[Evènement] La guerre des ombres !
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[Evènement] La guerre des ombres !
Cette scène se déroule pendant les premières heures du neuvième jour de sommerzeit.
La guerre des ombres !
La guerre des ombres !
Arggg !!
L’homme cracha une gerbe de sang avant de mettre un genou à terre. Il balayait les environs du regard, mais il ne vit rien. Pourtant, un autre objet perforant vint déchirer sa chair juste au niveau du cou. Il tâta l’objet en question et il ressemblait à une toute petite aiguille. Le plus inquiétant c’était qu’il semblait être légèrement poisseux. En même temps, il connaissait les ficelles du métier.
Il tenta de se relever, mais une fois debout, il fut pris de violents vertiges et il du revenir à sa position initiale sous peine de s’écrouler définitivement.
Les environs étaient silencieux et déserts.
Les salauds, tapis dans l’ombre, ils doivent attendre que je sois en train d’agoniser pour venir m’achever.
Arggg !!
Putain !! Leur saloperie de poison me brûle les veines.
Sa vue se brouilla petit à petit et ses membres s’engourdirent au fil des secondes qui s’écoulaient aussi lentement qu’un ruisseau à la fin d’un été caniculaire. Son corps ne répondait plus et il s’écroula sur le sol en ayant la bouche grande ouverte. Cette dernière répandait sur le sol fait en terre battue un mélange de bave et de sang.
Renier était encore en vie, mais pour combien de temps ? Il était incapable de faire le moindre geste. Même ses yeux, il avait du mal à les bouger. Cette tétanie générale devait être sûrement dû à la substance dont étaient enduites les aiguilles. Du travail de pro couplé à une sournoiserie sans borne. Malgré son expérience, il s’était fait acculer en ayant l’impression de n’être qu’un gamin de cinq ans.
Des silhouettes s’approchèrent de lui. Sa vision était devenu trop déficiente pour les discerner correctement. Il ne fit qu’entendre vaguement leur propos avant de tomber dans un profond coma.
Renier se dit pour lui-même que ses agresseurs avaient une drôle de manière de s’exprimer.
Pourquoi se sentent-ils obliger de répéter certains mots dans leurs phrases ?
Puis, ce fut le trou noir.
L’homme cracha une gerbe de sang avant de mettre un genou à terre. Il balayait les environs du regard, mais il ne vit rien. Pourtant, un autre objet perforant vint déchirer sa chair juste au niveau du cou. Il tâta l’objet en question et il ressemblait à une toute petite aiguille. Le plus inquiétant c’était qu’il semblait être légèrement poisseux. En même temps, il connaissait les ficelles du métier.
Il tenta de se relever, mais une fois debout, il fut pris de violents vertiges et il du revenir à sa position initiale sous peine de s’écrouler définitivement.
Les environs étaient silencieux et déserts.
Les salauds, tapis dans l’ombre, ils doivent attendre que je sois en train d’agoniser pour venir m’achever.
Arggg !!
Putain !! Leur saloperie de poison me brûle les veines.
Sa vue se brouilla petit à petit et ses membres s’engourdirent au fil des secondes qui s’écoulaient aussi lentement qu’un ruisseau à la fin d’un été caniculaire. Son corps ne répondait plus et il s’écroula sur le sol en ayant la bouche grande ouverte. Cette dernière répandait sur le sol fait en terre battue un mélange de bave et de sang.
Renier était encore en vie, mais pour combien de temps ? Il était incapable de faire le moindre geste. Même ses yeux, il avait du mal à les bouger. Cette tétanie générale devait être sûrement dû à la substance dont étaient enduites les aiguilles. Du travail de pro couplé à une sournoiserie sans borne. Malgré son expérience, il s’était fait acculer en ayant l’impression de n’être qu’un gamin de cinq ans.
Des silhouettes s’approchèrent de lui. Sa vision était devenu trop déficiente pour les discerner correctement. Il ne fit qu’entendre vaguement leur propos avant de tomber dans un profond coma.
Renier se dit pour lui-même que ses agresseurs avaient une drôle de manière de s’exprimer.
Pourquoi se sentent-ils obliger de répéter certains mots dans leurs phrases ?
Puis, ce fut le trou noir.
Re: [Evènement] La guerre des ombres !
Cette scène se déroule pendant la journée du neuvième jour de sommerzeit !
La journée était déjà bien avancée et la petite silhouette avançait avec prudence dans les ruelles des bas quartiers de Rouage. Son angoisse était tellement grande qu’il en oublia même ses démangeaisons compulsives. Il ne comprenait pas ce qui se passait, enfin, il s’en doutait, mais avait du mal à l’admettre. Plusieurs de ses comparses manquaient à l’appel et il les cherchait depuis ce matin. Même Renier avait disparu … De toutes les disparitions qu’il avait constaté, c’était de loin la plus flippante. Il n’était pas homme à se faire prendre ou supprimer si facilement. Quelque chose clochait et de toute évidence cela n’augurait rien de bon pour lui.
Là, il se dirigeait vers la cabane où habitait "Belette". C’était une vieille harpie, mais elle était une bonne source d’information et membre de l’organisation. Son mauvais caractère était insupportable, sans parler de son odeur de fruits de mer avariée, mais bon, elle faisait partie de la bande. Il se devait d’aller la voir.
Très vite, il comprit qu’il était arrivé trop tard. La petite cabane était vide. Inutile de chercher des traces d’effractions dans ce bric à braque de planches et autres matériaux qu’elle avait récupéré ça et là. Vide, il n’y avait personne et aucune trace de lutte. Aussi discret et efficace qu’un coup de poignard dans le dos, dans une petite ruelle, un soir sans lune.
Skritch fouilla vaguement la pièce à la recherche d’un indice qui pourrait confirmer son hypothèse. Il ne fut pas long à venir, des petites gouttes de sang perlaient sur le sol. Son visage esquissa une grimace et ses besicles cachaient la tristesse qu’affichait désormais son regard.
Il quitta la mansarde en restant sur ses gardes. Sans plus attendre, il s’engouffra dans la première ruelle qui se présenta à lui. Un bref regard par-dessus son épaule pour voir si tout allait bien. Personne ne le poursuivait, pourtant, il se sentait observé. Très vite, il sut que son tour était venu …
Là, il se dirigeait vers la cabane où habitait "Belette". C’était une vieille harpie, mais elle était une bonne source d’information et membre de l’organisation. Son mauvais caractère était insupportable, sans parler de son odeur de fruits de mer avariée, mais bon, elle faisait partie de la bande. Il se devait d’aller la voir.
Très vite, il comprit qu’il était arrivé trop tard. La petite cabane était vide. Inutile de chercher des traces d’effractions dans ce bric à braque de planches et autres matériaux qu’elle avait récupéré ça et là. Vide, il n’y avait personne et aucune trace de lutte. Aussi discret et efficace qu’un coup de poignard dans le dos, dans une petite ruelle, un soir sans lune.
Skritch fouilla vaguement la pièce à la recherche d’un indice qui pourrait confirmer son hypothèse. Il ne fut pas long à venir, des petites gouttes de sang perlaient sur le sol. Son visage esquissa une grimace et ses besicles cachaient la tristesse qu’affichait désormais son regard.
Il quitta la mansarde en restant sur ses gardes. Sans plus attendre, il s’engouffra dans la première ruelle qui se présenta à lui. Un bref regard par-dessus son épaule pour voir si tout allait bien. Personne ne le poursuivait, pourtant, il se sentait observé. Très vite, il sut que son tour était venu …
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