15ème session : une nuit en enfer
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Pheres
kontos
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La rose des vents :: Le monde du jeu de rôle :: Les tables de la Rose des Vents :: Warhammer - Les Mille Trônes
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15ème session : une nuit en enfer
Bonjour à tous !
Merci pour la partie de dimanche qui fut encore une fois excellente !
Ça faisait un petit moment qu'on avait pas joué, et franchement ça m'avait manqué.
Alors c'était une première, à cette table comme pour moi de manière générale, qu'une partie complète soit dédiée à un combat à moyenne échelle.
J'espère vous avoir rendu la chose parlante (tout en gardant en mémoire l'obscurité pluvieuse du lieu), que ce ne fut pas trop ennuyeux malgré le terrible danger vous guettant tout autour.
J'ai dû délaisser l'aspect descriptif et moins travailler sur les interactions/RP afin de rester concentré sur la gestion de quarante-douze mille PNJ et ne pas (trop) merder dans le combat - oui Piers a eu le don d'ubiquité pendant quelques rounds, incroyable !!
Un grand merci donc à tous pour votre discipline qui a permis de garder la partie audible, à Laen et Snake pour la gestion de la liste d'initiative et des jets de Ron, le légendaire chasseur myope, à Esteban et Brice pour leurs lueurs d'RP facétieux qui ont permis de bien varier l'expérience.
Afin de garder en mémoire les événements cruciaux qui se sont déroulés (tremble Draggor, tremble... ), et surtout les faits sur lesquels nous nous sommes quittés, je posterai un court résumé dans la même veine que les précédents, que vous pourrez embellir/digresser/développer par vos fines plumes à votre guise.
Dans le même temps, je vous fais parvenir, via Doudeule, un sondage pour la prochaine partie.
Comme d'habitude, impératif d'être à 4 joueurs minimum + présence de Draggor obligatoire.
Voilou, à tout !
Merci pour la partie de dimanche qui fut encore une fois excellente !
Ça faisait un petit moment qu'on avait pas joué, et franchement ça m'avait manqué.
Alors c'était une première, à cette table comme pour moi de manière générale, qu'une partie complète soit dédiée à un combat à moyenne échelle.
J'espère vous avoir rendu la chose parlante (tout en gardant en mémoire l'obscurité pluvieuse du lieu), que ce ne fut pas trop ennuyeux malgré le terrible danger vous guettant tout autour.
J'ai dû délaisser l'aspect descriptif et moins travailler sur les interactions/RP afin de rester concentré sur la gestion de quarante-douze mille PNJ et ne pas (trop) merder dans le combat - oui Piers a eu le don d'ubiquité pendant quelques rounds, incroyable !!
Un grand merci donc à tous pour votre discipline qui a permis de garder la partie audible, à Laen et Snake pour la gestion de la liste d'initiative et des jets de Ron, le légendaire chasseur myope, à Esteban et Brice pour leurs lueurs d'RP facétieux qui ont permis de bien varier l'expérience.
Afin de garder en mémoire les événements cruciaux qui se sont déroulés (tremble Draggor, tremble... ), et surtout les faits sur lesquels nous nous sommes quittés, je posterai un court résumé dans la même veine que les précédents, que vous pourrez embellir/digresser/développer par vos fines plumes à votre guise.
Dans le même temps, je vous fais parvenir, via Doudeule, un sondage pour la prochaine partie.
Comme d'habitude, impératif d'être à 4 joueurs minimum + présence de Draggor obligatoire.
Voilou, à tout !
kontos- Duc/Duchesse
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Localisation : Fontaine
Date d'inscription : 01/08/2009
Re: 15ème session : une nuit en enfer
Doodle envoyé !
C'est parti :
Les premières gouttes d'une pluie lourde furent rapidement suivies d'une averse bien plus forte, comme le froid prélude à quelque tragique épisode.
Juché sur le rempart ouest, Ron vous lançait, par-dessus les murmures inquiets de la foule hétérogène, qu'une horde d'hommes-bêtes se frayait chemin en direction du relai. Il ne fallait pas davantage que les vacillements de la voix de ce chasseur par ailleurs rustaud pour comprendre que les choses s'annonçaient mal, et que vos assaillants était nombreux, trop nombreux.
Les portes du relai sitôt fermées, Esteban et Olaf fendirent les rangs désordonnés de mutants déboussolés pour gagner les remparts et prêter main forte à un Ron esseulé.
Dans la confusion ambiante, Snörri décida de prendre les devants et exerça ses talents naissants de meneur d'hommes en ordonnant à une frange des mutants de renforcer la défense des portes d'une part, puis d'aller tenir position sur les remparts pour l'autre moitié.
En cruel manque de leader militaire, les hommes corrompus finirent par appliquer les directives du "maître nain".
On déplaça l'étincelant carrosse du Père Seibolt contre les grandes portes du relai, et Feodor et ses troupes gagnèrent les remparts ouest et nord.
Le spectacle des hommes-bêtes s’agglutinant aux pieds des murs en une masse de poils, cornes et épées profanes, écumant d'une rage sanguinaire, était aussi insoutenable que l'odeur fauve émanant de leur corps pervers, au pelage infesté de vers et autres parasites.
Les premiers traits furent tirés, avec diverses réussites, par Ron et Feodor, appuyés par Lena, l'agile mutante qui avait disposé d'Esteban plus tôt.
