21ème session : L'Heure de l'Enfant (Altdorf nous voilà)
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21ème session : L'Heure de l'Enfant (Altdorf nous voilà)
Hello !
Alors je vais un peu anticiper sur la partie suivante car je pense avoir bossé sur assez de matériel pour assurer les deux prochaines parties (celles du 23/02 et celle-ci)
L'idée, si elle vous convient, c'est de prévoir dès maintenant la date de la 21ème session de manière à ce qu'il n'y ait pas un mois entre celle-ci et la 20ème.
Donc je vais Doodeler, tu vas Doodler, nous allons Doodeler, et voir ce que ça donne, toujours en gardant la sacro-sainte règle du minimum de 4 joueurs à la table.
A vos boites mails !
Alors je vais un peu anticiper sur la partie suivante car je pense avoir bossé sur assez de matériel pour assurer les deux prochaines parties (celles du 23/02 et celle-ci)
L'idée, si elle vous convient, c'est de prévoir dès maintenant la date de la 21ème session de manière à ce qu'il n'y ait pas un mois entre celle-ci et la 20ème.
Donc je vais Doodeler, tu vas Doodler, nous allons Doodeler, et voir ce que ça donne, toujours en gardant la sacro-sainte règle du minimum de 4 joueurs à la table.
A vos boites mails !
Dernière édition par kontos le Dim 23 Fév - 20:00, édité 1 fois
kontos- Duc/Duchesse
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Re: 21ème session : L'Heure de l'Enfant (Altdorf nous voilà)
Doodlidi doodlidons
Snakeloup- Baron/Baronne
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Re: 21ème session : L'Heure de l'Enfant (Altdorf nous voilà)
Snakeloup a écrit:Doodlidi doodlidons
Bon cool, c'est bien parti pour qu'on puisse enchaîner !
kontos- Duc/Duchesse
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Re: 21ème session : L'Heure de l'Enfant (Altdorf nous voilà)
Re !
Alors le verdict vient de tomber : on jouera cette 21ème partie chez Draggor le dimanche 9 mars à partir de 13h42 et 30 secondes
C'est la seule date où l'on aura tout le monde (je prends le "oui si nécessaire" de Salamandre pour un "oui"), et l'intervalle de deux semaines entre les deux parties me donnera juste le temps de revoir le scénario selon vos avancées.
A tout !
Edit : oui le 9 février, c'est pas possible, on parle bien du 9 mars
Alors le verdict vient de tomber : on jouera cette 21ème partie chez Draggor le dimanche 9 mars à partir de 13h42 et 30 secondes
C'est la seule date où l'on aura tout le monde (je prends le "oui si nécessaire" de Salamandre pour un "oui"), et l'intervalle de deux semaines entre les deux parties me donnera juste le temps de revoir le scénario selon vos avancées.
A tout !
Edit : oui le 9 février, c'est pas possible, on parle bien du 9 mars
kontos- Duc/Duchesse
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Re: 21ème session : L'Heure de l'Enfant (Altdorf nous voilà)
Salut !
Merci à vous pour cette partie fort agréable, pas forcément réjouissante pour vos personnages, mais délicieuse vue depuis mon côté de l'écran !
Ah, l'éternel bonheur de vous voir tergiverser, stresser (hein Olaf et Snörri ? ), ça n'a pas de prix.
Donc encore une super partie avec du bon petit RP, de la tension et de bonnes rigolades
En plus, y'a pas eu trop de bavardages parasites, donc c'est parfait (oui Draggor, tu auras toute ton XP ce coup-ci )
Donc la prochaine partie aura bien lieu le 9 mars à 13h45 comme prévu, notez-le bien, le rendez-vous est pris
Seul Salamandre doit nous confirmer sa présence, mais dans un cas comme dans l'autre, nous jouerons, car j'ai déjà réservé la nounou pour le petiot.
Voilà voilà.
Le traditionnel résumé dès que je m'en sens le courage
Sinon, n'hésitez pas à demander, sur ce fil ou par MP, toutes les questions que vous vous posez (ça ne devrait pas manquer)... et auxquelles je peux répondre bien entendu.
Plus vos retours qui seront les bienvenus naturellement.
Gentlemen, à tout ou à bientôt !
PS : Draggor, MP checked, je te réponds aussi vite que possible
Merci à vous pour cette partie fort agréable, pas forcément réjouissante pour vos personnages, mais délicieuse vue depuis mon côté de l'écran !
Ah, l'éternel bonheur de vous voir tergiverser, stresser (hein Olaf et Snörri ? ), ça n'a pas de prix.
Donc encore une super partie avec du bon petit RP, de la tension et de bonnes rigolades
En plus, y'a pas eu trop de bavardages parasites, donc c'est parfait (oui Draggor, tu auras toute ton XP ce coup-ci )
Donc la prochaine partie aura bien lieu le 9 mars à 13h45 comme prévu, notez-le bien, le rendez-vous est pris
Seul Salamandre doit nous confirmer sa présence, mais dans un cas comme dans l'autre, nous jouerons, car j'ai déjà réservé la nounou pour le petiot.
