[/!\][Ambiance] Mise au point dans le boudoir !
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[/!][Ambiance] Mise au point dans le boudoir !
Butcher Sam 12 Mai - 9:06
Hrp : texte comportant un vocabulaire grossier et vulgaire. Lecture réservée donc à un public avertit.
Mise au point dans le boudoir !
Des cris se faisaient entendre d’un des boudoirs du palais de la famille Borgia. Des cris féminins qui étaient entre coupés de suppliques.
- Madame, arrêtez … Je vous en prie … Arrêtez …
Ces paroles revenaient souvent accompagnées également avec des sanglots et des petits couinements. Une des jeunes servantes du palais étaient à terre en train de se faire cravacher par la jeune maîtresse de maison. Cette dernière était une belle jeune femme brune aux magnifiques yeux bleus. Actuellement, elle et son mariage avec le bel Armando était le sujet numéro un des rumeurs de la ville.
![[/!\][Ambiance] Mise au point dans le boudoir ! 599876FaustinaBorgia](https://2img.net/r/hpimg11/pics/599876FaustinaBorgia.jpg)
- Je t’ai dit que je voulais que ma robe pour la réception d’après demain soir, soit parfaite ! Parfaite !! Sans la moindre pliure !!!
- JE DOIS être la plus belle ! Est-ce si difficile à concevoir pour un esprit aussi simple que toi Cassia !! J’exige un service irréprochable ! La famille Borgia n’a aucune tolérance envers l’incompétence ! Tu comprends !
Le geste se joignit à la parole afin de lui administrer une nouvelle salve de coups de cravaches bien placés afin de bien faire comprendre à la malheureuse qu’elle ne toléreraient pas longtemps sa présence à ses côtés. Hors, avoir un travail c’est vital pour les personnes issues du « poppolo minuto ». Il faut œuvrer, s’échiner au travail afin de subvenir aux besoins de sa famille.
La molestation de la jeune servante ne se faisait pas en privée. Faustina Borgia avait pris soin de réunir dans ce boudoir toute sa livrée de servantes et de domestiques. La jeune femme aimait son statue. Elle aimait sa position en haut de l’échelle sociale qui lui permettait de regarder tout le monde de haut.
Après un bon gros dernier coup de cravache afin d’être bien sure de lui laisser un petit souvenir de son petit traitement, Faustina se tourna vers toutes les autres. Ces dernières baissaient la tête dans l’espoir de ne pas attirer sur elles le courroux de leur jeune maîtresse.
- Bon ! Que ceci vous serve de leçon !
- Vous toutes ! Ici présentent ! Estimez-vous heureuse de travailler pour la noble famille Borgia !
- Nous sommes l’une des plus illustres familles de cette ville et l’une des plus riches bien sûr !
- De ce fait, mes exigences sont hautes ! Et je ne tolèrerais aucune erreur de votre part ! Je veux un service irréprochable.
- I-RRE-PRO-CHA-BLE
La jeune femme insista et décomposa le mot afin d’être bien sur qu’elles l’aient compris. Après tout, elle savait que ces femmes n’avaient reçu pratiquement aucune instruction. Des illettrées, des moins que rien comme elle les considérait.
- Je vous punirais si je l’estime nécessaire ! A mes yeux, vous n’avez strictement aucune valeur !
- Si jamais vous veniez à me décevoir, je me ferais une joie de vous renvoyer dans la merde de laquelle vous venez !
- Me suis-je bien fait comprendre ?!
Des gestes timides de la tête répondirent positivement. Cependant, ils étaient bien trop timide à son goût. Elle se sentit obligée d’hausser le ton.
- Me suis-je bien fait comprendre ?!!!!
Cette fois, les gestes furent bien plus marqués.
- Bien, maintenant, occupez-vous de moi. Je veux qu’on me coiffe les cheveux et qu’on s’occupe de mes mains et de mes pieds.
- Puis, vous irez me préparer un bain et ne soyez pas en huiles essentielles.
Elle marqua une pause afin de pouvoir ricaner. Elle le fit en prenant place derrière une coiffeuse ouvragée et stylisée. Autour d’elle ses domestiques commençaient déjà à se mettre en branle afin d’obéir à ses ordres.
- Cassia !
La jeune femme qui était encore perclus de douleur se dirigeait à grand pas vers la sortie de la pièce, espérant ainsi sortir du champ de vision et ainsi des pensées de sa tortionnaire.
- Viens par ici …Pour rattraper ta petit bourde avec la robe j’aimerais que tu me rendes quelques menus services.
Dit-elle en se regardant dans le miroir. Son visage était déformé par un rictus carnassier qui n’augurait rien de bon.
- J’aimerais tu ailles porter un petit billet à mon cochet de ma part. Il saura quoi en faire. Puis, tu iras en ville m’acheter quelques petites choses …
- Vu que tu vas lui remettre ce petit billet de ma part, tu lui demanderas également de te conduire au près de mon alchimiste … Il saura où trouver son échoppe.
