36ème session : Un Grand-Père Prodigue
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36ème session : Un Grand-Père Prodigue
kontos Dim 18 Déc - 13:23
Bonjour à tous ! 
Après divers remous, la partie a bien eu lieu, et elle fut fort sympathique pour ce qui me concerne
J'espère qu'il en a été de même pour vous, même si cette partie de l'aventure était assez costaude.
Très rapidement, je poste le résumé de la partie précédente (long mais fait à l'arrache) puis le Doodle pour la partie d'après fêtes.
Voilou, comme d'habitude, retours et questions bienvenus pour faire vivre ce forum
Merci à tous pour cette partie agréable et vivement la prochaine !
Après divers remous, la partie a bien eu lieu, et elle fut fort sympathique pour ce qui me concerne
J'espère qu'il en a été de même pour vous, même si cette partie de l'aventure était assez costaude.
Très rapidement, je poste le résumé de la partie précédente (long mais fait à l'arrache) puis le Doodle pour la partie d'après fêtes.
Voilou, comme d'habitude, retours et questions bienvenus pour faire vivre ce forum
Merci à tous pour cette partie agréable et vivement la prochaine !
kontos- Duc/Duchesse
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Re: 36ème session : Un Grand-Père Prodigue
kontos Dim 18 Déc - 13:38
Version longue
Morslieb ayant revêtu sa robe écarlate des mauvais soirs, la nuit ne partait pas sous les meilleurs auspices.
Tour à tour, vous vous êtes relayés, tendus, scrutant avec anxiété le cercle des bois qui enceignait les ruines, théâtre fantomatique d’une terrible attaque chaotique.
C’est lorsque Ron, tous sens en éveil durant son tour de garde, pensa repérer quelques mouvements louches à l’orée des bois que Natasha s’écria, prise de panique suite à un nouveau et épouvantable cauchemar, résidu de votre expérience traumatisante au sein de la cité naine.
Le pisteur ne fut pas le seul à entendre le cri de détresse de la vaillante kislévite : une horde de peaux-vertes, en route pour d’horribles méfaits, soudainement s’intéressa à votre campement exposé, et surtout à vos chevaux, promesse d’un succulent festin.
Le combat s’engagea alors, avec d’abord une Natasha toujours aussi volontaire mais rapidement cernée, un Ron multipliant des traits mortels mais pas toujours précis, épaulé par votre nouvelle force de frappe : Fizban et son art de la magie de Feu, dévastateur.
Esteban lui se rua pour protéger les chevaux, après avoir vidé la charge de ses pistolets sur quelques ennemis lui barrant la route, tint en respect à lui seul une poignée d’adversaires dans une joute digne des plus grands films de cape et d‘épée.
Alors que Natasha se défaisait difficilement d’un gobelin opiniâtre, Snörri, encore plus volontaire qu'à l'accoutumée grâce à la perspective d'étriper un ennemi héréditaire, se jeta dans les rangs adverses, nombreux, et entama un véritable massacre, qui vit son apogée dans un accès de rage, alors que sa hache éclatait de milles feux aux teintes bleutées. Plusieurs orcs, montés pourtant sur de redoutables sangliers de guerre, périrent sous des coups redoublés d’une puissance rare.
Il ne restait alors plus que quelques gobelins prenant encore part au combat, mal gré et sans grande conviction, mais cela leur semblait préférable au châtiment promis par leur maître en cas de retraite.
Ce meneur, une montagne de muscle enserrée dans son armure cabossée parcourue de motif impie, avançait avec une tranquillité déconcertante du haut de son sanglier monstrueux, droit sur Snörri, comme un signe de défi.
La joute malheureusement tourna court car le nain, après tant d’efforts, sombra dans une sorte d’hébétement, tombant à genou, lâchant ses armes, démuni face à l’orc noir se délectant par avance du sort qu’il allait infliger à cet ennemi ancestral.
Une première estocade fit voler le casque du robuste nain, et lui lacéra le visage. Snörri roula dans la boue et la poussière, inerte.
Il ne pouvait voir les pointes fatales de la Morgenstern se découper sur le ciel d’encre, et menacer de s’abaisser en une dernière attaque, létale cette fois-ci.
C’est alors que Natasha, finalement libérée de son assaillant, se jeta désespérément à l’assaut de l’orc noir.
D’un bond, elle s’agrippa à l’arrière de son plastron de plaques, et porta un coup à la bête dans la faille de l’armure, à la base du cou bovin de l’orc. Puis un second.
Dans sa tentative maladroite de se débarrasser de l’intruse, le monstre roula au sol, et, ramassant à la hâte leurs armes dans la fange de la rue, les deux adversaires se firent face, à présent à armes égales, et l’issue ne pouvait être qu’une mort rapide pour la brave kislévite.