Voilà voilà.
Le traditionnel résumé dès que je m'en sens le courage
Sinon, n'hésitez pas à demander, sur ce fil ou par MP, toutes les questions que vous vous posez (ça ne devrait pas manquer)... et auxquelles je peux répondre bien entendu.
Plus vos retours qui seront les bienvenus naturellement.
Gentlemen, à tout ou à bientôt !
PS : Draggor, MP checked, je te réponds aussi vite que possible
kontos- Duc/Duchesse
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Date d'inscription : 01/08/2009
Re: 21ème session : L'Heure de l'Enfant (Altdorf nous voilà)
Ouai, partie sympa! Mais je suis curieux de savoir comment va évoluer le problème de Snörri (ou d'Olaf?)...
Pheres- Comte/Comtesse
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Age : 53
Date d'inscription : 04/08/2008
Re: 21ème session : L'Heure de l'Enfant (Altdorf nous voilà)
Attention, c'est parti !
Résumé roman tome 1 :
La partie a repris alors que le campement s’installe dans une immense étendue de champs enserrée par les bois de la Drakwald.
On vous rappelle votre assignation à votre tente ainsi que votre obligation de patrouiller dans l’enceinte du Concile, le long de la barrière, pour ceux étant de garde.
Ron, le premier à s’y affairer, met la main sur un croisé déroutant, qui tentait de s’infiltrer jusqu’au pavillon de l’Enfant Sacré. L’homme, nu, sale, scarifié, prêtant avoir eu une vision, celle d’une terrible menace pesant sur la Croisade : l’attaque d’un lapin aux proportions gigantesques, ou peut-être était-ce alors un troll. Faisant fi de ses élucubrations, Ron sonne l’alerte et remet aux lanciers l’individu qui est promptement chassé de l’enceinte.
C’est ensuite au tour d’Esteban et Snörri, Olaf s’étant glissé hors de vue de la garde pour sortir discrètement de l’enclos. Les soupçons de nos héros se portent avec insistance sur le capitaine Krieger et ses sorties nocturnes inexpliquées, et l’idée est de le suivre dans ses déambulations afin d’en savoir davantage. Ron, dans le même but, feint un retour vers sa tente, pour aller se poster dans un charriot plongé dans la pénombre et donnant vue sur l’abri de Krieger.
La suite de la ronde est rythmée par le départ d’Eisenbach pour aider à accoucher une jument dans le camp, le va-et-vient des gardes des différents membres du Concile, puis la sortie du capitaine Krieger, l’air pensif.
Ron se glisse à son tour sous la barrière afin de pister le flâneur, mais se perd rapidement dans l’océan de tentes que constitue le campement. Olaf, quant à lui, tente de filer le capitaine, mais peut-être sont-ce ses talents de filature qui lui font défaut, ou l’instinct du soldat roué à sentir venir le danger, mais toujours est-il qu’Olaf est surpris par Krieger. Il n’en demande pas son reste et détale vers l’enceinte du Concile pour se frayer à nouveau chemin vers sa tente, non sans quelques sueurs froides.
Ron, lui, revient bredouille vers l’entrée, bien gardée par quatre hallebardiers, et tout à fait conscients de votre mise à l’épreuve et des doutes qui peuvent encore entourer votre groupe de fraîches recrues. Sans se démonter, le pisteur explique qu’il revient d’un rendez-vous galant, et il faut tout son aplomb pour faire plier la vigilance des gardiens.
Le lendemain, la Croisade se prépare pour reprendre la route. Krieger semble avoir égaré l’un de ses gants, Eisenbach s’est fait de Le Chien un nouvel ami, et il vient aux oreilles d’Olaf que Krieger se serait baladé dans les bois à nouveau durant la nuit, dans un bosquet non loin, et son attitude commence à poser question sérieusement.
Ron et Olaf alors s’attelle à remonter sa piste, qui les conduit dans une clairière en s’enfonçant sur quelques dizaines de mètres dans les bois. Là, ils tombent sur un tableau qu’ils auront du mal à effacer de leurs mémoires : une « chose » reposant au sol prend la forme d’un cercle, ondulant et vrombissant, composé de sortes de caractères barbares…
Au milieu de cet anneau dérangeant se trouve le cadavre de ce qui ressemble à un mouton, mais un mouton gagné par une maladie des plus horribles… Il émet une atroce puanteur et sa tête est recouverte de furoncles rouges. La scène atteint son paroxysme lorsque les deux compères réalisent qu’en guise de sabots, l’animal a de minuscules mains de bébé flétries !
Olaf comme Ron, restent sidérés, pâles comme des linges, avant de reprendre leurs esprits traumatisés et d’oser s’approcher du cercle, qui s’envole en une immense nuée bourdonnante, l’illusion de mouvement étant due à des milliers de mouches en plein repas.
