[Atlas] Une déclaration de choc !
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[Atlas] Une déclaration de choc !
Une déclaration de choc !
Ce qui va suivre se déroula quelques heures la fin du combat. Atlas avait fini de donner ses ordres à ses hommes. Il avait fini de discuter avec Yacine et les autres. Bref, il pouvait enfin prendre quelques minutes de repos. D’autant plus que son corps avait été mis à rude épreuve à cause des acrobaties qu’il s’était permis avec son ami Eliakim. Au cœur de la mêlée, ils avaient fait sensation.
Quoi qu’il en soit, le myrmidon mit quelques secondes avant de réaliser que son collier était légèrement chaud. Il l’était suffisamment pour lui brûler légèrement la poitrine. Instinctivement sa main l’empoigna pour le déloger de sous son armure.
Lorsque sa main entra en contact avec ce fameux collier, un petit rire naquit dans les tréfonds de son crâne. Son volume était assez faible, mais suffisant pour le rendre insupportable. Il attaquait insidieusement la légendaire patience du guerrier.
Le rire se mua en voix. Cette dernière commença par glisser quelques mots à Atlas.
- Pas mal… Mais tu pourrais être tellement meilleur si tu choisissais d’emprunter une voie différente de celle de tes aïeux…
« Fufufu »
La tirade fut achevée par ce tout petit rire qui suintait la provocation. Puis la voix revint à la charge en se faisant plus sérieuse.
- Tes ancêtres ont choisi le mauvais camp… Ne fait pas la même erreur.
- Écoute-moi Diénekes, il n’est pas trop tard pour nous rejoindre. Tu pourras prendre ta revanche sur tous ceux qui ont osé se moquer de toi. Ils t’ont spolié, alors que tu as l’étoffe d’un chef, d’un roi… D’un empereur que le peuple agalanthéen attend depuis la chute du grand empire agalanthéen.
La voix marqua une petite pause avant de poursuivre… Elle revint à la charge et n’y alla pas par quatre chemins.
- Tu sais qui je suis… Et laisse-moi te dire une chose, ne crois pas être différent de nous autres. Tu portes une grande violence en toi… Alors, laisse là éclater.
- Oui, je suis le mal, je suis la mort…
« Fufufu »
Un nouveau petit rire perfide se fit entendre.
- Si jamais, tu t’entêtes à vouloir devenir un héros…
« Gnignigni »
- Sache que je ferais de ta vie un véritable enfer… Ainsi que celle de tous ceux qui te fréquenteront…
« Fufufu »
Quoi qu’il en soit, le myrmidon mit quelques secondes avant de réaliser que son collier était légèrement chaud. Il l’était suffisamment pour lui brûler légèrement la poitrine. Instinctivement sa main l’empoigna pour le déloger de sous son armure.
Lorsque sa main entra en contact avec ce fameux collier, un petit rire naquit dans les tréfonds de son crâne. Son volume était assez faible, mais suffisant pour le rendre insupportable. Il attaquait insidieusement la légendaire patience du guerrier.
Le rire se mua en voix. Cette dernière commença par glisser quelques mots à Atlas.
- Pas mal… Mais tu pourrais être tellement meilleur si tu choisissais d’emprunter une voie différente de celle de tes aïeux…
« Fufufu »
La tirade fut achevée par ce tout petit rire qui suintait la provocation. Puis la voix revint à la charge en se faisant plus sérieuse.
- Tes ancêtres ont choisi le mauvais camp… Ne fait pas la même erreur.
- Écoute-moi Diénekes, il n’est pas trop tard pour nous rejoindre. Tu pourras prendre ta revanche sur tous ceux qui ont osé se moquer de toi. Ils t’ont spolié, alors que tu as l’étoffe d’un chef, d’un roi… D’un empereur que le peuple agalanthéen attend depuis la chute du grand empire agalanthéen.
