Journal personnel : Namid Intina
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Journal personnel : Namid Intina
Journal personnel de Namid Intina, entrée du 27 ofilga 41 678
Maudit soit Sigmund et tous ses pirates. Maudit soit l'Immaterium et l'univers tout entier pour m'arracher le dernier vestige de mon ancienne existence au sein de notre flotte bien aimée. Fizza... je m'excuse de n'avoir pas pu te protéger ou t'arracher des griffes de Sigmund. Je ne comprend pas ce qui s'est passé sur le pont de l'Executor. Nous étions tous là: toi si belle et fragile, Sigmund te tenant en otage avec son pistolet braquer contre ta delicate tempe, les quelques serviteurs pirates priant l'esprit machine du vaisseau pour essayer de maitriser le chaos des combats dans le vieux batiment. Sigmund me crie de déplacer le vaisseau pour fuir ce guet-apens. Il me crit de nous projeter dans l'Immetarium pour nous faire ressortir loin d'ici. Si je ne le fais pas, il te tue avec son pistolet. Si je le fais, nous perdons notre seul chance de liberté et probablement nos vies a courte échéance. Mais je ne peux pas le regarder te tuer. Je ne pouvais pas... Est-ce que j'ai projeté le vaisseau dans l'Immaterium ,je ne m'en souviens plus. Si oui, les combats auraient pu endommager le générateur du champ de Gellar... ce qui pourrait expliquer le choas qui suivit et qui habite toujours mon esprit. Tout ce que je sais, c'est que j'ai vu la peur sur ton visage parfait. Tu as certainement vu ces bras fantomatiques qui m'ont saisis aussi bien que moi. Je n'oublierai jamais l'expression de ton visage comme le temps semblait faire halte. Fizza... je t'ais perdu. Tu es probablement morte aumain de Sigmund ou pire encore, dans par la conscience malveillante de l'Immaterium. Cette pensée me fait trembler de fureur. J'aurai tellement voulu nous libérer de nos chaines... ton plan aurait pu réussir.
Je dois me concentrer, prendre la mesure de la situation présente. Je ne suis pas seul dans cette petite piece. Mon premier reflexe est de bien me dissimuler dans mes amples robes et de tirer ma capuche. Je me suis réveillé dans une couchette, je me m'attendais pas a cela. Je vois un homme ayant l'air désorienté, portant des habits oranges uniforme et tachés d'un sang épais dont l'odeur et la fraicheur me pique la langue. Il une grosse arme comme on en vois sur les guerriers. Mais elle fut utiliser récemment... comme l'atteste le sang qui coule de sa chaine. Un fait étrange, il porte un gros collier au cou. J'ai déjà vut de ses colliers dans les cales de l'Executor. Les esclaves ne pouvant pas etre lobotimiser pour servir de chair a canon portaient ces colliers explosifs. Il est donc un esclave... je viens de vérifier, je n'ais pas de collier. Sigmund n'a pas juger bon de m'en attacher un... La seul vu de ce collier réveille ma rage.
Il s'approche d'un autre homme étendu sur une couchette et braque son flingue contre sa tempe. Ces deux là ne sont pas copains. Le deuxième homme porte un bandeau sur les yeux, comme Fizza. Sur son bandeau je peux lire en Haut Gothique : Vérité. Jumeler avec ses robes, je devine que l'homme en facheuse posture n'est nul autre qu'un astropath. Il connait surement Fizza... je devrait intervenir pour sauver sa vie pour le questionner.
Une monstruosité méchanique est intervenu finalement. Je dit monstruosité car le troisième homme est plus machine qu'homme, il a manifestement choisit de se greffer ses choses et d'ajouter l'esprit machine a son corps. Je suis né comme je suis... je n'ais eu aucun choix. C'est dans la volonté de devenir ce que l'on n'est pas... devenir non humain... que se trouve la vrai monstruosité. Pas dans les épreuves qui nous sont imposées contre notre gré. Il discute ensemble, dois-je me montrer? Leur parler? Les gens ne reagissent jamais bien a ma rencontre...
Une femme pouvant etre jolie, si ce n'était pour l'expression dure et calculateur de son regard, se lève soudain et se dirige vers la porte avec le plus gros flingue que j'ai vu de ma vie. Elle tire contre le loquet de la porte. Je comprend alors que nous sommes enfermés. Mon coeur se met a battre a tout rompre. Mon souffle devient court. Je ne veux pas etre encore une fois prisonnier. Malgré la puissance du laser ayant sortie du fusil de l'inconnue, la porte n'a pas bronchée. Nous sommes prisonniers.