Pendant ce temps, le sanglier empli de haine chargeait la carcasse d’un Snörri qui n’avait jamais été aussi près du royaume de Souterre.
L’orc arma son coup... puis s‘embrasa aussitôt, percuté par deux globes incandescents, alors que dans le même temps, une flèche puissante vint se loger dans le cuir animal, chassant la vie dans la carcasse du sanglier.
Morslieb ayant revêtu sa robe écarlate des mauvais soirs, la nuit ne partait pas sous les meilleurs auspices.
Tour à tour, vous vous êtes relayés, tendus, scrutant avec anxiété le cercle des bois qui enceignait les ruines, théâtre fantomatique d’une terrible attaque chaotique.
C’est lorsque Ron, tous sens en éveil durant son tour de garde, pensa repérer quelques mouvements louches à l’orée des bois que Natasha s’écria, prise de panique suite à un nouveau et épouvantable cauchemar, résidu de votre expérience traumatisante au sein de la cité naine.
Le pisteur ne fut pas le seul à entendre le cri de détresse de la vaillante kislévite : une horde de peaux-vertes, en route pour d’horribles méfaits, soudainement s’intéressa à votre campement exposé, et surtout à vos chevaux, promesse d’un succulent festin.
Le combat s’engagea alors, avec d’abord une Natasha toujours aussi volontaire mais rapidement cernée, un Ron multipliant des traits mortels mais pas toujours précis, épaulé par votre nouvelle force de frappe : Fizban et son art de la magie de Feu, dévastateur.
Esteban lui se rua pour protéger les chevaux, après avoir vidé la charge de ses pistolets sur quelques ennemis lui barrant la route, tint en respect à lui seul une poignée d’adversaires dans une joute digne des plus grands films de cape et d‘épée.
Alors que Natasha se défaisait difficilement d’un gobelin opiniâtre, Snörri, encore plus volontaire qu'à l'accoutumée grâce à la perspective d'étriper un ennemi héréditaire, se jeta dans les rangs adverses, nombreux, et entama un véritable massacre, qui vit son apogée dans un accès de rage, alors que sa hache éclatait de milles feux aux teintes bleutées. Plusieurs orcs, montés pourtant sur de redoutables sangliers de guerre, périrent sous des coups redoublés d’une puissance rare.
Il ne restait alors plus que quelques gobelins prenant encore part au combat, mal gré et sans grande conviction, mais cela leur semblait préférable au châtiment promis par leur maître en cas de retraite.
Ce meneur, une montagne de muscle enserrée dans son armure cabossée parcourue de motif impie, avançait avec une tranquillité déconcertante du haut de son sanglier monstrueux, droit sur Snörri, comme un signe de défi.
La joute malheureusement tourna court car le nain, après tant d’efforts, sombra dans une sorte d’hébétement, tombant à genou, lâchant ses armes, démuni face à l’orc noir se délectant par avance du sort qu’il allait infliger à cet ennemi ancestral.
Une première estocade fit voler le casque du robuste nain, et lui lacéra le visage. Snörri roula dans la boue et la poussière, inerte.
Il ne pouvait voir les pointes fatales de la Morgenstern se découper sur le ciel d’encre, et menacer de s’abaisser en une dernière attaque, létale cette fois-ci.
C’est alors que Natasha, finalement libérée de son assaillant, se jeta désespérément à l’assaut de l’orc noir.
D’un bond, elle s’agrippa à l’arrière de son plastron de plaques, et porta un coup à la bête dans la faille de l’armure, à la base du cou bovin de l’orc. Puis un second.
Dans sa tentative maladroite de se débarrasser de l’intruse, le monstre roula au sol, et, ramassant à la hâte leurs armes dans la fange de la rue, les deux adversaires se firent face, à présent à armes égales, et l’issue ne pouvait être qu’une mort rapide pour la brave kislévite.
Pendant ce temps, le sanglier empli de haine chargeait la carcasse d’un Snörri qui n’avait jamais été aussi près du royaume de Souterre.
L’orc arma son coup... puis s‘embrasa aussitôt, percuté par deux globes incandescents, alors que dans le même temps, une flèche puissante vint se loger dans le cuir animal, chassant la vie dans la carcasse du sanglier.
kontos- Duc/Duchesse
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Re: 36ème session : Un Grand-Père Prodigue
kontos Dim 18 Déc - 13:50
Version longue (suite)
Les chevaux saufs, il n’en était pas de même du pauvre Snörri, payant le prix fort pour avoir juguler une vague qui aurait emporté n’importe quel autre de ses camarades sinon.
Gravement blessé, à peine pouvait-il tenir sur ses jambes.
Mais le temps vous pressait, et il fallu repartir.
Le soir venu, vous avez fait escale à Kietchdorf, jadis un village riche de sa position favorable, au croisement de deux voies menant à Wolfenburg et irrigant tous les environs.
