[Interdit aux - 18 ans][Jack] La cuisine de l'enfer !
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[Interdit aux - 18 ans][Jack] La cuisine de l'enfer !
Hrp : Une discussion qui risque d'avoir un contenu violent ... A réserver aux lecteurs majeurs !!
La cuisine de l'enfer !
La porte de la cellule s’ouvrit pour laisser entrer deux énormes gardes. Dehors, il y en avait deux autres et c’était la fête aux insultes dans la prison. On n’était pas loin de l’ambiance d’un Paris Saint Germain, Marseille.
- Toi ! Le nouveau ! Dehors ! Le Padre Melampo veut te parler !
Fit l’un des gardes en direction de Jack. Sa voix était grave et sa corpulence ne laissait pas beaucoup de marge de manœuvre au jeune homme.
Au dessus de lui, Jack pu entendre son collègue de cellule souffler et lui glisser un timide « bon courage ».
Puis, deux mains l’attrapèrent et l’éjectèrent dehors. A croire que le garde avait posé la question juste pour la forme … Dehors, il fut escorté par quatre gros malabars. Des molosses qui en imposaient pas mal. Jack était grand en hauteur … Eux … Ils était grand en largeur en ayant tout même une taille honorable. L’un deux éclata la mâchoire d’un prisonnier qui était trop près de la porte de sa cellule. Les insultes cessèrent pendant une fraction de seconde avant de reprendre de plus belle.
Pendant ce temps, dans une petite pièce qui ne se trouvait pas très loin de la prison. Un petit personnage se préparait pour cette rencontre à sa façon. C’était chez lui, une sorte de petit rituel purificateur … Mélampo n’avait pas son pareil pour soutirer les aveux des criminelles.
Jack pénétra à l’intérieur de la fameuse pièce pendant que le bourreau se débarbouillait le visage. Son regard pénétrant mis tout suite Jack mal à l’aise. Puis, ce fut le décor de la pièce qui lui laissa un goût amer dans la bouche.
Il y avait un petit bureau dans un coin. Un crâne y trônait ainsi qu’un petit tas de feuilles. Des bouts de verres ensanglantés étaient également posés dessus.
Au centre de la pièce, il y avait une chaise massive. Une chaise qui n’était pas commune, puisque pour commencer il y avait de solides lanières pour attacher les mains et les pieds.
La chaise était solidement ancrée au sol de la pièce et elle semblait dissimuler de toute part des petites surprises qui ne devaient pas être agréable pour le pauvre bougre qui posait ses fesses dessus.
Pour finir ce tableau, il fallait parler de tous les instruments de tortures qui étaient posés sur l’établit au fond de la pièce. Il y avait des couteaux de toutes les tailles et de toutes les formes, de quoi faire pâlir un cuisinier. Sauf qu’ici, c’était la cuisine de l’enfer ! La cuisine de toutes les souffrances. Les crochets, le verre, le sable, le souffre, le sel et d’autres trucs étaient aussi de la partie. Sans oublier, un gantelet fort étrange qui était soigneusement posé au centre de l’établit … Un gant qui était bardé de pointes …
Sur un simple regard vicieux de Mélampo, les gardes s’exécutèrent. Ils déshabillèrent de force le jeune homme et l’installèrent complètement nu sur la chaise. Bien sûr, ils immobilisèrent ses poignets et ses chevilles à l’aide des sangles qu’ils avaient serrés comme des barbares.
Puis, ils se mirent aux quatre coins de la pièce.
La première impression sur la chaise était étrange. Bon il avait mal aux poignets et aux chevilles à cause de la pression exercer par les sangles, mais il avait un mauvais pressentiment pour son arrière train. Il y avait quelque chose de louche qui exerçait une pression localisé à l’endroit exacte ou se trouvait son petit troue.
De son côté, Melampo s’installa confortablement derrière son petit bureau. Il caressa la tête de mort en fixant Jack du regard.
Puis, il étala lentement les feuilles devant lui.
- Bien, bien bien …
- Le meurtre d’un jeune innocent en voila une bien vilaine chose …
- Un mobile, des témoignages d’une agression, pas d’alibi, une balle dont le calibre correspond à tes pistolets …
- On a retrouvé sur le cadavre de la victime un morceau de vêtement qui t'appartenait …
- Une affaire d’une clarté évidente !
- Maintenant, jeune homme … Deux chemins s’offre à toi … Le plus simple serait de m’avouer les faits tout de suite … Le plus long et le plus douloureux serait que je soit obliger de te les arracher …
- Aujourd’hui, ce n’est qu’une petite visite de courtoisie, histoire que tu puisses comprendre un peu le déroulement de la situation et surtout ce qui risque de t’arriver dans les jours à venir …
- Il est évident que le meurtrier de Bastian Rubinstein, c’est toi ! Alors, ne nie plus !