La voix marqua une petite pause avant de poursuivre… Elle revint à la charge et n’y alla pas par quatre chemins.
- Tu sais qui je suis… Et laisse-moi te dire une chose, ne crois pas être différent de nous autres. Tu portes une grande violence en toi… Alors, laisse là éclater.
- Oui, je suis le mal, je suis la mort…
« Fufufu »
Un nouveau petit rire perfide se fit entendre.
- Si jamais, tu t’entêtes à vouloir devenir un héros…
« Gnignigni »
- Sache que je ferais de ta vie un véritable enfer… Ainsi que celle de tous ceux qui te fréquenteront…
« Fufufu »
Hrp : Et la suite, c'est à travers cette chanson que je te la fait ... Allemand traduite en anglais ... Je pense que tu vas bien comprendre ce que cette voix te déclare. De l'amour et plein de poésie !!
Re: [Atlas] Une déclaration de choc !
P... Butch, tu veux grave nous faire flipper!!!
Je me demande comment tu as fait pour trouver cette vidéo en rapport avec ton texte...
Si tu me dis que tu connaissais déjà, ça va me poser question quand à ton équilibre psychique! (Horreur: Mireille Dumas avait raison en son temps, les rôlistes sont de vils satanistes! )
Je me demande comment tu as fait pour trouver cette vidéo en rapport avec ton texte...
Si tu me dis que tu connaissais déjà, ça va me poser question quand à ton équilibre psychique! (Horreur: Mireille Dumas avait raison en son temps, les rôlistes sont de vils satanistes! )
Pheres- Comte/Comtesse
- Nombre de messages : 1401
Age : 53
Date d'inscription : 04/08/2008
Re: [Atlas] Une déclaration de choc !
HRP : Moi je dors pas à côté du tank schizophrène, c'est un coup à se réveiller en deux morceaux
kontos- Duc/Duchesse
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Localisation : Fontaine
Date d'inscription : 01/08/2009
Re: [Atlas] Une déclaration de choc !
Hrp: (vous mettez tous des Hrp, je me sens obligé de le faire..) Ouai, ben, Butch, si tu es attiré par le Mal, je peux te conseiller un bon psychologue!!!
(En fait, ça m'a bien plus, pas l'Allemand, mais le clip. Par contre, c'est qui cet Omen???)
(En fait, ça m'a bien plus, pas l'Allemand, mais le clip. Par contre, c'est qui cet Omen???)
Pheres- Comte/Comtesse
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Age : 53
Date d'inscription : 04/08/2008
Re: [Atlas] Une déclaration de choc !
HRP : ben heureusement que t'as pas jeté un œil à ma CDthèque, Pheres, sinon tu m’aurais brûlé en place publique !
kontos- Duc/Duchesse
- Nombre de messages : 733
Localisation : Fontaine
Date d'inscription : 01/08/2009
Re: [Atlas] Une déclaration de choc !
kontos a écrit:HRP : ben heureusement que t'as pas jeté un œil à ma CDthèque, Pheres, sinon tu m’aurais brûlé en place publique !
HRP: Non, pas sur, je suis tolérant, je t'aurais juste écartelé, haché menu à la hache et ébouillanté avant de t'enterrer dans une tombe tapissée de sel!
Pheres- Comte/Comtesse
- Nombre de messages : 1401
Age : 53
Date d'inscription : 04/08/2008
Re: [Atlas] Une déclaration de choc !
Si tu peux parler en moi, alors je n'aurais pas de mal à me faire entendre... Sois ce que tu veux! Que mes aïeuls soient ce qu'il a été dit sur eux ou pas! Nul ne décidera de mon destin à part moi! Ni Dieux, ni hommes... ni toi! Tu veux faire de ma vie un enfer : soit! Mais je t'affronterais à chaque fois... Si tu gagnes, c'est que je serais mort et donc, tu n'auras rien obtenu...
