(Warhammer Next Gen) les enfants d'Halibel et Heinrich

Voici la présentation de tous les gamins...Les photos arrivent bientot!

Jack

Voici Jack, premier fils d’Halibel et Heinrich, frère jumeau de la belle Rose. C’est un jeune homme assez grand, plutôt bien bâti, mais à qui le noir colle à la peau. Toujours vêtu de vêtements sombres et longs. Un chapeau éternellement collé à son crâne, noir bien sûr, et qui cache le trait hérité de son paternel qu’il ne supporte pas : son strabisme. Moins prononcé que celui d’Heinrich, il est impressionnant de voir à quel point son œil gauche cherche à fuir lorsqu’il regarde en l’air. Pour corriger cela, de légères lunettes fines retombent sur son nez, qui n’a heureusement pas de similitude avec celui du paternel.

Depuis sa vingtième année, il porte à la ceinture, la plupart du temps deux énormes revolvers. Offerts par Christina sa marraine, faits spécialement pour sa corpulence, le Casual et le Jackall sont des œuvres d’art. Sobres et noirs mais rudement bien réalisés. Le parrain, Alucard, y a ajouté sa petite touche personnelle. Plus imperceptible, empreinte de finesse ce qui les a un peu colorés.

Jack est un beau parleur. Ca au moins il ne le reproche pas à son père mais il se sent à l’aise lors de discussions avec des femmes. Sauf que lui est moins moche. Il s’amuse souvent à le faire remarquer à son père qui en rigole en regardant Halibel. « Tu trouves que ta mère est moche ? Moi je ne suis pas beau, et ça m’a pas empêché d’épouser la plus belle femme qui existe non ? Elle est où ta femme d’ailleurs ? » le chambrait souvent le Middenheimer. Tout aussi mauvais caractère que le mage, il avait pourtant eu quelques conquêtes : Marie, une mignonne petite impériale, fille de paysan, grande fan des bottes de pailles et des couchers de soleil. Ruth en revanche, il n’en était pas très fier. Première cuite avec son père, dans une taverne pas forcément nette. Une serveuse, pas très belle, prénommée Ruth, leur amenait à boire en aguichant Jack du regard. Heinrich, pas assez sobre pour l’empecher de faire une bêtise, réussit à rentrer au foyer en le laissant sur ses mots « Surtout sois un gentleman, ça a bien marché avec ta mère hé ». Mais de gentilhomme il n’y en eut point : ce fut sauvage, violent même et surtout sans lendemain. Et enfin Analya, une lointaine cousine d’Aenarielle, quelque chose du genre qui lui avait tapé dans l’œil méchamment. Mais tout comme la princesse elfe, elle se la jouait genre je vous suis supérieure, trop forte, trop belle, trop elfe…Même si c’est vrai qu’elle était magnifique !! Il avait essayé de l’aborder, mais les concurrents se bousculaient aussi il préféra aller bouder dans son coin. Mais il parvint à se retrouver seul avec elle, et effectivement s’est comporté tel un gentleman. Ce en était resté à ce point, ce qui le frustrait fortement, mais on ne fait jamais ce que l’on veut.

Jack a également des sales manies. Aller s’entraîner aux pistolets au beau milieu de la nuit, car il faut pas se laisser aller, et puis parce que ça fait chier les voisins aussi. Faire du sport, pour garder la forme. Il peut voir les vents de magie, mais ça ne l’intéresse pas trop pour l’instant. Et enfin il est ultra protecteur avec Rose, mais également avec ses autres frères et sœur. Un pur grand frère quoi ! Alucard et Heinrich lui faisant régulièrement la leçon.

Rose

La première fille d’Heinrich, la très belle Rose. Elle a hérité de sa mère sa peau douce et mate, contrastant avec le profond vert de ses yeux, sa chevelure brune tombant sur ses épaules. Deux petites mèches roses au dessus de son front lui donnent un charme fou, et un attractivité surnaturelle. Tout comme sa mère.

Elle a aussi le coté sérieux et froid de sa mère, et de sa marraine Aenarielle. Toujours calme avec des répliques souvent cassantes, elle ne sourit que très peu, notamment aux étrangers, ce qui lui donne un petit air hautain. Cela dit, elle a un petit changement de personnalité dès qu’un garçon lui plait. Si le terme « minauder » n’existait pas avant, il faudrait l’inventait pour elle. Que ce soit parce que le gars en question est mignon ou juste pour embeter un peu Heinrich et Jack qui font preuve d’une possessivité incroyable envers elle.

