[Retraité] Konrad Lankdorf

En quelques mots

De taille moyenne (1m74), les cheveux et la barbe d’un brun sombre, Konrad Lankdorf est un cocher au corps noueux et au visage balafré. Âgé d’environ 27 ans, il exerce son métier en indépendant avec son coche bâché et ses deux chevaux de traits. Mais c’est avant tout un homme comme on en voit beaucoup dans les troupes irrégulières et les milices de l’Empire : un homme banal à qui on a donné un entrainement sommaire, une solde, une arme et un paquetage, à ceci près qu’il n’appartient pas à l’armée mais aux Guildes des transports du Reikland. Il arbore le plus souvent son vieux manteau de cocher, sous lequel il garde une chemise de maille, ainsi que ses bottes de cuir et son chapeau usé par les intempéries.


Son histoire

Né dans les faubourgs de la grande ville de Bögenhafen, Konrad est un impérial comme on en voit beaucoup dans les campagnes du Reikland. Il n’a rien d’un athlète, mais la vie dans les champs et à proximité des forêts forment souvent les jeunes à une vie rude et changeante, aussi malgré un physique assez commun, possède-t-il une certaine aisance sur le terrain. Comme tant d’autres, il dû quitter très tôt son foyer pour gagner sa vie.
Il rejoignit les rangs des compagnies de transport du Reikland alors qu’il allait sur son seizième printemps. D’abords simple aide de camp pour les caravanes, il occupa des postes successifs jusqu’à celui d’escorte, vers l’âge de vingt ans. Si les premières années à escorter des caravanes marchandes sur des routes sûres et largement empruntées, en direction de villes foisonnantes de vie, lui permirent de vivre sans trop de difficulté (en dehors des rigueurs du climat), la vie sur les routes s’avéra rapidement être une maitresse exigeante et capricieuse. Alors qu’il n’avait jamais combattu de sa vie, la compagnie le désigna, avec une poignée d’autres hommes, pour traverser la forêt de Reikwald en direction de Diesdorf.
Equipé du matériel standard fournit par la guilde, il se retrouva à marcher dans la boue aux côtés d’une diligence de noblions à travers une large portion des Hagercrybs, que l’on disait hantée. S’il avait déjà connu auparavant l’anxiété d’une bande de malfrats comptant les hommes en armes pour évaluer leur chance, ou les fausses frayeurs de quelques manants s’essayant sans succès au banditisme, ce fut cette fois là qu’il connut la peur tenaillante de l’attente et des ombres qui rôdent entre les corps sylvestres. Toutefois, ce ne fut qu’une fois retourné dans la pénombre du Reikwald qu’il vécut son premier véritable combat. Et qu’il manqua de périr d’une mort aussi subite qu’atroce…
Le convoi fut attaqué par un groupe d’hommes bêtes dans les petites collines entre Grunbrug et Diesdorf. La moitié de l’escorte perdit la vie durant l’attaque. Par chance, un groupe d’éclaireurs assista à la scène et vint leur prêter main forte, tandis qu’un cavalier s’empressait de prévenir la garnison locale. Les hommes bêtes furent repoussés et se dispersèrent dans la forêt, laissant le temps au convoi de se regrouper et d’atteindre les fortifications de Diesdorf. Konrad ne fut cependant pas de ceux que l’on félicita sommairement pour leur bravoure, mais de ceux que l’on ramena sur une civière. Il apprit cependant de cette triste expérience qu’une arme de tir peut aussi servir dans la mêlée, bien qu’il ne comprît cette leçon que plus tard, lorsque le cocher du convoi lui raconta par quel miracle il avait survécu...