Pendant ce temps, à l'intérieur de l'auberge, les Portemarteaux, hagards, installèrent Fried sur un siège, blessé à la poitrine lors de l'altercation avec les mutants. Brice dévalait les escaliers sur les pas du Père Johannes Seibolt afin de lui faire entendre raison.
Le bougre avait dans l'intention de faire apprêter son attelage sur le champ afin de tenter une sortie désespérée et fuir le relai.
Brice redoublait alors d'invectives, arguant que cela était une folie et qu'une telle attitude de la part d'un apôtre de Sigmar était des plus déshonorantes.
Devant tant d'emphase et de bon sens, les Portemarteaux hésitèrent à céder aux ordres de leur employeur, et c'est finalement Snörri qui les recadra en les sommant de ramener Nils dans la salle principale afin qu'il prodigue les premiers soins aux blessés; blessés qui ne manquèrent pas de battre en retraite à l'intérieur tout au long de l'assaut sans merci.
Sur les hauteurs, c'était avec peine que l'on distinguait ce qui se tramait en contrebas des murs battus par vents et pluie.
Puis soudain, au-dessus des têtes difformes et cornues, tournoyèrent les fers des grappins : l'attaque débuta et les cœurs se serrèrent dans les poitrines.
Tant bien que mal, les sentinelles coupèrent les cordes sur les remparts défendus.
L'enceinte toute entière alors trembla soudainement, le bruit sourd d'un choc d'une violence inouïe, le craquement du bois, les cris d'effroi des mutants restés près de l'entrée : on forçait l'entrée du refuge fortifié.
Olaf, dans un instant de lucidité se rua vers le mur sud, trop tard cependant. Arrivé sur la tour sud-ouest, il ne put que constater l'avancée des hommes-bêtes atteignant déjà en nombre les crénelures. Plus bas, plusieurs d'entre eux tenaient à la force de leurs bras musculeux un imposant tronc d’arbre arraché tel un bélier enfonçant les portes du relai.
La suite tout à l'heure mais je rassure immédiatement Draggor, y'a des morts
C'est parti :
Les premières gouttes d'une pluie lourde furent rapidement suivies d'une averse bien plus forte, comme le froid prélude à quelque tragique épisode.
Juché sur le rempart ouest, Ron vous lançait, par-dessus les murmures inquiets de la foule hétérogène, qu'une horde d'hommes-bêtes se frayait chemin en direction du relai. Il ne fallait pas davantage que les vacillements de la voix de ce chasseur par ailleurs rustaud pour comprendre que les choses s'annonçaient mal, et que vos assaillants était nombreux, trop nombreux.
Les portes du relai sitôt fermées, Esteban et Olaf fendirent les rangs désordonnés de mutants déboussolés pour gagner les remparts et prêter main forte à un Ron esseulé.
Dans la confusion ambiante, Snörri décida de prendre les devants et exerça ses talents naissants de meneur d'hommes en ordonnant à une frange des mutants de renforcer la défense des portes d'une part, puis d'aller tenir position sur les remparts pour l'autre moitié.
En cruel manque de leader militaire, les hommes corrompus finirent par appliquer les directives du "maître nain".
On déplaça l'étincelant carrosse du Père Seibolt contre les grandes portes du relai, et Feodor et ses troupes gagnèrent les remparts ouest et nord.
Le spectacle des hommes-bêtes s’agglutinant aux pieds des murs en une masse de poils, cornes et épées profanes, écumant d'une rage sanguinaire, était aussi insoutenable que l'odeur fauve émanant de leur corps pervers, au pelage infesté de vers et autres parasites.
Les premiers traits furent tirés, avec diverses réussites, par Ron et Feodor, appuyés par Lena, l'agile mutante qui avait disposé d'Esteban plus tôt.
Pendant ce temps, à l'intérieur de l'auberge, les Portemarteaux, hagards, installèrent Fried sur un siège, blessé à la poitrine lors de l'altercation avec les mutants. Brice dévalait les escaliers sur les pas du Père Johannes Seibolt afin de lui faire entendre raison.
Le bougre avait dans l'intention de faire apprêter son attelage sur le champ afin de tenter une sortie désespérée et fuir le relai.
Brice redoublait alors d'invectives, arguant que cela était une folie et qu'une telle attitude de la part d'un apôtre de Sigmar était des plus déshonorantes.
Devant tant d'emphase et de bon sens, les Portemarteaux hésitèrent à céder aux ordres de leur employeur, et c'est finalement Snörri qui les recadra en les sommant de ramener Nils dans la salle principale afin qu'il prodigue les premiers soins aux blessés; blessés qui ne manquèrent pas de battre en retraite à l'intérieur tout au long de l'assaut sans merci.
Sur les hauteurs, c'était avec peine que l'on distinguait ce qui se tramait en contrebas des murs battus par vents et pluie.
Puis soudain, au-dessus des têtes difformes et cornues, tournoyèrent les fers des grappins : l'attaque débuta et les cœurs se serrèrent dans les poitrines.
Tant bien que mal, les sentinelles coupèrent les cordes sur les remparts défendus.
L'enceinte toute entière alors trembla soudainement, le bruit sourd d'un choc d'une violence inouïe, le craquement du bois, les cris d'effroi des mutants restés près de l'entrée : on forçait l'entrée du refuge fortifié.
