Wagon-couchette arrière (6ème voiture): votre voiture

Chaque compartiment ne dispose que d'un lavabo, mais des salles de bain complètes se trouvent à chaque extrémité de la voiture. Les cloisons entre les compartiments peuvent être abattues pour faire des suites doubles (vous disposez d'une suite double).
Chaque compartiment dispose de deux canapés, convertibles en lit une place. Deux couchettes sont repliées au-dessus des divans, ce qui permet à quatre personnes de partager la même cabine (8 pour votre suite double par conséquent).

Tous les wagons du train ont été restaurés afin de leur redonner la gloire et l'opulence de leur splendeur passée. L'extérieur est rouge et or, décoré de deux tonnes de cuivres brillant. Les intérieurs sont lambrissés de chêne massif ou enduits de laque noire brillante. Une moquette épaisse de teinte rouge, bleue ou verte tapisse les sols.

Un steward en livrée se tient à votre entière disposition.
La quarantaine passée, il a les tempes grisonnantes et une moustache qui se rebique sous un nez proéminent.

Alors que Zet sortait dans le couloir du wagon en direction des douches, sont attention fût attiré par des éclats de voix à l'autre bout du couloir:

"_Libre à vous de ne pas me croire. Mais sachez, mon père, que je dit toujours la vérité..."

Le gros homme qui parlait ainsi n'était autre que l'Ayslien qui avait posé des problèmes à Daniel en gare de Bruxelles. Ses deux interlocuteurs, un prêtre et une none, rentrèrent visiblement excédés dans leur cabine, laissant à la porte le gros bonhomme. Ce dernier apercevant Zet se dirigea instantanément dans sa direction:

"_Bonjour Monsieur. Je suis Horace Blessed, se présenta-t-il en tendant la main, négociant Ayslien en bijoux."

Z.E.T toisa l'homme du regard et ne daigna même pas lui serrer la main
il attendit que l'homme baisse sa main puis coupa le silence:

"-bonjour Horace le béni, mon amis ma parlé de vous ainsi ne m'en veillez pas si je garde les main dans mes poches.
que voulez vous?
faite vite j'ai une douche a prendre."

il se cala ensuite sur la fenêtre du train attendant que cet homme c'en aille.

"_Ne soyez pas si dur avec moi, voyons. Je ne suis qu'un simple voyageur parmi tant d'autres vous savez."

Après une courte pause:

"_Soyons amis voulez-vous. Et je suis toujours très bon avec mes amis. En tant que négociant en bijoux je peux vous dégoter les pièces les plus fines et les plus rares au moindre coût. Tenez je vous offre un verre d'ailleurs; enfin quand nous iront dans le wagon bar bien sûr, ici ce n'est pas l'endroit idéale pour déguster un bon cognac, n'est-ce pas? Mais au fait, excusez moi, je parle, je parle, et je ne vous laisse pas vous présenter. C'est impardonnable de ma part. Vraiment impardonnable. A voir votre mise vous devez être un genre de baroudeur, non? Vous allez par mont et par vaux au travers des royaumes j'imagine... C'est quoi le nom déjà?... Chevalier des tempêtes je crois... Oui ça doit être ça. Alors comme ça vous êtes chevalier des tempêtes? Ce doit être un métier dangereux, non? En tout cas je préfère mon métier: je voyage aussi mais sans les risques. Mais j'y pense, vous ne m'avez toujours pas dit votre nom. A qui ai-je l'honneur?"

zet leva les yeux au ciel:
"bon vous n'avez pas l'air de vouloir me laisser.
allons le boire votre verre et peut être me dirai vous enfin ce que vous me voulez.
"
il tendit la main vers la sortie du wagon

"après vous et je m'appelle Kane, John Michael Kane."

L'Ayslien fit quelques pas en direction du wagon bar mais s'arrêta subitement au bout du couloir, se retournant vers son interlocuteur le sourire aux lèvres:

"_Vous n'êtes pas le genre de personne à pouvoir vous payer ce genre de voyage de luxe n'est-ce pas? Je peux vous proposer une affaire en or. Vous êtes un dur vous. En tout cas vous en avez l'air... Je revends les bijoux vous savez... et il y en a un remarquable dans ce train... une énorme gemme rouge en fait, grosse comme le poing... ça vous tente? Le signal je croie qu'elle s'appelle..."