Au premier cri d’alerte, Konrad n’eut le temps que d’apercevoir les énormes silhouettes des Gors qui se détachaient des arbres et des rochers avoisinants. Un homme bête semblant surgir de nulle part se rua sur lui et le frappa au visage, lui fracturant la mâchoire, avant de se jeter de toute sa hauteur vers l’avant de la diligence. Dans le tumulte, le jeune homme s’écroula sur le sol, le visage en sang, et son arbalète -à laquelle il s’agrippait fermement- se déclencha sous le choc. La créature reçut le carreau sous l’épaule droite, et celui-ci se brisa sous la pression de son énorme omoplate. Fou de rage, le Gor se retourna d’un bloc vers sa victime, prêt à la déchiqueté vivant. Oubliant la diligence, il se planta dans la terre boueuse comme un roc, et leva sa hache de ses deux grosses mains griffues. Les yeux embués, noyés sous le sang et les larmes de douleur, l’esprit complètement embrumé par la panique et le choc, Konrad ne vit qu’une silhouette monstrueuse se dresser de toute sa hauteur pour le fendre en deux comme une courge. Et vit sa tête exploser en un nuage de sang et de mitrailles entre ses bras lacérés. Le jeune homme distingua alors le large canon d’un tromblon, et les mouvements vagues du cocher jetant à terre d’un coup de pied la dépouille du monstre. Son horrible visage de mutant déchiqueté s’écrasa dans la boue à quelques centimètres de lui, et son énorme corps velu l’éclaboussa de la tête aux pieds, le réduisant à un amas humain de glaise et de sang tremblant. Ses oreilles bourdonnaient comme des cloches, et ses tempes battaient à tout rompre, lui donnant l’impression que son cerveau allait éclater sous le coup de la douleur. Le vacarme des coups de feu, du métal et des hurlements se fit plus trouble et lointain, et il sombra dans l’inconscience.
Par chance, le cadavre de l’homme bête s’offrit à lui comme un couvert inespéré face au chaos du combat. Lorsque les rescapés et les éclaireurs rassemblèrent les blessés, ils le trouvèrent sans connaissance, nageant dans les restes putrides de l’échauffourée. Mais toujours vivant.

[...] Cette mésaventure lui valut un long séjour au Temple de Shayla local. Durant l’hiver qui suivit, il resta de longues journées à retrouver progressivement l’usage de sa mâchoire, n’étant nourrit que de soupe et de gruau. Par chance sa blessure n’était pas aussi grave qu’elle le laissait penser, et ne s’infecta pas grâce aux soins prodigués par le temple le jour même. Il put peu à peu reprendre une alimentation normale au terme de l’hiver. Toutefois, il arbore depuis une très large balafre qui lui parcoure la moitié gauche du visage, de l’arcade jusqu’à la mâchoire, et qu’il gardera à vie.
S’il ne garde aucun souvenir visuel du combat, l’odeur de terres humides, de sang et les relents fétides de la créature morte près de lui, l’imprégnèrent des mois durant. Aujourd’hui encore, il lui arrive parfois qu’une odeur lui fasse remonter dans la gorge le goût acide de la nausée, qu’il se contente de ravaler sans y repenser.
Que ce fut la chance ou la bonté divine qui lui valut que cette blessure soit plus impressionnante que grave est une question à laquelle Konrad ne chercha jamais de réponse. La peur et les cauchemars de son traumatisme se muèrent en une haine féroce des hommes bêtes et une détermination farouche. Au lieu de chercher un autre métier moins dangereux, il se mura dans un ascétisme profond, et décida de continuer à travailler pour la guilde. Quelque fût la motivation profonde qui le poussa à prendre une telle décision, il ne la regretta jamais. Son abnégation dans l’accomplissement de sa tâche, et la discipline physique et mentale qu’il s’impose depuis, lui valurent de rester en vie jusqu’alors, malgré le temps et les épreuves.