A votre arrivée, le décor fut tout autre.
Malgré les efforts manifestes de reconstruction, bien des maisons n’étaient plus que ruines et la majorité des passants se sont dérobé à vos regards, à juste titre car couverts des stigmates d’une maladie féroce.
A l’auberge vous avez demandé gîte et couvert mais aussi l'aide d'un médecin éventuel pour l'infortuné nain.
A la vue de l’or que Fizban faisait rouler depuis sa bourse, le tavernier a alors convié à votre table un érudit faisant halte dans son établissement. Le docte s’est évertué à refermer la plaie du nain aussi proprement que possible, mais ses compétences n’allaient malheureusement pas au-delà.
Une sorte de burgmeister, du nom de Gerhard, vous a également demandé si vous pouviez, durant vos tribulations, ouvrir les yeux et tenter de retrouver son enfant de dix-neuf ans, Johann, disparu depuis quatre mois et, selon lui, victime d’un rapt orchestré par des cultistes sombres. Il devrait encore porter un anneau familial identique à celui de son père.
En échange, le cinquantenaire dépêche un très bon trappeur de sa connaissance, apte à vous conduire à Ruhrhoff, village qu’il vous faudra rejoindre à pied et à travers bois.
Vous passez une nuit réparatrice dans les lits douillets l’ « Assommoir », puis vous repartez pour Ruhrhoff, et la maison des Vorman plus précisément.
Le voyage, long de trois jours, se déroule sans accroc, et en fin de journée, vous voilà arrivés dans ce que l’on nomme Ruhrhoff : un village sinistré, presque qu’entièrement détruit durant la Grande Incursion du Chaos. Entre les bâtiments rasés ou brûlés, subsistent ça et là quelques maisons frappés de la croix jaune (de celle dont on marque les lieux où la peste a sévi), et une demeure, légèrement à l’écart du reste, reliquat d’une petite villa bourgeoise d’un temps révolu désormais : la Vormanhaus.
Ron entreprend un repérage des alentours boisés, mais cela se solde par un échec retentissant, mettant en fuite une masse d’entités indéfinies car déjà parties trop loin.
Natasha, dont la courte patience est arrivée à expiration, part en direction de la maison des Vorman, laissant derrière elle un guide peu enclin à la suivre au-delà des portes du village.
Parmi les ruines, elle remarque les traces évidentes d’une récente visite des lieux. Désabusée, elle se rend tout de même, avec le reste de la troupe, dans le sous-sol, théâtre de la scène horrible décrite dans les notes d’Ansel Vorman (sa tentative d’emprise d’Ermaline par le rituel d’assujettissement du Collier de l’Indéfectible Loyauté, s'étant soldée par l’explosion de la pauvre jeune femme et la mutation du sorcier profane).
Malgré la connaissance préalable de ces tristes évènements, la vision qui vous attend vous retourne les entrailles et met en fuite notamment la jeune rousse et Esteban.
Au centre d'une cave couverte de sang séché et des restes éparpillés d’Ermaline, étrangement conservés, Ron débusque une trace dans la terre : celle, cramoisie, laissée par un collier correspondant à la description faite dans les notes du Frère Ansel.
Au-dehors, Natasha et Esteban éprouvent le besoin impérieux de prendre l’air. Arrivés au seuil de la demeure, ils tombent alors nez-à-nez avec les occupants des bois : une marée incongrue de difformités, d’horribles mutations attachées à des corps humains minés par la maladie. Cette bande de mutants, membres d’une quelconque société affiliée au culte du Dieu honni de la Maladie, est armée jusqu’aux dents, et les voilà ici dans le but évident de vous occire.
Les chevaux saufs, il n’en était pas de même du pauvre Snörri, payant le prix fort pour avoir juguler une vague qui aurait emporté n’importe quel autre de ses camarades sinon.
Gravement blessé, à peine pouvait-il tenir sur ses jambes.
Mais le temps vous pressait, et il fallu repartir.
Le soir venu, vous avez fait escale à Kietchdorf, jadis un village riche de sa position favorable, au croisement de deux voies menant à Wolfenburg et irrigant tous les environs.
A votre arrivée, le décor fut tout autre.
Malgré les efforts manifestes de reconstruction, bien des maisons n’étaient plus que ruines et la majorité des passants se sont dérobé à vos regards, à juste titre car couverts des stigmates d’une maladie féroce.
A l’auberge vous avez demandé gîte et couvert mais aussi l'aide d'un médecin éventuel pour l'infortuné nain.
A la vue de l’or que Fizban faisait rouler depuis sa bourse, le tavernier a alors convié à votre table un érudit faisant halte dans son établissement. Le docte s’est évertué à refermer la plaie du nain aussi proprement que possible, mais ses compétences n’allaient malheureusement pas au-delà.