Olaf, dans un instant de lucidité se rua vers le mur sud, trop tard cependant. Arrivé sur la tour sud-ouest, il ne put que constater l'avancée des hommes-bêtes atteignant déjà en nombre les crénelures. Plus bas, plusieurs d'entre eux tenaient à la force de leurs bras musculeux un imposant tronc d’arbre arraché tel un bélier enfonçant les portes du relai.
La suite tout à l'heure mais je rassure immédiatement Draggor, y'a des morts
Dernière édition par kontos le Mar 26 Mar - 11:06, édité 1 fois
kontos- Duc/Duchesse
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Re: 15ème session : une nuit en enfer
kontos a écrit:
La suite tout à l'heure mais je rassure immédiatement Draggor, y'a des morts
Et aussi un chasseur amputé!!!
Pheres- Comte/Comtesse
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Age : 53
Date d'inscription : 04/08/2008
Re: 15ème session : une nuit en enfer
En même temps, à Altdorf, il y a de quoi trouver de superbes prothèses !
Alors voyons comment Ron a perdu sa jambe gauche :
Brice et les Portemarteaux exhortèrent Nils à laisser là les effets du Père Seibolt et de venir de toute urgence prodiguer quelques soins à Fried, le Portemarteaux estropié agonisant plus bas.
Le jeune homme, après un court cas de conscience balayé d'un revers de main par les justes paroles de Brice, les suivit et immédiatement s'attela à refermer la plaie béante sur la poitrine du pauvre homme de main.
Le Père Seibolt, tenu en respect par les sourcils froncés de Snörri, ne pipa mot, impressionné qu'il était, et vint même à participer enfin à l'effort de guerre, sous la demande insistante du halfling. Pour ce faire, il béni le marteau de guerre de Fried.
Dehors cependant, les affaires se compliquaient.
Alors que Portemarteaux, mutants et voyageurs avaient finalement gagné les remparts pour repousser les hommes-bêtes prêts à mettre sabots sur les pavés du chemin de ronde, un nouveau craquement assourdissant résonna dans l'enceinte.
Les lourdes portes de bois étaient sur le point de céder, le bois fendillé, voir fracassé au point d'impact, annoncaient l'invasion imminente des hommes-bêtes, mus par l'adrenaline d'un bain de sang et du festin que leur promettait votre tendre chair.
Pris entre deux feux, le spectre d'un massacre poussa Esteban, Olaf et Snörri à décider presque instinctivement à faire se replier les troupes précaires dans ce qui demeurait comme le dernier mais frêle bastion : l'auberge.
A nouveau, Snörri appela les mutants à le suivre... trop tard pour ceux postés sur le mur nord : plusieurs créatures chaotiques avaient déjà débordé la maigre défense et se ruèrent sur eux. Un vent de panique gagna à nouveau les rangs et tous prirent jambes à leur cou, sentant le souffle de Morr passer sur leur nuques trempées.
Ron, décidé à ficher ses flèches dans le crâne de ces perversions de l'ordre naturel, tardait à suivre le repli stratégique, tout comme Lena et Feodor, absorbés à ralentir l'escalade des hommes-bêtes, il n'en apercevèrent que tardivement l'arrivée des ennemis depuis le rempart sud.
Pendant ce temps, un hôte des plus discrets, dont tout le monde à vrai dire avait oublié la présence, tenta une sortie silencieuse depuis les écuries.
Longeant les murs dans l'obscurité des lieux, l'elfe énigmatique se faufila vers les remparts, suivi de près par un Brice intrigué, sorti pour fiérement brandir le marteau béni de Sigmar.
Après avoir croisé les visages effrayés de la foule désertant les hauteurs, l'elfe vint épauler un Ron en mauvaise posture et tous deux, de leurs traits conjugués, rabotèrent les rangs ennemis de quelques têtes tout en se repliant à leur tour vers l'auberge.
A l'intérieur, on comptait avec anxiété les survivants, on s'assurait que toutes les autres sorties, fenêtres et portes étaient bien closes, et l'on priait les dieux de faire revenir à temps les derniers égarés, avant que ne se deverse le flot meurtrier des hommes-bêtes depuis les grandes portes, qui donnaient de plus en plus de signes de faiblesses.
Les gémissements de détresse des mutants affolés peinaient à être étouffés par quelques subterfuges de Brice annonçant la victoire proche par l'intervention de Sigmar lui-même.
Etonnant qu'il ne trouva là point d'écho parmi les réprouvés du dieu au marteau...
Esteban s'était quant à lui ménagé une fenêtre de tir sur la cour, arc bandé, tandis que Snörri gardait la porte pour réfrener toute envie suicidaire parmi les réfugiés, sentant le point de rupture se rapprocher inéluctablement.
De leur point de vue privilégié sur la cour intérieure, aidés par la lueur salvatrice d'une torche posée au flanc du carrosse, ils purent alors assister avec angoisse au débarquement d'une nouvelle vague d'hommes-bêtes, s'immiscant entre les créneaux du mur nord et bondissant sur le toit du carrosse, tels les animaux qu'ils sont, pour atteindre la cour...
Le choc de leurs sabots, faisant palpiter le sol inondé de la cour, trouvaient écho dans ceux du groupe se faufilant dans le mince chemin de ronde à la poursuite de Ron et consorts.
Sueur froide dans la salle car ce qui se dessinaient pour ces pauvres âmes, bientôt prises entre deux feux, n'étaient autre qu'une mort atroce sous les coups d'épées dentelées des horreurs de la Drakwald.
