, et vous rendant dans des endroits qui nous sont interdits. La tâche est ingrate certes, et l’échiquier trop grand pour votre mesure. Mais sachez qu’en retour, nous avons veillé sur vous, en vous protégeant de ceux qui vous voulaient du mal. »
« Dois-je vous faire comprendre, étincelant Snörri, qu’il n’est pas du fait de Sigmar ou de Véréna que vous ne soyez réduit à cendres sur la Kaiserplatz depuis longtemps ? »
« Et vous, farouche estalien, votre sortie de l’hôpital de Shallya n’est pas passée inaperçue. Ces tenaces répurgateurs qui n’ont de cesse de vous talonner auraient donc perdu votre trace dans les rues d’une Altdorf qu’ils connaissent cent fois mieux que vous ? »
« Et cette chère Natalia, l’absence du guet ne l’a-t-elle point étonnée alors qu’elle venait de se défenestrer au beau milieu de la rue du Temple ? Personne pour découvrir le cadavre du tailleur dans sa boutique ? Bienheureuse coïncidence... »
« Je peux imaginer le vertige qui vous saisit à entendre ces mots, et la défiance qui vous habite, mais je vous en prie, sachez que vos ennemis sont aussi les nôtres et que nous ne vous voulons aucun mal, ni à l’Enfant, ni à vous. Je n’ai malheureusement plus de temps à vous consacrer. Par ailleurs, d’autres dangers vous guettent en ces lieux et nous ne saurions éternellement vous en préserver. Sofia. »
Élément d'importance que j'ai omis: Sa jeune protectrice sort alors prestement une bourse de daim noir de ses habits et la lance à Snörri. Au tintement et au poids, il s’agit de pièces d’or, une coquette somme (40co).
L’instant d’après, le coche s’éloigne, vous laissant médusés, irrités, charmés, sur le pavé humide des rues du Palast.
Ron ne peut se défaire d’un sentiment étrange quant à la Baronne Margrave.
Elle a suscité en lui une attirance bien naturelle, au moins égale à la méfiance qu’elle a éveillée dans l’âme terre-à-terre du chasseur.
Lui vient alors en mémoire Helena Van Reeven, la sublime veuve éplorée de Marienburg qui vous avait engagé pour veiller sur l’enfant. Pâle reflet de la Baronne à n’en point douter, mais leur pâleur, leur grâce infinie, leur noble stature les faisaient tant se ressembler… Cette manière incongrue qu’avait Van Reeven d’employer le « nous » dans ses phrases, ça aussi, cela lui revient, et de tracasse ce pauvre Ron.
Un détour chez le médecin pour soigner une Natasha mal en point, la robe de nuit en haillons, maculée de sang, et vous voilà de retour à la Couche d’Edenor.
Vous y êtes accueillis par un Olaf travestit en un ersatz d’Esteban.
Le bougre s’est fait passer pour un chasseur de trésor estalien (Don Esteban de Bolsitas pour l’anecdote, heureux sobriquet qu’a su goûter Le véritable Don Cornavales) et a réussi à empocher un énorme pactole avec la vente de la statuette, même en s’étant acquitté de la part revenant à la « Guilde des Gentilhommes Entrepreneurs ».
Saôul, et de belle manière (une cuvée à deux chiffres), c’est ainsi qu’il ira se coucher, tombant dans son lit comme un poids mort, sans ôter le moindre vêtement.
Puis, un cri résonne lugubrement dans l’auberge alors que vous ne vous étiez à nouveau abandonnés au sommeil que depuis deux ou trois heures : la porte d’entrée est ouverte, le garde a manifestement été assassiné, les tenanciers sont dans tous leurs états, et la panique couve parmi les pensionnaires.
Snörri prend les devants, calme l’assistance et envoie chercher la garde.