J'ai discuté avec les autres. Leur regard épouvantés lorsqu'ils m'ont vu sortir de ma couchette me confirma que les mutants sont aussi mal vu ici qu'ailleur. Ils sont plutot grossier, sauf pour l'astropath qui me traite avec un respect et une révérence que je n'avais plus connu depuis l'époque du Resolute. Malheureusement, il ne connait pas Frizza... ou Sigmund. On a un peu partagé nos histoires... et ils sont tous assez similaire. L'Immaterium nous a tous attirer ici soudainement. Cette pensée est déconcertante. Pire, nous avons trouver un grand homme en vêtement blanc avec un lance-flamme à la main, sentant encore la fumée grasse de chair qui brule, est couché sur une couchette du fond. Selon les contes de ma mère, ce doit être une prêtre de l'Empereur dieu. Horreur, mes parents m'ont toujours dit que je devais éviter a tous pris ces fous xénophobes et paranoïaque qui terminerais mon existence dans un feu purificateur. L'emprisonnement avec un de ses prêtres aussi bien armé risque d'être de courte durée.
Heureusement pour moi, le prêtre semble en plein délire psychoreligieux et ne porte pas trop d'attention a nous.
Que l'oeil soit loyé !! L'Adeptus Mechanicus, le nom que semble donner les autres au technicien monstrueux, a réussit a ouvrir cette satanée porte. Je respire mieux et mes pensées s'éclaircissent. Je me rend soudain compte de l'appel de l'Immaterium qui se situe juste derrière un champ de Gellar. Nous sommes sur un vaisseau dans l'Immateirum !! J'ai fait tout de suite part a mes collègues d'infortune, comme cela mon utilité est évidente pour tout le monde. J'ai peut-être réussit a me protéger du prêtre.
Celui-ci ne nous a pas suivit tant il était perdu dans ses pensées. Ca m'angoisse... a quoi pense ce lunatique??
Ce vaisseau semble désert. Nous avons traverser un dédale de corridors vides, ne laissant voir aucune trace de vie. Est-ce que ce vaisseau serait une épave dérivant dans l'Immaterium? Mon sang se glace a cette pensée. Nous devons rapidement nous rendre sur le pont pour nous tirer de se mauvais pas. Malheureusement , nous sommes sur le 15 étage. Mais bon, nous avons trouver des escaliers, restent plus qu'à monter.
Notre exploration nous a mener dans un grand hangar situé contre ce que les autres m'ont dit être une chapelle, en triste état. Mes doutes se sont avérer exactes. Les trace de sang sécher et noircit par des années, les nombreux impacts de fusils laser et ballistiques ainsi que la destruction minutieuse des symboles religieux confirme que ce vaisseau fut attaquer par des forces extérieur pui abandonné il y a de nombreuses années. Nous sommes sur une épave perdu dans l'Immaterium. Je me réjouit que le prêtre nous a pas suivit, il aurait surement été emplit d'une fureur divine a ce spectacle.
Notre Adeptus Mechanicus a essayer de comunier avec l'esprit du vaisseau. Mais ce fut un échec. Notre Adeptus nous dit que l'esprit est ancien et qu'il utilise un ancien langage complètement incompréhensible. Sommes-nous tomber dans un tombeau n'ayant plus connu l'univers depuis des millénaires?
Il y a des choses encores vivantes dans ce vaisseau. On entend les pase lourds et métalliques de créatures s'appochrant au loin. Je pris que ce sont des serviteurs, rien d'autre d'humain n'aurait survécu aussi longtemps sur une épave... Je dois aider mon collègue en tenu orange a barricader les entrés. On ne peut pas être trop prudent.
Mes prières ont été entendu. C'était effectivement un serviteur. Mais il était étrange. Il est entré en courant dans la pièce et il a attaqué notre Adeptus Mechanicus. Les fous de la gachette lui ont pulvérisé la jambe et le serviteur s'est écrouler. Inactif... notre adeptus a essayer d'en tirer de l'information, mais il n'y a toujours rien d'accessible. Je commence a penser qu'il est incompétent, sauf pour ouvrir les portes.