Dienekes se rendit à l'écart du camp et tira sur le collier. La chaleur s’intensifia immédiatement à tel point, que la peau de son cou et des paumes de sa main se mit à frémir sous la force brulante du bijoux. Il hurla de douleur et de joie lorsque le lacé du collier céda. Il se releva et prit un pas d'élan, puis le jeta de toutes ses forces au loin, dans le désert.
Dienekes se rendit à l'écart du camp et tira sur le collier. La chaleur s’intensifia immédiatement à tel point, que la peau de son cou et des paumes de sa main se mit à frémir sous la force brulante du bijoux. Il hurla de douleur et de joie lorsque le lacé du collier céda. Il se releva et prit un pas d'élan, puis le jeta de toutes ses forces au loin, dans le désert.
Haargrim- Baron/Baronne
- Nombre de messages : 322
Age : 48
Localisation : Grenoble
Date d'inscription : 01/10/2009
Re: [Atlas] Une déclaration de choc !
Le combat fut intense puisque ce fut véritablement un combat psychologique. La volonté du myrmidon fut mise à rude épreuve par celui dont la voix murmurait dans la tête de notre héros. Lorsque ses mains se posèrent sur le collier dans le but de l’arracher, ces dernières connurent pour la première fois la chaleur des flammes de l’enfer. D’autant plus que la tentative de Dienekes faisait rire celui qui prenait un malin plaisir à le torturer. Une chaleur qui se propagea très vite au reste du collier mettant ainsi la chair de son cou à rude épreuve.
À ce stade, un horrible son de friture se faisait entendre, une odeur de viande grillée envahissait les narines de Dienekes, mais la douleur était pire que tout. Le guerrier avait l’impression que le métal se liquéfiait pour fusionner avec sa chair.
Les rires continuaient et cette entité ou ce démon semblait prendre un malin plaisir à la faire souffrir. Cependant, la douleur ne fit pas plier celui qu’on appelait Atlas à cause de son imposante stature. Il lutta de toutes ses forces, ses veines se gonflèrent sous l’effort. Pendant que ses phalanges blanchirent à cause de la puissante pression qu’il exerçait sur le collier. Rien, ni personne ne pouvait l’empêcher de continuer son geste. Il puisa dans ses dernières ressources pour augmenter encore un peu plus la force de traction qu’il exerçait sur le bijou incandescent qui ornait son cou.
Ce petit manège dura quelques minutes avant que le métal finisse par céder sous la puissance de Dienekes. Ce dernier l’arracha en hurlant de toutes ses forces. Il tenait le collier à bout de bras pendant qu’il tentait de reprendre un peu ses esprits. Son visage était couvert de sueur, son cou et la paume de ses mains étaient brûlés à un degré bien sévère. Les prochains jours, il allait avoir du mal à tenir quelque chose dans ses mains…
Ce moment dura peu de temps, juste le temps de quelques battements de cœur. Un court laps de temps suffisant pour une dernière petite provocation juste avant que le collier ne soit balancé en plein milieu du désert.
Le collier quittait la main de Dienekes lorsqu’une voix puissante hurla dans le désert.
- OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!! Enfin !!!!!!!!
Un rire maléfique déchira le silence et résonna quelques secondes dans l’immensité du décor.
- PAUVRE FOU !!! TU VIENS DE SIGNER VOTRE PERTE À TOUS !!!
- TIENT CE SERA MON DERNIER CADEAU… ATLAS…
GNIHIHIHIHIHIHIHIHIHI MOUAHAHAHAHAHAHAHAAAAHAHAHAHAAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAH !!