Les années passèrent et laissèrent à leur tour leur marque sur lui. Bien qu’il n’ait pas encore la trentaine, on pourrait lui en donner une dizaine d’années de plus, comme bien des hommes dans ce métier. Le climat, la fatigue, le stress et les voyages interminables à travers tout le Reikland, et au-delà, laissent sur eux des traces aussi indélébiles que cette cuisante leçon. Mais ils font aussi des cochers les hommes robustes et téméraires, que ni la faim, le froid et les heures à dos de monture ne font reculer.
Aujourd’hui, Konrad est devenu un cocher indépendant, parcourant les routes au gré des clients et des saisons. La guilde lui a offert de posséder son propre attelage, à ses frais et dépends, et prélève une taxe sur ses contrats, qui lui permettent cependant de vivre plus confortablement que les jeunes cochers. Il lui arrive cependant assez souvent de venir grossir une escorte dépêchée par la guilde ou d’épauler de jeunes recrues. Seul ou en groupe, il se plie aux exigences des voyages comme on s’habitue au retour de l’hiver. La vie sur les routes n’est ni glorieuse ni enviable, mais elle nourrit son homme. Les journées se succèdent sur le pavé et la terre, sur les routes et les sentiers, puis on s’offre le temps d’une escale les plaisirs de la boisson et d’une galante compagnie. Un autre contrat survient, et le temps d’une prière à Sigmar, les sabots arpentent de nouveau le chemin en tirant le coche.

Alors que ses derniers revenus l’ont amené dans la ville d’Ubersreik, au pied des montagnes Grises, Konrad compte les jours restant avant l’arrivée de l’hiver, et la période de dent creuse qu’il achemine dans son sillage. Comme chaque année avec le retour du froid, il lui faudra compter sur des missions plus variés et la compagnie d’aventuriers ou de mercenaires. Si la saison du froid n’est pas encore là, prendre une longueur d’avance sur elle est une mesure qui paye. Il est grand temps pour lui de trouver un emploi lucratif qui lui permettra de vivre jusqu’au printemps prochain, et il l’espère, qui n’exigera pas de vendre ses deux chevaux et sa "diligence".


Ses traits particuliers

• Droiture (Force Mentale 4): Konrad est un homme droit et intègre, qui considère que l’accomplissement de sa tâche et la protection de sa cargaison passe avant le reste. Mais il ne se reconnaît pas pour autant dans les grandes valeurs des hautes sphères. Pour lui, s’adapter aux rigueurs de la vie comme à celles d’un voyage est la plus grande des disciplines, et même un art de vivre. Il ne s’encombre donc pas de noblesse chevaleresque ou religieuse, et préfère appliquer le vieux dicton « Autant se battre pour voir l’aube se lever, plutôt que de mourir pour la beauté d’un crépuscule » (Dicton qu’un passager, un philosophe, récitait lors du voyage où il fut blessé au visage).

• Résistant et alerte (Talents): Que ce soit sur le plan physique ou le plan moral, Konrad est un habitué des aléas de la route, tant climatiques que circonstanciels. En tant qu’escorte, que ce soit de biens matériels ou de personnes, il se doit de s’imposer une discipline du corps et de l’esprit permanente. Bien qu’il ne soit pas plus endurant que la moyenne pour un homme de sa condition, il sait faire preuve d’une grande témérité et sait subsister dans des conditions difficiles. Le métier de cocher lui a appris que l'essentiel est d’arriver en vie et avec la cargaison, les deux étant souvent étroitement liés. Intempéries, blessures, peurs et autres inconvénients se doivent, dans la mesure du possible, de rester secondaires. Quant aux armes, il est bien placé pour savoir qu’il faut toujours en avoir une sous la main. Cela étant dit, deux armes ou plus, c’est encore mieux.

• Escorte (Profil de carrière - spécialiste - Niveau de vie aisé): Etre cocher ne signifie pas seulement tenir les rênes, mais aussi veiller et protéger la cargaison. Par conséquent, les cochers savent tous manier une arme de tir, le plus souvent à titre dissuasif, mais aussi pour parer à l’éventualité d’une attaque et riposter tout en restant mobile. Ils sont d’ailleurs réputés pour leur aptitude à savoir viser à cheval ou depuis une diligence lancée au gallot. Konrad ne fait pas exception à la règle et affectionne particulièrement le combat à distance pour se sortir d’un mauvais pas. En termes de métier, un cocher indépendant s’apparente à un mercenaire, ce qui lui vaut un salaire journalier avoisinant les 10 pistoles.

