[Ambiance - Ezio]Dans la chambre d'Astrid
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[Ambiance - Ezio]Dans la chambre d'Astrid
Dans la chambre d'Astrid
Dans la chambre d’Astrid, le docteur qu’elle avait trouvé s’apprêtait à officier l’extraction de la balle du corps du duelliste. La médecine traditionnelle ne faisait pas dans la dentelle et il allait souffrir. C’est d’ailleurs pour cela que maître Ambrosini, chirurgien barbier de son état lui demanda de mordre dans le tissu qu’il venait de lui mettre dans la bouche.
Pendant que le docteur préparait ses outils et la flasque d’alcool fort dont il allait avoir besoin pour l’opération. Astrid s’affairait autour de la cheminée. Elle était en train de chauffer à blanc une tige métallique à large bord que le médecin lui avait confié. Elle servirait à la cautérisation de la blessure.
Sans cérémonie ou ménagement, le médecin passa une lampée d’alcool sur la plaie qui commençait déjà à suinter. La chair du jeune homme se mit à le lancer de fort belle manière, mais ceci n’était qu’un petit avertissement comparé à ce qui allait suivre. En effet, Ambrosini attrapa un scalpel à l’aspect grossier qui tenait plus du couteau de cuisine que de l’instrument médical à proprement parler.
Il fourra l’ustensile dans la plaie afin d’en extraire la balle. Pendant que sa main directrice fouillait et raclait la chair d’Ezio afin de faire remonter la balle à la surface. Son autre main attrapa une pince. Elle aussi était de manufacture grossière.
Comment pourrais-je traduire la douleur que devait ressentir notre pauvre Ezio. Arriveriez-vous à imaginer la douleur que peut produire quelques pouces d’acier chichement planter dans votre carcasse ? Surtout lorsqu’ils remuaient dans la chair.
L’expression « remuer le couteau dans la plaie » prenait ici tout son sens. Ce traitement dura d’ailleurs son petit temps. Juste ce qu’il fallait pour mettre à l’épreuve une première fois les mâchoires d’Ezio qui se crispèrent sur le morceau de tissus qu’on lui avait mis dans la bouche.
Une fois à la surface, le médecin saisit la balle avec la pince avant de se tourner immédiatement dans la direction d’Astrid afin de lui réclamer la tige métallique. La jeune femme approcha et lui confia la barre de fer chauffée à blanc.
Dans la foulée, il vint la poser sur la plaie du malheureux. Un bruit de friture se fit entendre pendant que le bretteur était à deux doigt de se casser les dents sur le tissu à force de les serrer. Son corps était recouvert de sueur. De grosses gouttes perlaient et coulaient le long de son visage.
Le petit « psssssssscccccccccccccccchhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh » dura quelques battements de cœur avant qu’il ne cesse lorsque la barre ne fut plus en contact avec son corps. La douleur ne cessa pas pour autant, elle devint légèrement moins violente, mais elle était toujours excessivement vivace.
De son côté, le médecin observa la plaie quelques instants afin de s’assurer que le travail était bien fait. Puis, il la banda avec des bandages qui avaient l’air d’être propre. Lorsque ce fut fait, il se leva, rangea ses affaires et se dirigea vers la porte de la chambre.
Il fut raccompagné à la porte d’entrée par Astrid. Elle était un peu pale après la scène qu’elle venait d’endurer.
Puis, elle retourna dans sa chambre, avec de voir si son amant allait bien.
Pendant que le docteur préparait ses outils et la flasque d’alcool fort dont il allait avoir besoin pour l’opération. Astrid s’affairait autour de la cheminée. Elle était en train de chauffer à blanc une tige métallique à large bord que le médecin lui avait confié. Elle servirait à la cautérisation de la blessure.
Sans cérémonie ou ménagement, le médecin passa une lampée d’alcool sur la plaie qui commençait déjà à suinter. La chair du jeune homme se mit à le lancer de fort belle manière, mais ceci n’était qu’un petit avertissement comparé à ce qui allait suivre. En effet, Ambrosini attrapa un scalpel à l’aspect grossier qui tenait plus du couteau de cuisine que de l’instrument médical à proprement parler.
Il fourra l’ustensile dans la plaie afin d’en extraire la balle. Pendant que sa main directrice fouillait et raclait la chair d’Ezio afin de faire remonter la balle à la surface. Son autre main attrapa une pince. Elle aussi était de manufacture grossière.
Comment pourrais-je traduire la douleur que devait ressentir notre pauvre Ezio. Arriveriez-vous à imaginer la douleur que peut produire quelques pouces d’acier chichement planter dans votre carcasse ? Surtout lorsqu’ils remuaient dans la chair.
L’expression « remuer le couteau dans la plaie » prenait ici tout son sens. Ce traitement dura d’ailleurs son petit temps. Juste ce qu’il fallait pour mettre à l’épreuve une première fois les mâchoires d’Ezio qui se crispèrent sur le morceau de tissus qu’on lui avait mis dans la bouche.