La scène qui s’imposa dans l’esprit d’Atlas avait de quoi le troubler. Puisqu’il se vit en personne ou presque. Puisqu’une fois de plus, il devait s’agir d’un de ses aïeuls ou plus précisément d’une de ses réincarnations. La scène se déroulait dans un décor cauchemardesque. Un décor fait à la fois de flammes et de ténèbres. Il se vit combattre une créature absolument immonde. Une créature qui pouvait en quelque sorte ressembler à ce qui était a gravé sur son bouclier. Des écailles, des yeux membraneux, des griffes et du venin qui sortait d’une langue serpentine. Voilà ce qu’il eut le temps de retenir de cette scène. Quoi qu’il en soit, cet autre Atlas ou son aïeul, celui-là même qui fut rappelé d’entre les morts et qu’il avait récemment eu le déplaisir de combattre était engagé dans un terrible combat contre cette créature. Un combat dans le combat puisque plein d’autres choses et d’entre enjeux semblaient se dérouler autour de lui. Cette créature semblait défendre quelque chose… Mais le myrmidon n’eut point le temps et l’occasion de voir plus puisqu’elle finit par périr sous les coups de ce vénérable guerrier. Un guerrier qui portait ce fameux collier autour de son cou. La petite pierre qui ornait le bijou se mit immédiatement à briller lorsque le coup de son porteur acheva la créature. Atlas vit très clairement que l’âme de cette dernière fut enfermée à l’intérieur de celle-ci.
Le guerrier était grièvement blessé. Son visage affichait un masque de tristesse. Visiblement, sa victoire n’en était pas totalement une. Du sang coulait le long de son visage et de son torse et malgré ses blessures, il resta debout.
Invaincus et indomptable, il imposait le respect. Sa posture transpirait la noblesse et le charisme. Ses yeux se focalisèrent sur un point bien précis, mais Diènekes ne pouvait pas soustraire son regard de son aïeul. Ce dernier imposait véritablement trop de respect.
Ce dernier se mit à hurler.
- Nous avons perdu une fois de plus !!! Mais cette fois-ci, nous avons enfin réussi à capturer ton fidèle chien de garde !! La prochaine fois… Ce sera la dernière… Mais nous t’aurons… Soit-en sûr !!!! Et jusqu’à notre victoire… Moi et mes descendants veilleront à ce que ton précieux lieutenant ne puisse pas s’échapper de sa prison !!
- Même si nous souffrons … Même si la société nous rejette … Nous ne faillirons point … Sache-le !!!
- Mon sang est fort … Bien plus fort que sa fourberie !!! Je sais que je condamne les miens à un enfer permanent, mais nous saurons y faire face pour le bien et l’avenir de notre monde !!!
Cette dernière tirade fut la dernière chose qu’Atlas vit et entendit. Il revint à lui. Ses yeux contemplaient le décor qui se déroulait sous ses yeux.
Il n’entendait plus rien. Un silence de mort régnait à nouveau. Un silence qui était bien lourd de conséquence…
À ce stade, un horrible son de friture se faisait entendre, une odeur de viande grillée envahissait les narines de Dienekes, mais la douleur était pire que tout. Le guerrier avait l’impression que le métal se liquéfiait pour fusionner avec sa chair.
Les rires continuaient et cette entité ou ce démon semblait prendre un malin plaisir à la faire souffrir. Cependant, la douleur ne fit pas plier celui qu’on appelait Atlas à cause de son imposante stature. Il lutta de toutes ses forces, ses veines se gonflèrent sous l’effort. Pendant que ses phalanges blanchirent à cause de la puissante pression qu’il exerçait sur le collier. Rien, ni personne ne pouvait l’empêcher de continuer son geste. Il puisa dans ses dernières ressources pour augmenter encore un peu plus la force de traction qu’il exerçait sur le bijou incandescent qui ornait son cou.
Ce petit manège dura quelques minutes avant que le métal finisse par céder sous la puissance de Dienekes. Ce dernier l’arracha en hurlant de toutes ses forces. Il tenait le collier à bout de bras pendant qu’il tentait de reprendre un peu ses esprits. Son visage était couvert de sueur, son cou et la paume de ses mains étaient brûlés à un degré bien sévère. Les prochains jours, il allait avoir du mal à tenir quelque chose dans ses mains…
Ce moment dura peu de temps, juste le temps de quelques battements de cœur. Un court laps de temps suffisant pour une dernière petite provocation juste avant que le collier ne soit balancé en plein milieu du désert.
