Répertoire musical d'Eduardo

**Butcher** Dim 4 Avr - 13:57

Répertoire musicale d'Eduardo

Répertoire musical d'Eduardo 100404035328220330

J’ai l’honneur de vous présenter le répertoire des compositions d’Eduardo. C’est ici que seront regroupées toutes les musiques qu’il composera. Si je suis en forme, je me permettrais même de vous faire une petite accroche pour vous les décrire. M’enfin, il vaut quand même mieux les entendre pour vous faire votre propre opinion.

Une nuit à Béjofa.

La première composition de notre jeune métis, il s’agissait d’une commande de maître Rumens. Ce dernier voulait une œuvre au luth qui soit entraînante et rythmé. Pour la composition, il s’est inspiré de ce qu’il avait pu apprendre à jouer chez les Slobades. Un rythme entraînant, mais inquiétant qui tente de traduire l’atmosphère si particulière des nuits dans le « quartier des tanneurs » de la ville de Béjofa.

« Telle une étoile, la vie d’un homme ou d’une femme étincelle toujours de mille feux avant de s’éteindre définitivement. »

C’est pour cela que le rythme entraînant se termine toujours par une partie plus lente qui est censée rappeler la mort.

Contrat : 15

Adagio O.P 1

Une mélodie lente qu’il a composé pour deux instruments, avec cependant une toute petite introduction au piano. Le violoncelle en est l’instrument principal et le luth ne sert que de soutient à ce premier. C’est un morceau qu’il a composé pour la nièce de la comtesse. Un morceau qui a pour but d’aider cette dernière dans son expression musicale.

Contrat : 12

Sonate pour un cœur indécis.

Le morceau fut finalement composé en un rien de temps. Il s’agit de son premier véritable solo pour piano. Une musique romantico-mélancolique qui caractérise très bien notre jeune compositeur. Elle relate les errances de son cœur. Elle fera d’ailleurs partie de son tout premier concerto pour piano. Un concerto qui saura toucher les âmes les plus sensibles de Béjofa.

Contrat : 18

**Butcher** Jeu 8 Avr - 20:55

Tourments.

Un concerto qui trouve son origine dans une terrible soirée chez les Slobades. Une soirée qui va rester à tout jamais gravé dans la mémoire d’Eduardo.

« Sonate pour un cœur indécis » en est d’ailleurs l’introduction.

Au cœur de la tempête.

C’est la composition la plus rythmée et la plus violente de son concerto. Une violence qui lui est purement et simplement destiné. Elle exprime sa culpabilité.

Contrat : 15

Deux anges blessés

Triste et douce sont les deux seuls qualificatifs de cette œuvre musicale. Elle a été composée pour Marianne et Ashéna dans l’espoir d’obtenir un jour leur pardon. Est-ce qu’elles auront un jour l’occasion de l’écouter ? Seul Arlam en a la réponse. En tout cas, elle marque le début de la descente aux enfers du jeune compositeur.

Contrat : 17

Déchirure

Composition un peu plus rythmé que la précédente. Elle est également plus violente. La tristesse est toujours au rendez-vous, mais cette fois, elle n’est pas venue seule. Le désespoir s’est fait un plaisir de l’accompagner pour tourmenter encore plus l’esprit d’Eduardo.

Contrat : 15

Prélude

La précédente composition est reprise dans ce morceau avec quelques nuances. Elle est reprise de manière bien plus violente. Du coup on ressent beaucoup moins la tristesse et le désespoir. Cette violence doit être prise comme un signe de changement. Elle est d’ailleurs encadré pour un début et un final beaucoup plus doux qui renforce encore plus cette idée. Elle constitue la transition idéale pour nous emmener vers la dernière chanson de ce concerto.

Contrat : 15

Hymne à l’amour.

Déjà premier changement, ce morceau n’est pas un solo pour piano, mais un duo violoncelle, piano. Pourquoi ce changement ? Et bien, il est en rapport avec le titre. Le véritable amour marche toujours par deux. C’est pour cela qu’il a écrit pour un duo d’instruments et pas pour un seul. Il a choisit le violoncelle parce qu’il se marie très bien avec le piano et parce qu’il en a quelques bases.