- Confesse-toi ! Et, je n’aurais pas le plaisir de jouer avec toi !
- Toi ! Le nouveau ! Dehors ! Le Padre Melampo veut te parler !
Fit l’un des gardes en direction de Jack. Sa voix était grave et sa corpulence ne laissait pas beaucoup de marge de manœuvre au jeune homme.
Au dessus de lui, Jack pu entendre son collègue de cellule souffler et lui glisser un timide « bon courage ».
Puis, deux mains l’attrapèrent et l’éjectèrent dehors. A croire que le garde avait posé la question juste pour la forme … Dehors, il fut escorté par quatre gros malabars. Des molosses qui en imposaient pas mal. Jack était grand en hauteur … Eux … Ils était grand en largeur en ayant tout même une taille honorable. L’un deux éclata la mâchoire d’un prisonnier qui était trop près de la porte de sa cellule. Les insultes cessèrent pendant une fraction de seconde avant de reprendre de plus belle.
Pendant ce temps, dans une petite pièce qui ne se trouvait pas très loin de la prison. Un petit personnage se préparait pour cette rencontre à sa façon. C’était chez lui, une sorte de petit rituel purificateur … Mélampo n’avait pas son pareil pour soutirer les aveux des criminelles.
Jack pénétra à l’intérieur de la fameuse pièce pendant que le bourreau se débarbouillait le visage. Son regard pénétrant mis tout suite Jack mal à l’aise. Puis, ce fut le décor de la pièce qui lui laissa un goût amer dans la bouche.
Il y avait un petit bureau dans un coin. Un crâne y trônait ainsi qu’un petit tas de feuilles. Des bouts de verres ensanglantés étaient également posés dessus.
Au centre de la pièce, il y avait une chaise massive. Une chaise qui n’était pas commune, puisque pour commencer il y avait de solides lanières pour attacher les mains et les pieds.
La chaise était solidement ancrée au sol de la pièce et elle semblait dissimuler de toute part des petites surprises qui ne devaient pas être agréable pour le pauvre bougre qui posait ses fesses dessus.
Pour finir ce tableau, il fallait parler de tous les instruments de tortures qui étaient posés sur l’établit au fond de la pièce. Il y avait des couteaux de toutes les tailles et de toutes les formes, de quoi faire pâlir un cuisinier. Sauf qu’ici, c’était la cuisine de l’enfer ! La cuisine de toutes les souffrances. Les crochets, le verre, le sable, le souffre, le sel et d’autres trucs étaient aussi de la partie. Sans oublier, un gantelet fort étrange qui était soigneusement posé au centre de l’établit … Un gant qui était bardé de pointes …
Sur un simple regard vicieux de Mélampo, les gardes s’exécutèrent. Ils déshabillèrent de force le jeune homme et l’installèrent complètement nu sur la chaise. Bien sûr, ils immobilisèrent ses poignets et ses chevilles à l’aide des sangles qu’ils avaient serrés comme des barbares.
Puis, ils se mirent aux quatre coins de la pièce.
La première impression sur la chaise était étrange. Bon il avait mal aux poignets et aux chevilles à cause de la pression exercer par les sangles, mais il avait un mauvais pressentiment pour son arrière train. Il y avait quelque chose de louche qui exerçait une pression localisé à l’endroit exacte ou se trouvait son petit troue.
De son côté, Melampo s’installa confortablement derrière son petit bureau. Il caressa la tête de mort en fixant Jack du regard.
Puis, il étala lentement les feuilles devant lui.
- Bien, bien bien …
- Le meurtre d’un jeune innocent en voila une bien vilaine chose …
- Un mobile, des témoignages d’une agression, pas d’alibi, une balle dont le calibre correspond à tes pistolets …
- On a retrouvé sur le cadavre de la victime un morceau de vêtement qui t'appartenait …
- Une affaire d’une clarté évidente !
- Maintenant, jeune homme … Deux chemins s’offre à toi … Le plus simple serait de m’avouer les faits tout de suite … Le plus long et le plus douloureux serait que je soit obliger de te les arracher …
- Aujourd’hui, ce n’est qu’une petite visite de courtoisie, histoire que tu puisses comprendre un peu le déroulement de la situation et surtout ce qui risque de t’arriver dans les jours à venir …
- Il est évident que le meurtrier de Bastian Rubinstein, c’est toi ! Alors, ne nie plus !
- Confesse-toi ! Et, je n’aurais pas le plaisir de jouer avec toi !
Re: [Interdit aux - 18 ans][Jack] La cuisine de l'enfer !