• Habile (Profil de carrière - Rural – Agilité 4): Bien qu’il ne soit pas soldat de métier, Konrad a reçu une formation sommaire au maniement des armes à distance auprès de sa guilde, et sa première expérience en la matière fut une révélation pour lui. Né dans un milieu rural, entre champs vallonnés, berges boueuses et forêts, son agilité naturelle s’avéra rapidement utile pour coordonner ses mouvements à cheval avec le maniement d’armes à distance. Il est aussi très à l’aise à pied, où il peut pleinement exploiter sa liberté de mouvement pour trouver un bon poste de tir ou s’extirper de la mêlée.

• Peu loquace (Sociabilité 2): S’il n’est pas un modèle de sociabilité, ce n’est pas par antipathie, mais par simple préférence pour la simplicité. Il aime les conversations concises et directes, et ne s’attardent pas en palabres. Travail et rigueur passe avant les discours et les mondanités. Le peu d’éloquence qu’il possède passe en grande partie dans ses prières à Sigmar ou à Shayla. Le reste est affaire de contrat et de préparatifs pour le voyage.

• Reiklander (Race): En dehors de ses autres traits de caractères, Konrad reste un Reiklander aux motivations assez courantes et sait apprécier les plaisirs simples et répandus que sont l’alcool, les femmes et l’argent. Bien qu’il sache se passer d’eux en temps voulu, il ne crache pas dessus à l’occasion. Toutefois il n’a pas l’attirance de certains Reiklanders pour la mode vestimentaire, et préfère de loin des vêtements robustes et confortables, plutôt que des fanfreluches. Il traine d’ailleurs toujours le même vieux manteau de cocher depuis plusieurs années, malgré les traces ostensibles de nombreux voyages. Il n’en reste pas moins un manteau robuste, quoique rapiécé, idéal pour affronter les aléas du climat.

• Bonne fortune (Race): Konrad n’est ni un fervent croyant, ni un parieur comptant sur la chance comme sur un don. Toutefois, il n’en reste pas moins pratiquant, comme beaucoup d'impériaux, et sait reconnaître que parfois un coup de chance peut aider à sortir d’un mauvais pas, qu’il s’agisse d’un heureux hasard ou d’un miracle. Aussi, lorsqu’il fait escale dans une ville, il prévoit souvent, quand le temps le lui permet, de faire un détour par le Temple de Sigmar pour y faire une courte prière, et à l'occasion, faire un don au Temple de Shayla.

• Ennemis (Race): Bien qu’il ait appris très tôt à mettre sa rancune et sa haine personnelle de côté pour se consacrer à la protection de son chargement, quel qu’il soit, Konrad n’en demeure pas moins un Reiklander, un croyant, et plus simplement un humain, ce qui constitue en soit des raisons plus que suffisantes pour détester les hommes-bêtes et autres engeances du chaos.

• La magie (Race): En une décennie de voyages, Konrad a vu de nombreuses villes du Reikland et a surtout eut plus d’une fois l’occasion d’observer un sorcier ou une sorcière, parfois d’un peu trop près à son goût. S’il n’a pas d’aversion particulièrement prononcée pour eux (dans la limite du raisonnable), il n’en reste pas moins très méfiant à leur égard, comme la grande majorité des gens. Si d’aventure un sorcier, ou même un apprenti sorcier devait faire partie d’un convoi sous sa responsabilité, il demanderait tout naturellement une compensation pécuniaire pour les risques encourus, et même plus généralement, par simple principe.

