[Loubna] Chez les del Toro
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[Loubna] Chez les del Toro
Chez les del Toro
En quittant le navire, Loubna s’enfonça dans la cité pour se rendre au palais de la famille del Toro. En chemin, elle pu se rendre compte de l’important contingent de sœurs de batailles qui avaient été déployé en ville. Mais ce n’était rien en comparaison du ballet aérien qu’elle pu admirer dans le ciel. Les anges de Thémésia étaient bels et bien de sortie. Toutes les conversations tournaient d'ailleurs plus ou moins autour de ça.
Quoi qu’il en soit, elle arriva devant un palais bien plus modeste que ceux qu’elle avait eu le loisir de visiter au cours de ces derniers jours. La famille del Toro appartenait à la petite noblesse et cela se voyait.
Un garde seulement se trouvait dans la porte d’entrée. Il s’agrippait à sa lance pendant que son regard se perdait dans le ciel de Clémence. Visiblement, les anges avaient le don d’attirer son attention. Tellement, qu’il ne remarqua pas la présence de la jeune femme.
La porte derrière-lui était bien évidemment fermée …
Quoi qu’il en soit, elle arriva devant un palais bien plus modeste que ceux qu’elle avait eu le loisir de visiter au cours de ces derniers jours. La famille del Toro appartenait à la petite noblesse et cela se voyait.
Un garde seulement se trouvait dans la porte d’entrée. Il s’agrippait à sa lance pendant que son regard se perdait dans le ciel de Clémence. Visiblement, les anges avaient le don d’attirer son attention. Tellement, qu’il ne remarqua pas la présence de la jeune femme.
La porte derrière-lui était bien évidemment fermée …
Re: [Loubna] Chez les del Toro
Loubna s'approcha du garde en finesse.
- Bonjour monsieur. Je suis Loubna, fille de l'étoile d'Ishmer et amie de Syrio.
- Est-il présent dans sa demeure ?
Loubna dégagea un doux sourire en attendant la réponse du garde.
- Bonjour monsieur. Je suis Loubna, fille de l'étoile d'Ishmer et amie de Syrio.
- Est-il présent dans sa demeure ?
Loubna dégagea un doux sourire en attendant la réponse du garde.
Re: [Loubna] Chez les del Toro
Les paroles de la danseuse de Sif suffirent à arracher le garde à sa contemplation. Il posa les yeux sur la magnifique créature qui se trouvait sous son nez. Il adopta une position plus conforme à celle d’un vrai garde. Néanmoins, ses traits s’adoucirent lorsqu’il entendit la jeune femme prononcer « l’Etoile d’Ishmer. » La jeune femme ne le savait pas, mais l’homme qui se trouvait sous ses yeux avait servi d’escorte à Syrio et à sa sœur Maude lorsqu’ils se rendirent dans l’empire du Roi Lune. Il connaissait donc la réputation de la mère de Loubna.
- Bonjour, mademoiselle.
- Je suis enchanté de faire votre connaissance … Cependant … Pour répondre à votre question … J’ai bien peur que le jeune maître ne soit plus présent au palais … Il est déjà partie pour la forteresse du podestat pour commencer sa journée de travail …
Il inclina la tête avec la grâce du soldat, c’est-à-dire presque aucune.
- Vous m’en voyez navré …
- Bonjour, mademoiselle.
- Je suis enchanté de faire votre connaissance … Cependant … Pour répondre à votre question … J’ai bien peur que le jeune maître ne soit plus présent au palais … Il est déjà partie pour la forteresse du podestat pour commencer sa journée de travail …
Il inclina la tête avec la grâce du soldat, c’est-à-dire presque aucune.
- Vous m’en voyez navré …
Re: [Loubna] Chez les del Toro
- Je vous remercie pour votre réponse, je m'en vais de ce pas le retrouver.
La jeune femme le salua et partit en direction de la forteresse.
La jeune femme le salua et partit en direction de la forteresse.
Re: [Loubna] Chez les del Toro
La jeune femme se rendit donc à la forteresse du podestat. Ce qui allait lui prendre un petit moment. Les rues commençaient déjà à se charger de monde. Les habitants de Clémence ne pouvaient plus sortir que pendant la journée et ils en profitaient. De toute manière, ils n’avaient plus le choix. La ville n’était plus aussi festive qu’avant. Une certaine tension s’était installée au sein du peuple. La jeune femme put le remarquer en arrivant sur la place où se trouvait cette fameuse forteresse.