Une sorte de burgmeister, du nom de Gerhard, vous a également demandé si vous pouviez, durant vos tribulations, ouvrir les yeux et tenter de retrouver son enfant de dix-neuf ans, Johann, disparu depuis quatre mois et, selon lui, victime d’un rapt orchestré par des cultistes sombres. Il devrait encore porter un anneau familial identique à celui de son père.
En échange, le cinquantenaire dépêche un très bon trappeur de sa connaissance, apte à vous conduire à Ruhrhoff, village qu’il vous faudra rejoindre à pied et à travers bois.
Vous passez une nuit réparatrice dans les lits douillets l’ « Assommoir », puis vous repartez pour Ruhrhoff, et la maison des Vorman plus précisément.
Le voyage, long de trois jours, se déroule sans accroc, et en fin de journée, vous voilà arrivés dans ce que l’on nomme Ruhrhoff : un village sinistré, presque qu’entièrement détruit durant la Grande Incursion du Chaos. Entre les bâtiments rasés ou brûlés, subsistent ça et là quelques maisons frappés de la croix jaune (de celle dont on marque les lieux où la peste a sévi), et une demeure, légèrement à l’écart du reste, reliquat d’une petite villa bourgeoise d’un temps révolu désormais : la Vormanhaus.
Ron entreprend un repérage des alentours boisés, mais cela se solde par un échec retentissant, mettant en fuite une masse d’entités indéfinies car déjà parties trop loin.
Natasha, dont la courte patience est arrivée à expiration, part en direction de la maison des Vorman, laissant derrière elle un guide peu enclin à la suivre au-delà des portes du village.
Parmi les ruines, elle remarque les traces évidentes d’une récente visite des lieux. Désabusée, elle se rend tout de même, avec le reste de la troupe, dans le sous-sol, théâtre de la scène horrible décrite dans les notes d’Ansel Vorman (sa tentative d’emprise d’Ermaline par le rituel d’assujettissement du Collier de l’Indéfectible Loyauté, s'étant soldée par l’explosion de la pauvre jeune femme et la mutation du sorcier profane).
Malgré la connaissance préalable de ces tristes évènements, la vision qui vous attend vous retourne les entrailles et met en fuite notamment la jeune rousse et Esteban.
Au centre d'une cave couverte de sang séché et des restes éparpillés d’Ermaline, étrangement conservés, Ron débusque une trace dans la terre : celle, cramoisie, laissée par un collier correspondant à la description faite dans les notes du Frère Ansel.
Au-dehors, Natasha et Esteban éprouvent le besoin impérieux de prendre l’air. Arrivés au seuil de la demeure, ils tombent alors nez-à-nez avec les occupants des bois : une marée incongrue de difformités, d’horribles mutations attachées à des corps humains minés par la maladie. Cette bande de mutants, membres d’une quelconque société affiliée au culte du Dieu honni de la Maladie, est armée jusqu’aux dents, et les voilà ici dans le but évident de vous occire.
Dernière édition par kontos le Lun 19 Déc - 13:06, édité 2 fois
kontos- Duc/Duchesse
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Re: 36ème session : Un Grand-Père Prodigue
kontos Dim 18 Déc - 13:58
Version longue (suite et [en]fin)
Le combat sera terrible.
L’adversité, pinacle de toutes les ignominies que vous avez pu voir jusqu’ici, déverse son flot de flux souillés, de spores viciés, de liquides corrosifs, de nuées d’insectes et d’asticots frémissants, entre chaque coup de lame acérée.
Ils sont entre autres accompagnés d’une créature abominable, une silhouette humanoïde ravagée par la maladie dont l’abdomen horriblement bouffi est fissuré par endroit, laissant apparaître des organes suppurants et de vers frétillants qui se repaissent de la pourriture générale du corps de la bête. Au-dessus, un torse décharné est recouvert d’une peau ocre, et le tout est supporté par deux jambes rachitiques, rongées par une maladie si virulente qu’elle en vrille les os. Mais le plus dérangeant demeure cette tête ovoïde, du centre duquel trône un œil suintant d’une humeur épaisse, dans l’ombre d’une corne émergeant de la chair cancéreuse de son front. Dessous, une bouche véreuse récupère l’immonde mucus sécrété par l’œil malveillant.
Fizban et Ron, ayant gagné l’étage branlant, feront une dure chute suite à l'écroulement de ce dernier, pratiquement tous les membres de votre groupe seront recouverts, plaies comprises, de diverses humeurs nauséabondes, et nombre seront salement blessés.
Natasha, après un froid calcul face à telle adversité, organise une fuite générale à laquelle souscrit toute la troupe... sauf Snörri, grommelant à nouveau d’une voix profonde, hache éclatante à la main, qui s’avance dans le couloir sinistré, face à plusieurs mutants et surtout, face à la créature venue de par-delà les frontières du monde humain.
