A Kyoto
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A Kyoto
Mikado : Tezuka t'offre l'hospitalité pour la nuit. Le lendemain matin, le gros titre du journal local porte sur l'affaire. Akodo Rei porte le chapeau pour le vol et l'utilisation à son profit du premier warjack japonais sorti d'usine. Son père, en personne, viendra assister à son seppuku dans une semaine.
Deniel : T'es ramené à la prison. Plus loin dans les couloirs, tu entends les cris d'une femme que l'on maltraite, visiblement.
Rei : T'es ramené aussi à ta cellule. Il manque la Geiko et une vieille. L'autre vieille t'explique que des gardes ont emmené la première, la deuxième s'est acheté sa liberté. Elle compte faire de même demain ou après demain.
Naoki : T'es amené dans un grand temple, où tu passeras la nuit dans une petite cellule. Demain, des prêtres étudieront ton cas. En chemin, le grand prêtre t'a fait comprendre que tu étais déjà bien vieux et qu'il craignait ne pas pouvoir faire grand chose pour toi.
Le reste est une histoire à écrire...
Deniel : T'es ramené à la prison. Plus loin dans les couloirs, tu entends les cris d'une femme que l'on maltraite, visiblement.
Rei : T'es ramené aussi à ta cellule. Il manque la Geiko et une vieille. L'autre vieille t'explique que des gardes ont emmené la première, la deuxième s'est acheté sa liberté. Elle compte faire de même demain ou après demain.
Naoki : T'es amené dans un grand temple, où tu passeras la nuit dans une petite cellule. Demain, des prêtres étudieront ton cas. En chemin, le grand prêtre t'a fait comprendre que tu étais déjà bien vieux et qu'il craignait ne pas pouvoir faire grand chose pour toi.
Le reste est une histoire à écrire...
Re: A Kyoto
Mikado Torihime essaye de rendre visite à ses amis pour leur apporter un peu à manger.
Xalendar- Duc/Duchesse
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Age : 45
Localisation : Vaulnaveys le Haut
Date d'inscription : 26/01/2011
Re: A Kyoto
Naoki explique au grand prêtre qu'il veut mieux connaitre les esprits pour pouvoir plus facilement dialogué avec eux!! Et si il a des temps libre il essaye de prendre contact avec les bas fond
Tanuky- Duc/Duchesse
- Nombre de messages : 507
Age : 38
Localisation : Grenoble
Date d'inscription : 15/12/2011
Re: A Kyoto
(Ici pas de grandes révélations sur la situation de Deniel, juste un peu de RP sur le personnage...)
Deniel retrouva sa cellule avec un indicible sentiment de lassitude. L'endroit n'avait pas bougé d'un grain de poussière depuis le jugement. Le garde referma la porte machinalement, sans même prêter attention à qui ou quoi il enfermait dedans. Un rat eut sans doute plus d'égard, ou tout du moins un semblant d'attention dû à un dégoût palpable. Pour sa part, le britannique ne semblait même pas digne d'aversion ou de dédain. S'en était presque vexant.
Mais l'apprenti ingénieur ne s'en offusqua pas. Ou plus exactement, il ne s'en offusquait plus. Ce pays était vraiment aussi étrange que malsain à son humble avis. Des gens qui passaient leur temps en robe de chambre, à faire de la magie, à parler de s'ouvrir le ventre pour laver leur honneur alors qu'il salissait le parquet, et qui n'était pas capable d'utiliser un Warjack convenablement, dans les plus pures règles de la robotique steam... ces gens-là étaient foncièrement peu recommandables. Il avait beau avoir été prévenu que le choc des cultures risquait de lui donner le mal du pays, il ne pensait pas que ce serait à ce point. A côté de ce monde de fous, les bizarreries de l'écosse profonde était pour ainsi dire d'une normalité entendue.
Il entreprit de reprendre ses occupations là où il les avait laissés. Il ne doutait pas que ses « hôtes » le feraient longuement patienter avant de le livrer à une ambassade civilisée. Son voisin en témoignait : leur égard pour les prisonniers étrangers et leur rapidité administrative ne faisaient aucun doute quant à leur absence la plus absolue.
Il ramassa donc un caillou d’un couleur convenablement plus pâle que celle des murs, et entreprit de griffonner tout un tas de choses qu’il avait vu durant son périple dans ce pays étrange et dérangeant.
La magie occupait indéniablement la première place. Un citadin britannique de pure souche en aurait certainement été plus étonné, mais sa jeunesse écossaise et son tempérament placide vis-à-vis des aléas naturels, et surnaturels, de ce monde le laissait pour le moins indifférent. A toutes ces choses incontrôlées et probablement incontrôlables, il préférait de loin la mécanique subtile et précise, l’ingéniosité de l’ingénierie. Ce n’était évidemment pas le cas de ces gens, qui semblaient se vouer à des pratiques aussi dangereuses qu’aléatoires. Même la sorcière de feu, Mikado, qui l’accompagnait, ne semblait pas complètement contrôler ses « talents ». Le souvenir d’un dragon de feu carbonisant un arbre tout proche le hantait encore…
La seconde curiosité du pays, tout régime alimentaire et coutumes exotiques mis à part, résidait dans ses individus : ils étaient tous affreusement coincés, hormis peut être ce jeune hère qui racontait des histoires étranges, mais il n’avait probablement pas toute sa tête. La solennité de l’aristocratie anglaise semble presque débridée en comparaison du tempérament figé et incroyablement lent de ces gens-là. Inutile de préciser que mêmes les banalités d’usages prenaient ici des proportions démesurées dans les rares discussions, sinon la grande majorité de la discussion elle-même. S’en était encore plus assommant que les invitations à boire le thé chez sa tante à Londres. Cela dit, leur thé, il devait le reconnaître, n’était pas si mauvais, bien que très différent. Leur alcool en revanche était d’un manque de bouquet et de raffinement qui laissait son gosier encore plus septique que lui.