• Ubersreik (Profil de carrière – Urbain): De cette ville franche, Konrad ne connaît pas grand-chose, en dehors de ses portes, de la place des Temples, du quartier des armes, d’une taverne et d’une auberge bon marché dont il n’a même pas pris la peine de retenir les noms. Toutefois, avant son dernier contrat, il y a fait plusieurs fois escales, à plusieurs mois, voire années d’intervalle, mais jamais très longtemps. C’est la première fois qu’il envisage de préparer son prochain hiver dans la région. S’il ne connaît pas spécialement bien la ville, il sait en revanche y retrouver son chemin sans trop de problème tant qu’il reste dans les zones les plus fréquentées.

Evènements récents :

• Nouveau talent "Effort de coordination" + 1 point de fortune (2xp): Lors de son séjour à Ubersreik, Konrad a rencontré un groupe hétéroclite de nains et d'humains, dont faisait partie une jeune apprentie magicienne. Lors d'une enquête conjointe avec le groupe, sur l'assassinat sacrilège d'un nain dans le temple de Shayla -et cousin de l'un des membres du groupe- il assista impuissant à un phénomène magique qui conduisit la jeune demoiselle à sa perte : Cette dernière se téléporta dans un éclair crépitant juste derrière l'assassin qui tentait de leur échapper par les toits. Là, l'assassin se retourna pour lui faire face et la cribla de flèches avec une violence inouïe, avant d'abandonner son corps sur les pentes d'ardoises. Toutefois, la mort de la sorcière coûta cher à l'assassin : son arme s'enraya, et tandis qu'elle l'abandonnait elle aussi, elle perdit de précieuses secondes pour s'enfuir. Konrad eut tout juste le temps d'ajuster son arbalète et de lui décocher un carreau dans le dos. Le tir fit mouche avec une brutalité peu commune, et la cible perdit complètement l'équilibre sous le choc, avant de venir s'écraser dans le rue, deux étages plus bas. La mort de la sorcière, du nain et d'autres personnes, furent venger sur le pavé des entrepôts. Cette expérience apprit à Konrad que la chance, les réflexes et une bonne coordination, peuvent oeuvrer de paires pour opérer des tirs mortels.
  
  
• Nouvelle action "Esquive avancée" (1xp): L'enquête et la mort de l'assassin rapportèrent à Konrad une somme conséquente qui le convainquit de la nécessité de continuer à travailler avec le groupe. La sympathie de ses derniers vinrent s'ajouter à cette conviction, et il s'embarqua avec eux dans une enquête plus dangereuse qu'il ne le pensait. Après avoir rencontré une horde mineurs abrutis par des drogues maléfiques, ils rencontrèrent de curieux hommes-rats, puants et sournois. Mais c'est au terme de leur investigation qu'ils eurent la plus grosse et la plus mauvaise surprise : un homme-rat géant, haut de presque trois mètres, aussi résistant qu'un rock, et d'une brutalité qui manqua de tuer plusieurs d'entres eux. Fort heureusement, le groupe s'en sortit entier, bien que les blessures furent nombreuses. Konrad se découvrit lors de ses combats un jeu de jambe salutaire, qui allié à son agilité, lui permirent de tirer cette leçon : une bonne esquive est parfois aussi utile qu'une bonne armure ou qu'un bouclier.
  
  
• Vocation "Chasseur de Primes": les quelques jours passés en compagnie de ce nouveau groupe on fait découvrir à Konrad qu'une cible bien choisie peut rapporter gros, et qu'une enquête bien menée peut rapporter encore d'avantage. Bien qu'il soit profondément attaché à son métier, plus par ascétisme que par affection, c'est une nouvelle vocation pour la traque d'individus malfaisants qui a émergé en lui dernièrement. Mais pour l'heure, il se concentre encore sur son rôle de cocher, et garde cela en tête pour un avenir, pour l'heure plus qu'incertain.

Récapitulatif d'évolution : 1 talent tactique (Effort de coordination) ; 1 point de fortune ; 1 défense avancée (Esquive avancée) ; une nouvelle aspiration de carrière (objectif personnel : chasseur de prime).