L’enquête commune établit très vite qu’il manque trois personnes dans l’auberge : Olaf, et deux estaliens peu charmants, qui ont pris une chambre, juste à côté de celle de Natasha…
« Ecoutez-moi bien, mes amis. Votre colère tout ce qu’il y a de plus compréhensible. Vous nous avez servis de pions à votre insu, faisant des choses, et vous rendant dans des endroits qui nous sont interdits. La tâche est ingrate certes, et l’échiquier trop grand pour votre mesure. Mais sachez qu’en retour, nous avons veillé sur vous, en vous protégeant de ceux qui vous voulaient du mal. »
« Dois-je vous faire comprendre, étincelant Snörri, qu’il n’est pas du fait de Sigmar ou de Véréna que vous ne soyez réduit à cendres sur la Kaiserplatz depuis longtemps ? »
« Et vous, farouche estalien, votre sortie de l’hôpital de Shallya n’est pas passée inaperçue. Ces tenaces répurgateurs qui n’ont de cesse de vous talonner auraient donc perdu votre trace dans les rues d’une Altdorf qu’ils connaissent cent fois mieux que vous ? »
« Et cette chère Natalia, l’absence du guet ne l’a-t-elle point étonnée alors qu’elle venait de se défenestrer au beau milieu de la rue du Temple ? Personne pour découvrir le cadavre du tailleur dans sa boutique ? Bienheureuse coïncidence... »
« Je peux imaginer le vertige qui vous saisit à entendre ces mots, et la défiance qui vous habite, mais je vous en prie, sachez que vos ennemis sont aussi les nôtres et que nous ne vous voulons aucun mal, ni à l’Enfant, ni à vous. Je n’ai malheureusement plus de temps à vous consacrer. Par ailleurs, d’autres dangers vous guettent en ces lieux et nous ne saurions éternellement vous en préserver. Sofia. »
Élément d'importance que j'ai omis: Sa jeune protectrice sort alors prestement une bourse de daim noir de ses habits et la lance à Snörri. Au tintement et au poids, il s’agit de pièces d’or, une coquette somme (40co).
L’instant d’après, le coche s’éloigne, vous laissant médusés, irrités, charmés, sur le pavé humide des rues du Palast.
Ron ne peut se défaire d’un sentiment étrange quant à la Baronne Margrave.
Elle a suscité en lui une attirance bien naturelle, au moins égale à la méfiance qu’elle a éveillée dans l’âme terre-à-terre du chasseur.
Lui vient alors en mémoire Helena Van Reeven, la sublime veuve éplorée de Marienburg qui vous avait engagé pour veiller sur l’enfant. Pâle reflet de la Baronne à n’en point douter, mais leur pâleur, leur grâce infinie, leur noble stature les faisaient tant se ressembler… Cette manière incongrue qu’avait Van Reeven d’employer le « nous » dans ses phrases, ça aussi, cela lui revient, et de tracasse ce pauvre Ron.
Un détour chez le médecin pour soigner une Natasha mal en point, la robe de nuit en haillons, maculée de sang, et vous voilà de retour à la Couche d’Edenor.
Vous y êtes accueillis par un Olaf travestit en un ersatz d’Esteban.
Le bougre s’est fait passer pour un chasseur de trésor estalien (Don Esteban de Bolsitas pour l’anecdote, heureux sobriquet qu’a su goûter Le véritable Don Cornavales) et a réussi à empocher un énorme pactole avec la vente de la statuette, même en s’étant acquitté de la part revenant à la « Guilde des Gentilhommes Entrepreneurs ».
Saôul, et de belle manière (une cuvée à deux chiffres), c’est ainsi qu’il ira se coucher, tombant dans son lit comme un poids mort, sans ôter le moindre vêtement.
Puis, un cri résonne lugubrement dans l’auberge alors que vous ne vous étiez à nouveau abandonnés au sommeil que depuis deux ou trois heures : la porte d’entrée est ouverte, le garde a manifestement été assassiné, les tenanciers sont dans tous leurs états, et la panique couve parmi les pensionnaires.
Snörri prend les devants, calme l’assistance et envoie chercher la garde.
L’enquête commune établit très vite qu’il manque trois personnes dans l’auberge : Olaf, et deux estaliens peu charmants, qui ont pris une chambre, juste à côté de celle de Natasha…
kontos- Duc/Duchesse
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Re: 28ème session : Adieu belle Altdorf
Je dirai que tout est dit.
Mais mes drôles de rêves... je suis ... troublé !
Il me faut m'en ouvrir à quelqu'un.. Je..