Une fois à la surface, le médecin saisit la balle avec la pince avant de se tourner immédiatement dans la direction d’Astrid afin de lui réclamer la tige métallique. La jeune femme approcha et lui confia la barre de fer chauffée à blanc.
Dans la foulée, il vint la poser sur la plaie du malheureux. Un bruit de friture se fit entendre pendant que le bretteur était à deux doigt de se casser les dents sur le tissu à force de les serrer. Son corps était recouvert de sueur. De grosses gouttes perlaient et coulaient le long de son visage.
Le petit « psssssssscccccccccccccccchhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh » dura quelques battements de cœur avant qu’il ne cesse lorsque la barre ne fut plus en contact avec son corps. La douleur ne cessa pas pour autant, elle devint légèrement moins violente, mais elle était toujours excessivement vivace.
De son côté, le médecin observa la plaie quelques instants afin de s’assurer que le travail était bien fait. Puis, il la banda avec des bandages qui avaient l’air d’être propre. Lorsque ce fut fait, il se leva, rangea ses affaires et se dirigea vers la porte de la chambre.
Il fut raccompagné à la porte d’entrée par Astrid. Elle était un peu pale après la scène qu’elle venait d’endurer.
Puis, elle retourna dans sa chambre, avec de voir si son amant allait bien.
Re: [Ambiance - Ezio]Dans la chambre d'Astrid
hrp : Oh!! pauvre petit lapinou!!!
Beriaskel- Comte/Comtesse
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Date d'inscription : 07/09/2011
Re: [Ambiance - Ezio]Dans la chambre d'Astrid
Ezio n'avait qu'une hâte pendant l’opération, que tous cela se terminent!
Il avait comprit en prenant la direction de clémence à la poursuite de ces crapules que tous ceci n'allait pas être de tout repos, il s'était préparer physiquement et mentalement, son mentale était prêt à toutes épreuves.
Mais la réalité en était autrement blesser dans son orgueil de duelliste d'avoir perdue face à un brigand de seconde zone, blesser physiquement par se dernier et maltraiter par se f... de c.... de boucher qui charcuter sans vergogne sa peau.
A la fin de l’opération il était comme dans un autre monde, sans doute son corps essayé t'il de le protéger de la douleur, il comprit que le médecin était partit et qu'Astrid aussi, malgré la douleur, il parvint a se redresser sur le lit et a remettre ses idées en ordre, il ne devait pas se laisser aller, le repos n'était pas permit pour lui.
Il attendit pendant quelques minutes le retour d'Astrid, quand elle apparut il ne pouvait s’empêcher d'avoir un sourire, crispé et tendu par cette in-sinueuse douleur qui le lancer dans l'épaule.
Il commença la conversation
- Désoler d'avoir du te faire subir sa... Je n'était pas sur mon meilleur jour tout a l'heure.... lui dit il lentement entre chaque pic de douleur
-J'esper que nos hôtes non pas était gêné par notre retour... Et les autres comment vont'il? Il faut que je les surveille tous... Ils ont du apprendre de grand secret se soir...
- Peut être même le mien, laissa t'il glissé dans un râle de douleur
Il regarda de nouveau Astrid pour savoir si elle était paniqué par la situation.
Il avait comprit en prenant la direction de clémence à la poursuite de ces crapules que tous ceci n'allait pas être de tout repos, il s'était préparer physiquement et mentalement, son mentale était prêt à toutes épreuves.
Mais la réalité en était autrement blesser dans son orgueil de duelliste d'avoir perdue face à un brigand de seconde zone, blesser physiquement par se dernier et maltraiter par se f... de c.... de boucher qui charcuter sans vergogne sa peau.
A la fin de l’opération il était comme dans un autre monde, sans doute son corps essayé t'il de le protéger de la douleur, il comprit que le médecin était partit et qu'Astrid aussi, malgré la douleur, il parvint a se redresser sur le lit et a remettre ses idées en ordre, il ne devait pas se laisser aller, le repos n'était pas permit pour lui.
Il attendit pendant quelques minutes le retour d'Astrid, quand elle apparut il ne pouvait s’empêcher d'avoir un sourire, crispé et tendu par cette in-sinueuse douleur qui le lancer dans l'épaule.
Il commença la conversation
- Désoler d'avoir du te faire subir sa... Je n'était pas sur mon meilleur jour tout a l'heure.... lui dit il lentement entre chaque pic de douleur
-J'esper que nos hôtes non pas était gêné par notre retour... Et les autres comment vont'il? Il faut que je les surveille tous... Ils ont du apprendre de grand secret se soir...
- Peut être même le mien, laissa t'il glissé dans un râle de douleur
Il regarda de nouveau Astrid pour savoir si elle était paniqué par la situation.