L’angoisse au ventre, vous êtes obligés de revenir sur vos pas, le temps que Snörri, pris de fureur, annihile plusieurs mutants qui explosent littéralement et répandent aux alentours germes suffocants et bile impure dans lesquels Fizban et Esteban s’entravent.
Ron et Natasha tentent de contourner la bâtisse pour prendre à revers les ennemis mais l’opération est infiniment longue et Snörri, arrivant à bout de force comme auparavant, déjà meurtri avant ce nouvel affrontement, tombe à la merci de la créature sordide.
La voilà qui déverse depuis son estomac gâté, après une convulsion abominable, un flot d’immondices recouvrant le pauvre nain que vous voyez se noyer et sombrer au sein du liquide infesté de larves et d’excréments dilués.
Dans un ultime effort, et après avoir dégagé ses bronches, les yeux emplis de larmes, le nez dégoulinant, Fizban se redresse et n'a plus le temps que de lancer un dernier sort en direction démon pestilentiel avant qu’il ne soit à sa portée.
La flamme d’U’Zhul prend naissance au bout de son doigt rougi, fend l’air en crépitant, et atteint sa cible en pleine poitrine famélique.
La créature se recroqueville sur elle-même, semble alors comme aspirée de l'intérieur par la blessure flamboyante, se contractant sur cette ouverture, puis disparaît en un éclair du couloir fétide et puant.
L’elfe se jette vers Snörri, écarte autant que possible les fluides visqueux qui le recouvrent, dégage les vers gros comme le pouce logés dans sa gorge et tente de savoir si le nain est encore de ce monde... La chose s’avère difficile à dire. Snörri sombre dans l’inconscience, le pouls quasiment inexistant, au même titre que sa respiration, s’il en est une.
De son côté, Natascha met la main sur une note trempée de vomissures mais sur laquelle elle parvient à déchiffrer un message : celui qui intime le guet-apens dans lequel vous êtes tombé.
Il y est fait mention également du « rituel pour Maître Hahn » devant se dérouler au « Temple de la Peste »...
Le combat sera terrible.
L’adversité, pinacle de toutes les ignominies que vous avez pu voir jusqu’ici, déverse son flot de flux souillés, de spores viciés, de liquides corrosifs, de nuées d’insectes et d’asticots frémissants, entre chaque coup de lame acérée.
Ils sont entre autres accompagnés d’une créature abominable, une silhouette humanoïde ravagée par la maladie dont l’abdomen horriblement bouffi est fissuré par endroit, laissant apparaître des organes suppurants et de vers frétillants qui se repaissent de la pourriture générale du corps de la bête. Au-dessus, un torse décharné est recouvert d’une peau ocre, et le tout est supporté par deux jambes rachitiques, rongées par une maladie si virulente qu’elle en vrille les os. Mais le plus dérangeant demeure cette tête ovoïde, du centre duquel trône un œil suintant d’une humeur épaisse, dans l’ombre d’une corne émergeant de la chair cancéreuse de son front. Dessous, une bouche véreuse récupère l’immonde mucus sécrété par l’œil malveillant.
Fizban et Ron, ayant gagné l’étage branlant, feront une dure chute suite à l'écroulement de ce dernier, pratiquement tous les membres de votre groupe seront recouverts, plaies comprises, de diverses humeurs nauséabondes, et nombre seront salement blessés.
Natasha, après un froid calcul face à telle adversité, organise une fuite générale à laquelle souscrit toute la troupe... sauf Snörri, grommelant à nouveau d’une voix profonde, hache éclatante à la main, qui s’avance dans le couloir sinistré, face à plusieurs mutants et surtout, face à la créature venue de par-delà les frontières du monde humain.
L’angoisse au ventre, vous êtes obligés de revenir sur vos pas, le temps que Snörri, pris de fureur, annihile plusieurs mutants qui explosent littéralement et répandent aux alentours germes suffocants et bile impure dans lesquels Fizban et Esteban s’entravent.
Ron et Natasha tentent de contourner la bâtisse pour prendre à revers les ennemis mais l’opération est infiniment longue et Snörri, arrivant à bout de force comme auparavant, déjà meurtri avant ce nouvel affrontement, tombe à la merci de la créature sordide.
La voilà qui déverse depuis son estomac gâté, après une convulsion abominable, un flot d’immondices recouvrant le pauvre nain que vous voyez se noyer et sombrer au sein du liquide infesté de larves et d’excréments dilués.
Dans un ultime effort, et après avoir dégagé ses bronches, les yeux emplis de larmes, le nez dégoulinant, Fizban se redresse et n'a plus le temps que de lancer un dernier sort en direction démon pestilentiel avant qu’il ne soit à sa portée.