Olaf découvre alors que les runes ont été tracées à l’aide d’excréments et d’une immonde substance visqueuse, dont l’odeur infecte se mêle à celle du cadavre contre nature du mouton. Par ailleurs, Ron repère des traces de bottes lourdes et un gant gisant au sol.
Les deux héros retournent alerter Vanderpeer et le Concile. Immédiatement, ce dernier se déplace vers le bosquet et constate la scène impie. Tous sont horrifiés, Krieger et Vanderpeer font entendre leurs menaces de mort à l'endroit des responsables d’une telle ignominie. Eisenbach crache de dégoût.
Puis, Olaf fait gentiment remarquer la présence du gant. Eisenbach reconnaît celui de son compère d’armes. Krieger est ahuri, puis s’emporte suite aux accusations pourtant fondées de Vanderpeer.
La scène menace de tourner à la tragédie, mais Helmut ramène le calme et ordonne la mise à l’arrêt du capitaine et de ses hommes (nos héros exceptés, n’ayant intégré les rangs que trop récemment).
Olaf vient réclamer son dû à Vanderpeer, avec toutes les formes nécessaires lorsque l’on s’adresse à une telle sommité (be careful). Le marchand, encore déstabilisé par le cruel événement, lui remet une bourse et fait lever la mise à l’épreuve de tout votre groupe.
Résumé roman tome 1 :
La partie a repris alors que le campement s’installe dans une immense étendue de champs enserrée par les bois de la Drakwald.
On vous rappelle votre assignation à votre tente ainsi que votre obligation de patrouiller dans l’enceinte du Concile, le long de la barrière, pour ceux étant de garde.
Ron, le premier à s’y affairer, met la main sur un croisé déroutant, qui tentait de s’infiltrer jusqu’au pavillon de l’Enfant Sacré. L’homme, nu, sale, scarifié, prêtant avoir eu une vision, celle d’une terrible menace pesant sur la Croisade : l’attaque d’un lapin aux proportions gigantesques, ou peut-être était-ce alors un troll. Faisant fi de ses élucubrations, Ron sonne l’alerte et remet aux lanciers l’individu qui est promptement chassé de l’enceinte.
C’est ensuite au tour d’Esteban et Snörri, Olaf s’étant glissé hors de vue de la garde pour sortir discrètement de l’enclos. Les soupçons de nos héros se portent avec insistance sur le capitaine Krieger et ses sorties nocturnes inexpliquées, et l’idée est de le suivre dans ses déambulations afin d’en savoir davantage. Ron, dans le même but, feint un retour vers sa tente, pour aller se poster dans un charriot plongé dans la pénombre et donnant vue sur l’abri de Krieger.
La suite de la ronde est rythmée par le départ d’Eisenbach pour aider à accoucher une jument dans le camp, le va-et-vient des gardes des différents membres du Concile, puis la sortie du capitaine Krieger, l’air pensif.
Ron se glisse à son tour sous la barrière afin de pister le flâneur, mais se perd rapidement dans l’océan de tentes que constitue le campement. Olaf, quant à lui, tente de filer le capitaine, mais peut-être sont-ce ses talents de filature qui lui font défaut, ou l’instinct du soldat roué à sentir venir le danger, mais toujours est-il qu’Olaf est surpris par Krieger. Il n’en demande pas son reste et détale vers l’enceinte du Concile pour se frayer à nouveau chemin vers sa tente, non sans quelques sueurs froides.
Ron, lui, revient bredouille vers l’entrée, bien gardée par quatre hallebardiers, et tout à fait conscients de votre mise à l’épreuve et des doutes qui peuvent encore entourer votre groupe de fraîches recrues. Sans se démonter, le pisteur explique qu’il revient d’un rendez-vous galant, et il faut tout son aplomb pour faire plier la vigilance des gardiens.
Le lendemain, la Croisade se prépare pour reprendre la route. Krieger semble avoir égaré l’un de ses gants, Eisenbach s’est fait de Le Chien un nouvel ami, et il vient aux oreilles d’Olaf que Krieger se serait baladé dans les bois à nouveau durant la nuit, dans un bosquet non loin, et son attitude commence à poser question sérieusement.
Ron et Olaf alors s’attelle à remonter sa piste, qui les conduit dans une clairière en s’enfonçant sur quelques dizaines de mètres dans les bois. Là, ils tombent sur un tableau qu’ils auront du mal à effacer de leurs mémoires : une « chose » reposant au sol prend la forme d’un cercle, ondulant et vrombissant, composé de sortes de caractères barbares…
Au milieu de cet anneau dérangeant se trouve le cadavre de ce qui ressemble à un mouton, mais un mouton gagné par une maladie des plus horribles… Il émet une atroce puanteur et sa tête est recouverte de furoncles rouges. La scène atteint son paroxysme lorsque les deux compères réalisent qu’en guise de sabots, l’animal a de minuscules mains de bébé flétries !
Olaf comme Ron, restent sidérés, pâles comme des linges, avant de reprendre leurs esprits traumatisés et d’oser s’approcher du cercle, qui s’envole en une immense nuée bourdonnante, l’illusion de mouvement étant due à des milliers de mouches en plein repas.