Jack avait tout d'abord été surpris. Il ne s'était pas débattu tout au long de son trajet jusqu'au père Melampo mais il avait déchanté bien vite en voyant la salle de torture. Tout son calme avait disparu. Au contraire son sang bouillait dans ses veines. Il était nu maintenant, mais il n'avait pas froid. Non, ses veines véhiculaient un fluide sanguin beaucoup trop chaud pour l'occasion. Il fixait le prêtre dans les yeux alors que les mots de celui-ci résonnaient dans son crâne. Il entendait tout, comprenait tout, subissait tout. Il jeta un regard des plus noirs envers Melampo.
- " Je m'appelle Jack. Jack Faustar. "
- " Je vais vous avouer la vérité, toute la vérité et rien que la vérité. Sachez que je suis les préceptes de Véréna et d'Ulric scrupuleusement et il n'est concevable pour moi de mentir ou de cacher la vérité. "
- " Un jeune homme m'a abordé, à la taverne du Loup Mécanique. Il en connaissait beaucoup mais il n'a pas voulu me dire son nom. Il a insulté ma soeur et moi. Je lui ai proposé de se battre à l'extérieur. Il a accepté. Quand les miliciens nousont séparés, je suis rentré chez moi. Je m'y suis exercé dans le champ de tir. Puis j'ai été me couché. C'est tout ce qui s'est passé. J'ai été réveillé le lendemain par mon père qui a dit que j'étais accusé du meurtre de Bastian Rubinstein. C'est comme ça que j'ai appris sa mort. Mais je ne l'ai pas tué. "
- " Je ne nie rien. Ce sont les faits. Je suis désolé de ne pouvoir vous offrir le plaisir de me torturer, mais c'est ce qui s'est passé. Je ne l'ai pas tué. "
Jack se retenait de ne pas hurler. C'était bien la vérité, ce que lui avait vécu. Bien entendu, le prêtre ne le croirait pas. Mais Jack ne pouvait pas dire autre chose. Beaucoup de choses passaient par sa tête; il allait certainement se faire charcuter par ces gens là. Pour quelque chose qu'il n'avait pas commis, et il ne voulait pas s'y résigner. Il réfléchissait à toute vitesse. Pourquoi des balles du même calibre que ses revolvers? N'importe qui pouvait se procurer ça! Il avait dit au milicien que pour lui l'incident était clos! Et il l'était! Quel mobile? Il n'allait pas tuer un gars qui l'avait traité de couard, surtout après lui avoir infligé la correction qu'il méritait déjà!! Des témoins? Oui, des témoins d'une bagarre, rien de plus! Personne n'a pu le voir tuer ce Rubinstein, parce qu'il ne l'avait pas fait!!!
- " Je m'appelle Jack. Jack Faustar. "
- " Je vais vous avouer la vérité, toute la vérité et rien que la vérité. Sachez que je suis les préceptes de Véréna et d'Ulric scrupuleusement et il n'est concevable pour moi de mentir ou de cacher la vérité. "
- " Un jeune homme m'a abordé, à la taverne du Loup Mécanique. Il en connaissait beaucoup mais il n'a pas voulu me dire son nom. Il a insulté ma soeur et moi. Je lui ai proposé de se battre à l'extérieur. Il a accepté. Quand les miliciens nousont séparés, je suis rentré chez moi. Je m'y suis exercé dans le champ de tir. Puis j'ai été me couché. C'est tout ce qui s'est passé. J'ai été réveillé le lendemain par mon père qui a dit que j'étais accusé du meurtre de Bastian Rubinstein. C'est comme ça que j'ai appris sa mort. Mais je ne l'ai pas tué. "
- " Je ne nie rien. Ce sont les faits. Je suis désolé de ne pouvoir vous offrir le plaisir de me torturer, mais c'est ce qui s'est passé. Je ne l'ai pas tué. "
Jack se retenait de ne pas hurler. C'était bien la vérité, ce que lui avait vécu. Bien entendu, le prêtre ne le croirait pas. Mais Jack ne pouvait pas dire autre chose. Beaucoup de choses passaient par sa tête; il allait certainement se faire charcuter par ces gens là. Pour quelque chose qu'il n'avait pas commis, et il ne voulait pas s'y résigner. Il réfléchissait à toute vitesse. Pourquoi des balles du même calibre que ses revolvers? N'importe qui pouvait se procurer ça! Il avait dit au milicien que pour lui l'incident était clos! Et il l'était! Quel mobile? Il n'allait pas tuer un gars qui l'avait traité de couard, surtout après lui avoir infligé la correction qu'il méritait déjà!! Des témoins? Oui, des témoins d'une bagarre, rien de plus! Personne n'a pu le voir tuer ce Rubinstein, parce qu'il ne l'avait pas fait!!!
shortless- Comte/Comtesse
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Date d'inscription : 13/06/2008
Re: [Interdit aux - 18 ans][Jack] La cuisine de l'enfer !
Le tortionnaire couchait les propos de Jack sur un parchemin à l’aide d’une plume. Son visage était neutre et pas une seule fois, il ne regarda le jeune homme pendant sa diatribe.