- J’aimerais que tu lui achètes quelques doses d’un produit qui se nomme « CYA-NU-RE ». Et ce sera tout …
- Bien madame. Ce sera fait selon vos désirs.
- J’y compte bien … Je n’accepterais pas un deuxième échec de ta part ! Maintenant, file !
La servante s’élança vers la sortie pendant que les poings de Faustina se serrèrent. Ses phalanges blanchirent sous la pression. Les domestiques s’affairaient déjà autour d’elle. Deux étaient en train de lui brosser les cheveux. Pendant que deux autres s’apprêtaient à venir s’occuper de ses pieds.
Faustina regarda le miroir. Cependant, elle donnait l’impression de ne pas y voir son reflet, mais plutôt celui de sa pire ennemie. Son visage se déforma encore un peu plus sous le coup de la colère et du dégout.
Elle se demandait comme elle avait bien pu ressortir vivante du Montéfango. Dans ce quartier, elle aurait du trouver une fin lente, violente et déshonorante.
- Mais non !! Tu es encore là ! Tapis dans l’ombre comme une punaise !
- Sale petite traînée … Tu n’auras plus jamais l’occasion de porter ton regard sur MON bel Armando.
- Je te crèverais les yeux avant de te faire livrer dans le bordel le plus sordide du Montéfongo !
- Afin que tu apprennes enfin qu’elle est ta véritable place !
- Celle d’une vulgaire petite catin ! Une fille de joie qui devra écarter les cuisses devant la lie de la société de Clémence !!
- Voilà, ce qui te correspond le mieux !
- QUAND je pense que tu as osé porter ton dévolue sur lui … Et qu’il a pu succomber à tes charmes … Comment a-t-il pu me préférer à une souillon ?!!!
Sa respiration s’était emballée pendant qu’elle déblatérait à voix haute. Elle prit le temps de se calmer sans jamais cesser de fixer son miroir.
- Un simple égarement de sa part et rien de plus, Faustina. Tu es bien plus belle et tu vaux bien mieux que cette petite traînée. Tu es une véritable princesse, une Borgia !
- Tu es la femme qui lui faut !
La jeune femme se parlait à elle-même, mais pour elle, elle avait l’impression que c’était son double dans le miroir qui lui parlait. Ce reflet lui susurrait des paroles censées. Des paroles qui la calmèrent. Elle ne devait pas oublier les fêtes qui se profilaient à l’horizon, mais surtout sa cérémonie de mariage.
En tout cas, le grand bal allait être la prochaine grande étape avant sa cérémonie de mariage et il allait lui falloir être au top de sa forme …
- Madame, arrêtez … Je vous en prie … Arrêtez …
Ces paroles revenaient souvent accompagnées également avec des sanglots et des petits couinements. Une des jeunes servantes du palais étaient à terre en train de se faire cravacher par la jeune maîtresse de maison. Cette dernière était une belle jeune femme brune aux magnifiques yeux bleus. Actuellement, elle et son mariage avec le bel Armando était le sujet numéro un des rumeurs de la ville.
- Je t’ai dit que je voulais que ma robe pour la réception d’après demain soir, soit parfaite ! Parfaite !! Sans la moindre pliure !!!
- JE DOIS être la plus belle ! Est-ce si difficile à concevoir pour un esprit aussi simple que toi Cassia !! J’exige un service irréprochable ! La famille Borgia n’a aucune tolérance envers l’incompétence ! Tu comprends !
Le geste se joignit à la parole afin de lui administrer une nouvelle salve de coups de cravaches bien placés afin de bien faire comprendre à la malheureuse qu’elle ne toléreraient pas longtemps sa présence à ses côtés. Hors, avoir un travail c’est vital pour les personnes issues du « poppolo minuto ». Il faut œuvrer, s’échiner au travail afin de subvenir aux besoins de sa famille.
La molestation de la jeune servante ne se faisait pas en privée. Faustina Borgia avait pris soin de réunir dans ce boudoir toute sa livrée de servantes et de domestiques. La jeune femme aimait son statue. Elle aimait sa position en haut de l’échelle sociale qui lui permettait de regarder tout le monde de haut.
Après un bon gros dernier coup de cravache afin d’être bien sure de lui laisser un petit souvenir de son petit traitement, Faustina se tourna vers toutes les autres. Ces dernières baissaient la tête dans l’espoir de ne pas attirer sur elles le courroux de leur jeune maîtresse.
- Bon ! Que ceci vous serve de leçon !
- Vous toutes ! Ici présentent ! Estimez-vous heureuse de travailler pour la noble famille Borgia !
- Nous sommes l’une des plus illustres familles de cette ville et l’une des plus riches bien sûr !
- De ce fait, mes exigences sont hautes ! Et je ne tolèrerais aucune erreur de votre part ! Je veux un service irréprochable.
- I-RRE-PRO-CHA-BLE
La jeune femme insista et décomposa le mot afin d’être bien sur qu’elles l’aient compris. Après tout, elle savait que ces femmes n’avaient reçu pratiquement aucune instruction. Des illettrées, des moins que rien comme elle les considérait.