Des personnes s’étaient réunies spontanément devant la porte principale de la place forte. L’entrée qui donnait sur la cour du château était d’ailleurs gardée par une petite garnison de miliciens qui devait de temps en temps les repousser.
La jeune femme comprit très vite que cela n’allait pas être évident de rentrer à l’intérieur. Dans un premier temps, elle allait devoir se frayer un chemin à travers la foule qui se trouvait entre elle et l’entrée. Si elle y parvenait, elle devrait ensuite réussir à convaincre les gardes de la laisser entrer.
En tout cas, la place était animée par les cris de mécontentement des personnes qui s’y étaient réunies. La danseuse de sif pouvait très clairement les entendre les protestations suivantes.
Des personnes s’étaient réunies spontanément devant la porte principale de la place forte. L’entrée qui donnait sur la cour du château était d’ailleurs gardée par une petite garnison de miliciens qui devait de temps en temps les repousser.
La jeune femme comprit très vite que cela n’allait pas être évident de rentrer à l’intérieur. Dans un premier temps, elle allait devoir se frayer un chemin à travers la foule qui se trouvait entre elle et l’entrée. Si elle y parvenait, elle devrait ensuite réussir à convaincre les gardes de la laisser entrer.
En tout cas, la place était animée par les cris de mécontentement des personnes qui s’y étaient réunies. La danseuse de sif pouvait très clairement les entendre les protestations suivantes.
Rendez-moi mon fils !! Il n’a rien fait !
Vous n’avez pas le droit de faire ça !!
C’est une injuste ! Nous ne savons pas où se trouve la cachette d’Il Rovo !
Ma fille !
Mon mari ! Il est malade ! Il ne survivra pas s’il reste dans vos geôles !
Libérez les prisonniers !!
Où est ma femme !! Si vous touchez un cheveux de ma femme !!
INJUSTICE !!!!
Voilà, un bref échantillon de ce qu’elle pouvait entendre. Il ne fallait pas grand-chose pour que la situation ne dérape. Une petite étincelle suffirait à mettre le feu aux poudres et à tout faire péter. Pour le moment, les miliciens se contentaient de repousser les contestataires avec la pointe de leur lance. Cependant, ils étaient en large sous nombre par rapport protestataires et une pointe de panique commençait à envahir leur regard.
La situation était aussi tendue que le string de Faustina.
Personne ne prêtait attention à la belle danseuse de sif qui se fondait parfaitement dans la masse. Mais, comment allait-elle faire pour entrer en contacte avec son beau capitaine ?
La situation était aussi tendue que le string de Faustina.
Personne ne prêtait attention à la belle danseuse de sif qui se fondait parfaitement dans la masse. Mais, comment allait-elle faire pour entrer en contacte avec son beau capitaine ?
Re: [Loubna] Chez les del Toro
Loubna se faisait très discrète. Planquée à gauche de la forteresse, elle voyait que la situation allait être compliquée pour y accéder.
Plusieurs idées lui venaient en tête, plus farfelues les unes que les autres. Elle hésita longuement mais elle prit la décision la moins dangereuse à son goût.
Bien qu'elle aime lorsque cela est épique elle resta raisonnable. Ce n'était pas le moment de se faire remarquer. La nuit allait être déjà bien compliqué comme ça.
Elle décida d’activer son ombre et envoyer sa souris verte transmettre un message qu'elle avait écrit sur un vieux mouchoir...
Après avoir donner le message à sa souris verte prénommée "lilou", elle longea discrètement le coté gauche de la forteresse pour se trouver juste devant le canal...
Elle regarda à droite puis puis à gauche pour voir s'il y avait une gondole et surtout si personne ne l'avait remarqué...
Plusieurs idées lui venaient en tête, plus farfelues les unes que les autres. Elle hésita longuement mais elle prit la décision la moins dangereuse à son goût.
Bien qu'elle aime lorsque cela est épique elle resta raisonnable. Ce n'était pas le moment de se faire remarquer. La nuit allait être déjà bien compliqué comme ça.