Alors, après un temps d'hésitation et d'hébétude terrifiée, vos coeurs héroïques se mirent à parler : Esteban et l'elfe (ou Snörri) décochèrent de concert deux traits jetant à terre deux des assaillants porte sud, Brice grimpa à l'étage et fit parler sa fronde, Olaf, plus tard suivi d'Esteban vint prêter sa lame à un Feodor durement touché.
Aussi repoussantes que ces choses pouvaient l'être, vues depuis les remparts, ce n’était rien à comparé du spectacle de leur présence immédiate. L’air se chargea instantanément d’une puanteur infâme, et de nuées d’insectes comme attirés par le pelage ignoble de ces bêtes, touffu, hirsute, parcouru de puces. Des torses vaguement humains, avilis mais puissants sur lesquels la cruauté des dieux sombres avait posé des têtes de bélier, de chèvre ou encore de vache, voilà ce qui s’agitait près de vous, faisant tournoyer au-dessus de leurs cornes des armes profanes.
Snörri su endiguer l'attaque sud avec l'aide d'un Nils comme électrisé par l'action, alors qu'Ernst à son tour se voyait infliger une dure blessure, pas suffisante cependant pour faire tomber le rude homme au sol.
Il y eut même un temps où la situation paru moins desépérée qu'elle ne l'avait été jusqu'alors, tandis que les corps adverses retombaient les uns après les autres sur le sol détrempé.
Un instant de courte durée, le temps d'un éclair car, dans un dernier élan de rage, une passe d'armes terrible débuta entre Olaf et l'une des créatures démoniaques : la chose à tête de bouc redoublait de rage, les yeux injectés de sang, la bave dégoulinant de ses babines retractées en un ignoble rictus. Malgré d'habiles assauts du voleur, la créature les anéantit d'un puissant revers d'épée, laissant le pauvre héros à la merci du coup fatal.
Par quelque miracle, Olaf parvint à parer la contre attaque cinglante de l'ennemi, mais ce ne fut que feu de paille. L'homme-bête avait pris le dessus sur son adversaire, et un second coup d'épée vint s'abattre sur le bras droit d'Olaf, s'enfonçant dans sa chair...
Olaf mis genou à terre, lâcha un poignant cri de douleur qui ne fit que galvaniser l'adversité.
Le combat tourna court lorsque Snörri et les Portemarteaux purent finalement compléter les rangs d'Esteban et consorts et tous renvoyérent ces engences du Chaos dans les royaumes de leurs créateurs.
L'assaut avait été endigué, à fort prix cependant.
Deux mutants avaient été éviscérés, Feodor et deux Portemarteaux portaient les stigmates du terrible affrontement, et Olaf venait de frôler la mort.
A la grande surprise de ses compères, celui-ci avait encore ses deux mains. La violence de la charge de l'animal était telle que personne n'aurait parié un sou sur la survie du vide-gousset.
Nils s'empressa de jauger les dégâts de la blessure et de mettre en oeuvre ses modestes mais sollicités talents de soigneur.
Le silence repris à nouveau ses droits dans l'auberge et le relai, le clapotis d'une pluie soutenue succédant aux cris, grognements et fracas du fer.
Les éclairs continuaient de strier par intermittence un ciel sans lune, le vent mugissait dans l'enceinte déportant avec force les trombes d'eau sur les murs ruisselants.
Pas un regard, pas un mot si ce n'était les râles de douleur d'Olaf et Fried, personne n'osait briser le relatif calme tombant comme une chape de plomb sur les lieux car tous étaient à l'aguet, tous tendaient l'oreille à l'affut du moindre signe trahissant une présence hostile peut-être négligée.
Le silence dura, de longs instants, mais bien trop minces soudainement car au loin, dans les profondeurs insondables de la Drakwald, ou bien à quelques pas du relai - qui pourrait l'affirmer ? - retentit le sinistre écho, épouvantablement familier à vos oreilles à désormais, celui du cor accompagnant la marche de la harde des hommes-bêtes...
Alors voyons comment Ron a perdu sa jambe gauche :
Brice et les Portemarteaux exhortèrent Nils à laisser là les effets du Père Seibolt et de venir de toute urgence prodiguer quelques soins à Fried, le Portemarteaux estropié agonisant plus bas.
Le jeune homme, après un court cas de conscience balayé d'un revers de main par les justes paroles de Brice, les suivit et immédiatement s'attela à refermer la plaie béante sur la poitrine du pauvre homme de main.
Le Père Seibolt, tenu en respect par les sourcils froncés de Snörri, ne pipa mot, impressionné qu'il était, et vint même à participer enfin à l'effort de guerre, sous la demande insistante du halfling. Pour ce faire, il béni le marteau de guerre de Fried.
Dehors cependant, les affaires se compliquaient.
Alors que Portemarteaux, mutants et voyageurs avaient finalement gagné les remparts pour repousser les hommes-bêtes prêts à mettre sabots sur les pavés du chemin de ronde, un nouveau craquement assourdissant résonna dans l'enceinte.
Les lourdes portes de bois étaient sur le point de céder, le bois fendillé, voir fracassé au point d'impact, annoncaient l'invasion imminente des hommes-bêtes, mus par l'adrenaline d'un bain de sang et du festin que leur promettait votre tendre chair.
Pris entre deux feux, le spectre d'un massacre poussa Esteban, Olaf et Snörri à décider presque instinctivement à faire se replier les troupes précaires dans ce qui demeurait comme le dernier mais frêle bastion : l'auberge.