La flamme d’U’Zhul prend naissance au bout de son doigt rougi, fend l’air en crépitant, et atteint sa cible en pleine poitrine famélique.
La créature se recroqueville sur elle-même, semble alors comme aspirée de l'intérieur par la blessure flamboyante, se contractant sur cette ouverture, puis disparaît en un éclair du couloir fétide et puant.
L’elfe se jette vers Snörri, écarte autant que possible les fluides visqueux qui le recouvrent, dégage les vers gros comme le pouce logés dans sa gorge et tente de savoir si le nain est encore de ce monde... La chose s’avère difficile à dire. Snörri sombre dans l’inconscience, le pouls quasiment inexistant, au même titre que sa respiration, s’il en est une.
De son côté, Natascha met la main sur une note trempée de vomissures mais sur laquelle elle parvient à déchiffrer un message : celui qui intime le guet-apens dans lequel vous êtes tombé.
Il y est fait mention également du « rituel pour Maître Hahn » devant se dérouler au « Temple de la Peste »...
Dernière édition par kontos le Lun 19 Déc - 12:56, édité 2 fois
kontos- Duc/Duchesse
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Re: 36ème session : Un Grand-Père Prodigue
kontos Dim 18 Déc - 14:05
Version courte
- Vous affrontez des peaux-verts dans les ruines. Snorri est gravement blessé dans l'affrontement.
- Vous atteignez Kietchdorf puis continuez à pied vers Ruhrhoff à travers bois (4 jours au total).
- Il n'y a plus de collier dans la cave de Vorman, et manifestement vous avez été devancés.
- Une bande de mutants, aidés par une sorte de démon, vous attaquent. Beaucoup parmi vous sont blessés (Fizban et Esteban notamment), Snorri est probablement mort ou presque, et vous êtes quasiment tous recouverts d'immondes substances (vomi, excréments, humeurs, spores, insectes morts, etc.).
- Vous affrontez des peaux-verts dans les ruines. Snorri est gravement blessé dans l'affrontement.
- Vous atteignez Kietchdorf puis continuez à pied vers Ruhrhoff à travers bois (4 jours au total).
- Il n'y a plus de collier dans la cave de Vorman, et manifestement vous avez été devancés.
- Une bande de mutants, aidés par une sorte de démon, vous attaquent. Beaucoup parmi vous sont blessés (Fizban et Esteban notamment), Snorri est probablement mort ou presque, et vous êtes quasiment tous recouverts d'immondes substances (vomi, excréments, humeurs, spores, insectes morts, etc.).
kontos- Duc/Duchesse
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Re: 36ème session : Un Grand-Père Prodigue
Draggor Dim 18 Déc - 15:53
kontos a écrit:
vous êtesquasimenttous recouverts d'immondes substances (vomi, excréments, humeurs, spores, insectes morts, etc.).
TOUS SAUF Ron qui a trop la claaasse et/ou qui (
)Quoi qu'il en soit, Jeune Pisteur superdoué et crocro beau cherche groupe (de nelfettes plantureuses) pour vraie aventure (avec du challenge quoi ?!) car son précédent groupe de bras cassés (et surtout poisseux de salauperie m'approchez pas ?!) est sur le point de passer de vie à trépas (en vie).
Draggor- Baron/Baronne
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Re: 36ème session : Un Grand-Père Prodigue
kontos Lun 19 Déc - 8:50
Oui c'est partiellement vrai, les nuées d'insectes t'atteignant sans mal (dans les deux sens de l'expression)
Tu devrais en retrouver désormais quelques uns coincés dans tes conduits nasaux ou dans le creux de ton oreille pas pointue
Blague à part, le Doodle est parti, avec uniquement les jours de semaine car je ne pourrai faire jouer les weekends sur cette période.
Ju ne pouvant jouer le jeudi, il reste les jours pointés sur le sondage.
A vos claviers !
Tu devrais en retrouver désormais quelques uns coincés dans tes conduits nasaux ou dans le creux de ton oreille pas pointue
Blague à part, le Doodle est parti, avec uniquement les jours de semaine car je ne pourrai faire jouer les weekends sur cette période.
Ju ne pouvant jouer le jeudi, il reste les jours pointés sur le sondage.
A vos claviers !
kontos- Duc/Duchesse
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Re: 36ème session : Un Grand-Père Prodigue
Pheres Lun 19 Déc - 9:50
Bah... A lire le résumé, ça a été une ballade tranquille!
Pheres- Comte/Comtesse
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Re: 36ème session : Un Grand-Père Prodigue
kontos Lun 2 Jan - 13:05
Bonne année les milletronistes !!!! 
Pheres, ça n'a pas marché
Pheres, ça n'a pas marché
kontos- Duc/Duchesse
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Re: 36ème session : Un Grand-Père Prodigue
Pheres Lun 2 Jan - 13:06
Ouai, j'ai vu, j'essaye de faire marcher! 