Mon plan a trop bien marché. Les autres refuses de me voir prendre des risques. Je dois rester intact car je suis leur seul chance de quitter l'Immaterium. Mais je me sens complètement inutile a suivre le groupe sans rien faire ou rien dire. Je crois que je vais aller de l'avant a travers nos barricades pour aller voir ou mène les escaliers. Apres tout, pour moi ce n'est pas des obstacles et je ne craint pas quelques serviteurs...
Le combat vient de prendre fin et j'ai encore une fois eu aucune utilité. Pire encore, je me suis montrer lamentable en gaspillant mon énergie pour rien. Sous la chapelle, il y avait un corridor reliant les deux escaliers en colimaçon. Au centre du couloir, une seule porte. Lorsque l'Adeptus Mechanicus ouvrit la porte, il fut attaqué par deux créature aviaire possédant de nombreux implants mécaniques. Heureusement, il réussit a éviter le coup. Du bout du couloir opposé, trois serviteurs sont apparus. La femme mercenaire a dégommer les 3 serviteurs qui se précépitaient vers nous depuis le fond du couloir. Ne sachant pas si les créatures aviaires possédaient encore une conscience, oserait-je dire une âme, j'ai essayé de déchaîner les effets dévastateurs de l'Immaterium en eux. Résultats des courses, j'ai eu l'air pittoyable en gaspillant mes forces pour rien. L'adeptus, l'esclave et même l'astropath ont aussi été utile en dégommant des serviteurs aviaires et en bloquant la porte. Par contre, l'esclave nous a montrer sa témérité en chargeant dans la pièce contre les recommandations de l'adeptus. Résultat des courses, il est blessé à la jambe. Cela va ralentir le groupe de se trainer un blesser. Pourquoi il refuse catégoriquement que j'aille au combat, moi je peux me guérir.
La témérité de notre allié a eu une bonne conséquence, il m'a refilé son épée a chaine. Au prochain combat, je vais leur montrer ce que je sais faire...
J'ai mal jugé l'Adeptus. Dans le dernier deux heures, il a fabriqué des petites machines dont l'esprit permettra à une personne de passer inapercu au yeux des serviteurs. Malin... mais il n'a pu en fabriquer que quatre... et je suis le seul a ne pas en recevoir. Ils disent qu'ils vont tester l'efficatité de sa création en entrant dans la pièce, sans moi. Je suis inutile...
Seulement quelques secondes apres leur entré dans la pièce, j'ai entendu des cris d'horreurs et des bruits de combat. J'ai chargé dans la pièce pour voir l'Adeptus être attaqué par les serviteurs, il était blessé. J'en avais assez de voir les gens avec des systèmes immunitaires aussi faible se faire blesser. Je me suis donc placé entre l'Adeptus et le plupart de ses assaillants l'épée impatiente de pulvériser de l'acier entre mes mains. J'ai réussit a faire de grandes taillades des les serviteurs et a les occupés suffisemment longtemps pour que mes alliés les détruises avec leurs armes. J'ai enfin été utile a quelques choses.
La piece donnait sur des corridors menant à une pièce remplit de tapis, de tapisseries et autres produits de grand luxe. Je pense même avoir vu du bois. Cet endroit devait être les quartiers du capitaine ou, au minimum, une section réservé aux officiers. Un grand signe, qui m'est inconnu, est dessiner sur le sol.Probablement le symbole d'une famille noble. Un grand escalier a mener à une pièce similaire, mais avec des traces de combats. Le sang sécher nous a mener dans une pièce contenant de grandes cuves de stase. L'astropath a expliqué que ces cuves servaient a faire dormir et a conserver les voyageurs. Certaines cuves étaient encore occupées. Nous devrions tirés ces pauvres naufragés de leur « sommeil sans rêve » comme le dit l'Astropath. Mais je ne suis pas indiqué pour la tache... personne ne veut se réveiller au spectacle cauchemardesque de mon visage.
Nous avons aussi trouver dans cette pièce des squelettes, dont un de navigateur. Probablement les officiers du pont. L'astropath s'est équiper avec l'armure trouvé sur un squelette. L'esclave a pris une arme archaïque. Il y avait aussi une arme d'origine clairement xénos. J'ai rien voulu savoir de cette chose...
Sinon, une porte menait vers un bibliothèque! Je rêve, des livres! Je n'ais qu'une envie, lorsque le vaisseau sera rapporter dans le materium, je vais me plonger dans l'étude de ces livres. Il y a peut-être des cartes inconnue et des informations précieuses. Mais je n'ais pas le temps de faire des recherches maintenant. Nous avons localiser des escaliers menant surement au pont. Je dois me mettre au travail.