Une musique rythmé et beaucoup plus aérienne que les précédentes. La violence et le désespoir semblent progressivement se dissiper pour laisser place à l’espoir.

Contrat : 20

**Butcher** Dim 18 Avr - 22:00

La passion d'une Sainte.

Il s’agit d’une œuvre musicale qui relate la belle et tragique légende de Sainte Léorine. Sa composition est un véritable défi pour notre jeune métis. C’est la première fois qu’il s’attaque au récit d’une histoire à travers la musique. Sa composition ne sera pas aisée, mais en même temps, il puise son inspiration dans la seule femme qui a su traverser toutes les protections qu’il a érigé autour de son cœur.

Fort de l’aube.

Une musique aérienne qui est empreinte d’espoir. Comme, il est dit dans la légende, que Le Fort de l’Aube est un havre de paix, une trouée lumineuse dans l’ère des ténèbres. Dans ce monde brutale et chaotique, ces havres représentent le seul espoir pour ceux qui aspirent à un monde meilleur. Le chœur est composé exclusivement de femmes et d’enfants pour une plus grande douceur. Eduardo veut que cette musique soit aussi douce que la caresse d’un ange.

Parfois, quelques notes plus inquiétantes viennent se mêler aux notes qui expriment l’espoir pour traduire la menace qui plane en permanence sur ces havres. Les démons ne cessent de vouloir détruire ces endroits qui les insupportent.

Les treize princes démons se sont d’ailleurs unis pour détruire le Fort de l’aube.

La marche de sainte Léorine.

Le deuxième acte monte d’un ton par rapport au premier acte. Le morceau est toujours aussi aérien et doux, mais il commence à prendre une dimension plus épique. Le ton monte puisque tous les princes démons et leurs armées sont aux portes du Fort de l’Aube. Une bataille qui s’annonce perdu d’avance. Que peuvent-ils faire contre une telle armée ?

Léorine ne laisse pas le désespoir envahir le peuple. Elle se dirige seule vers la sortie du fort en portant une magnifique armure et une lance. Elle est décidée à défier tous les princes démon. C’est ainsi qu’elle se présenta devant la titanesque armée des démons. Une seule femme contre une des plus puissante armée que ce monde ait porté. Nullement impressionné, elle défie en duel tous les princes démons. Les duels sont bien évidemment des duels à mort. Ils acceptent tous, sauf le treizième qui n’étant pas un guerrier décide de lui opposer son champion.

Vous remarquerez que le chœur dans cette chanson est plus puissant. Les hommes y font leur apparition pour rendre ce morceau un peu plus épique. Le rythme de la musique vient aussi le renforcer puisqu’il est un poile plus rapide que le premier.

Treize défis

Dans ce troisième acte, on continue de monter pour atteindre l’apothéose. Il s’agit de la musique la plus épique de cette œuvre musicale. Ce morceau en possède le rythme le plus élevé. Les chœurs y sont tout puissants. Ils arrivent à être à la fois doux et puissant, pour exprimer la violence des combats. Les percussions viennent se joindre aux violons et aux violoncelles pour sublimer la dimension épique de cette œuvre.

Léorine arrive à vaincre les douze premiers princes démons, mais le treizième ne semble pas s’en inquiéter bien au contraire. A la fin de ce morceau, la sainte découvre que le champion du marionnettiste n’est autre que son bien aimée. Cette découverte va marquer une rupture entre le troisième et le quatrième morceau.

La complainte des âmes sœurs.

Ce quatrième morceau est à mille lieux du caractère épique de l’acte précédent. La musique est très discrète, triste, mais toujours très douce. Cet acte commence par un solo masculin qui n’est autre que la complainte du bien aimée de Léorine. Il s’achève pour laisser place à la complainte de Léorine. Il s’agit d’un magnifique solo féminin qui tente d’exprimer à la perfection l’impasse dans laquelle se trouve la sainte. Elle est coincée entre son amour et le peuple de Fort de l’Aube. Les deux voix finissent par se joindre dans un magnifique duo qui exprime l’amour qu’ils ont l’un en vers l’autre. Il traduit également la décision qu’ils ont prise. La tragédie se dessine aux yeux des spectateurs. Tout bon guerrier qu’il est, le bien aimée de Léorine est incapable de faire du mal à la femme de sa vie. Manipulé par le prince démon, il ne défend pas une cause aussi juste que celle de sa douce. Le duel va avoir lieu, mais son issus est déjà scellé.