Surtout Jack d’ailleurs ! Il prends son role de grand frère beaucoup trop au sérieux, et tout ça par la faute du paternel, avec son obsession de « protéger les femmes et les plus jeunes »…gniah gniah gniah… Heureusement qu’elle dispose d’une arme contre laquelle ils ne peuvent lutter : son chant ! Elle chante divinement bien, ce qui les calme le temps qu’elle change de sujet.

Cependant, si ce chant est si mélodieux, il a un double emploi. Aenarielle et Halibel lui ont appris à dompter docilement les vents de magie grâce à cela. Connaissant toutes deux plus que bien le caractère d’Heinrich, un peu trop…désinvolte, elles lui apprirent à créer de puissants boucliers et protections magiques, en se disant que ses frères auraient récupérer ce trait.

Elle a passé beaucoup de temps avec les deux femmes qui lui donnèrent moult conseils pour sa vie d’adulte. « Les hommes sont si bêtes » disaient elles presque en cœur, les yeux perdus dans le vague, comme si leur pensées étaient tournées vers des individus en particulier.

Elle aussi a pas mal voyagé, pas toujours avec Jack, ce qui avait le don incroyable de le mettre en rogne. C’est d’ailleurs au cours d’une de ses petites escapades qu’elle s’amouracha d’Alalion, jeune elfe poète, blond etc… Heinrich fut très content lorsque cette amourette capota, car il avait tout du pur elfe, avec toutes les connotations péjoratives que cela implique. Vint ensuite un petit humain, nommé Pierre…Il ne plaisait pas à Gaspard, le parrain, et en plus s’est permis une remarque désobligeante à son égard….Il ne plaira plus jamais à personne.

Rose a grandi, a un peu oublié les garçons pour le moment, elle se consacre à l’étude du monde, de la magie, de la politique, tout et n’importe quoi…Et Jack aux basques…

Annabelle

Le petit joyau de la collection, la douce et belle Annabelle. A peine arrivée à ses dix-sept printemps, elle est aussi belle que la grande, plus même. Pas étonnant qu’elle soit la préférée d’Heinrich, même s’il affirme traiter tous ses enfants avec autant d’attention. Halibel et son homme ont choisis de la nommer ainsi par respect pour celle qui a tant fait pour eux. Mais contrairement à son homonyme, elle souffre d’une grande timidité, qui est presque maladive. De grands yeux d’un bleu glacial, qui rendent la glace jalouse de pureté. Des cheveux atypiques, bleus violets et qui donnent une irrépressible envie d’y plonger la main dedans.

Elle passe beaucoup de temps assisse dans l’herbe à regarder passer les nuages, ou à regarder Jack s’amusait et faire des pitreries. Elle admire énormément ses frères et sœur, surtout les jumeaux, peut être parce qu’ils sont plus âgés qu’elle. Elle est déjà sortit deux ou trois fois, accompagné de Rose et Jack : C’est toujours la même chose. Un garçon de son âge la regarde, de face en la croisant puis de dos, et le pauvre se retrouve soudainement à croiser le regard plein de colère de Jack, archi protecteur, et il baisse la tête avant de s’effacer complètement. Rose lui dit qu’ainsi elle ne trouverait jamais de copain, et Jack en rigole en rétorquant qu’il n’avait qu’à être « un lover » au lieu de lui mater le cul ! Et Aenarielle, trop timide se contente de sourire en contemplant la dispute.

Rose et elle passe également pas mal de temps à bavarder. De leur famille, de leurs amis, des voyages et surtout des garçons. Il faut dire que ce n’est pas vraiment facile avec un frangin aussi crétin que Jack, et un père comme Heinrich qui prend tout à la légère, mais la couve un peu trop. « Tu sais ? Ils se calmeront, et puis de toute façon, fait comme tu veux et envoie les se balader de temps à autres, ça leur fera du bien » tempérait la grande sœur. « Bah, ils font ça pour mon bien je suppose » essayait d’argumenter l’adolescente. Et Rose partait alors dans de grands discours, pour la forcer à se révéler, à se confier. Aenarielle se prêtait alors au jeu disant que tel ou tel gamin lui plaisait, mais qu’elle ne savait pas s’il l’avait remarqué…

Forcément, à force de rester planquée tout le temps, c’était pas évident de la remarquer ! Sauf pour Siegfried. Alors qu’elle se cachait derrière un pan de mur, laissant dépasser sa tête elle tomba nez à nez avec une tête bien faite. Un petit blondinet, qui devait avoir découvert le rasoir l’avant veille, assez gaillard et un sourire charmeur. Ceux qui se trouvaient à côté l’auraient vu devenir rouge comme une tomate avant de bafouiller des paroles incompréhensibles pour finir par ne rien dire. Siegfried souriait toujours et lâcha, très naturellement « tu es très mignonne ». Et elle faillit défaillir sur le coup. Mais sans le vouloir elle dit « A la tombée de la nuit, à la porte de la ville ». Se rendant compte qu’elle venait de demander son premier rendez vous elle bafouilla une excuse et s’empressa de partir.