J'ai été attaqué lorsque je me précipitais à gravir les marches. On m'a tiré dessus... je ne savais pas que les lasers pincaient autant lorsqu'ils forraient dans les entrailles. J'ai tout de suite eut l'impression que ces nouveaux adversaires étaient des humains. Pire encore, ils semblaient tenter de nous empêcher d'arriver au pont. L'adeptus mechanicus a essayé de me suivre et il a aussi subit des tires qui l'ont salement amoché au bras droit. Je devaient agir vite pour les empêcher de tirer sur mes alliés et moi même qui étions complètement a découvert. J'ai donc rampé le plus rapidement possible pour arriver dans la pièce. J'ai tout de suite reconnu nos adversaires. Un groupe similaire au nôtre en tout point : un navigateur, un guerrier, un astropath, un prêtre, et un adeptus mechanicus. Je n'avais jamais rencontrer de prêtre de ma vie et voilà que j'en croise deux le même jour. Décidémment, ils doivent être comme les cafards. J'ai décidé d'utiliser la peur que j'induis chez les hommes pour causer un peu de chaos dans leur rang. Cela a que trop bien marché, lorsque j'ai tiré ma capuche pour révéler ma forme dissimulé en criant un profond cri de rage que je refoulais depuis mon réveille sur cet épave, leur groupe s'est effondré. L'adeptus mechanicus tomba inconscient sur le sol, le prêtre fut paralyser de peur et le guerrier perdit tous ses moyens. Ne restait que l'astropath et le navigateur qui pouvait opposer une résistance. Les deux commencèrent a vouloir retraiter dans une autre salle, mais j'ai décidé d'essayer de mettre hors d'état de nuire le navigateur. C'est alors suivit une effusion de sang quand mes alliés ont fait rapidement tuer tous les membres du groupe, sauf pour l'adeptus mechanicus adversaire qui a réussit a se rendre. On pourra apprendre beaucoup de chose en le questionnant. Mais je ne veux pas perdre mon temps avec cela. Je dois prendre contrôle de ce vaisseau et le sortir de l'Immaterium.
Maudit soit Sigmund et tous ses pirates. Maudit soit l'Immaterium et l'univers tout entier pour m'arracher le dernier vestige de mon ancienne existence au sein de notre flotte bien aimée. Fizza... je m'excuse de n'avoir pas pu te protéger ou t'arracher des griffes de Sigmund. Je ne comprend pas ce qui s'est passé sur le pont de l'Executor. Nous étions tous là: toi si belle et fragile, Sigmund te tenant en otage avec son pistolet braquer contre ta delicate tempe, les quelques serviteurs pirates priant l'esprit machine du vaisseau pour essayer de maitriser le chaos des combats dans le vieux batiment. Sigmund me crie de déplacer le vaisseau pour fuir ce guet-apens. Il me crit de nous projeter dans l'Immetarium pour nous faire ressortir loin d'ici. Si je ne le fais pas, il te tue avec son pistolet. Si je le fais, nous perdons notre seul chance de liberté et probablement nos vies a courte échéance. Mais je ne peux pas le regarder te tuer. Je ne pouvais pas... Est-ce que j'ai projeté le vaisseau dans l'Immaterium ,je ne m'en souviens plus. Si oui, les combats auraient pu endommager le générateur du champ de Gellar... ce qui pourrait expliquer le choas qui suivit et qui habite toujours mon esprit. Tout ce que je sais, c'est que j'ai vu la peur sur ton visage parfait. Tu as certainement vu ces bras fantomatiques qui m'ont saisis aussi bien que moi. Je n'oublierai jamais l'expression de ton visage comme le temps semblait faire halte. Fizza... je t'ais perdu. Tu es probablement morte aumain de Sigmund ou pire encore, dans par la conscience malveillante de l'Immaterium. Cette pensée me fait trembler de fureur. J'aurai tellement voulu nous libérer de nos chaines... ton plan aurait pu réussir.