A nouveau, Snörri appela les mutants à le suivre... trop tard pour ceux postés sur le mur nord : plusieurs créatures chaotiques avaient déjà débordé la maigre défense et se ruèrent sur eux. Un vent de panique gagna à nouveau les rangs et tous prirent jambes à leur cou, sentant le souffle de Morr passer sur leur nuques trempées.
Ron, décidé à ficher ses flèches dans le crâne de ces perversions de l'ordre naturel, tardait à suivre le repli stratégique, tout comme Lena et Feodor, absorbés à ralentir l'escalade des hommes-bêtes, il n'en apercevèrent que tardivement l'arrivée des ennemis depuis le rempart sud.
Pendant ce temps, un hôte des plus discrets, dont tout le monde à vrai dire avait oublié la présence, tenta une sortie silencieuse depuis les écuries.
Longeant les murs dans l'obscurité des lieux, l'elfe énigmatique se faufila vers les remparts, suivi de près par un Brice intrigué, sorti pour fiérement brandir le marteau béni de Sigmar.
Après avoir croisé les visages effrayés de la foule désertant les hauteurs, l'elfe vint épauler un Ron en mauvaise posture et tous deux, de leurs traits conjugués, rabotèrent les rangs ennemis de quelques têtes tout en se repliant à leur tour vers l'auberge.
A l'intérieur, on comptait avec anxiété les survivants, on s'assurait que toutes les autres sorties, fenêtres et portes étaient bien closes, et l'on priait les dieux de faire revenir à temps les derniers égarés, avant que ne se deverse le flot meurtrier des hommes-bêtes depuis les grandes portes, qui donnaient de plus en plus de signes de faiblesses.
Les gémissements de détresse des mutants affolés peinaient à être étouffés par quelques subterfuges de Brice annonçant la victoire proche par l'intervention de Sigmar lui-même.
Etonnant qu'il ne trouva là point d'écho parmi les réprouvés du dieu au marteau...
Esteban s'était quant à lui ménagé une fenêtre de tir sur la cour, arc bandé, tandis que Snörri gardait la porte pour réfrener toute envie suicidaire parmi les réfugiés, sentant le point de rupture se rapprocher inéluctablement.
De leur point de vue privilégié sur la cour intérieure, aidés par la lueur salvatrice d'une torche posée au flanc du carrosse, ils purent alors assister avec angoisse au débarquement d'une nouvelle vague d'hommes-bêtes, s'immiscant entre les créneaux du mur nord et bondissant sur le toit du carrosse, tels les animaux qu'ils sont, pour atteindre la cour...
Le choc de leurs sabots, faisant palpiter le sol inondé de la cour, trouvaient écho dans ceux du groupe se faufilant dans le mince chemin de ronde à la poursuite de Ron et consorts.
Sueur froide dans la salle car ce qui se dessinaient pour ces pauvres âmes, bientôt prises entre deux feux, n'étaient autre qu'une mort atroce sous les coups d'épées dentelées des horreurs de la Drakwald.
Alors, après un temps d'hésitation et d'hébétude terrifiée, vos coeurs héroïques se mirent à parler : Esteban et l'elfe (ou Snörri) décochèrent de concert deux traits jetant à terre deux des assaillants porte sud, Brice grimpa à l'étage et fit parler sa fronde, Olaf, plus tard suivi d'Esteban vint prêter sa lame à un Feodor durement touché.
Aussi repoussantes que ces choses pouvaient l'être, vues depuis les remparts, ce n’était rien à comparé du spectacle de leur présence immédiate. L’air se chargea instantanément d’une puanteur infâme, et de nuées d’insectes comme attirés par le pelage ignoble de ces bêtes, touffu, hirsute, parcouru de puces. Des torses vaguement humains, avilis mais puissants sur lesquels la cruauté des dieux sombres avait posé des têtes de bélier, de chèvre ou encore de vache, voilà ce qui s’agitait près de vous, faisant tournoyer au-dessus de leurs cornes des armes profanes.
Snörri su endiguer l'attaque sud avec l'aide d'un Nils comme électrisé par l'action, alors qu'Ernst à son tour se voyait infliger une dure blessure, pas suffisante cependant pour faire tomber le rude homme au sol.
Il y eut même un temps où la situation paru moins desépérée qu'elle ne l'avait été jusqu'alors, tandis que les corps adverses retombaient les uns après les autres sur le sol détrempé.
Un instant de courte durée, le temps d'un éclair car, dans un dernier élan de rage, une passe d'armes terrible débuta entre Olaf et l'une des créatures démoniaques : la chose à tête de bouc redoublait de rage, les yeux injectés de sang, la bave dégoulinant de ses babines retractées en un ignoble rictus. Malgré d'habiles assauts du voleur, la créature les anéantit d'un puissant revers d'épée, laissant le pauvre héros à la merci du coup fatal.
Par quelque miracle, Olaf parvint à parer la contre attaque cinglante de l'ennemi, mais ce ne fut que feu de paille. L'homme-bête avait pris le dessus sur son adversaire, et un second coup d'épée vint s'abattre sur le bras droit d'Olaf, s'enfonçant dans sa chair...
Olaf mis genou à terre, lâcha un poignant cri de douleur qui ne fit que galvaniser l'adversité.
Le combat tourna court lorsque Snörri et les Portemarteaux purent finalement compléter les rangs d'Esteban et consorts et tous renvoyérent ces engences du Chaos dans les royaumes de leurs créateurs.