Elle décida d’activer son ombre et envoyer sa souris verte transmettre un message qu'elle avait écrit sur un vieux mouchoir...
Mon amour,
Je suis à la forteresse... Je passe par l'arrière...
Viens me rejoindre, j'ai besoin de te voir.
L.
Ta fidèle admiratrice qui t'aime.
Après avoir donner le message à sa souris verte prénommée "lilou", elle longea discrètement le coté gauche de la forteresse pour se trouver juste devant le canal...
Elle regarda à droite puis puis à gauche pour voir s'il y avait une gondole et surtout si personne ne l'avait remarqué...
Re: [Loubna] Chez les del Toro
Hrp : quelques tirages s'imposent avant la suite du rp !! Nous regarderons ça en rentrant.
Re: [Loubna] Chez les del Toro
Comme chaque matin, Syrio et d’autres gradés devaient assister au briefing de Monteferro, le podestat de la ville de Clémence. Le contenu de la réunion n’était pas du goût de Syrio. Ce dernier avait de plus en plus de mal à contenir son mécontentement face aux mesures qui étaient prises par celui qui dirigeait la milice de la ville. De plus, il ne comprenait pourquoi pas, ce barbu d’Horstman assistait à la réunion, alors qu’il ne faisait même pas partie de la milice. Une étrangeté qu’il remarqua, mais qu’il préféra taire pour le moment. Surtout dans la position où il se trouvait. Pour le moment, la rébellion n’était pas une solution rentable … Pas encore … Quoi qu’il en soit, cet homme n’arrêtait pas de le fixer et cela le rendait encore plus mal à l’aise. À la fin du discours de son supérieur hiérarchique, il fut heureux de pouvoir quitter ce sinistre endroit.
En sortant du bureau, il se rendit compte qu’il y avait quelque chose qui était en train de se passer. Puisque tous les miliciens qui étaient en faction semblaient être perturbés par quelque chose. Le jeune capitaine comprit très vite de quoi il en retournait en passant sa tête par une fenêtre, qui donnait sur le devant de la forteresse. Ses yeux observèrent la scène pendant quelques battements de cœur avant qu’une main ne vienne s’écraser sur son épaule.
Syrio se retourna dans la foulée pour voir qu’il s’agissait du sergent Garcia. Ce dernier continua son chemin en ricanant. Lorsqu’une distance confortable le séparait du capitaine des « Dragons Noirs » le gros sergent se permit de prendre la parole à voix haute. Suffisamment haute pour être sûr qu’elle serait entendue par celui qu’il ne pouvait pas encadrer.
- Ils sembleraient que les insectes soient de sortie ce matin … Je m’en vais de ce pas avec mes hommes obéir aux ordres de mes supérieurs et les écraser tous.
- Il semblerait que nos prisons vont se garnir encore un peu plus !!
- Vivement qu’elles soient pleines pour que l’on commence les exécutions !
Il termina sa phrase en pouffant de rire. Un rire franc et gras qui fit écho dans tout le couloir. La provocation de Garcia avait atteint Syrio en plein cœur. L’idée de planter cet espèce d’enfoiré lui traversa l’esprit, mais il fit un effort surhumain pour garder la tête froide. Il ne devait pas faire d’esclandre ici, dans la forteresse du Podestat. Il serra les dents et s’en alla en bouillonnant de rage. Il se dirigea vers son bureau sans se rendre compte qu’il était suivi par quelqu’un. Cette personne l’interpella juste au moment où il posa la main sur la poignée de la porte de son bureau. Sa tête se tourna dans la direction de la voix et il eut le déplaisir de voir qu’elle appartenait à Horstman. Le jeune homme se demandait bien ce qu’il pouvait bien lui vouloir. C’était d’ailleurs la première fois qu’il lui adressait la parole. Ils se dévisagèrent pendant quelques battements de cœur.
