/!\ [Ambiance] Une prise de bec entre miliciens.
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/! [Ambiance] Une prise de bec entre miliciens.
Hrp : texte réservé à des lecteurs avertis ... Langage ordurier ...
Une prise de bec entre miliciens !
Pendant que certains s'amusaient dans le quartier de Santa Félicia, d'autres mangeaient leur pain noir dans un autre quartier de la ville. Syrio et neuf autre miliciens battaient les pavés en cette heure tardive de la nuit. Le jeune enquêteur devait en plus de son travail habituel mener des patrouilles dans la ville afin de traquer tous ceux ou presque qui ne respectaient pas le couvre feu, mais surtout, il devait traquer « Il Rovo ».
Pour cette mission, la milice possédait de plus en plus de pouvoir, même celui de violenté la population. Le jeune homme choisit neuf hommes en qui il avait confiance. Ils étaient tous issu du peuple et non de la bourgeoisie ou de la noblesse. C'était tous des bons gars en qui il avait confiance et avec qui il s'entendait bien. Leur patrouille était et de loin celle qui se montrait la plus tendre et la plus compréhensive avec ceux qu'ils trouvaient dans les rues après vingt heures du soir. Bien sûr, les criminels échappaient à cette règle.
Les heures de la nuit s'écoulaient paisiblement et leur patrouille se passait pour le mieux du monde lorsqu'il croisa l'infâme sergent Garcia. Le jeune homme ne comprenait pas comment un soudard de son espèce pouvait encore faire partie de la milice. Tout le monde savait qu'il était un alcoolique notoire, violent et parfois déviant dans ses rapports avec les femmes. Bref, une raclure de la pire espèce qui arborait les couleurs de la ville.
Ce dernier envoya un regard mauvais à Syrio. Le jeune capitaine s'arrêta et soutint son regard. Il plongea ses yeux dans ceux du sergent. Puis, il prit la parole dans la foulée.
- Alors Garcia on s'est perdu ou on est tellement ivre que l'on arrive même plus à lire le nom des quartiers ?
Le sergent fronça les sourcils. Il venait d'une famille bourgeoise qui était excessivement riche. Ce dernier reçut des cours de la part de plusieurs précepteurs, mais il était trop bête et méchant pour maîtriser complètement de Ladriel. En tout cas, il répondit sans perdre la moindre seconde.
- Moque toi … Syrio del Toro … Mais, je suis sûr que toi et ta bande de femmelettes vous n'avez encore arrêté personne ce soir …
- Vous, vous pissez dessus ou quoi ? Peur de cette petite vermine d'Il Rovo ?
Les hommes de Syrio posèrent leurs mains sur la garde de leurs épées, mais d'un geste tranquille de la main, Syrio les empêcha de dégainer. Puis, sa réponse claqua dans la nuit comme un coup de fouet.
- Non … Et toi et tes hommes combien de femmes avaient vous déjà violé ? Combien de famille avez-vous torturés ? Combien d'innocents avez-vous envoyé en prison, alors qu'ils ne savaient rien sur Il Rovo ?
- Je vais vous dire ce que je pense de toi et de tous ceux qui suivent un malade mental comme toi.
- Vous êtes pires que des animaux, vous êtes semblables aux déjections d'un porc. Des sous merdes qui se sentent puissants juste parce qu'ils arborent la tenu de la milice de la ville que vous salissez nuit après nuit.
- Si trois de tes hommes sont morts dans une ruelle, c'est parce qu'ils s’apprêtaient à violer sans vergogne une pauvre adolescente !
Les accusations de Syrio firent mouche. La mâchoire du sergent se crispa pendant que ses hommes baissèrent immédiatement la tête face aux accusations du capitaine del Toro. Les dents de Garcia claquèrent et il s'approcha du beau blond en prenant un air menaçant.
- Ah ouais … Et que vas-tu faire ?
- Je te pisse dessus Syrio del Toro … J'en ai rien à foutre de ta pseudo justice ! Je vais exploser ta belle petite gueule … Puis, j'arracherais cette langue un peu trop pendue à mon goût.
- Cela fait un petit moment que je rêve de te clouer le bec !
Syrio encaissa les paroles du sergent en restant stoïque et en conservant une certaine répartie.
- A force de subir ton haleine fétide, tu n'auras même pas besoin de lever le petit doigt pour me mettre K.O.
- Tu as pris ton repas où ? Dans une fosse à purin ?