L'assaut avait été endigué, à fort prix cependant.
Deux mutants avaient été éviscérés, Feodor et deux Portemarteaux portaient les stigmates du terrible affrontement, et Olaf venait de frôler la mort.
A la grande surprise de ses compères, celui-ci avait encore ses deux mains. La violence de la charge de l'animal était telle que personne n'aurait parié un sou sur la survie du vide-gousset.
Nils s'empressa de jauger les dégâts de la blessure et de mettre en oeuvre ses modestes mais sollicités talents de soigneur.
Le silence repris à nouveau ses droits dans l'auberge et le relai, le clapotis d'une pluie soutenue succédant aux cris, grognements et fracas du fer.
Les éclairs continuaient de strier par intermittence un ciel sans lune, le vent mugissait dans l'enceinte déportant avec force les trombes d'eau sur les murs ruisselants.
Pas un regard, pas un mot si ce n'était les râles de douleur d'Olaf et Fried, personne n'osait briser le relatif calme tombant comme une chape de plomb sur les lieux car tous étaient à l'aguet, tous tendaient l'oreille à l'affut du moindre signe trahissant une présence hostile peut-être négligée.
Le silence dura, de longs instants, mais bien trop minces soudainement car au loin, dans les profondeurs insondables de la Drakwald, ou bien à quelques pas du relai - qui pourrait l'affirmer ? - retentit le sinistre écho, épouvantablement familier à vos oreilles à désormais, celui du cor accompagnant la marche de la harde des hommes-bêtes...
kontos- Duc/Duchesse
- Nombre de messages : 733
Localisation : Fontaine
Date d'inscription : 01/08/2009
Re: 15ème session : une nuit en enfer
Salut !
Pour notre prochaine partie, le 14/04 semble se dessiner, mais on attend les votes de Laen et Draggor pour en être sûr (possibilité de secours le 6 et le 13 mais ça nous priverai de Snake).
Donc Laen, je t'invite à voter dès que tu en sais davantage stp
Concernant cette partie, je te maile dans la journée les conditions de "convalescence" d'Olaf, et Daggor, je te contacte aussi via MP comme prévu (pas pour la jambe de bois, ça on verra à ton retour ).
A tout !
Pour notre prochaine partie, le 14/04 semble se dessiner, mais on attend les votes de Laen et Draggor pour en être sûr (possibilité de secours le 6 et le 13 mais ça nous priverai de Snake).
Donc Laen, je t'invite à voter dès que tu en sais davantage stp
Concernant cette partie, je te maile dans la journée les conditions de "convalescence" d'Olaf, et Daggor, je te contacte aussi via MP comme prévu (pas pour la jambe de bois, ça on verra à ton retour ).
A tout !
kontos- Duc/Duchesse
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Localisation : Fontaine
Date d'inscription : 01/08/2009
Re: 15ème session : une nuit en enfer
le 6 et le 13 Martin ne pourras peut être pas venir, car ce sont deux samedi... En même temps je crois qu'il est peut être en vacance le 6, donc ça reste une date potentielle (Si le 14 ne va pas)
Pheres- Comte/Comtesse
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Date d'inscription : 04/08/2008
Re: 15ème session : une nuit en enfer
P... On en est deja à la 15ième session!!!! Le temps passe vite avec vous!
Pheres- Comte/Comtesse
- Nombre de messages : 1401
Age : 53
Date d'inscription : 04/08/2008
Re: 15ème session : une nuit en enfer
Pheres a écrit:P... On en est deja à la 15ième session!!!! Le temps passe vite avec vous!
Pareil
kontos- Duc/Duchesse
- Nombre de messages : 733
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Date d'inscription : 01/08/2009
Re: 15ème session : une nuit en enfer
Re,
comme pour la partie précédente, je fais un petit arrêt sur image qui peut avoir son importance.
Aussi, si j'oublie quelque chose ou me trompe, dites-le bien
Je n'ai pas trop retenu ce que faisaient Brice (descend au RDC je crois) et Esteban.
Merci d'avance.
Conditions
Une forte pluie s'abat sur la Drakwald.
Il est très très approximativement trois heures du matin.
L'obscurité est totale si l'on excepte la flamme vacillante de la torche fixée au carrosse (et qui menace de s'éteindre sous la violente averse) et les éclairs striant régulièrement le ciel nuageux.
Nils a allumé une torche dans le bar de l'auberge pour pouvoir prodiguer ses soins correctement.
Les grandes portes sont pratiquement enfoncées, le carrosse poussé légèrement de travers.
La porte principale de l'auberge et la fenêtre attenante sont ouverts, toutes les autres issues du rez-de-chaussée ont été fermées et vérifiées. Les portes ont fermées par de simples verrous (clé/poignée) et les volets sont attachés classiquement.
A l'étage, les volets des fenêtres de l'aile sud sont ouvertes (pour que Ron/Brice/l'elfe aient pu faire feu sur l'ennemi).
Des corps d'hommes-bêtes (et de mutants) gisent dans la cour et sur les remparts.
Sur les crenelures sud, en toute logique demeurent ancrés les grappins lancés par vos assaillants.
Le cor vient de raisonner à nouveau...
PNJ
Le prêtre n'est plus en vue. Néanmoins, Ron et Brice ont remarqué sur le seuil de sa chambre une lueur laissant à penser qu'il s'y est réfugié.