Pheres- Comte/Comtesse
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Re: 36ème session : Un Grand-Père Prodigue
Pheres Lun 2 Jan - 13:07
Je crois que j'ai trouvé, je me lance:
- Nombre aléatoire (1,100) : 13
- Nombre aléatoire (1,100) : 37
- Nombre aléatoire (1,100) : 12
- Nombre aléatoire (1,100) : 83
- Nombre aléatoire (1,100) : 89
- Nombre aléatoire (1,100) : 9
- Nombre aléatoire (1,100) : 81
- Nombre aléatoire (1,100) : 57
- Nombre aléatoire (1,100) : 78
Pheres- Comte/Comtesse
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Re: 36ème session : Un Grand-Père Prodigue
Pheres Lun 2 Jan - 13:08
Bonne année à tous!
Chris, j'ai fait les tirages et je poste après pour éviter les frouilles!!!!
Chris, j'ai fait les tirages et je poste après pour éviter les frouilles!!!!
Pheres- Comte/Comtesse
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Re: 36ème session : Un Grand-Père Prodigue
Pheres Lun 2 Jan - 13:09
Je ne vends pas au dernier marchand, c'est sure!!!
Edit: le premier tirage est trop bon, tu vas croire que j'ai frouillé!!! Mais je sens que ce P... de marchand il va faire beaucoup mieux... 
Edit2: Je prie pour que le marchand rate son premier jet!!!!! Si oui, on va bien le vendre le pistolet! (Remarque: je croyais que quand on éditait un message, ça écrivait édité le tant:, mais là je ne vois rien, tu le vois, Chris?)
Edit: le premier tirage est trop bon, tu vas croire que j'ai frouillé!!!
Mais je sens que ce P... de marchand il va faire beaucoup mieux... Edit2: Je prie pour que le marchand rate son premier jet!!!!! Si oui, on va bien le vendre le pistolet! (Remarque: je croyais que quand on éditait un message, ça écrivait édité le tant:, mais là je ne vois rien, tu le vois, Chris?)
Dernière édition par Pheres le Lun 2 Jan - 13:14, édité 1 fois
Pheres- Comte/Comtesse
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Re: 36ème session : Un Grand-Père Prodigue
kontos Lun 2 Jan - 13:11
C'est quoi la fonction ? que je fasse pareil
Edit : oui je le vois mais te bile spas je garde tes jets (exceptionnels ). Ok merci !
Edit 2 : C'est parti pour les jets.
Edit : oui je le vois mais te bile spas je garde tes jets (exceptionnels
). Ok merci !Edit 2 : C'est parti pour les jets.
Dernière édition par kontos le Lun 2 Jan - 13:18, édité 2 fois
kontos- Duc/Duchesse
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Re: 36ème session : Un Grand-Père Prodigue
Pheres Lun 2 Jan - 13:15
[rand]1,100
puis tu ferme l'expression avec [/rand] J'ai un peu galéré pour retrouver...
puis tu ferme l'expression avec [/rand] J'ai un peu galéré pour retrouver...
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Re: 36ème session : Un Grand-Père Prodigue
Pheres Lun 2 Jan - 13:17
Je vois les éditions maintenant...
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Re: 36ème session : Un Grand-Père Prodigue
kontos Lun 2 Jan - 13:18
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Re: 36ème session : Un Grand-Père Prodigue
Pheres Lun 2 Jan - 13:19
Bon, on vend au premier marchand car je doute que l'on trouve mieux ailleurs!!!
A mon humble avis, vue son deuxième jet de dés le premier marchand ne s'est pas rendu compte que son épée était exceptionelle, il doit croire qu'elle est ordinaire!!
A mon humble avis, vue son deuxième jet de dés le premier marchand ne s'est pas rendu compte que son épée était exceptionelle, il doit croire qu'elle est ordinaire!!
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Re: 36ème session : Un Grand-Père Prodigue
kontos Lun 2 Jan - 13:33
C'est festival là non ?
Pour les tests, tu as 19 en Marchandage contre 60.
Alors, vente du pistolet :
Réussite de +6 contre échec de -29 : différentiel de +35 à ton avantage : tu lui vends pour 200co
"Mais si je vous dis que ce ne sont pas des rayures, mais des gravures, mon cher ami, c'est que vous pouvez me croire ! Regardez ce travail admirable, ça vaut bien ses 200 couronnes."
Achat de l'épée :
Echec de -18 contre échec de -40, dont échec critique : différentiel de +22 à ton avantage : tu lui achètes pour 60co, on double le gain.
"Exceptionnelle, exceptionnelle... Mon oeil. Exceptionnellement abimée vous voulez dire ? Regardez donc ce pommeau mal fini, du sale travail. Et la lame, même un borgne pourrait vous dire qu'elle n'est pas droite. Allez, ça vaut 60 couronnes tout au plus, et je vous fais là une fleur en vous en débarrassant."