Olaf découvre alors que les runes ont été tracées à l’aide d’excréments et d’une immonde substance visqueuse, dont l’odeur infecte se mêle à celle du cadavre contre nature du mouton. Par ailleurs, Ron repère des traces de bottes lourdes et un gant gisant au sol.
Les deux héros retournent alerter Vanderpeer et le Concile. Immédiatement, ce dernier se déplace vers le bosquet et constate la scène impie. Tous sont horrifiés, Krieger et Vanderpeer font entendre leurs menaces de mort à l'endroit des responsables d’une telle ignominie. Eisenbach crache de dégoût.
Puis, Olaf fait gentiment remarquer la présence du gant. Eisenbach reconnaît celui de son compère d’armes. Krieger est ahuri, puis s’emporte suite aux accusations pourtant fondées de Vanderpeer.
La scène menace de tourner à la tragédie, mais Helmut ramène le calme et ordonne la mise à l’arrêt du capitaine et de ses hommes (nos héros exceptés, n’ayant intégré les rangs que trop récemment).
Olaf vient réclamer son dû à Vanderpeer, avec toutes les formes nécessaires lorsque l’on s’adresse à une telle sommité (be careful). Le marchand, encore déstabilisé par le cruel événement, lui remet une bourse et fait lever la mise à l’épreuve de tout votre groupe.
kontos- Duc/Duchesse
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Re: 21ème session : L'Heure de l'Enfant (Altdorf nous voilà)
Le tome 2 :
Finalement, la marche reprend, le moral des gardes au fond des bottes, alors que de nombreuses questions parcourent la foule des croisés, témoins de l’arrestation du capitaine de la garde.
Vous vous relayez auprès du carrosse de l’Enfant Sacré, certains en profitent pour faire quelques achats tandis que Brice, le rusé halfling, tente d’en apprendre plus quant aux chasseurs de sorcières victimes d’une terrible maladie. En particulier, il s’intéresse à leur activité dans le campement, les personnes qu’ils ont pu interroger, et on finit par leur indiquer le nom d’un rebouteux mystique venu du nord : un certain Gagavir, faiseur de miracles avérés par plusieurs croisés, et dont on dit qu’il communique avec l’esprit du jeune Karl.
L’introduction auprès du magicien n’est pas aisée et il faut force monnaie pour attirer sur le plancher des vaches l’esprit vagabond du Grand Gagavir. Brice tentera d’en apprendre plus, mais son interlocuteur ne peut cependant lui fournir que des renseignements superficiels, dont le fait que sa caravane ait été fouillée par les chasseurs de sorcières, repartis bredouille.
Bredouille comme notre halfling, qui bien irrité d’avoir laissé tant de pièces d’argent pour rien à un arnaqueur manifeste, tente de reprendre son bien. La scène tourne à l’échauffourée et Brice prend la fuite, décochant un uppercut dont il a le secret au garde de Gagavir, en serrant quelques pièces chipées à la volée.
Olaf aurait pu faire une belle affaire, car le petit strygany tente de lui refourguer une magnifique épée, dont le propriétaire en colère sillonne les rangs des croisés en fulminant contre « ces raclures de striganys, du gibier de potence, voilà tout ce qu’ils sont ».
Esteban lui, quand ses obligations le lui permettent, fait savoir qu’en bon redresseur de tort, si les croisés viennent à rencontrer quelques problèmes, ils peuvent compter sur lui, au grand étonnement de fidèles bien peu habitués à voir la garde si prévenante.
Pendant ce temps, Olaf remarque la poussée d’une sorte de bouton violacé au milieu de la barbe fournie de Snörri.
Le soir venu, la Croisade s’arrête près d’une petite ville. Tout se passe sensiblement de la même manière que la veille, excepté le fait que Krieger et ses hallebardiers sont détenus dans une tente surveillée de près par les chevaliers d’Eisenbach.
Snörri cependant montre quelques soucis gastriques, et, après une quinte de toux, crache (ou bien vomi). Le liquide est translucide et visqueux… de la bave à n'en point douter.
Ses compagnons de chambrée sont ravis, Brice en tête qui peste et jure qu’il ne dormira pas à côté d’un tuberculeux. Il se met en tête de défaire la tente, avant de se raviser et de prendre couverture et rations pour aller s’installer dans un charriot plus loin.
Finalement, Esteban et Brice partent prendre des nouvelles de Régina, quand Ron, peu enclin également à rester près de Snörri, préfère aller vider quelques pintes avec les parieurs de combats de rats.
Olaf, lui, doit composer avec le nain pas bien en forme durant son tour de garde. Il peut alors à nouveau remarquer des éléments qui l’amènent à penser que Snörri ne va pas pour le mieux…
Cependant, Olaf n’a pas le temps de se perdre en conjectures car une énorme agitation éclate autour de la tente où sont détenus Krieger et ses soldats. Ces derniers viennent de déchirer la tente et poussent des hurlements d’agonie et de rage tandis que des bubons et des furoncles éclatent sur la peau des prisonniers, et donnent immédiatement naissance à d'hideuses mutations. Ils se jettent sur leurs gardes, et les chevaliers, pris de terreur, répondent par leurs lames.