- Bien … Mais insuffisant !
- C’est toujours la même chose avec les criminelles ! Ils se croient tous innocents en arrivant ici !
- Nous sommes obligés de leur faire entrer dans la tête que c’est faux ! Ici, le marteau de Sigmar c’est nous.
- Comme tu refuses de nous dire la vérité … De nous dire qu’après la bagarre, tu es partie assassiner le jeune homme, nous allons devoir nous revoir …
- Tu n’as pas choisi le chemin le plus facile mon jeune ami … Mais le chemin le plus jouissif pour moi !
- À notre prochaine rencontre, je me ferais un plaisir d’arracher la vérité de ton corps !
Les yeux du père Mélampo brillaient d’une lueur malsaine et sadique. Jack savait que la prochaine fois qu’il reviendrait dans cette pièce, il allait prendre très cher. Le jeune homme était même en droit de se demander s’il allait en sortir vivant du prochain entretient tellement les instruments présents dans la pièce n’augurait rien de bon pour sa chair.
Mais avant cela, le petit homme fit un signe avec sa plume en direction de ses quatre molosses. Ces derniers hochèrent la tête et se rapprochèrent de Jack avec une mine peu engageante. De toute manière, la première mandale arriva avant même que le cerveau de Jack puisse cogiter. Ce puissant coup de poing fut suivi par beaucoup d’autres. Ce fut une véritable avalanche de coups.
Le fils aîné d’Heinrich en prenait plein la gueule, mais pas que ! Son buffet et ses cotes en prenaient aussi pour leur grade. Les salopards ne retenaient absolument pas leurs coups et ils n’étaient pas radins ! Quand il fallait donner des coups, ils étaient au taquet. Les coups ne se limitaient pas aux coups de poings, il y avait aussi des coups de coude et de bon gros coups de pied circulaires dans le bide.
La douleur était immense pour le malheureux. Les parpaings continuaient de pleuvoir sur son corps et c’était du parpaing de très bonne qualité. Ses arcades sourcilières et son nez saignaient abondamment. Du coup, il commençait à avoir du mal à garder les yeux ouvert. Son tronc le faisait également souffrir. Son diaphragme ne cessait de monter pour venir comprimer ses poumons. Conséquence, il avait également du mal à respirer surtout qu’il y avait fort à parier qu’il avait déjà une ou deux cotes cassées.
C’était la fête ! Et comme toute fête, il fallait un final ! Il fallait un bouquet final et il arriva lorsqu’un des molosses attrapa une barre de fer.
Il ne se fit ni attendre, ni prier. Un premier coup de barre vint s’abattre sur le bide de Jack. « Plutôt deux fois qu’une », puisqu’un deuxième s’abattis de nouveau sur la cavité abdominale de Jack, lui cassant au passage une côte flottante. Le craquement osseux et la douleur ne laissaient plus aucun doute à ce sujet.
Pour continuer dans les dictons, il fallait souligner « jamais deux sans trois » du coup, un troisième coup vint s’abattre sur la cage thoracique cette fois. Un coup violent porté avec une puissance phénoménale qui fit vibrer le sternum du « Middenheimer » et lui explosa encore une cote pour faire bonne mesure.
Une voix se fit entendre dans la pièce et empêcha de justesse le quatrième coup.
- Il suffit … Pour aujourd’hui !
- Détachez-le et jetez-moi ce déchet dans sa cellule !
- Nous le reverrons demain pour continuer notre petit jeu …
Le jeune homme sentait qu’on le détachait, mais il n’était plus en mesure d’esquisser le moindre geste. Il n’avait même plus la force pour parler ou crier. Il avait l’impression que le haut de son corps était une plaie béante, parce qu’il avait mal comme jamais. Jamais, il n’avait pensé qu’un jour il souffrirait autant et ce n’était que le début.
Les quatre molosses le traînèrent nu dans les couloirs de la prison avant de le jeter comme une grosse merde dans la cellule. Son corps percuta le sol de la cellule et ce fut le choc de trop. Il tomba dans les pommes à ce moment-là et ce fut le trou noir.
- Bien … Mais insuffisant !
- C’est toujours la même chose avec les criminelles ! Ils se croient tous innocents en arrivant ici !
- Nous sommes obligés de leur faire entrer dans la tête que c’est faux ! Ici, le marteau de Sigmar c’est nous.
- Comme tu refuses de nous dire la vérité … De nous dire qu’après la bagarre, tu es partie assassiner le jeune homme, nous allons devoir nous revoir …
- Tu n’as pas choisi le chemin le plus facile mon jeune ami … Mais le chemin le plus jouissif pour moi !
- À notre prochaine rencontre, je me ferais un plaisir d’arracher la vérité de ton corps !