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Je dois me concentrer, prendre la mesure de la situation présente. Je ne suis pas seul dans cette petite piece. Mon premier reflexe est de bien me dissimuler dans mes amples robes et de tirer ma capuche. Je me suis réveillé dans une couchette, je me m'attendais pas a cela. Je vois un homme ayant l'air désorienté, portant des habits oranges uniforme et tachés d'un sang épais dont l'odeur et la fraicheur me pique la langue. Il une grosse arme comme on en vois sur les guerriers. Mais elle fut utiliser récemment... comme l'atteste le sang qui coule de sa chaine. Un fait étrange, il porte un gros collier au cou. J'ai déjà vut de ses colliers dans les cales de l'Executor. Les esclaves ne pouvant pas etre lobotimiser pour servir de chair a canon portaient ces colliers explosifs. Il est donc un esclave... je viens de vérifier, je n'ais pas de collier. Sigmund n'a pas juger bon de m'en attacher un... La seul vu de ce collier réveille ma rage.
Il s'approche d'un autre homme étendu sur une couchette et braque son flingue contre sa tempe. Ces deux là ne sont pas copains. Le deuxième homme porte un bandeau sur les yeux, comme Fizza. Sur son bandeau je peux lire en Haut Gothique : Vérité. Jumeler avec ses robes, je devine que l'homme en facheuse posture n'est nul autre qu'un astropath. Il connait surement Fizza... je devrait intervenir pour sauver sa vie pour le questionner.
Une monstruosité méchanique est intervenu finalement. Je dit monstruosité car le troisième homme est plus machine qu'homme, il a manifestement choisit de se greffer ses choses et d'ajouter l'esprit machine a son corps. Je suis né comme je suis... je n'ais eu aucun choix. C'est dans la volonté de devenir ce que l'on n'est pas... devenir non humain... que se trouve la vrai monstruosité. Pas dans les épreuves qui nous sont imposées contre notre gré. Il discute ensemble, dois-je me montrer? Leur parler? Les gens ne reagissent jamais bien a ma rencontre...
Une femme pouvant etre jolie, si ce n'était pour l'expression dure et calculateur de son regard, se lève soudain et se dirige vers la porte avec le plus gros flingue que j'ai vu de ma vie. Elle tire contre le loquet de la porte. Je comprend alors que nous sommes enfermés. Mon coeur se met a battre a tout rompre. Mon souffle devient court. Je ne veux pas etre encore une fois prisonnier. Malgré la puissance du laser ayant sortie du fusil de l'inconnue, la porte n'a pas bronchée. Nous sommes prisonniers.
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J'ai discuté avec les autres. Leur regard épouvantés lorsqu'ils m'ont vu sortir de ma couchette me confirma que les mutants sont aussi mal vu ici qu'ailleur. Ils sont plutot grossier, sauf pour l'astropath qui me traite avec un respect et une révérence que je n'avais plus connu depuis l'époque du Resolute. Malheureusement, il ne connait pas Frizza... ou Sigmund. On a un peu partagé nos histoires... et ils sont tous assez similaire. L'Immaterium nous a tous attirer ici soudainement. Cette pensée est déconcertante. Pire, nous avons trouver un grand homme en vêtement blanc avec un lance-flamme à la main, sentant encore la fumée grasse de chair qui brule, est couché sur une couchette du fond. Selon les contes de ma mère, ce doit être une prêtre de l'Empereur dieu. Horreur, mes parents m'ont toujours dit que je devais éviter a tous pris ces fous xénophobes et paranoïaque qui terminerais mon existence dans un feu purificateur. L'emprisonnement avec un de ses prêtres aussi bien armé risque d'être de courte durée.
Heureusement pour moi, le prêtre semble en plein délire psychoreligieux et ne porte pas trop d'attention a nous.
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Que l'oeil soit loyé !! L'Adeptus Mechanicus, le nom que semble donner les autres au technicien monstrueux, a réussit a ouvrir cette satanée porte. Je respire mieux et mes pensées s'éclaircissent. Je me rend soudain compte de l'appel de l'Immaterium qui se situe juste derrière un champ de Gellar. Nous sommes sur un vaisseau dans l'Immateirum !! J'ai fait tout de suite part a mes collègues d'infortune, comme cela mon utilité est évidente pour tout le monde. J'ai peut-être réussit a me protéger du prêtre.
Celui-ci ne nous a pas suivit tant il était perdu dans ses pensées. Ca m'angoisse... a quoi pense ce lunatique??