Achat de l'armure :
Réussite de +7 contre réussite de +12 : différentiel de -5 à l'avantage du marchand : tu lui achètes pour 75co.
Total : 200 - 60 - 75 = il te reste 65co en plus de l'épée et de l'armure (sans casque).
Well done !
Pour les tests, tu as 19 en Marchandage contre 60.
Alors, vente du pistolet :
Réussite de +6 contre échec de -29 : différentiel de +35 à ton avantage : tu lui vends pour 200co
"Mais si je vous dis que ce ne sont pas des rayures, mais des gravures, mon cher ami, c'est que vous pouvez me croire ! Regardez ce travail admirable, ça vaut bien ses 200 couronnes."
Achat de l'épée :
Echec de -18 contre échec de -40, dont échec critique : différentiel de +22 à ton avantage : tu lui achètes pour 60co, on double le gain.
"Exceptionnelle, exceptionnelle... Mon oeil. Exceptionnellement abimée vous voulez dire ? Regardez donc ce pommeau mal fini, du sale travail. Et la lame, même un borgne pourrait vous dire qu'elle n'est pas droite. Allez, ça vaut 60 couronnes tout au plus, et je vous fais là une fleur en vous en débarrassant."
Achat de l'armure :
Réussite de +7 contre réussite de +12 : différentiel de -5 à l'avantage du marchand : tu lui achètes pour 75co.
Total : 200 - 60 - 75 = il te reste 65co en plus de l'épée et de l'armure (sans casque).
Well done !
kontos- Duc/Duchesse
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Re: 36ème session : Un Grand-Père Prodigue
Pheres Lun 2 Jan - 13:36
kontos a écrit:C'est festival là non ?
Total : 200 - 60 - 75 = il te reste 65co en plus de l'épée et de l'armure (sans casque).
Well done !
Ouai, j'esperais un peu mieux...
Sérieusement, quand je te disais qu'un pistolet c'était rare, et bien dame Chance en a tenue compte! Je peux acheter de la poudre et des balles pour 10 tirs?
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Re: 36ème session : Un Grand-Père Prodigue
Pheres Lun 2 Jan - 13:38
Donc Natacha, tu as droit à ton épée et ton armure! Joyeux Noél!
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Pheres- Comte/Comtesse
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Re: 36ème session : Un Grand-Père Prodigue
kontos Lun 2 Jan - 13:40
Ben faut pas abuser non plus, c'est déjà très fort là.
Tu tires à poudre, pas à balle ? Oui, c'est cadeau la poudre. Pareil, si tu veux choper des flèches gratuites pour toi et Ron, c'est la maison qui régale.
Tu tires à poudre, pas à balle ? Oui, c'est cadeau la poudre. Pareil, si tu veux choper des flèches gratuites pour toi et Ron, c'est la maison qui régale.
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Re: 36ème session : Un Grand-Père Prodigue
Pheres Lun 2 Jan - 13:42
C'était une joke!kontos a écrit:Ben faut pas abuser non plus, c'est déjà très fort là.
j'esperais garder 20 Co tout au plus...C'est poudre noire et balle, d'où le temps de chargement assez long... Et oui pour les flèches!kontos a écrit:Tu tires à poudre, pas à balle ? Oui, c'est cadeau la poudre. Pareil, si tu veux choper des flèches gratuites pour toi et Ron, c'est la maison qui régale.
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Re: 36ème session : Un Grand-Père Prodigue
kontos Lun 2 Jan - 13:45
Cadox alors, 10 balles, 10 doses de poudre, 10 flèches (pour toi et Ron, chacun). Après, le mec te donne sa chemise
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Re: 36ème session : Un Grand-Père Prodigue
Draggor Lun 2 Jan - 19:35
Tain fau lire entre les lignes vu que ce faignant de GM contextualise rien...
Donc, si j'ai bien compris, Esteban se départit d'un de ses 4 pistolets afin de s'équiper d'une épée et d'une armure ?
Tain, est sympa le marchand... parce que de mémoire, zetes tout Tenglués de bave verte et à l'article de la mort.
D'ailleurs, on est juste à la sortie du fight, faut meubler un peu ffs ?!
Ha... et sinon, on me dit de vous dire Bonne Nannée Atous.
Donc, si j'ai bien compris, Esteban se départit d'un de ses 4 pistolets afin de s'équiper d'une épée et d'une armure ?
Tain, est sympa le marchand... parce que de mémoire, zetes tout Tenglués de bave verte et à l'article de la mort.
D'ailleurs, on est juste à la sortie du fight, faut meubler un peu ffs ?!
Ha... et sinon, on me dit de vous dire Bonne Nannée Atous.
Draggor- Baron/Baronne
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