Nils se charge de soigner Olaf.
Les Portemarteaux et les mutants survivants sont dans l'auberge, à la limite de l'affolement général.
Fried est gravement blessé, il assis sur une chaise, appuyé contre le comptoir.
Ernst s'est vu infliger une blessure moins lourde à la poitrine également.
Feodor semble lui aussi avoir fait les frais de l'affrontement avec les hommes-bêtes.
L'elfe est à l'étage, en compagnie de Ron, et scrute la cour à la recherche d'une présence ennemie.
PJ
Ron est donc avec l'elfe à l'étage.
Olaf est durement touché, posé sur une chaise, Nils tentant de stopper l'hémorragie de son bras droit.
Snörri jette un œil à l'extérieur, depuis l'entrée de l'auberge, là aussi pour voir s'il n'y a aucun ennemi dans l'enceinte.
Esteban est à l'angle de l'écurie/auberge pour également voir s'il n'y a plus de présence ennemie dans le relai (les autres sont rentrés, c'est certain).
Brice annonce dans l'auberge à ce lâche de prêtre de Sigmar votre grande et éclatante victoire sur les forces du chaos au son du cor de famille d'Esteban
comme pour la partie précédente, je fais un petit arrêt sur image qui peut avoir son importance.
Aussi, si j'oublie quelque chose ou me trompe, dites-le bien
Je n'ai pas trop retenu ce que faisaient Brice (descend au RDC je crois) et Esteban.
Merci d'avance.
Conditions
Une forte pluie s'abat sur la Drakwald.
Il est très très approximativement trois heures du matin.
L'obscurité est totale si l'on excepte la flamme vacillante de la torche fixée au carrosse (et qui menace de s'éteindre sous la violente averse) et les éclairs striant régulièrement le ciel nuageux.
Nils a allumé une torche dans le bar de l'auberge pour pouvoir prodiguer ses soins correctement.
Les grandes portes sont pratiquement enfoncées, le carrosse poussé légèrement de travers.
La porte principale de l'auberge et la fenêtre attenante sont ouverts, toutes les autres issues du rez-de-chaussée ont été fermées et vérifiées. Les portes ont fermées par de simples verrous (clé/poignée) et les volets sont attachés classiquement.
A l'étage, les volets des fenêtres de l'aile sud sont ouvertes (pour que Ron/Brice/l'elfe aient pu faire feu sur l'ennemi).
Des corps d'hommes-bêtes (et de mutants) gisent dans la cour et sur les remparts.
Sur les crenelures sud, en toute logique demeurent ancrés les grappins lancés par vos assaillants.
Le cor vient de raisonner à nouveau...
PNJ
Le prêtre n'est plus en vue. Néanmoins, Ron et Brice ont remarqué sur le seuil de sa chambre une lueur laissant à penser qu'il s'y est réfugié.
Nils se charge de soigner Olaf.
Les Portemarteaux et les mutants survivants sont dans l'auberge, à la limite de l'affolement général.
Fried est gravement blessé, il assis sur une chaise, appuyé contre le comptoir.
Ernst s'est vu infliger une blessure moins lourde à la poitrine également.
Feodor semble lui aussi avoir fait les frais de l'affrontement avec les hommes-bêtes.
L'elfe est à l'étage, en compagnie de Ron, et scrute la cour à la recherche d'une présence ennemie.
PJ
Ron est donc avec l'elfe à l'étage.
Olaf est durement touché, posé sur une chaise, Nils tentant de stopper l'hémorragie de son bras droit.
Snörri jette un œil à l'extérieur, depuis l'entrée de l'auberge, là aussi pour voir s'il n'y a aucun ennemi dans l'enceinte.
Esteban est à l'angle de l'écurie/auberge pour également voir s'il n'y a plus de présence ennemie dans le relai (les autres sont rentrés, c'est certain).
Brice annonce dans l'auberge à ce lâche de prêtre de Sigmar votre grande et éclatante victoire sur les forces du chaos au son du cor de famille d'Esteban
Dernière édition par kontos le Ven 29 Mar - 8:42, édité 1 fois
kontos- Duc/Duchesse
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Re: 15ème session : une nuit en enfer
Esteban et Brice sont à Altdorf, ils ont pris un raccourci en profitant de l'affolement pour s'éclipser...
Pheres- Comte/Comtesse
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Re: 15ème session : une nuit en enfer
Oui oui...
kontos- Duc/Duchesse
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Date d'inscription : 01/08/2009
Re: 15ème session : une nuit en enfer
Plus sérieusement, à la fin du combat, j'étais à l'angle de l'auberge entre l'auberge et l'écurie, avec d'autres gens et on a entendu le cor...
Pheres- Comte/Comtesse
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Date d'inscription : 04/08/2008
Re: 15ème session : une nuit en enfer
Personnellement, j'annonçais à ce lâche de prêtre de Sigmar notre grande et éclatante victoire sur les forces du chaos au son du cor de famille d'Esteban (ils sont gentils les hommes-bêtes de nous le ramener... en fait, si ça se trouve, ils n'étaient là que pour le rendre à notre grand héros et toute cette bataille n'est qu'une profonde incompréhension).