- Je vous punirais si je l’estime nécessaire ! A mes yeux, vous n’avez strictement aucune valeur !
- Si jamais vous veniez à me décevoir, je me ferais une joie de vous renvoyer dans la merde de laquelle vous venez !
- Me suis-je bien fait comprendre ?!
Des gestes timides de la tête répondirent positivement. Cependant, ils étaient bien trop timide à son goût. Elle se sentit obligée d’hausser le ton.
- Me suis-je bien fait comprendre ?!!!!
Cette fois, les gestes furent bien plus marqués.
- Bien, maintenant, occupez-vous de moi. Je veux qu’on me coiffe les cheveux et qu’on s’occupe de mes mains et de mes pieds.
- Puis, vous irez me préparer un bain et ne soyez pas en huiles essentielles.
Elle marqua une pause afin de pouvoir ricaner. Elle le fit en prenant place derrière une coiffeuse ouvragée et stylisée. Autour d’elle ses domestiques commençaient déjà à se mettre en branle afin d’obéir à ses ordres.
- Cassia !
La jeune femme qui était encore perclus de douleur se dirigeait à grand pas vers la sortie de la pièce, espérant ainsi sortir du champ de vision et ainsi des pensées de sa tortionnaire.
- Viens par ici …Pour rattraper ta petit bourde avec la robe j’aimerais que tu me rendes quelques menus services.
Dit-elle en se regardant dans le miroir. Son visage était déformé par un rictus carnassier qui n’augurait rien de bon.
- J’aimerais tu ailles porter un petit billet à mon cochet de ma part. Il saura quoi en faire. Puis, tu iras en ville m’acheter quelques petites choses …
- Vu que tu vas lui remettre ce petit billet de ma part, tu lui demanderas également de te conduire au près de mon alchimiste … Il saura où trouver son échoppe.
- J’aimerais que tu lui achètes quelques doses d’un produit qui se nomme « CYA-NU-RE ». Et ce sera tout …
- Bien madame. Ce sera fait selon vos désirs.
- J’y compte bien … Je n’accepterais pas un deuxième échec de ta part ! Maintenant, file !
La servante s’élança vers la sortie pendant que les poings de Faustina se serrèrent. Ses phalanges blanchirent sous la pression. Les domestiques s’affairaient déjà autour d’elle. Deux étaient en train de lui brosser les cheveux. Pendant que deux autres s’apprêtaient à venir s’occuper de ses pieds.
Faustina regarda le miroir. Cependant, elle donnait l’impression de ne pas y voir son reflet, mais plutôt celui de sa pire ennemie. Son visage se déforma encore un peu plus sous le coup de la colère et du dégout.
Elle se demandait comme elle avait bien pu ressortir vivante du Montéfango. Dans ce quartier, elle aurait du trouver une fin lente, violente et déshonorante.
- Mais non !! Tu es encore là ! Tapis dans l’ombre comme une punaise !
- Sale petite traînée … Tu n’auras plus jamais l’occasion de porter ton regard sur MON bel Armando.
- Je te crèverais les yeux avant de te faire livrer dans le bordel le plus sordide du Montéfongo !
- Afin que tu apprennes enfin qu’elle est ta véritable place !
- Celle d’une vulgaire petite catin ! Une fille de joie qui devra écarter les cuisses devant la lie de la société de Clémence !!
- Voilà, ce qui te correspond le mieux !
- QUAND je pense que tu as osé porter ton dévolue sur lui … Et qu’il a pu succomber à tes charmes … Comment a-t-il pu me préférer à une souillon ?!!!
Sa respiration s’était emballée pendant qu’elle déblatérait à voix haute. Elle prit le temps de se calmer sans jamais cesser de fixer son miroir.
- Un simple égarement de sa part et rien de plus, Faustina. Tu es bien plus belle et tu vaux bien mieux que cette petite traînée. Tu es une véritable princesse, une Borgia !
- Tu es la femme qui lui faut !
La jeune femme se parlait à elle-même, mais pour elle, elle avait l’impression que c’était son double dans le miroir qui lui parlait. Ce reflet lui susurrait des paroles censées. Des paroles qui la calmèrent. Elle ne devait pas oublier les fêtes qui se profilaient à l’horizon, mais surtout sa cérémonie de mariage.
En tout cas, le grand bal allait être la prochaine grande étape avant sa cérémonie de mariage et il allait lui falloir être au top de sa forme …
Butcher- Ange
- Nombre de messages : 10346
Age : 42
Localisation : Grenoble
Date d'inscription : 11/12/2007 -
Beriaskel- Comte/Comtesse
- Nombre de messages : 1422
Age : 38
Date d'inscription : 07/09/2011
Fets- Comte/Comtesse
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Date d'inscription : 12/12/2007 -
Re: [/!\][Ambiance] Mise au point dans le boudoir !
Flo Dim 13 Mai - 18:30
(quel monstre ! il pousse ses joueurs 
)
)
Flo- Duc/Duchesse
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Date d'inscription : 10/08/2011
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