Les yeux du père Mélampo brillaient d’une lueur malsaine et sadique. Jack savait que la prochaine fois qu’il reviendrait dans cette pièce, il allait prendre très cher. Le jeune homme était même en droit de se demander s’il allait en sortir vivant du prochain entretient tellement les instruments présents dans la pièce n’augurait rien de bon pour sa chair.
Mais avant cela, le petit homme fit un signe avec sa plume en direction de ses quatre molosses. Ces derniers hochèrent la tête et se rapprochèrent de Jack avec une mine peu engageante. De toute manière, la première mandale arriva avant même que le cerveau de Jack puisse cogiter. Ce puissant coup de poing fut suivi par beaucoup d’autres. Ce fut une véritable avalanche de coups.
Le fils aîné d’Heinrich en prenait plein la gueule, mais pas que ! Son buffet et ses cotes en prenaient aussi pour leur grade. Les salopards ne retenaient absolument pas leurs coups et ils n’étaient pas radins ! Quand il fallait donner des coups, ils étaient au taquet. Les coups ne se limitaient pas aux coups de poings, il y avait aussi des coups de coude et de bon gros coups de pied circulaires dans le bide.
La douleur était immense pour le malheureux. Les parpaings continuaient de pleuvoir sur son corps et c’était du parpaing de très bonne qualité. Ses arcades sourcilières et son nez saignaient abondamment. Du coup, il commençait à avoir du mal à garder les yeux ouvert. Son tronc le faisait également souffrir. Son diaphragme ne cessait de monter pour venir comprimer ses poumons. Conséquence, il avait également du mal à respirer surtout qu’il y avait fort à parier qu’il avait déjà une ou deux cotes cassées.
C’était la fête ! Et comme toute fête, il fallait un final ! Il fallait un bouquet final et il arriva lorsqu’un des molosses attrapa une barre de fer.
Il ne se fit ni attendre, ni prier. Un premier coup de barre vint s’abattre sur le bide de Jack. « Plutôt deux fois qu’une », puisqu’un deuxième s’abattis de nouveau sur la cavité abdominale de Jack, lui cassant au passage une côte flottante. Le craquement osseux et la douleur ne laissaient plus aucun doute à ce sujet.
Pour continuer dans les dictons, il fallait souligner « jamais deux sans trois » du coup, un troisième coup vint s’abattre sur la cage thoracique cette fois. Un coup violent porté avec une puissance phénoménale qui fit vibrer le sternum du « Middenheimer » et lui explosa encore une cote pour faire bonne mesure.
Une voix se fit entendre dans la pièce et empêcha de justesse le quatrième coup.
- Il suffit … Pour aujourd’hui !
- Détachez-le et jetez-moi ce déchet dans sa cellule !
- Nous le reverrons demain pour continuer notre petit jeu …
Le jeune homme sentait qu’on le détachait, mais il n’était plus en mesure d’esquisser le moindre geste. Il n’avait même plus la force pour parler ou crier. Il avait l’impression que le haut de son corps était une plaie béante, parce qu’il avait mal comme jamais. Jamais, il n’avait pensé qu’un jour il souffrirait autant et ce n’était que le début.
Les quatre molosses le traînèrent nu dans les couloirs de la prison avant de le jeter comme une grosse merde dans la cellule. Son corps percuta le sol de la cellule et ce fut le choc de trop. Il tomba dans les pommes à ce moment-là et ce fut le trou noir.
Re: [Interdit aux - 18 ans][Jack] La cuisine de l'enfer !
Jack ne parlait pas. Il encaissait. De temps en temps un cri de douleur. Il aurait voulu leur dire qu'il n'avait pas menti. Il leur avait déjà dit. Ca ne servait à rien, il allait devoir encaisser. Encore et encore. Il cracha une énorme quantité de salive lorsque sa première cote céda. Il avait envie de vomir, mais il se retint. Il se disait que ça le ferait encore plus souffrir.
Il pensait à sa famille. A ses soeurs, aussi radieuses l'une que l'autre. A son petit frère, qui grandissait et était en pleine crise d'ado. Il se forçait à penser à eux. Il s'envoyait des pensées positive pour chasser la douleur, chasser l'ambiance malsaine dans laquelle il baignait.
- " AAAAAHHHHHHHHH "
La deuxième cote venait de céder. Il ne pouvait plus penser à autre chose. Il revoyait cette barre de fer qui s'abattait sur lui. Il ne pensait qu'à une chose, ne ressentait qu'une chose. Douleur. Douleur. Tout son corps nétait que douleur. Petit à petit, pendant ce qui lui parut être une éternité, Jack vit ses paupières se fermaient. Douleur. L'effet de la Douleur. Il se sentit sombrer , perdre conscience. Douleur. Il ne put même pas dire Aïe. Douleur. La Douleur l'emporta et il perdit connaissance.