Olaf part à l’assaut, Snörri s’efforce de l’imiter mais est freiné par une nausée qu’il ne peut contenir, devant l’horreur du mal qui s’est emparé des hommes de Krieger.
Le capitaine déchu, sur le corps duquel une seconde tête atrophiée pousse à vue d’œil en geignant, se jette sur Olaf avant d’être abattu par un homme de Vanderpeer intervenant in extremis.
L’affrontement tourne ensuite à la boucherie, les chevaliers d’Eisenbach représentant une force militaire de premier ordre.
Partout, les visages sont horrifiés, l’accumulation des évènements pesant lourdement sur les épaules et dans les têtes. Helmut, pâle comme jamais, ordonne d’une voix ténue de mettre feu aux cadavres sans prendre le risque de les toucher.
Olaf inspecte la tente des détenus pour y apercevoir au centre le cadavre au centre d’un gros rat affreusement ravagé par la maladie et grouillant de puces.
Le crépitement des corps calcinés résonne pendant de longues minutes dans l’enceinte silencieuse, et le reste de la nuit n’apportera que peu de repos à tous.
Finalement, la marche reprend, le moral des gardes au fond des bottes, alors que de nombreuses questions parcourent la foule des croisés, témoins de l’arrestation du capitaine de la garde.
Vous vous relayez auprès du carrosse de l’Enfant Sacré, certains en profitent pour faire quelques achats tandis que Brice, le rusé halfling, tente d’en apprendre plus quant aux chasseurs de sorcières victimes d’une terrible maladie. En particulier, il s’intéresse à leur activité dans le campement, les personnes qu’ils ont pu interroger, et on finit par leur indiquer le nom d’un rebouteux mystique venu du nord : un certain Gagavir, faiseur de miracles avérés par plusieurs croisés, et dont on dit qu’il communique avec l’esprit du jeune Karl.
L’introduction auprès du magicien n’est pas aisée et il faut force monnaie pour attirer sur le plancher des vaches l’esprit vagabond du Grand Gagavir. Brice tentera d’en apprendre plus, mais son interlocuteur ne peut cependant lui fournir que des renseignements superficiels, dont le fait que sa caravane ait été fouillée par les chasseurs de sorcières, repartis bredouille.
Bredouille comme notre halfling, qui bien irrité d’avoir laissé tant de pièces d’argent pour rien à un arnaqueur manifeste, tente de reprendre son bien. La scène tourne à l’échauffourée et Brice prend la fuite, décochant un uppercut dont il a le secret au garde de Gagavir, en serrant quelques pièces chipées à la volée.
Olaf aurait pu faire une belle affaire, car le petit strygany tente de lui refourguer une magnifique épée, dont le propriétaire en colère sillonne les rangs des croisés en fulminant contre « ces raclures de striganys, du gibier de potence, voilà tout ce qu’ils sont ».
Esteban lui, quand ses obligations le lui permettent, fait savoir qu’en bon redresseur de tort, si les croisés viennent à rencontrer quelques problèmes, ils peuvent compter sur lui, au grand étonnement de fidèles bien peu habitués à voir la garde si prévenante.
Pendant ce temps, Olaf remarque la poussée d’une sorte de bouton violacé au milieu de la barbe fournie de Snörri.
Le soir venu, la Croisade s’arrête près d’une petite ville. Tout se passe sensiblement de la même manière que la veille, excepté le fait que Krieger et ses hallebardiers sont détenus dans une tente surveillée de près par les chevaliers d’Eisenbach.
Snörri cependant montre quelques soucis gastriques, et, après une quinte de toux, crache (ou bien vomi). Le liquide est translucide et visqueux… de la bave à n'en point douter.
Ses compagnons de chambrée sont ravis, Brice en tête qui peste et jure qu’il ne dormira pas à côté d’un tuberculeux. Il se met en tête de défaire la tente, avant de se raviser et de prendre couverture et rations pour aller s’installer dans un charriot plus loin.
Finalement, Esteban et Brice partent prendre des nouvelles de Régina, quand Ron, peu enclin également à rester près de Snörri, préfère aller vider quelques pintes avec les parieurs de combats de rats.
Olaf, lui, doit composer avec le nain pas bien en forme durant son tour de garde. Il peut alors à nouveau remarquer des éléments qui l’amènent à penser que Snörri ne va pas pour le mieux…
Cependant, Olaf n’a pas le temps de se perdre en conjectures car une énorme agitation éclate autour de la tente où sont détenus Krieger et ses soldats. Ces derniers viennent de déchirer la tente et poussent des hurlements d’agonie et de rage tandis que des bubons et des furoncles éclatent sur la peau des prisonniers, et donnent immédiatement naissance à d'hideuses mutations. Ils se jettent sur leurs gardes, et les chevaliers, pris de terreur, répondent par leurs lames.