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Ce vaisseau semble désert. Nous avons traverser un dédale de corridors vides, ne laissant voir aucune trace de vie. Est-ce que ce vaisseau serait une épave dérivant dans l'Immaterium? Mon sang se glace a cette pensée. Nous devons rapidement nous rendre sur le pont pour nous tirer de se mauvais pas. Malheureusement , nous sommes sur le 15 étage. Mais bon, nous avons trouver des escaliers, restent plus qu'à monter.
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Notre exploration nous a mener dans un grand hangar situé contre ce que les autres m'ont dit être une chapelle, en triste état. Mes doutes se sont avérer exactes. Les trace de sang sécher et noircit par des années, les nombreux impacts de fusils laser et ballistiques ainsi que la destruction minutieuse des symboles religieux confirme que ce vaisseau fut attaquer par des forces extérieur pui abandonné il y a de nombreuses années. Nous sommes sur une épave perdu dans l'Immaterium. Je me réjouit que le prêtre nous a pas suivit, il aurait surement été emplit d'une fureur divine a ce spectacle.
Notre Adeptus Mechanicus a essayer de comunier avec l'esprit du vaisseau. Mais ce fut un échec. Notre Adeptus nous dit que l'esprit est ancien et qu'il utilise un ancien langage complètement incompréhensible. Sommes-nous tomber dans un tombeau n'ayant plus connu l'univers depuis des millénaires?
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Il y a des choses encores vivantes dans ce vaisseau. On entend les pase lourds et métalliques de créatures s'appochrant au loin. Je pris que ce sont des serviteurs, rien d'autre d'humain n'aurait survécu aussi longtemps sur une épave... Je dois aider mon collègue en tenu orange a barricader les entrés. On ne peut pas être trop prudent.
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Mes prières ont été entendu. C'était effectivement un serviteur. Mais il était étrange. Il est entré en courant dans la pièce et il a attaqué notre Adeptus Mechanicus. Les fous de la gachette lui ont pulvérisé la jambe et le serviteur s'est écrouler. Inactif... notre adeptus a essayer d'en tirer de l'information, mais il n'y a toujours rien d'accessible. Je commence a penser qu'il est incompétent, sauf pour ouvrir les portes.
Mon plan a trop bien marché. Les autres refuses de me voir prendre des risques. Je dois rester intact car je suis leur seul chance de quitter l'Immaterium. Mais je me sens complètement inutile a suivre le groupe sans rien faire ou rien dire. Je crois que je vais aller de l'avant a travers nos barricades pour aller voir ou mène les escaliers. Apres tout, pour moi ce n'est pas des obstacles et je ne craint pas quelques serviteurs...
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Le combat vient de prendre fin et j'ai encore une fois eu aucune utilité. Pire encore, je me suis montrer lamentable en gaspillant mon énergie pour rien. Sous la chapelle, il y avait un corridor reliant les deux escaliers en colimaçon. Au centre du couloir, une seule porte. Lorsque l'Adeptus Mechanicus ouvrit la porte, il fut attaqué par deux créature aviaire possédant de nombreux implants mécaniques. Heureusement, il réussit a éviter le coup. Du bout du couloir opposé, trois serviteurs sont apparus. La femme mercenaire a dégommer les 3 serviteurs qui se précépitaient vers nous depuis le fond du couloir. Ne sachant pas si les créatures aviaires possédaient encore une conscience, oserait-je dire une âme, j'ai essayé de déchaîner les effets dévastateurs de l'Immaterium en eux. Résultats des courses, j'ai eu l'air pittoyable en gaspillant mes forces pour rien. L'adeptus, l'esclave et même l'astropath ont aussi été utile en dégommant des serviteurs aviaires et en bloquant la porte. Par contre, l'esclave nous a montrer sa témérité en chargeant dans la pièce contre les recommandations de l'adeptus. Résultat des courses, il est blessé à la jambe. Cela va ralentir le groupe de se trainer un blesser. Pourquoi il refuse catégoriquement que j'aille au combat, moi je peux me guérir.
La témérité de notre allié a eu une bonne conséquence, il m'a refilé son épée a chaine. Au prochain combat, je vais leur montrer ce que je sais faire...
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J'ai mal jugé l'Adeptus. Dans le dernier deux heures, il a fabriqué des petites machines dont l'esprit permettra à une personne de passer inapercu au yeux des serviteurs. Malin... mais il n'a pu en fabriquer que quatre... et je suis le seul a ne pas en recevoir. Ils disent qu'ils vont tester l'efficatité de sa création en entrant dans la pièce, sans moi. Je suis inutile...