Il pensait à sa famille. A ses soeurs, aussi radieuses l'une que l'autre. A son petit frère, qui grandissait et était en pleine crise d'ado. Il se forçait à penser à eux. Il s'envoyait des pensées positive pour chasser la douleur, chasser l'ambiance malsaine dans laquelle il baignait.
- " AAAAAHHHHHHHHH "
La deuxième cote venait de céder. Il ne pouvait plus penser à autre chose. Il revoyait cette barre de fer qui s'abattait sur lui. Il ne pensait qu'à une chose, ne ressentait qu'une chose. Douleur. Douleur. Tout son corps nétait que douleur. Petit à petit, pendant ce qui lui parut être une éternité, Jack vit ses paupières se fermaient. Douleur. L'effet de la Douleur. Il se sentit sombrer , perdre conscience. Douleur. Il ne put même pas dire Aïe. Douleur. La Douleur l'emporta et il perdit connaissance.
shortless- Comte/Comtesse
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Re: [Interdit aux - 18 ans][Jack] La cuisine de l'enfer !
Hrp : J'insiste une nouvelle fois, mais ce texte est violent ... La torture n'est jamais quelque chose de soft ... Je vous aurais prévenu ...
(La suite immédiate se fera en mp).
Os brisés et exploration inédite !
Le lendemain, les quatre molosses vinrent chercher Jack pour le traîner chez le père Mélampo. Le jeune homme était toujours complètement nu.
Le bourreau était assis derrière son bureau et il ne regarda même pas son invité entrer. Il était affairé à caresser son crâne de la main gauche et à lire le parchemin qui était posé devant lui.
Jack fut confortablement installé sur la chaise.
La fameuse chaise ! Les lanières avaient été remplacées par un modèle « cuir clouté » du plus bel effet. Elles furent serrées à l’extrême, il fallait que les clous puissent se planter dans la chair et surtout dans les os du jeune homme.
Mélampo aimait souhaiter la bienvenue à ses invites.
Alors, Jack pouvait commencer à couiner. Il fallait imaginer des clous qui déchirait la chair pour venir se planter des les os. Cela faisait très mal aux poignets et aux chevilles, deux articulations assez complexes de l’anatomie humaine.
Le petit homme demanda à Jack s’il voulait avouer, mais il se doutait déjà de la réponse du jeune homme. Il fit donc un petit signe à ses sbires pour qu’ils puissent continuer à se faire plaisir.
Ils ne se firent pas prier et attrapèrent chacun une barre de fer. Puis, ils commencèrent à briser le jeune middenheimer. Le jeu était simple, il fallait broyer le plus grand nombre d’os possible.
Ce pendant, ils ne touchaient pas à la tête, ni aux os qui protégeaient les organes vitaux. Il était possible que le jeune homme décède dans la séance, mais il ne voulait pas que cela arrive trop vite.
Ils y allèrent de toutes leurs forces et ce fut un véritable carnage.
Ils brisèrent du haut vers le bas, la clavicule et le haut de la première côté parce que ces os étaient proches.
Ils ne pouvaient pas exploser les omoplates parce qu’il y avait le dossier de la chaise. Pas très grave, ils lui explosèrent les deux humérus à plusieurs endroits. L’articulation du coude fut également touchée puisque l’olécrane vola en éclat.
Les deux os de l’avant bras ne furent pas épargnés. Le radius et l’ulna (cubitus) furent cassés à plusieurs endroits.
Les poignets étaient déjà en sang à cause des lanières de cuir.
Pour finir le membre supérieur en douceur, ils s’occupèrent de ses mains. Le os du carpe, les métacarpiens et les phalanges morflèrent également.
Son membre supérieur était en miette. Etalonné la douleur de Jack était tout simplement impossible ! C’était un traitement complètement inhumain.
Le membre inférieur dû attendre sont tour, mais tout vient à point à qui sait attendre ! Ils commencèrent donc par les fémurs. Ils ne pouvaient pas toucher au bassin du jeune à cause de sa position assise.
Les cols du fémur y passèrent et l’os fut également brisé à plusieurs endroits.
Le genou prit cher, très cher, les rotules et les condyles fémoraux furent mis en miettes.
Ensuite, ce fut le tour des deux tibias et des deux péronés de prendre pour leur grade.
A ce moment bien précis, le squelette de Jack était un puzzle géant tridimensionnel. Tout n’était que douleur, mais le middenheimer ne voulait pas lâcher l’affaire. Alors, le père Mélampo fut obligé de passer à la vitesse supérieure.
Il se leva et alla chercher une tige extrêmement fine. Il trempa cette tige dans un savant mélange d’eau de sel et de jus de citron. Des produits de la vie quotidienne pouvait devenir fort utile pour pratiquer l’art de la torture.