Pendant ce temps-là, la souris verte de Loubna était arrivée à bon port. Elle avait dans son champ de vision la personne à qui elle devait donner le petit mouchoir. Cependant, il n’était pas seul, il y avait un gros barbu qui visiblement voulait parler à Syrio. Une discussion qui allait sûrement durer des heures. Or elle ne pouvait pas attendre autant de temps. Du coup, la petite souris verte fonça pour donner le message de Loubna avant qu’elle ne disparaisse. Elle dépassa Horstman et se débrouilla pour attirer l’attention du jeune homme. Elle n’avait pas une minute à perdre et surtout, elle n’avait pas envie d’attendre qu’ils aient fini pour transmettre son message. Ses petites traces de pas maculaient le tapis qui ornait le sol. Elles étaient aussi noires qu’une nuit sans lune. Les yeux de Syrio passèrent de la souris à ceux d’Horstman, il espérait que ce dernier n’ait pas eu le temps de voir la petite créature des ténèbres. Ce dernier avait les yeux braqués sur lui, mais un son visage affichait un petit sourire en coin qui n’était guère engageant. Il profita de ce moment pour prendre la parole.
- Il semblerait que vous soyez occupé … Capitaine …
- Je repasserais vous voir … Plus tard …
Et il tourna les talons et s’éloigna tranquillement comme si de rien était. Dos à Syrio, son visage affichait un petit sourire mesquin qui en disait long sur ce qu’il pensait à ce moment-là.
Sous la surprise et l’étonnement de ce qui venait de se passer, Syrio attrapa le mouchoir en regardant la petite créature. Décidemment, il ne se ferait jamais aux pouvoirs de la lumière et des ténèbres. Lorsqu’il prit le message, la souris s’en alla aussi rapidement qu’elle était arrivée. Visiblement, elle était pressée d’en finir.
Syrio pénétra à l’intérieur de son bureau et prit le temps de lire le message qui était griffonné dessus. Il sourit avant de le ranger dans la poche de sa veste. D’un pas léger, il se dirigea lentement vers la porte de son bureau et y colla l’oreille. Histoire de savoir s’il y avait ou pas quelqu’un derrière. La présence d’Horstman lorsqu’il reçut le message ne le rassurait pas. Il tourna quelques minutes dans son bureau avant de prendre la direction du fameux passage secret par lequel il fit sortir Loubna et ses amis.
Il arriva à l’endroit où se trouvait la jeune femme. Cette dernière du attendre un petit moment avant de voir débouler son doux et tendre Syrio. Avant de la rejoindre, il regarda à droite et gauche. Son regard s’attarda sur les fenêtres qui donnaient sur l’arrière de la forteresse. Bref, il n’était pas rassuré.
En arrivant à ses côtés, il prit la parole dans la foulée, comme si, il n’avait pas une seconde à perdre.
- Loubna ?
- Que fais-tu là ?
- C’est dangereux …
- Qu’est-ce qui se passe, mon amour ?
En sortant du bureau, il se rendit compte qu’il y avait quelque chose qui était en train de se passer. Puisque tous les miliciens qui étaient en faction semblaient être perturbés par quelque chose. Le jeune capitaine comprit très vite de quoi il en retournait en passant sa tête par une fenêtre, qui donnait sur le devant de la forteresse. Ses yeux observèrent la scène pendant quelques battements de cœur avant qu’une main ne vienne s’écraser sur son épaule.
Syrio se retourna dans la foulée pour voir qu’il s’agissait du sergent Garcia. Ce dernier continua son chemin en ricanant. Lorsqu’une distance confortable le séparait du capitaine des « Dragons Noirs » le gros sergent se permit de prendre la parole à voix haute. Suffisamment haute pour être sûr qu’elle serait entendue par celui qu’il ne pouvait pas encadrer.
- Ils sembleraient que les insectes soient de sortie ce matin … Je m’en vais de ce pas avec mes hommes obéir aux ordres de mes supérieurs et les écraser tous.
- Il semblerait que nos prisons vont se garnir encore un peu plus !!
- Vivement qu’elles soient pleines pour que l’on commence les exécutions !