Mes compagnons ? j'ai peur...
Puis, soudain une idée s'imposte à moi, il me faut retrouver ma sérenité et pour se faire, rien de tel que l'Arbre et sa Sérénité. Un pressant besoin de m'entretenir avec Maistre Harond me submerge; Parmi tous, Lui seul saura peut-être ce qu'il en est ou m'aiguiller dans ma quête d'éclaircir le Mystère.
La missive de ma doulce Poêtesse me conforte dans cette aspiration.
Oui, c'est décidé, je dois me rendre à la Flèche Impériale.
Mais mes drôles de rêves... je suis ... troublé !
Il me faut m'en ouvrir à quelqu'un.. Je..
Mes compagnons ? j'ai peur...
Puis, soudain une idée s'imposte à moi, il me faut retrouver ma sérenité et pour se faire, rien de tel que l'Arbre et sa Sérénité. Un pressant besoin de m'entretenir avec Maistre Harond me submerge; Parmi tous, Lui seul saura peut-être ce qu'il en est ou m'aiguiller dans ma quête d'éclaircir le Mystère.
La missive de ma doulce Poêtesse me conforte dans cette aspiration.
Oui, c'est décidé, je dois me rendre à la Flèche Impériale.
Draggor- Baron/Baronne
- Nombre de messages : 424
Age : 51
Localisation : Eybens
Date d'inscription : 08/07/2012
Re: 28ème session : Adieu belle Altdorf
Trop bon !
Pour ce qui est de la prochaine partie, le 5 septembre c'est pas possible pour notre pisteur de pièces d'or, donc on va se rabattre a priori sur le samedi 12.
C'est pas la date qui arrange tout le monde, c'est sûr, mais c'est la seule praticable.
Seul problème : Snake ne saura s'il est dispo à cette date que dans quelques jours. On croise les doigts...
On en profitera pour lui souhaiter un bon anniversaire si les infos du fofo sont véridiques !
A suivre dans la section BG : un petit cours d'histoire de Warhammer pour vous remettre dans le contexte le slieux où vous vous rendrez, et faire le parallèle entre votre quête et un fait historique récent. Je ne vous en dit pas plus, ceux qui auront le courage de se frotter au pavé devrait avoir un éclairage intéressant sur leurs prochaines parties.
A tout !
Pour ce qui est de la prochaine partie, le 5 septembre c'est pas possible pour notre pisteur de pièces d'or, donc on va se rabattre a priori sur le samedi 12.
C'est pas la date qui arrange tout le monde, c'est sûr, mais c'est la seule praticable.
Seul problème : Snake ne saura s'il est dispo à cette date que dans quelques jours. On croise les doigts...
On en profitera pour lui souhaiter un bon anniversaire si les infos du fofo sont véridiques !
A suivre dans la section BG : un petit cours d'histoire de Warhammer pour vous remettre dans le contexte le slieux où vous vous rendrez, et faire le parallèle entre votre quête et un fait historique récent. Je ne vous en dit pas plus, ceux qui auront le courage de se frotter au pavé devrait avoir un éclairage intéressant sur leurs prochaines parties.
A tout !
kontos- Duc/Duchesse
- Nombre de messages : 733
Localisation : Fontaine
Date d'inscription : 01/08/2009
Re: 28ème session : Adieu belle Altdorf
Hello !
Snake vient de confirmer sa présence samedi 12 !!!
Donc on joue bien samedi 12 chez Draggor
Question Draggor : on peut commencer à 13h30 pour finir à 18h30 ? Ou on fait 14h-19h ?
A tout !
Snake vient de confirmer sa présence samedi 12 !!!
Donc on joue bien samedi 12 chez Draggor
Question Draggor : on peut commencer à 13h30 pour finir à 18h30 ? Ou on fait 14h-19h ?
A tout !
kontos- Duc/Duchesse
- Nombre de messages : 733
Localisation : Fontaine
Date d'inscription : 01/08/2009
Re: 28ème session : Adieu belle Altdorf
Ok pour 13H30
Draggor- Baron/Baronne
- Nombre de messages : 424
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Localisation : Eybens
Date d'inscription : 08/07/2012
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