Le mélange sel et acide était toujours une valeur sûr.
Mais cette petite tige extra fine à quoi pouvait-elle servir ? Hum ?
Les gens faisaient toujours une fixation sur leur boîte à caca, mais ce n’était pas la seule sortie ! Il y en avait une autre qui était plus discrète, mais bien plus douloureuse à explorer. Le passage dans l’arrière train était également une valeur sûre, mais le bourreau n’était jamais à l’abri de tomber sur un sodomite masochiste. Il était hors de question qu’on puisse prendre du plaisir dans sa cuisine de l’enfer !
C’est pour cela qu’il vint attraper le pénis de Jack avec une main ferme. La pression exercée sur la verge de Jack était suffisante pour lui faire mal, mais pas trop, puisque le meilleur était encore à venir.
Il commença à introduire la petite tige dans l’urètre de Jack. Oui, oui, l’urètre est le canal ou s’écoule entre autre l’urine chez un homme. Cette tige était assez râpeuse pour abîmer légèrement l’intérieur de ce conduit, remonta très loin. Les lésions que la tige infligeait, étaient une aubaine pour le jus de citron et le sel. L’effet était largement, mais largement plus violent qu’une bonne grosse infection urinaire. La douleur envahissait petit à petit toute la cavité abdominale du jeune homme. Il n’était pas loin de défaillir à cause de la souffrance qu’il ressentait actuellement.
La tige traversa la prostate pour venir frapper à la porte de la vessie de Jack. Il la fit tourner pour rajouter un supplément de douleur avant de continuer à ramoner.
Après un temps certain, il l’enleva rapidement pour encore plus de douleur ! Toujours plus de douleur ! Cette douleur fut suivie par la vidange de la vessie du malheureux. Une urine qui était chaude, trouble et rougeâtre, qui du coup, vint encore agresser encore un peu plus, les parois déjà bien meurtries de l’urètre du fils d’Heinrich. L'urine dégoulina le long de ses cuisses et de ses mollets.
Jack refusa une dernière fois d’avouer le meurtre de Bastian et il sombra. Le corps du jeune homme venait de subir trop de dommage en deux séances pour pouvoir rester conscient, aussi robuste était-il.
Mélampo donna l’ordre à ses molosses de le reconduire dans sa cellule. Il reviendrait à la charge dés qu’il reprendrait connaissance, enfin s’il réussissait à survivre à ses blessures. Des blessures qui étaient loin d’être anodines. Inutile d’en refaire l’inventaire, mais elles allaient être difficiles à soigner, même avec de la magie ! La magie avait ses limites et de plus, il y avait certains facteurs que la magie ne pouvait pas neutraliser. L’infection en était un excellent exemple. Difficile pour des mages d’utiliser des sorts sur des choses qui dépassait leurs entendements.
Jack fut jeté dans sa cellule sans aucun ménagement. Il était toujours nu et ils n’avaient rien fait pour arrêter les saignements de ses poignets, de ses chevilles et de son organe reproducteur.
La veille, il était simplement dans les vapes. Aujourd’hui, il était dans le coma. Allait-il trouver assez de courage pour survivre ?
Le bourreau était assis derrière son bureau et il ne regarda même pas son invité entrer. Il était affairé à caresser son crâne de la main gauche et à lire le parchemin qui était posé devant lui.
Jack fut confortablement installé sur la chaise.
La fameuse chaise ! Les lanières avaient été remplacées par un modèle « cuir clouté » du plus bel effet. Elles furent serrées à l’extrême, il fallait que les clous puissent se planter dans la chair et surtout dans les os du jeune homme.
Mélampo aimait souhaiter la bienvenue à ses invites.
Alors, Jack pouvait commencer à couiner. Il fallait imaginer des clous qui déchirait la chair pour venir se planter des les os. Cela faisait très mal aux poignets et aux chevilles, deux articulations assez complexes de l’anatomie humaine.
Le petit homme demanda à Jack s’il voulait avouer, mais il se doutait déjà de la réponse du jeune homme. Il fit donc un petit signe à ses sbires pour qu’ils puissent continuer à se faire plaisir.
Ils ne se firent pas prier et attrapèrent chacun une barre de fer. Puis, ils commencèrent à briser le jeune middenheimer. Le jeu était simple, il fallait broyer le plus grand nombre d’os possible.
Ce pendant, ils ne touchaient pas à la tête, ni aux os qui protégeaient les organes vitaux. Il était possible que le jeune homme décède dans la séance, mais il ne voulait pas que cela arrive trop vite.
Ils y allèrent de toutes leurs forces et ce fut un véritable carnage.
Ils brisèrent du haut vers le bas, la clavicule et le haut de la première côté parce que ces os étaient proches.