- Remarque c'est peut-être le seul endroit où ton odeur buccale peut passer inaperçue.
- A part embrasser une grosse truie … Je ne vois pas qui tu pourrais embrasser d'autre … Même la plus horrible des catins du Montefango ne voudrait pas de toi !
- Et maintenant dit moi ce que penserons nos supérieurs lorsqu'ils apprendront qu'un sergent à poser la main sur un capitaine.
Il acheva sa prise de parole par un petit sourire narquois qui accentua encore un peu plus la colère du gros bonhomme qui lui faisait face. Ce dernier fulminait de rage, il avait de plus en plus de mal à contenir sa colère. Son visage était à deux doigt de virer au violet tellement il était écarlate.
- Espèce de sale bâtard …
Garcia serra les dents avant de reprendre.
- J'expliquerais tout simplement comment tu fais tes patrouilles … En laissant partir presque tous ceux que tu croises … Que tu te fiches des ordres du podestat qui est je te rappelle ton supérieur hiérarchique.
- Je vais te défoncer la tronche, puis, je prendrais ta place.
Le capitaine éclata de rire pour la plus grande surprise de ses hommes, mais aussi de ceux de Garcia. La patience de ce dernier était en train de consommer ses dernières limites. Syrio répliqua tranquillement après avoir rigoler un bon coup.
- Je savais bien que tu étais le plus grand suceur de boules de toute la garnison ! Parfois, tu dois tellement avoir de jus dans la bouche que tu ne peux même plus parler, mon gros !
- Pour répondre à tes accusations sache que je respecte les ordres, mais je n'abuse pas de mon pouvoir. A l'inverse de toi, je n'ai pas besoin de compenser la petite taille de ce que j'ai entre les jambes !
Ce fut la provocation de trop, le sergent se jeta sur un Syrio qui esquiva l'attaque en virevoltant autour du corps massif de Garcia. Ce dernier était lent, mais surtout, il attaquait avec des attaques basiques et primitives. La rapière et la main gauche de Syrio se matérialisèrent dans ses mains. Il les dégaina très rapidement et il était prêt pour le combat. Le jeune homme utilisait la main gauche, pourtant, il adoptait la même garde qu'un certain Il Rovo. La patte d'Antoine Leprat était évidente pour les puristes.
Garcia dégaina son épée et fonça droit vers le Syrio. Sans chichis, le soldat leva son épée bien haut au-dessus de sa tête et plaça un coup verticale qui visait la tête du capitaine del Toro. Le coup s'annonçait puissant, mais il décida de la parer et ses jambes se fléchirent afin de mieux recevoir et canaliser la force du gros sergent. La lame crantée de la main gauche entra en contact avec la lame de l'épée. La course de cette dernière fut arrêtée avec brio et son propriétaire abattit la garde de sa rapière sur le gros nez de son adversaire. Un coup qui avait assez de force pour lui exploser le cartilage nasale. Ce qui provoqua immédiatement un gros saignement nasale qui ruissela autour de la bouche avant de tomber en cascade au niveau du menton.
La première manche fut remporté par le capitaine avec brio. Entêté, son adversaire resserra sa poigne autour de la garde son épée pour tenter de mettre un coup au jeune homme, mais plus vif, ce dernier lui asséna un coup excessivement précis qui défit la boucle de sa ceinture. Le pantalon de Garcia lui tomba sur les genoux. Ce qui arracha un éclat de rire de la part des hommes du capitaine. Puis, la lame de ce dernier obliqua vers la gorge de son adversaire. Elle s'y planta juste assez pour faire perler un petite goutte de sang.
- Fait un geste de plus et je te jure que je te tue.
- Prends tes hommes et barre-toi de ce quartier !
- Maintenant tu sais ce qu'il en coûte de t'en prendre à moi ou à un seul de mes hommes.
- Sache également que si tu continus à te conduire de la sorte avec les habitants de cette ville, je te jure que la prochaine fois, j'irais au bout de mon mouvement et je te transpercerais la gorge. Puis, je te regarderais mourir en te vidant de ton sang.
- Tu m'as bien compris ?
Le visage de Syrio était devenu excessivement sérieux. Son regard était aussi froid que l'acier de sa rapière. Des gouttes de sueur se mirent à perler sur le front du sergent et il finit par hocher frénétiquement la tête pour répondre affirmativement à la question du capitaine. Ce dernier s'éloigna et rengaina son épée lorsqu'il fut hors de portée de la grosse brute. Il les regarda s'éloigner la queue entre les jambes en arborant une mine satisfaite.