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Seulement quelques secondes apres leur entré dans la pièce, j'ai entendu des cris d'horreurs et des bruits de combat. J'ai chargé dans la pièce pour voir l'Adeptus être attaqué par les serviteurs, il était blessé. J'en avais assez de voir les gens avec des systèmes immunitaires aussi faible se faire blesser. Je me suis donc placé entre l'Adeptus et le plupart de ses assaillants l'épée impatiente de pulvériser de l'acier entre mes mains. J'ai réussit a faire de grandes taillades des les serviteurs et a les occupés suffisemment longtemps pour que mes alliés les détruises avec leurs armes. J'ai enfin été utile a quelques choses.
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La piece donnait sur des corridors menant à une pièce remplit de tapis, de tapisseries et autres produits de grand luxe. Je pense même avoir vu du bois. Cet endroit devait être les quartiers du capitaine ou, au minimum, une section réservé aux officiers. Un grand signe, qui m'est inconnu, est dessiner sur le sol.Probablement le symbole d'une famille noble. Un grand escalier a mener à une pièce similaire, mais avec des traces de combats. Le sang sécher nous a mener dans une pièce contenant de grandes cuves de stase. L'astropath a expliqué que ces cuves servaient a faire dormir et a conserver les voyageurs. Certaines cuves étaient encore occupées. Nous devrions tirés ces pauvres naufragés de leur « sommeil sans rêve » comme le dit l'Astropath. Mais je ne suis pas indiqué pour la tache... personne ne veut se réveiller au spectacle cauchemardesque de mon visage.
Nous avons aussi trouver dans cette pièce des squelettes, dont un de navigateur. Probablement les officiers du pont. L'astropath s'est équiper avec l'armure trouvé sur un squelette. L'esclave a pris une arme archaïque. Il y avait aussi une arme d'origine clairement xénos. J'ai rien voulu savoir de cette chose...
Sinon, une porte menait vers un bibliothèque! Je rêve, des livres! Je n'ais qu'une envie, lorsque le vaisseau sera rapporter dans le materium, je vais me plonger dans l'étude de ces livres. Il y a peut-être des cartes inconnue et des informations précieuses. Mais je n'ais pas le temps de faire des recherches maintenant. Nous avons localiser des escaliers menant surement au pont. Je dois me mettre au travail.
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J'ai été attaqué lorsque je me précipitais à gravir les marches. On m'a tiré dessus... je ne savais pas que les lasers pincaient autant lorsqu'ils forraient dans les entrailles. J'ai tout de suite eut l'impression que ces nouveaux adversaires étaient des humains. Pire encore, ils semblaient tenter de nous empêcher d'arriver au pont. L'adeptus mechanicus a essayé de me suivre et il a aussi subit des tires qui l'ont salement amoché au bras droit. Je devaient agir vite pour les empêcher de tirer sur mes alliés et moi même qui étions complètement a découvert. J'ai donc rampé le plus rapidement possible pour arriver dans la pièce. J'ai tout de suite reconnu nos adversaires. Un groupe similaire au nôtre en tout point : un navigateur, un guerrier, un astropath, un prêtre, et un adeptus mechanicus. Je n'avais jamais rencontrer de prêtre de ma vie et voilà que j'en croise deux le même jour. Décidémment, ils doivent être comme les cafards. J'ai décidé d'utiliser la peur que j'induis chez les hommes pour causer un peu de chaos dans leur rang. Cela a que trop bien marché, lorsque j'ai tiré ma capuche pour révéler ma forme dissimulé en criant un profond cri de rage que je refoulais depuis mon réveille sur cet épave, leur groupe s'est effondré. L'adeptus mechanicus tomba inconscient sur le sol, le prêtre fut paralyser de peur et le guerrier perdit tous ses moyens. Ne restait que l'astropath et le navigateur qui pouvait opposer une résistance. Les deux commencèrent a vouloir retraiter dans une autre salle, mais j'ai décidé d'essayer de mettre hors d'état de nuire le navigateur. C'est alors suivit une effusion de sang quand mes alliés ont fait rapidement tuer tous les membres du groupe, sauf pour l'adeptus mechanicus adversaire qui a réussit a se rendre. On pourra apprendre beaucoup de chose en le questionnant. Mais je ne veux pas perdre mon temps avec cela. Je dois prendre contrôle de ce vaisseau et le sortir de l'Immaterium.
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