Ils ne pouvaient pas exploser les omoplates parce qu’il y avait le dossier de la chaise. Pas très grave, ils lui explosèrent les deux humérus à plusieurs endroits. L’articulation du coude fut également touchée puisque l’olécrane vola en éclat.
Les deux os de l’avant bras ne furent pas épargnés. Le radius et l’ulna (cubitus) furent cassés à plusieurs endroits.
Les poignets étaient déjà en sang à cause des lanières de cuir.
Pour finir le membre supérieur en douceur, ils s’occupèrent de ses mains. Le os du carpe, les métacarpiens et les phalanges morflèrent également.
Son membre supérieur était en miette. Etalonné la douleur de Jack était tout simplement impossible ! C’était un traitement complètement inhumain.
Le membre inférieur dû attendre sont tour, mais tout vient à point à qui sait attendre ! Ils commencèrent donc par les fémurs. Ils ne pouvaient pas toucher au bassin du jeune à cause de sa position assise.
Les cols du fémur y passèrent et l’os fut également brisé à plusieurs endroits.
Le genou prit cher, très cher, les rotules et les condyles fémoraux furent mis en miettes.
Ensuite, ce fut le tour des deux tibias et des deux péronés de prendre pour leur grade.
A ce moment bien précis, le squelette de Jack était un puzzle géant tridimensionnel. Tout n’était que douleur, mais le middenheimer ne voulait pas lâcher l’affaire. Alors, le père Mélampo fut obligé de passer à la vitesse supérieure.
Il se leva et alla chercher une tige extrêmement fine. Il trempa cette tige dans un savant mélange d’eau de sel et de jus de citron. Des produits de la vie quotidienne pouvait devenir fort utile pour pratiquer l’art de la torture.
Le mélange sel et acide était toujours une valeur sûr.
Mais cette petite tige extra fine à quoi pouvait-elle servir ? Hum ?
Les gens faisaient toujours une fixation sur leur boîte à caca, mais ce n’était pas la seule sortie ! Il y en avait une autre qui était plus discrète, mais bien plus douloureuse à explorer. Le passage dans l’arrière train était également une valeur sûre, mais le bourreau n’était jamais à l’abri de tomber sur un sodomite masochiste. Il était hors de question qu’on puisse prendre du plaisir dans sa cuisine de l’enfer !
C’est pour cela qu’il vint attraper le pénis de Jack avec une main ferme. La pression exercée sur la verge de Jack était suffisante pour lui faire mal, mais pas trop, puisque le meilleur était encore à venir.
Il commença à introduire la petite tige dans l’urètre de Jack. Oui, oui, l’urètre est le canal ou s’écoule entre autre l’urine chez un homme. Cette tige était assez râpeuse pour abîmer légèrement l’intérieur de ce conduit, remonta très loin. Les lésions que la tige infligeait, étaient une aubaine pour le jus de citron et le sel. L’effet était largement, mais largement plus violent qu’une bonne grosse infection urinaire. La douleur envahissait petit à petit toute la cavité abdominale du jeune homme. Il n’était pas loin de défaillir à cause de la souffrance qu’il ressentait actuellement.
La tige traversa la prostate pour venir frapper à la porte de la vessie de Jack. Il la fit tourner pour rajouter un supplément de douleur avant de continuer à ramoner.
Après un temps certain, il l’enleva rapidement pour encore plus de douleur ! Toujours plus de douleur ! Cette douleur fut suivie par la vidange de la vessie du malheureux. Une urine qui était chaude, trouble et rougeâtre, qui du coup, vint encore agresser encore un peu plus, les parois déjà bien meurtries de l’urètre du fils d’Heinrich. L'urine dégoulina le long de ses cuisses et de ses mollets.
Jack refusa une dernière fois d’avouer le meurtre de Bastian et il sombra. Le corps du jeune homme venait de subir trop de dommage en deux séances pour pouvoir rester conscient, aussi robuste était-il.
Mélampo donna l’ordre à ses molosses de le reconduire dans sa cellule. Il reviendrait à la charge dés qu’il reprendrait connaissance, enfin s’il réussissait à survivre à ses blessures. Des blessures qui étaient loin d’être anodines. Inutile d’en refaire l’inventaire, mais elles allaient être difficiles à soigner, même avec de la magie ! La magie avait ses limites et de plus, il y avait certains facteurs que la magie ne pouvait pas neutraliser. L’infection en était un excellent exemple. Difficile pour des mages d’utiliser des sorts sur des choses qui dépassait leurs entendements.
Jack fut jeté dans sa cellule sans aucun ménagement. Il était toujours nu et ils n’avaient rien fait pour arrêter les saignements de ses poignets, de ses chevilles et de son organe reproducteur.
La veille, il était simplement dans les vapes. Aujourd’hui, il était dans le coma. Allait-il trouver assez de courage pour survivre ?
(La suite immédiate se fera en mp).
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