Olaf part à l’assaut, Snörri s’efforce de l’imiter mais est freiné par une nausée qu’il ne peut contenir, devant l’horreur du mal qui s’est emparé des hommes de Krieger.
Le capitaine déchu, sur le corps duquel une seconde tête atrophiée pousse à vue d’œil en geignant, se jette sur Olaf avant d’être abattu par un homme de Vanderpeer intervenant in extremis.
L’affrontement tourne ensuite à la boucherie, les chevaliers d’Eisenbach représentant une force militaire de premier ordre.
Partout, les visages sont horrifiés, l’accumulation des évènements pesant lourdement sur les épaules et dans les têtes. Helmut, pâle comme jamais, ordonne d’une voix ténue de mettre feu aux cadavres sans prendre le risque de les toucher.
Olaf inspecte la tente des détenus pour y apercevoir au centre le cadavre au centre d’un gros rat affreusement ravagé par la maladie et grouillant de puces.
Le crépitement des corps calcinés résonne pendant de longues minutes dans l’enceinte silencieuse, et le reste de la nuit n’apportera que peu de repos à tous.
kontos- Duc/Duchesse
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Re: 21ème session : L'Heure de l'Enfant (Altdorf nous voilà)
Tome 3, fin du peplum :
Au sein de votre équipe, beaucoup de questions restent en suspens.
Notamment pour Olaf, qui s’inquiète du comportement étrange de Snörri dont il a été témoin pendant le combat contre les mutants. L’intéressé alors demeure interdit, n’ayant rien constaté de tel.
Les hypothèses vont également bon train au vu des récents et tragiques évènements, Brice demeurant très circonspect devant pareille accumulation de malheurs. Il est, en outre, bien décidé à faire part de ses inquiétudes aux responsables du Concile, Helmut en premier chef.
La nuit se déroule sans autre incident, même si de l’autre côté de la barrière, beaucoup de croisés s’interrogent et viennent rôder pour tenter de savoir à quoi riment ces bûchers en pleine nuit.
Le lendemain, c’est un réveil des plus agités qui inaugurent la belle journée qui se lève.
Les dirigeants ne cessent de délibérer sur de nombreux points quant à l’organisation de la Croisade, et sur les explications à donner aux croisés inquiets de la tournure des évènements.
Helmut finira par s’adresser du haut de sa tribune aux suivants de Karl, tel le grand orateur qu’il est.
Les paroles de l’autorité spirituelle du culte ont visiblement chassé des esprits les désastres de la veille, et chacun se prépare pour le départ, mais surtout pour l’arrivée à Altdorf, qui s’annonce imminente.
Partout, on enfile ses plus beaux atours, on décore les chariots à l’aide de bannières, de rubans, de cœurs et de marteaux en papier, donnant à la cohorte des airs d’immense carnaval.
La Croisade peut ainsi se remettre en route au son des instruments de musique et des chants à la gloire de Karl le Sauveur, au travers des champs enserrant les communautés bordant la grande Altdorf.
Voilà, j'ai terminé mon pavé
A votre aise de le parcourir de manière à bien garder vos aventures en tête d'ici le 9 mars.
Si j'ai zappé quelque chose ou fait une erreur, je compte sur votre vigilance
Je m'attache à répondre/envoyer les MP dans la foulée du possible
A tout !
Au sein de votre équipe, beaucoup de questions restent en suspens.
Notamment pour Olaf, qui s’inquiète du comportement étrange de Snörri dont il a été témoin pendant le combat contre les mutants. L’intéressé alors demeure interdit, n’ayant rien constaté de tel.
Les hypothèses vont également bon train au vu des récents et tragiques évènements, Brice demeurant très circonspect devant pareille accumulation de malheurs. Il est, en outre, bien décidé à faire part de ses inquiétudes aux responsables du Concile, Helmut en premier chef.
La nuit se déroule sans autre incident, même si de l’autre côté de la barrière, beaucoup de croisés s’interrogent et viennent rôder pour tenter de savoir à quoi riment ces bûchers en pleine nuit.
Le lendemain, c’est un réveil des plus agités qui inaugurent la belle journée qui se lève.
Les dirigeants ne cessent de délibérer sur de nombreux points quant à l’organisation de la Croisade, et sur les explications à donner aux croisés inquiets de la tournure des évènements.
Helmut finira par s’adresser du haut de sa tribune aux suivants de Karl, tel le grand orateur qu’il est.
Les paroles de l’autorité spirituelle du culte ont visiblement chassé des esprits les désastres de la veille, et chacun se prépare pour le départ, mais surtout pour l’arrivée à Altdorf, qui s’annonce imminente.
Partout, on enfile ses plus beaux atours, on décore les chariots à l’aide de bannières, de rubans, de cœurs et de marteaux en papier, donnant à la cohorte des airs d’immense carnaval.
La Croisade peut ainsi se remettre en route au son des instruments de musique et des chants à la gloire de Karl le Sauveur, au travers des champs enserrant les communautés bordant la grande Altdorf.