Le collier quittait la main de Dienekes lorsqu’une voix puissante hurla dans le désert.
- OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!! Enfin !!!!!!!!
Un rire maléfique déchira le silence et résonna quelques secondes dans l’immensité du décor.
- PAUVRE FOU !!! TU VIENS DE SIGNER VOTRE PERTE À TOUS !!!
- TIENT CE SERA MON DERNIER CADEAU… ATLAS…
GNIHIHIHIHIHIHIHIHIHI MOUAHAHAHAHAHAHAHAAAAHAHAHAHAAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAH !!
La scène qui s’imposa dans l’esprit d’Atlas avait de quoi le troubler. Puisqu’il se vit en personne ou presque. Puisqu’une fois de plus, il devait s’agir d’un de ses aïeuls ou plus précisément d’une de ses réincarnations. La scène se déroulait dans un décor cauchemardesque. Un décor fait à la fois de flammes et de ténèbres. Il se vit combattre une créature absolument immonde. Une créature qui pouvait en quelque sorte ressembler à ce qui était a gravé sur son bouclier. Des écailles, des yeux membraneux, des griffes et du venin qui sortait d’une langue serpentine. Voilà ce qu’il eut le temps de retenir de cette scène. Quoi qu’il en soit, cet autre Atlas ou son aïeul, celui-là même qui fut rappelé d’entre les morts et qu’il avait récemment eu le déplaisir de combattre était engagé dans un terrible combat contre cette créature. Un combat dans le combat puisque plein d’autres choses et d’entre enjeux semblaient se dérouler autour de lui. Cette créature semblait défendre quelque chose… Mais le myrmidon n’eut point le temps et l’occasion de voir plus puisqu’elle finit par périr sous les coups de ce vénérable guerrier. Un guerrier qui portait ce fameux collier autour de son cou. La petite pierre qui ornait le bijou se mit immédiatement à briller lorsque le coup de son porteur acheva la créature. Atlas vit très clairement que l’âme de cette dernière fut enfermée à l’intérieur de celle-ci.
Le guerrier était grièvement blessé. Son visage affichait un masque de tristesse. Visiblement, sa victoire n’en était pas totalement une. Du sang coulait le long de son visage et de son torse et malgré ses blessures, il resta debout.
Invaincus et indomptable, il imposait le respect. Sa posture transpirait la noblesse et le charisme. Ses yeux se focalisèrent sur un point bien précis, mais Diènekes ne pouvait pas soustraire son regard de son aïeul. Ce dernier imposait véritablement trop de respect.
Ce dernier se mit à hurler.
- Nous avons perdu une fois de plus !!! Mais cette fois-ci, nous avons enfin réussi à capturer ton fidèle chien de garde !! La prochaine fois… Ce sera la dernière… Mais nous t’aurons… Soit-en sûr !!!! Et jusqu’à notre victoire… Moi et mes descendants veilleront à ce que ton précieux lieutenant ne puisse pas s’échapper de sa prison !!
- Même si nous souffrons … Même si la société nous rejette … Nous ne faillirons point … Sache-le !!!
- Mon sang est fort … Bien plus fort que sa fourberie !!! Je sais que je condamne les miens à un enfer permanent, mais nous saurons y faire face pour le bien et l’avenir de notre monde !!!
Cette dernière tirade fut la dernière chose qu’Atlas vit et entendit. Il revint à lui. Ses yeux contemplaient le décor qui se déroulait sous ses yeux.
Il n’entendait plus rien. Un silence de mort régnait à nouveau. Un silence qui était bien lourd de conséquence…
Re: [Atlas] Une déclaration de choc !
Hrp : oups, c'est le mot qui s'impose
kontos- Duc/Duchesse
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