Le sacrifice d’un homme.

Ce morceau est sans doute le deuxième morceau le plus épique de cet œuvre musicale. Elle arrive bien après les « treize défis », mais une fois de plus, les percussions font leurs apparitions pour sublimer la dimension épique de ce duel. Ce n’est pas le combat qui est épique, ce sont les sentiments qui le sont. Léorine sait qu’elle va gagner se combat puisque son bien aimée ne la blesserait pas. Par contre, il va falloir qu’elle se fasse violence pour lui apporter une mort rapide et sans souffrances.

Elle le transperce de part en part d’un violent coup de lance. Les larmes de la sainte se mêlent au sang de son bien aimée qui coulait le long de la hampe de sa lance.

La mort du jeune homme laisse place à une mélodie triste et très discrète. Il s’agit juste d’une petite accalmie, le temps que Léorine réalise qu’elle vient de tuer l’homme qu’Arlam lui a destiné. Ce dernier s’est sacrifié pour elle au nom de leur amour. Cette accalmie va permettre aussi aux spectateurs de prendre conscience du drame qui vient de leur être chanté.

Mort et confusion.

Un morceau qui débute violemment. Il débute sur le même ton que le morceau précédent. La sainte à triompher des treize princes démons, mais elle l’a très chèrement payé. Cette victoire lui a enlevé la personne qui est la plus chère à son cœur. Ce morceau oscille entre des passages violents, épique, rythmées et des passages tristes, doux et lents. Ces variations sont là pour traduire la confusion de Léorine. Que va-t-elle devenir sans lui ?

Un cœur brisé et vide.

Cet avant dernier morceau, est le morceau le plus triste de toute la composition. Il exprime le deuil de la sainte. Sans lui, son monde est totalement dépeuplé. Elle a réussi à sauver le Fort de l’Aube, mais elle sait qu’elle ne retrouvera plus jamais l’amour. La musique est en symbiose avec les chœurs pour mettre en avant cette tristesse, mais aussi le désespoir de Léorine. Il faut que ce morceau arrive à toucher les cœurs de tous les spectateurs.

La légende connue de Léorine devrait se terminer sur ce morceau. Sauf que notre jeune courtisan n’est pas fan des tragédies et des histoires tristes. Il veut que son œuvre se termine avec une touche d’espoir. C’est pour cela qu’il a composé un dernier acte.

Lux Aeterna.

Ce morceau reprend quelques passages du premier acte. Si l’espoir continu d’habiter le cœur des habitants du peuple du Fort de l’aube c’est grâce à Léorine et au sacrifice de son âme sœur. De ce fait, il est juste que cet espoir revienne un jour habiter le cœur de la sainte. C’est pour cela qu’il a repris quelques passages du premier morceau de la Passion d’une Sainte. Eduardo ne peut pas croire qu’Arlam peut laisser un démon bafouer un amour aussi pur.

C’est un messager d’Arlam qui va lui apporter l’espoir en réponse à l’une de ses prières. Personne ne sait ce que ce messager lui a dit, mais en tout cas, ce message lui a rendu le sourire. Ses yeux brillent à nouveau et elle semble être à nouveau la plus heureuse des femmes.

Contrat : 30 à 40 réussites avec un malus de 4 pour la qualité et la difficulté.

Oeuvre en cours de composition

**Butcher** Mer 14 Juil - 8:56

Hrp : Mise à jour, la Passion d'une Sainte est enfin achevée après de loooonnnnng mois de travail intensif. Un travail qui a légèrement entamé la santé du petit métis. Elle fut achevée avec 40 réussites et un malus de 4 pour la qualité. Voilou

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