Voilà, j'ai terminé mon pavé
A votre aise de le parcourir de manière à bien garder vos aventures en tête d'ici le 9 mars.
Si j'ai zappé quelque chose ou fait une erreur, je compte sur votre vigilance
Je m'attache à répondre/envoyer les MP dans la foulée du possible
A tout !
kontos- Duc/Duchesse
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Re: 21ème session : L'Heure de l'Enfant (Altdorf nous voilà)
Hop, en bonux, le discours d'Helmut aux croisés :
« Mes chers amis, mes enfants, vous qui marchez aux côtés de notre Sauveur depuis si longtemps, vous qui avez quitté vos villages, vos amis, vos familles, vos pays, vous dont l’échine se courbe sous la fatigue d’un long et pénible pèlerinage, je vois sur chacun de vos visages la peur… le doute… les questions… »
« Je vous l’assure ici encore, vous avez fait le bon choix, celui du cœur, celui de la pieuse foi, celui d’une raison divinatrice qui ne se laissera pas voiler par le mensonge et la calomnie, celui qui conduira les prophètes d’une aube nouvelle que vous êtes tous, chacun d’entre vous, du plus humble au plus opulent, vers une ère de paix, d’égalité et de prospérité. C’est la voie du Vrai Fils de Sigmar, dans les pas duquel nous marchons tous unis ! »
« Alors certes, les forces les plus obscures se liguent dans l’ombre, guettant l’occasion de frapper. Les morts se relèvent de leur tombeau pour entraver le chemin des vivants, les vils adeptes des Puissances de la Corruption se sont glissés jusqu’au chevet de l’Enfant Sacré, emplissant vos cœurs de questions et d’angoisse, faisant vaciller la flamme pure de votre amour et de vos convictions. »
« Courageux enfants de notre Saint Empire, vous êtes dans l’erreur ! Ressaisissez-vous donc, nobles âmes, car la peur n’est pas dans notre camp, mais bien dans celui de nos adversaires ! Ne l’avez-vous donc pas vu ? L’aura de Karl a renvoyé les revenants pourrir en terre, votre nombre et votre union dans l’amour du Saint Enfant à bouté l’immense armée de ces ignobles nécromanciens au fond des bois où ils se morfondent en voyant inéluctablement venir l’heure du Dieu parmi les dieux. Les vampires ont été chassés avec vaillance, et la traîtrise de Krieger, et de tous ses hommes corrompus, écrasée ! »
« Non, mes amis, je vous le dis, la peur a quitté l’intérieur de nos tentes. Nos ennemis jettent leurs dernières forces dans la bataille avec le désespoir comme seul salut, car nous, fidèles de l’Enfant Sacré par milliers, nous allons marcher vers Altdorf, et nous sonnerons l’avènement d’un âge nouveau, qui libérera par le fer du marteau vengeur notre puissant Empire de tous ces résidus corrompus ! Allons, enfants de Sigmar, courage et levez-vous ! Allons demander à Altdorf ce qui nous revient de droit ! Rendons à notre maître Karl sa couronne ! »
« Mes chers amis, mes enfants, vous qui marchez aux côtés de notre Sauveur depuis si longtemps, vous qui avez quitté vos villages, vos amis, vos familles, vos pays, vous dont l’échine se courbe sous la fatigue d’un long et pénible pèlerinage, je vois sur chacun de vos visages la peur… le doute… les questions… »
« Je vous l’assure ici encore, vous avez fait le bon choix, celui du cœur, celui de la pieuse foi, celui d’une raison divinatrice qui ne se laissera pas voiler par le mensonge et la calomnie, celui qui conduira les prophètes d’une aube nouvelle que vous êtes tous, chacun d’entre vous, du plus humble au plus opulent, vers une ère de paix, d’égalité et de prospérité. C’est la voie du Vrai Fils de Sigmar, dans les pas duquel nous marchons tous unis ! »
« Alors certes, les forces les plus obscures se liguent dans l’ombre, guettant l’occasion de frapper. Les morts se relèvent de leur tombeau pour entraver le chemin des vivants, les vils adeptes des Puissances de la Corruption se sont glissés jusqu’au chevet de l’Enfant Sacré, emplissant vos cœurs de questions et d’angoisse, faisant vaciller la flamme pure de votre amour et de vos convictions. »
« Courageux enfants de notre Saint Empire, vous êtes dans l’erreur ! Ressaisissez-vous donc, nobles âmes, car la peur n’est pas dans notre camp, mais bien dans celui de nos adversaires ! Ne l’avez-vous donc pas vu ? L’aura de Karl a renvoyé les revenants pourrir en terre, votre nombre et votre union dans l’amour du Saint Enfant à bouté l’immense armée de ces ignobles nécromanciens au fond des bois où ils se morfondent en voyant inéluctablement venir l’heure du Dieu parmi les dieux. Les vampires ont été chassés avec vaillance, et la traîtrise de Krieger, et de tous ses hommes corrompus, écrasée ! »
« Non, mes amis, je vous le dis, la peur a quitté l’intérieur de nos tentes. Nos ennemis jettent leurs dernières forces dans la bataille avec le désespoir comme seul salut, car nous, fidèles de l’Enfant Sacré par milliers, nous allons marcher vers Altdorf, et nous sonnerons l’avènement d’un âge nouveau, qui libérera par le fer du marteau vengeur notre puissant Empire de tous ces résidus corrompus ! Allons, enfants de Sigmar, courage et levez-vous ! Allons demander à Altdorf ce qui nous revient de droit ! Rendons à notre maître Karl sa couronne ! »
kontos- Duc/Duchesse
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Date d'inscription : 01/08/2009
Re: 21ème session : L'Heure de l'Enfant (Altdorf nous voilà)
Une nouvelle fois, du bel ouvrage que ton résumé. Je passerai sur les quelques fautes par ci, par là.