Le reste de la journée s’écoula, pendant lequel elle s’enferma en se demandant s’il fallait y aller ou pas. Puis, après tout Rose avait raison, il fallait qu’elle se trouve un copain ! C’est ainsi qu’elle fréquente le beau Siegfried, la tête de cul de l’image du blond, en armure et tout, mais visiblement ils s’entendent bien. Elle ne l’a dit qu’à Rose car Siegfried est l’archétype du flirt à se faire démolir par Jack avant que celui ci ne pose les questions où ne se présente.

Pour l’instant elle reste très discrète sur ce qui concerne sa famille. Il faut dire qu’ils sortent un peu de l’ordinaire…Quel regard auraient les dieux sur l’union de leur père et de leur mère ? Et surtout que se passerait il si les gens autour savaient ce qu’ont fait ses oncles, qu’Halibel lit dans les pensées et tellement plus… qu’elle même pouvait réaliser des choses impossibles aux être humains. Tous ceux de sa famille autour d’elle ne semblaient pas s’encombrer de ce genre de pensées.

Faut il que comme Jack et Heinrich elle ne prenne presque rien au sérieux, et se ramasser des problèmes régulièrement sur le coin de la figure ? Ou plutôt comme sa belle grande sœur, Rose, studieuse et appliquée, et souriante quoiqu’il arrive ? Elle se doit aussi d’être un exemple pour Dante, si jeune…

Mais ce soir est consacré à Siegfried, il l’amène faire un tour autour des eaux alentours. C’est si romantique !!…

Dante

Et voici le petit dernier de la bande, le plus jeune des enfants d’Halibel et Heinrich, Dante. Agé d’à peine 15 ans, il est de loin le plus turbulent de tous. Dans ces profonds yeux rouges brûle une ardente flamme de vie, qui le pousse à essayer de profiter de tous les plaisirs de la vie, quels qu’ils soient. Pour lui, sous sa tignasse noire ébouriffée, les règles, les ordres et les commandements, c’est de la belle foutaise ! Il ne respecte pas grand-chose : la famille et les Dieux. Les Dieux plus ou moins à contrecœur car ses parents, qui ont somme toute eu certains déboires avec, connaissent bien la portée des bras divins, enclins à mettre de bonnes baffes.

Heureusement, pour l’instant il n’est pas aussi doué que les autres en ce qui concerne la magie, et sa constitution enfantine donne encore un légitime pouvoir aux parents. Hormis son goût démesuré pour tout ce qui touche aux fugues, c’est un gamin plaisant lorsqu’il s’agit de parler avec lui, avoir une vie normale. Il s’est déjà battu une ou deux fois avec Jack, ce dernier l’envoyant assez vite valser avec une grosse bosse sur le crâne. Tout ça pour se faire consoler par ses deux grandes sœurs, qui accusaient le grand frère d’être le méchant… Ce qui amusait beaucoup Jack et qui finissait en grande rigolade générale et autour d’un bon gros repas.

Là, c’est le début de sa crise d’adolescence, et son besoin d’indépendance se fait grandement ressentir. Il a déjà fait une fugue, de deux semaines environ avant que sa mère ne s’en inquiète. C’est Jack et Rose qui furent chargés de le récupérer. Devant le regard emplis de colère de la jeune fille, Dante fut pour la première fois obligé de baisser les yeux et sentit une profonde honte, celle d’avoir déçu sa famille. En passant devant elle, la scène se passait au ralenti, comme un condamné à mort qui passe près d’une guillotine, ne la regarde pas mais sent sa présence, pesante, accusatrice, impitoyable. Rose n’avait prononcé aucun son, esquissé aucun mouvement. Arrivé tout piteux près de Jack, le grand dadet lui mis une grande claque dans le dos et posa sa main sur l’épaule du gamin avec un léger sourire. « Allez viens, ta mère se faisait du mourron ». Voila comment il comprit l’importance et le respect de la famille.

Bien que son cœur soit encore brûlant pour sa liberté, il a prit la décision de rester proche des siens le temps qu’il faudrait. Après tout la liberté est possible, même au sein de la famille ! Il sent cependant bouillir au fond de lui ces sentiments qui le dévorent, qui lui hurle de partir, de vivre sa vie, découvrir le monde et affirmer ce qu’il veut. Et il est rongé par tout cela, balançant sans cesse entre son cœur et sa tête. Sans compter que la montée d’hormone le rend parfois beaucoup plus agressif et réactif qu’avant…

Voila les photos