Pour cette mission, la milice possédait de plus en plus de pouvoir, même celui de violenté la population. Le jeune homme choisit neuf hommes en qui il avait confiance. Ils étaient tous issu du peuple et non de la bourgeoisie ou de la noblesse. C'était tous des bons gars en qui il avait confiance et avec qui il s'entendait bien. Leur patrouille était et de loin celle qui se montrait la plus tendre et la plus compréhensive avec ceux qu'ils trouvaient dans les rues après vingt heures du soir. Bien sûr, les criminels échappaient à cette règle.
Les heures de la nuit s'écoulaient paisiblement et leur patrouille se passait pour le mieux du monde lorsqu'il croisa l'infâme sergent Garcia. Le jeune homme ne comprenait pas comment un soudard de son espèce pouvait encore faire partie de la milice. Tout le monde savait qu'il était un alcoolique notoire, violent et parfois déviant dans ses rapports avec les femmes. Bref, une raclure de la pire espèce qui arborait les couleurs de la ville.
Ce dernier envoya un regard mauvais à Syrio. Le jeune capitaine s'arrêta et soutint son regard. Il plongea ses yeux dans ceux du sergent. Puis, il prit la parole dans la foulée.
- Alors Garcia on s'est perdu ou on est tellement ivre que l'on arrive même plus à lire le nom des quartiers ?
Le sergent fronça les sourcils. Il venait d'une famille bourgeoise qui était excessivement riche. Ce dernier reçut des cours de la part de plusieurs précepteurs, mais il était trop bête et méchant pour maîtriser complètement de Ladriel. En tout cas, il répondit sans perdre la moindre seconde.
- Moque toi … Syrio del Toro … Mais, je suis sûr que toi et ta bande de femmelettes vous n'avez encore arrêté personne ce soir …
- Vous, vous pissez dessus ou quoi ? Peur de cette petite vermine d'Il Rovo ?
Les hommes de Syrio posèrent leurs mains sur la garde de leurs épées, mais d'un geste tranquille de la main, Syrio les empêcha de dégainer. Puis, sa réponse claqua dans la nuit comme un coup de fouet.
- Non … Et toi et tes hommes combien de femmes avaient vous déjà violé ? Combien de famille avez-vous torturés ? Combien d'innocents avez-vous envoyé en prison, alors qu'ils ne savaient rien sur Il Rovo ?
- Je vais vous dire ce que je pense de toi et de tous ceux qui suivent un malade mental comme toi.
- Vous êtes pires que des animaux, vous êtes semblables aux déjections d'un porc. Des sous merdes qui se sentent puissants juste parce qu'ils arborent la tenu de la milice de la ville que vous salissez nuit après nuit.
- Si trois de tes hommes sont morts dans une ruelle, c'est parce qu'ils s’apprêtaient à violer sans vergogne une pauvre adolescente !
Les accusations de Syrio firent mouche. La mâchoire du sergent se crispa pendant que ses hommes baissèrent immédiatement la tête face aux accusations du capitaine del Toro. Les dents de Garcia claquèrent et il s'approcha du beau blond en prenant un air menaçant.
- Ah ouais … Et que vas-tu faire ?
- Je te pisse dessus Syrio del Toro … J'en ai rien à foutre de ta pseudo justice ! Je vais exploser ta belle petite gueule … Puis, j'arracherais cette langue un peu trop pendue à mon goût.
- Cela fait un petit moment que je rêve de te clouer le bec !
Syrio encaissa les paroles du sergent en restant stoïque et en conservant une certaine répartie.
- A force de subir ton haleine fétide, tu n'auras même pas besoin de lever le petit doigt pour me mettre K.O.
- Tu as pris ton repas où ? Dans une fosse à purin ?
- Remarque c'est peut-être le seul endroit où ton odeur buccale peut passer inaperçue.
- A part embrasser une grosse truie … Je ne vois pas qui tu pourrais embrasser d'autre … Même la plus horrible des catins du Montefango ne voudrait pas de toi !
- Et maintenant dit moi ce que penserons nos supérieurs lorsqu'ils apprendront qu'un sergent à poser la main sur un capitaine.