Re: [Ambiance - Ezio]Dans la chambre d'Astrid
Toute l’intervention du chirurgien barbier fut suivi d’un regard distant mais présent de la jeune femme. Celle-ci se tenait prête à suivre les indications du médecin si ce dernier avait eu besoin de telle ou telle chose. A aucun moment, elle ne détourna le regard, même si maintenant qu’ils étaient tous les deux seuls son teint était plus pale. En attendant qu’Ezio se remette un peu de ses émotions, elle se dirigea vers la commode de sa chambre afin d’en sortir une petite carafe en cristal. Elle contenait un liquide translucide qu’elle versa au fond d’un petit verre qu’elle but dans la foulée. Son visage se déforma dans une grimace de dégoût. Visiblement, le liquide avait l’air d’être un poile trop violent pour elle. Quoi qu’il en soit, elle remplie à nouveau le verre. Elle se rapprocha du lit où gisait le bretteur et lui proposa d’en boire le contenu.
- Tient boit ça, cela te fera du bien.
- Quant à tes compagnons, je crois qu’ils sont déjà couchés.
Elle marqua une petite pause verbale. Pendant que ces yeux examinaient le visage d’Ezio. Ce dernier pouvait sentir chez elle une certaine peur, pas de la panique mais de la peur. Par contre, elle semblait posséder une volonté et une force de caractère bien supérieur à la moyenne féminine. D’ailleurs, elle enchaîna quelques battements de cœur plus tard.
- Pourquoi voudrais-tu surveiller tes compagnons ?
- Tu penses qu’ils ne sont pas dignes de confiance ?
- Mon maître serait-il en danger en leur ou votre compagnie ?
Lui demanda-t-elle en adoptant un regard inquisiteur.
- Tient boit ça, cela te fera du bien.
- Quant à tes compagnons, je crois qu’ils sont déjà couchés.
Elle marqua une petite pause verbale. Pendant que ces yeux examinaient le visage d’Ezio. Ce dernier pouvait sentir chez elle une certaine peur, pas de la panique mais de la peur. Par contre, elle semblait posséder une volonté et une force de caractère bien supérieur à la moyenne féminine. D’ailleurs, elle enchaîna quelques battements de cœur plus tard.
- Pourquoi voudrais-tu surveiller tes compagnons ?
- Tu penses qu’ils ne sont pas dignes de confiance ?
- Mon maître serait-il en danger en leur ou votre compagnie ?
Lui demanda-t-elle en adoptant un regard inquisiteur.
Re: [Ambiance - Ezio]Dans la chambre d'Astrid
Ezio écouta est resta sous le charme de la belle et courageuse servante qui avait endurer sans rien dire l'opération. Il prit la parole juste derrière toutes ses questions pour ne pas la faire stresser.
-si j'ais confiance en mes compagnons mais tu ces comme sont les Hommes quand il s'agit d'agir concernant une affaire qui le tient a coeur... Il avait juste finit sa phrase qu'il marqua un cours blanc. En faite on devrait moi aussi me surveiller.
-Et non je ne pense pas que tes patrons sont en danger, personne ne voudrait se mettre cette famille a dos, tu ne pense pas?
-d’ailleurs il doive bien avoir des familles nobles qui les apprécie un peu?
-si j'ais confiance en mes compagnons mais tu ces comme sont les Hommes quand il s'agit d'agir concernant une affaire qui le tient a coeur... Il avait juste finit sa phrase qu'il marqua un cours blanc. En faite on devrait moi aussi me surveiller.
-Et non je ne pense pas que tes patrons sont en danger, personne ne voudrait se mettre cette famille a dos, tu ne pense pas?
-d’ailleurs il doive bien avoir des familles nobles qui les apprécie un peu?
Re: [Ambiance - Ezio]Dans la chambre d'Astrid
La jeune femme esquissa un petit sourire. Son regard devint mutin. Elle posa délicatement son petit postérieur sur le bord de son lit.
- Oui, je sais très bien comment sont les hommes ne t’inquiète pas. S’il faut te surveiller, je me ferais une joie de le faire mon beau … Même si je crois que ce soir, tu es incapable de faire quoi que ce soit.
Elle se pinça les lèvres avant de poursuivre.
- Et c’est fort dommage …
Dit-elle avec une voix sensuelle et enivrante. Puis, elle se tut le temps de quelques battements de cœur. Juste le temps que son jeu de séduction puisse opérer, puis, elle redevint sérieuse.
- Je ne parlais pas de la famille Lucozzi, mais du commandant.
- En ce qui concerne la famille Lucozzi, je n’en sais rien du tout, mais beaucoup de monde en ville les considère comme des Syndarims, donc des barbares justes bons à manger des bébés au petit déjeunés.
- Oui, je sais très bien comment sont les hommes ne t’inquiète pas. S’il faut te surveiller, je me ferais une joie de le faire mon beau … Même si je crois que ce soir, tu es incapable de faire quoi que ce soit.
Elle se pinça les lèvres avant de poursuivre.
- Et c’est fort dommage …
Dit-elle avec une voix sensuelle et enivrante. Puis, elle se tut le temps de quelques battements de cœur. Juste le temps que son jeu de séduction puisse opérer, puis, elle redevint sérieuse.
- Je ne parlais pas de la famille Lucozzi, mais du commandant.
- En ce qui concerne la famille Lucozzi, je n’en sais rien du tout, mais beaucoup de monde en ville les considère comme des Syndarims, donc des barbares justes bons à manger des bébés au petit déjeunés.
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