Il termina sa phrase en pouffant de rire. Un rire franc et gras qui fit écho dans tout le couloir. La provocation de Garcia avait atteint Syrio en plein cœur. L’idée de planter cet espèce d’enfoiré lui traversa l’esprit, mais il fit un effort surhumain pour garder la tête froide. Il ne devait pas faire d’esclandre ici, dans la forteresse du Podestat. Il serra les dents et s’en alla en bouillonnant de rage. Il se dirigea vers son bureau sans se rendre compte qu’il était suivi par quelqu’un. Cette personne l’interpella juste au moment où il posa la main sur la poignée de la porte de son bureau. Sa tête se tourna dans la direction de la voix et il eut le déplaisir de voir qu’elle appartenait à Horstman. Le jeune homme se demandait bien ce qu’il pouvait bien lui vouloir. C’était d’ailleurs la première fois qu’il lui adressait la parole. Ils se dévisagèrent pendant quelques battements de cœur.
Pendant ce temps-là, la souris verte de Loubna était arrivée à bon port. Elle avait dans son champ de vision la personne à qui elle devait donner le petit mouchoir. Cependant, il n’était pas seul, il y avait un gros barbu qui visiblement voulait parler à Syrio. Une discussion qui allait sûrement durer des heures. Or elle ne pouvait pas attendre autant de temps. Du coup, la petite souris verte fonça pour donner le message de Loubna avant qu’elle ne disparaisse. Elle dépassa Horstman et se débrouilla pour attirer l’attention du jeune homme. Elle n’avait pas une minute à perdre et surtout, elle n’avait pas envie d’attendre qu’ils aient fini pour transmettre son message. Ses petites traces de pas maculaient le tapis qui ornait le sol. Elles étaient aussi noires qu’une nuit sans lune. Les yeux de Syrio passèrent de la souris à ceux d’Horstman, il espérait que ce dernier n’ait pas eu le temps de voir la petite créature des ténèbres. Ce dernier avait les yeux braqués sur lui, mais un son visage affichait un petit sourire en coin qui n’était guère engageant. Il profita de ce moment pour prendre la parole.
- Il semblerait que vous soyez occupé … Capitaine …
- Je repasserais vous voir … Plus tard …
Et il tourna les talons et s’éloigna tranquillement comme si de rien était. Dos à Syrio, son visage affichait un petit sourire mesquin qui en disait long sur ce qu’il pensait à ce moment-là.
Sous la surprise et l’étonnement de ce qui venait de se passer, Syrio attrapa le mouchoir en regardant la petite créature. Décidemment, il ne se ferait jamais aux pouvoirs de la lumière et des ténèbres. Lorsqu’il prit le message, la souris s’en alla aussi rapidement qu’elle était arrivée. Visiblement, elle était pressée d’en finir.
Syrio pénétra à l’intérieur de son bureau et prit le temps de lire le message qui était griffonné dessus. Il sourit avant de le ranger dans la poche de sa veste. D’un pas léger, il se dirigea lentement vers la porte de son bureau et y colla l’oreille. Histoire de savoir s’il y avait ou pas quelqu’un derrière. La présence d’Horstman lorsqu’il reçut le message ne le rassurait pas. Il tourna quelques minutes dans son bureau avant de prendre la direction du fameux passage secret par lequel il fit sortir Loubna et ses amis.
Il arriva à l’endroit où se trouvait la jeune femme. Cette dernière du attendre un petit moment avant de voir débouler son doux et tendre Syrio. Avant de la rejoindre, il regarda à droite et gauche. Son regard s’attarda sur les fenêtres qui donnaient sur l’arrière de la forteresse. Bref, il n’était pas rassuré.
En arrivant à ses côtés, il prit la parole dans la foulée, comme si, il n’avait pas une seconde à perdre.
- Loubna ?
- Que fais-tu là ?
- C’est dangereux …
- Qu’est-ce qui se passe, mon amour ?
Re: [Loubna] Chez les del Toro
Loubna essayait d'être la plus discrète possible. Elle ne voulait pas mettre en danger son bel et beau Syrio.
- Je sais que c'est très dangereux...
- Nous avons trouvé la fameuse île... L'endroit est gardé par un ange noir...
- Nous y retournons ce soir pour mettre la main sur Archibal... La sœur d'Ezio est décédée...
- J'ai besoin de toi et tes hommes de confiance...
- Il est grand temps de faire tout tomber... Tu travailles au milieu de personnes corrompues ! Il faut tous leur faire sauter leurs dents, une à une.
Loubna regarda Syrio dans les yeux avec beaucoup de haine. Pas envers lui, bien sur mais envers tous ce qui se passait.