Zet regarda l'homme et afficha un large sourir

"- parlons en devant ce verre si gentiment proposer.
sachez simplement que primo je me doutait que vous aviez une idée derrière la tête,
et deusio habituellement je nettoie l'emprunt dirons nous ne fait pas partie de mes prérogatives.
Mais... j'ai l'esprit ouvert... alors on y va ?"

Zet attendit que l'homme avance et ne pu se retenir de rire décidément ce voyage s'annonçait passionnant!

"_Ha je t'aime bien toi! Par contre je préfère que nous terminions les arrangements tout de suite comme ça nous pourrons simplement parler de la pluie et du beau temps devant le verre que je vous ai promis. Ce n'est pas exactement ce que vous croyez. Je ne vous propose pas une association. Je vous vends la localisation de la pierre en question. Pour le reste je vous laisse vous débrouiller. 1000 dollars et elle est à vous. C'est une affaire en or... et moi j'y gagne aussi ma petite part."

" et combien vaut-il ton caillou?"

"_Je n'ai pas pu le regarder attentivement mais je dirais 10 000 dollars sur le marché international. Bien sûr une fois retaillé pour la revente son prix sera légèrement revu à la baisse."

"écoute on peu discuter des detail, mais ce que l'on peu faire c'est tu me dit ou est ton caillou et je te le vend pour 4000?
alors sa te va ?"

"_Et si jamais ça tourne mal je ne gagne rien... c'est risqué comme proposition... et quel garantie j'aurais que vous serez réglo, hein?

tout simplement
-primo je suis pas un receleur et je serai pas ou la fourgué ta pierre
-deusio c'est moi qui prend les risque si je rate vous êtes tranquille
-tersio je vous la vend la moitier de sont prix donc vous vous faite une belle marge

sa vous suffit ?

"_Hahaha! Tu ne manque pas de culot l'ami!"

Joingnant le geste à la parole: "Venez je vous offre un verre. Ensuite vous pourrez aller quand bon vous semble visiter le wagon de service"

Horace se fendit alors d'un large sourire, invitant Zet à le suivre.

El Cuevro sorti du compartiment à la recherche d'un stewart.
Il vit Zet partir en compagnie d'un homme potelé en direction du wagon bar. Il n'eut malheureusement pas le temps de s'y intéresser, voyant un stewart en tenue impeccable sortir d'un compartiment, un plateau de verres vides à la main.

- Ah bonjour ! fit Djibril en s'avançant vers le steward. Est-ce que vous sauriez où je peux trouver de quoi écrire ?

"_ De quoi écrire? Je vous apporte immédiatement tout le nécessaire à votre cabine monsieur. Si vous voulez bien patienter quelques instants..."

- Merci, sourit Djibril en s'inclinant légèrement.

Retournant dans sa cabine, il pensa que -décidément- le service était très bon dans ce train.

[HRP : Dijibril retourne dans la cabine et attend qu'on lui apporte ses feuilles]

"Daniel retraversa tout le wagon dans l'autre sens, repassant devant sa cabine. En arrivant devant la porte du wagon suivant, il croisa un steward portant un plateau contenant des verres d'alcool."

" -Pardon, pour qui est-ce tout cet alcools ?"

"_Je m'excuse Mr. mais j'ai pour habitude de garantir la quiétude des passagers. Je tiens à vous informer que le déjeuné est servie dans le wagon-restaurant. Si vous voulez bien m'excuser, je dois amener ces quelques verres en cabine."

Sur ce le steward continua sa route.

Daniel ne bouge pas, regarde le paysage en gardant un œil sur le steward pour voir dans quel cabine il rentre.

Le steward entre deux cabines plus loin puis ressort, le plateau vide à la main (un fait deux cabines après la votre).

Daniel s'approche en essayant de faire le moins de bruit possible de cette porte, et essaye d'écouter au travers si il peut entendre quelque chose.
(Je précise qu'en même temps de sa balade, il scanne les wagons a l'aide de son oeil EM)

A l'intérieur du wagon, tu entends de nombreuses personnes converser... sans doute en japonais... enfin une langue orientale... faut pas être parano non plus...