[Ezio] De la souffrance au paradis ...

**Butcher** Dim 11 Nov - 8:47

De la souffrance au paradis ...

Les retrouvailles avec sa petite sœur ce n'était pas encore pour cette nuit-là. Le temps jouait en sa défaveur parce qu'il était évident que plus il attendait et moins il avait de chances de la revoir en vie. Apparemment Archibald von Tilber, l'oncle d'Esteban n'était pas du genre à faire dans la douceur avec ses cobayes. La blouse tâché de sang qu'ils avaient trouvé dans cet ancien laboratoire avait de quoi l'inquiéter. Si sa petite sœur était entre les mains d'un type comme lui, il était évident qu'elle n'allait pas en ressortir indemne.

Dans quel état était allait-il la retrouver ? Une question qui hantait l'esprit du jeune bretteur.

Les jours défilaient, pendant que les preuves arrivaient au compte gouttes et que les problèmes se multipliaient, mais il ne savait toujours pas où se trouvait ce fameux « nouveau » laboratoire. Celui qui était mentionné dans les vestiges des documents qu'ils avaient trouvé hier soir, au milieu des cendres.

Les autres ne comprenaient peut-être pas sa fouge et son désir d'en découdre rapidement avec ses ennemis, mais il n'avait pas le choix. Le temps jouait en sa défaveur … C'était un luxe qu'il ne pouvait plus se permettre.

Pendant que ses amis établissaient des plans sans accrocs et qu'ils se perdaient en conjectures, la vie de sa sœur s’égrainaient petit à petit. Au fond de son cœur, il savait qu'elle n'en avait plus pour longtemps. C'était une petite douleur insidieuse qui harcelait les tréfonds de son palpitant. Elle marquait une sorte de compte à rebours. Plus elle grandissait et plus, il avait l'impression que les chances de la revoir en vie diminuaient.

Ce soir-là, en rentrant au petit palais, il eut la chance de trouver un peu de réconfort au milieux de toute cette agitation. Lorsqu'il pénétra dans sa chambre, ses yeux purent se poser sur une Astrid qui ce soir-là était plus en soubrette qu'en maîtresse. La jeune femme avait vraiment le don pour le surprendre. Après lui avoir fait découvrir des plaisirs insoupçonnés, cette fois, ce serait tout en douceur qu'elle se livrerait à lui.

Au lieu de vous faire une longue description, je pense qu'une image sera plus appropriée. Le jeune homme trouva la belle blonde dans cette tenu. Elle tenait dans ses bras une grosse peluche mauve et elle l'invita à venir la rejoindre.

Cette fois, le jeune duelliste découvrit qu'on pouvait faire plein de choses avec un morceau de tissus recouvert de poiles … Quoi qu'il soit, il passa une excellente nuit avec la jeune femme. Juste ce qu'il fallait pour lui enlever l'énorme frustration qu'il avait pu accumuler en explorant la demeure du quartier de Santa Félicia.

Maîtresse Astrid avait vraiment le don pour le requinquer. Au petit matin, il était aussi frais qu'un gardon, mais également aussi léger qu'une plume...

aure38 Jeu 22 Nov - 19:50

Ezio après la soirée passé dans l'ancien repéré put se détendre et être surpris par les talents caché d'astrid...

La nuit passa tout seul et au petit matin, il était tout détendu et relaxé mais bien sur il ne pouvait s’empêcher de penser au sort de sa soeur et se qu'il avait vu la bas, des plumes, du sang, deux étranges fioles, des parchemins calciné, tout ceci le tracassé. Il se tourna doucement du coté d’Astrid déposa un doux baiser lors de son sommeil pour la réveiller en douceur.

**Butcher** Sam 24 Nov - 14:02

La jeune femme qui dormait paisiblement dans les bras du beau duelliste se colla encore un peu plus à lui. Ses seins étaient comprimés contre le torse d'Ezio. Puis ses yeux s'ouvrirent lentement. En croisant le regard de son amant, ses lèvres esquissèrent instinctivement un doux et délicieux sourire. La belle blonde mit quelques longues minutes pour émerger complètement de son sommeil. Lorsque ce fut fait, elle colla ses lèvres sur les siennes afin de lui faire un long et langoureux baiser. Ensuite, elle se leva tranquillement révélant sans aucune pudeur son corps sculptural qui était complètement nu.

La nuit avait été absolument divine, mais maintenant, il était temps pour elle d'aller travailler. Mettant ainsi un terme à cette magnifique tranche de vie.

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