Salamandre- Comte/Comtesse
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Date d'inscription : 20/08/2008
Re: 15ème session : une nuit en enfer
[quote="Salamandre"ils sont gentils les hommes-bêtes de nous le ramener... en fait, si ça se trouve, ils n'étaient là que pour le rendre à notre grand héros et toute cette bataille n'est qu'une profonde incompréhension.[/quote]
Voilà, moi, je voulais que l'on discute et encore une fois vous avez voulu la jouer en force! Dès qu'ils reviennent, on parlemente!!!!
Voilà, moi, je voulais que l'on discute et encore une fois vous avez voulu la jouer en force! Dès qu'ils reviennent, on parlemente!!!!
Pheres- Comte/Comtesse
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Date d'inscription : 04/08/2008
Re: 15ème session : une nuit en enfer
Pheres a écrit:
Voilà, moi, je voulais que l'on discute et encore une fois vous avez voulu la jouer en force! Dès qu'ils reviennent, on parlemente!!!!
Et tout le monde se réconcilie autour d'un grand banquet
Salamandre- Comte/Comtesse
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Age : 39
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Re: 15ème session : une nuit en enfer
Bon pour le 6 ou le 14 mais pas le13 pour moi.
laen- Baron/Baronne
- Nombre de messages : 211
Date d'inscription : 10/09/2010
Re: 15ème session : une nuit en enfer
Salamandre a écrit:Personnellement, j'annonçais à ce lâche de prêtre de Sigmar notre grande et éclatante victoire sur les forces du chaos au son du cor de famille d'Esteban (ils sont gentils les hommes-bêtes de nous le ramener... en fait, si ça se trouve, ils n'étaient là que pour le rendre à notre grand héros et toute cette bataille n'est qu'une profonde incompréhension).
Exceptionnel ! Je suis fan de Brice !
kontos- Duc/Duchesse
- Nombre de messages : 733
Localisation : Fontaine
Date d'inscription : 01/08/2009
Re: 15ème session : une nuit en enfer
laen a écrit:Bon pour le 6 ou le 14 mais pas le13 pour moi.
Ah! Tu es bien en vacances le 6?
Pheres- Comte/Comtesse
- Nombre de messages : 1401
Age : 53
Date d'inscription : 04/08/2008
Re: 15ème session : une nuit en enfer
laen a écrit:Bon pour le 6 ou le 14 mais pas le13 pour moi.
Salut,
de mon côté, le weekend du 13-14, il est probable que je ne sois pas dispo
Ca vient de tomber, ça reste à confirmer.
Deux possibilités :
- soit Draggor est ok pour le 6/04 et on peut la caler à cette date
- soit on repousse très loin au 20-21 ou après
D'un côté on n'aurait pas Snake et ça fait chier , mais de l'autre ça amène loin en terme de dates ...
Draggor, tu le sens comment pour le 6 ?
kontos- Duc/Duchesse
- Nombre de messages : 733
Localisation : Fontaine
Date d'inscription : 01/08/2009
Re: 15ème session : une nuit en enfer
Salamandre a écrit:
Et tout le monde se réconcilie autour d'un grand banquet
Laisse moi deviner... C'est nous qui offrons les amuses-gueules, c'est ça?
Nous, on donne le manger, eux apportent leur faim, ça équilibre.
Snakeloup- Baron/Baronne
- Nombre de messages : 274
Age : 45
Localisation : Sous la lune
Date d'inscription : 30/06/2012
Re: 15ème session : une nuit en enfer
Salutations,
Bon, la forme revenant peu a peu, je pense que ça doit pouvoir le faire pour dimanche. Au pire, si j'ai du mal, j'vous expulse tous j’abrège le scenar (qui me semble déjà bien compromis) en distribuant quelques traits bien sentis dont moi seul ait le secret.
De toute façon, je vois mon Doc lundi et elle est pas du genre a la complaisance...
Donc si ça vous va, RDV 14h chez ma maison.
Bon, la forme revenant peu a peu, je pense que ça doit pouvoir le faire pour dimanche. Au pire, si j'ai du mal, j'vous expulse tous j’abrège le scenar (qui me semble déjà bien compromis) en distribuant quelques traits bien sentis dont moi seul ait le secret.
De toute façon, je vois mon Doc lundi et elle est pas du genre a la complaisance...
Donc si ça vous va, RDV 14h chez ma maison.
Draggor- Baron/Baronne
- Nombre de messages : 424
Age : 51
Localisation : Eybens
Date d'inscription : 08/07/2012
Re: 15ème session : une nuit en enfer
Hi !
Du coup on s'est trompé dans les dates (au téléphone, par messagerie interposée), ce serait samedi où on jouerai.
demain quoi.
C'est bon pour toi ?
Du coup on s'est trompé dans les dates (au téléphone, par messagerie interposée), ce serait samedi où on jouerai.
demain quoi.
C'est bon pour toi ?
kontos- Duc/Duchesse
- Nombre de messages : 733
Localisation : Fontaine
Date d'inscription : 01/08/2009
Re: 15ème session : une nuit en enfer
oui, c'est bon pour moi!
Pheres- Comte/Comtesse
- Nombre de messages : 1401
Age : 53
Date d'inscription : 04/08/2008
Re: 15ème session : une nuit en enfer
Bon pour moi !!!
laen- Baron/Baronne
- Nombre de messages : 211
Date d'inscription : 10/09/2010
Re: 15ème session : une nuit en enfer
Bon ben va pour demain 14h a ma maison alors..
@ demain.
Draggor- Baron/Baronne
- Nombre de messages : 424
Age : 51
Localisation : Eybens
Date d'inscription : 08/07/2012
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