Il acheva sa prise de parole par un petit sourire narquois qui accentua encore un peu plus la colère du gros bonhomme qui lui faisait face. Ce dernier fulminait de rage, il avait de plus en plus de mal à contenir sa colère. Son visage était à deux doigt de virer au violet tellement il était écarlate.
- Espèce de sale bâtard …
Garcia serra les dents avant de reprendre.
- J'expliquerais tout simplement comment tu fais tes patrouilles … En laissant partir presque tous ceux que tu croises … Que tu te fiches des ordres du podestat qui est je te rappelle ton supérieur hiérarchique.
- Je vais te défoncer la tronche, puis, je prendrais ta place.
Le capitaine éclata de rire pour la plus grande surprise de ses hommes, mais aussi de ceux de Garcia. La patience de ce dernier était en train de consommer ses dernières limites. Syrio répliqua tranquillement après avoir rigoler un bon coup.
- Je savais bien que tu étais le plus grand suceur de boules de toute la garnison ! Parfois, tu dois tellement avoir de jus dans la bouche que tu ne peux même plus parler, mon gros !
- Pour répondre à tes accusations sache que je respecte les ordres, mais je n'abuse pas de mon pouvoir. A l'inverse de toi, je n'ai pas besoin de compenser la petite taille de ce que j'ai entre les jambes !
Ce fut la provocation de trop, le sergent se jeta sur un Syrio qui esquiva l'attaque en virevoltant autour du corps massif de Garcia. Ce dernier était lent, mais surtout, il attaquait avec des attaques basiques et primitives. La rapière et la main gauche de Syrio se matérialisèrent dans ses mains. Il les dégaina très rapidement et il était prêt pour le combat. Le jeune homme utilisait la main gauche, pourtant, il adoptait la même garde qu'un certain Il Rovo. La patte d'Antoine Leprat était évidente pour les puristes.
Garcia dégaina son épée et fonça droit vers le Syrio. Sans chichis, le soldat leva son épée bien haut au-dessus de sa tête et plaça un coup verticale qui visait la tête du capitaine del Toro. Le coup s'annonçait puissant, mais il décida de la parer et ses jambes se fléchirent afin de mieux recevoir et canaliser la force du gros sergent. La lame crantée de la main gauche entra en contact avec la lame de l'épée. La course de cette dernière fut arrêtée avec brio et son propriétaire abattit la garde de sa rapière sur le gros nez de son adversaire. Un coup qui avait assez de force pour lui exploser le cartilage nasale. Ce qui provoqua immédiatement un gros saignement nasale qui ruissela autour de la bouche avant de tomber en cascade au niveau du menton.
La première manche fut remporté par le capitaine avec brio. Entêté, son adversaire resserra sa poigne autour de la garde son épée pour tenter de mettre un coup au jeune homme, mais plus vif, ce dernier lui asséna un coup excessivement précis qui défit la boucle de sa ceinture. Le pantalon de Garcia lui tomba sur les genoux. Ce qui arracha un éclat de rire de la part des hommes du capitaine. Puis, la lame de ce dernier obliqua vers la gorge de son adversaire. Elle s'y planta juste assez pour faire perler un petite goutte de sang.
- Fait un geste de plus et je te jure que je te tue.
- Prends tes hommes et barre-toi de ce quartier !
- Maintenant tu sais ce qu'il en coûte de t'en prendre à moi ou à un seul de mes hommes.
- Sache également que si tu continus à te conduire de la sorte avec les habitants de cette ville, je te jure que la prochaine fois, j'irais au bout de mon mouvement et je te transpercerais la gorge. Puis, je te regarderais mourir en te vidant de ton sang.
- Tu m'as bien compris ?
Le visage de Syrio était devenu excessivement sérieux. Son regard était aussi froid que l'acier de sa rapière. Des gouttes de sueur se mirent à perler sur le front du sergent et il finit par hocher frénétiquement la tête pour répondre affirmativement à la question du capitaine. Ce dernier s'éloigna et rengaina son épée lorsqu'il fut hors de portée de la grosse brute. Il les regarda s'éloigner la queue entre les jambes en arborant une mine satisfaite.
Re: /!\ [Ambiance] Une prise de bec entre miliciens.
HRP : C'est un gros porc aussi le sergent Garcia? Du coup il pourrait ressembler aussi à la description d'un des agresseurs de la mère de Loubna. Ce serait du coup plus probable que Da Fano qui n'est pas du tout de la milice.
Flo- Duc/Duchesse
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Date d'inscription : 10/08/2011
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