- Je suis prête à risquer ma vie pour sauver mon peuple.
Loubna marqua un instant.
- Alors tu me suis, mon chéri ?
Elle lui prit la main et attendit sa réponse.
- Je sais que c'est très dangereux...
- Nous avons trouvé la fameuse île... L'endroit est gardé par un ange noir...
- Nous y retournons ce soir pour mettre la main sur Archibal... La sœur d'Ezio est décédée...
- J'ai besoin de toi et tes hommes de confiance...
- Il est grand temps de faire tout tomber... Tu travailles au milieu de personnes corrompues ! Il faut tous leur faire sauter leurs dents, une à une.
Loubna regarda Syrio dans les yeux avec beaucoup de haine. Pas envers lui, bien sur mais envers tous ce qui se passait.
- Je suis prête à risquer ma vie pour sauver mon peuple.
Loubna marqua un instant.
- Alors tu me suis, mon chéri ?
Elle lui prit la main et attendit sa réponse.
Re: [Loubna] Chez les del Toro
Le jeune homme décréta dans sa tête, que le jour d’aujourd’hui était une journée à emmerdes. Les mauvaises nouvelles s'enchaînaient à un rythme effréné. Son visage se ferma en entendant les propos de Loubna. Un masque d’inquiétude vint rapidement prendre place sur la figure du capitaine des Dragons Noirs. Son regard balaya une nouvelle fois l’espace avant de plonger dans celui de la belle danseuse de sif.
Puis, il lui chuchota les propos suivants.
- Je suis sincèrement désolé pour la sœur d’Ezio. Tu lui donneras mes condoléances les plus sincères.
Syrio marqua une petite pause avant de reprendre.
- Un ange noir ? C’est quoi ce délire ?!
Le jeune homme attendit la réponse à sa question avant de reprendre.
- Ne t’inquiète pas … Je suis au courant pour la corruption. Seulement, ces types ont tendances à avoir des oreilles partout alors …
- Fait attention à tes propos. Surtout … Si près de leur forteresse … Nous ne pouvons pas parler en sécurité ici … Et je dois retourner à mon poste, sinon, je risque encore de me faire remarquer.
- Je pourrais me libérer en fin d’après-midi. Je ne sais pas ce que vous comptez faire, mais je peux en toucher deux mots à certains de mes hommes. Par contre, ce sont tous des braves types et certains sont des pères de famille … Je ne vais pas les envoyer à la boucherie. Tu comprends ma chérie ?
Le capitaine marqua une nouvelle pause pour entendre la réponse de sa douce et tendre.
- Bien … Donne-moi un lieu de rendez-vous … Afin que je puisse t’y rejoindre ?
- Nous en discuterons mieux à ce moment-là, d’accord ?
Pendant la discussion, à aucun moment, il lâcha la main de Loubna.
Puis, il lui chuchota les propos suivants.
- Je suis sincèrement désolé pour la sœur d’Ezio. Tu lui donneras mes condoléances les plus sincères.
Syrio marqua une petite pause avant de reprendre.
- Un ange noir ? C’est quoi ce délire ?!
Le jeune homme attendit la réponse à sa question avant de reprendre.
- Ne t’inquiète pas … Je suis au courant pour la corruption. Seulement, ces types ont tendances à avoir des oreilles partout alors …
- Fait attention à tes propos. Surtout … Si près de leur forteresse … Nous ne pouvons pas parler en sécurité ici … Et je dois retourner à mon poste, sinon, je risque encore de me faire remarquer.
- Je pourrais me libérer en fin d’après-midi. Je ne sais pas ce que vous comptez faire, mais je peux en toucher deux mots à certains de mes hommes. Par contre, ce sont tous des braves types et certains sont des pères de famille … Je ne vais pas les envoyer à la boucherie. Tu comprends ma chérie ?
Le capitaine marqua une nouvelle pause pour entendre la réponse de sa douce et tendre.
- Bien … Donne-moi un lieu de rendez-vous … Afin que je puisse t’y rejoindre ?
- Nous en discuterons mieux à ce moment-là, d’accord ?
Pendant la discussion, à aucun moment, il lâcha la main de Loubna.
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