Nous voilà en route vers LA CAPITALE... et on ne peut pas dire que notre groupe soit au mieux avec lui même...
Trop de choses inexpliquées, inexplicables... je sens ma raison vaciller..
Pour couronner le tout, l'approche de cette grande citée ne m'aide point dans mes tentatives à recouvrer ma sérénité !
Nous voilà en route vers LA CAPITALE... et on ne peut pas dire que notre groupe soit au mieux avec lui même...
Trop de choses inexpliquées, inexplicables... je sens ma raison vaciller..
Pour couronner le tout, l'approche de cette grande citée ne m'aide point dans mes tentatives à recouvrer ma sérénité !
Draggor- Baron/Baronne
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Age : 51
Localisation : Eybens
Date d'inscription : 08/07/2012
Re: 21ème session : L'Heure de l'Enfant (Altdorf nous voilà)
Je te rassure Draggor, il parait que si l'on sacrifie un nain, un chien et un halfeling à un dieu du Chaos, alors on n'a plus à s’inquiéter pour sa santé mentale!
Toi, tu as tout ce qu'il te faut sous la main!
Toi, tu as tout ce qu'il te faut sous la main!
Pheres- Comte/Comtesse
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Date d'inscription : 04/08/2008
Re: 21ème session : L'Heure de l'Enfant (Altdorf nous voilà)
Pheres a écrit:Je te rassure Draggor, il parait que si l'on sacrifie un nain, un chien et un halfeling à un dieu du Chaos, alors on n'a plus à s’inquiéter pour sa santé mentale!
Toi, tu as tout ce qu'il te faut sous la main!
Draggor a écrit:Une nouvelle fois, du bel ouvrage que ton résumé. Je passerai sur les quelques fautes par ci, par là
Merci
kontos- Duc/Duchesse
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Date d'inscription : 01/08/2009
Re: 21ème session : L'Heure de l'Enfant (Altdorf nous voilà)
Salut !
Petit rappel : on joue chez Draggor ce dimanche 9 mars à 13h45
Gloire à Karl et à dimanche
Petit rappel : on joue chez Draggor ce dimanche 9 mars à 13h45
Gloire à Karl et à dimanche
kontos- Duc/Duchesse
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Localisation : Fontaine
Date d'inscription : 01/08/2009
Re: 21ème session : L'Heure de l'Enfant (Altdorf nous voilà)
Gloire à Dix Manches !
Draggor- Baron/Baronne
- Nombre de messages : 424
Age : 51
Localisation : Eybens
Date d'inscription : 08/07/2012
Re: 21ème session : L'Heure de l'Enfant (Altdorf nous voilà)
L'utilité de la virgule, on la sous-estime trop
kontos- Duc/Duchesse
- Nombre de messages : 733
Localisation : Fontaine
Date d'inscription : 01/08/2009
Re: 21ème session : L'Heure de l'Enfant (Altdorf nous voilà)
kontos a écrit:
Petit rappel : on joue chez Draggor ce dimanche 9 mars à 13h45
On avait parlé de 13h42mn 40 s pour la partie du 9 mars...
Pheres- Comte/Comtesse
- Nombre de messages : 1401
Age : 53
Date d'inscription : 04/08/2008
Re: 21ème session : L'Heure de l'Enfant (Altdorf nous voilà)
Même pas sur qu'avec ça tu perdes pas trop. Dix manches aux dés, c'est bien connu, ne vaudront jamais dix manches à air (surtout si celui-ci est libre).... bon d'accord, je sorsDraggor a écrit:Gloire à Dix Manches !
Snakeloup- Baron/Baronne
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Age : 45
Localisation : Sous la lune
Date d'inscription : 30/06/2012
Re: 21ème session : L'Heure de l'Enfant (Altdorf nous voilà)
Houla, mon esprit fatigué n'a rien saisi de ton jeu de mot
Sinon, nous comptons Salamandre dans nos rangs pour dimanche !
On jouera donc au complet !
Sinon, nous comptons Salamandre dans nos rangs pour dimanche !
On jouera donc au complet !
kontos- Duc/Duchesse
- Nombre de messages : 733
Localisation : Fontaine
Date d'inscription : 01/08/2009
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