Troisième point qu’il nota sur le mur, après avoir vérifié que son voisin n’avait toujours pas fini sa moitié du bol d’eau, fut le tempérament affreusement incohérent et mal élevé des créatures surnaturelles de ce pays ! Leurs mort-vivants n’avaient clairement pas l’apanage des draugar nordiques, qui eux se comportaient en parfait humains et demain l’autorisation pour venir hanter un lieu de leur présence ancestrale, même après des siècles de sommeil dans une crypte. Au lieu de ceux-là, le moindre petit soldat semblait être ressuscité sans égard, abruti et fort mal entretenu, pour servir d’épouvantail dans un château. Et que dire des esprits ? Ceux-là n’avaient même pas la décence de répondre aux élus qui les voyaient… à moins que le jeune élu qui les accompagnait n’en fut définitivement pas un vrai. Au moins les fairies d’Irlande et d’Ecosse daignaient s’adresser à qui pouvaient les voir et leur parler. Quel genre d’esprits étaient-ce là d’ailleurs ? Des oiseaux ! Encore une preuve de la bêtise de ces gens… pourquoi parler à des oiseaux quand on peut s’adresser à un Leprechaun qui parle la langue et joue du violon ? Il était même fort à parier que ces esprits japonais ne buvaient pas d’alcool. Navrant…
Quant aux fantômes, le souvenir qu’il en gardait était partagé entre rire et larme. Cette mascarade de se faire passer pour l’Ankou, alors même qu’il n’était visiblement pas capable de voler ou de conserver son état spectral, était aussi affligeant que ridicule. Ha, on était bien loin des dignes fantômes écossais de Loc Marneth ! Il en avait pourtant entendu des histoires ridicules, de druides français accrochant du fromage avec le gui, de sorcières bavaroises pratiquant la saucissomancie, ou encore de revenants alcooliques hantant les tavernes irlandaises les soirs de tempêtes… mais un fantôme qui se transforme en pucelle…ou l’inverse peut être ? En tout les cas c’était le comble !
Ajouté à cela, et c’était en soi une insulte personnelle pour un ingénieur, le comportement outrageusement irrespectueux de ces bridés pour la noble technologie steam, constituait un quatrième point non négligeable. Eux qui étaient arrivés en honnêtes commerçants, en hommes de sciences et en porteur de civilisation digne et éduqué, ils avaient amenés sur ce sol savoir et technologie, pour extirper cette nation étrangère de la fange obscurantiste d’un âge féodal révolu. Et en retour, ces derniers avaient pervertis leur connaissance et leur technologie, allant jusqu’à la corrompre de leur magie hasardeuse et malsaine ! Et maintenant, sous des dehors de peuple civilisé et administré, il l’accusait lui, d’avoir nuit à la précieuse technologie qu’il chérissait corps et âme jusqu’à sa perte tragique, mais nécessaire. La vérité, à ses yeux, ne faisait aucun doute : leur justice corrompue n’avait d’égale que leur mépris à l’égard des étrangers. Comment dans ce cas, ne pas devenir soi-même xénophobe à leur égard ? Surtout lorsqu’on constatait le manque de dignité avec lequel il pervertissait la science mécanique, sous couvert d’un honneur malsain et suicidaire.
Enfin, ses souvenirs le menèrent à un cinquième et dernier point, qui était, cela va sans dire, le pire de tous : un yankee pratiquant la magie ! Et de fait, cela ne pouvait qu’être une forme noire et encore plus dégénérée de la magie. Cette pensée le mettait dans un état de rage profond… l’idée qu’un américain sans scrupule, puisse manipuler à sa guise, et en usant de magie perverse, ces bridés déjà sérieusement atteints, était le summum de l’abjection.
Son ventre le rappela soudain à la réalité en gargouillant bruyamment. Cela faisait plusieurs jours qu’il n’avait rien mangé, en dehors d’une demi-boulette rassie. Appeler les gardes ne servirait probablement à rien…
Plus il y pensait, et plus il lui semblait évident qu’il ne verrait jamais l’ambassade britannique. Et ils osaient prétendre être des gens honorables…
Un bref coup d’œil au sol ne fit que le conforter dans sa vision des choses. L’eau n’avait pratiquement pas baissé dans le bol de son voisin. Et cela faisait déjà plusieurs heures.
Deniel se renfrogna et s’assit dans un coin de la cellule pour réfléchir à un moyen de sortir de là. Ses yeux recommencèrent à scruter l’ensemble de la pièce, en examinant chaque recoin, des gonds de portes aux fissures entre les pierres…
Deniel retrouva sa cellule avec un indicible sentiment de lassitude. L'endroit n'avait pas bougé d'un grain de poussière depuis le jugement. Le garde referma la porte machinalement, sans même prêter attention à qui ou quoi il enfermait dedans. Un rat eut sans doute plus d'égard, ou tout du moins un semblant d'attention dû à un dégoût palpable. Pour sa part, le britannique ne semblait même pas digne d'aversion ou de dédain. S'en était presque vexant.
Mais l'apprenti ingénieur ne s'en offusqua pas. Ou plus exactement, il ne s'en offusquait plus. Ce pays était vraiment aussi étrange que malsain à son humble avis. Des gens qui passaient leur temps en robe de chambre, à faire de la magie, à parler de s'ouvrir le ventre pour laver leur honneur alors qu'il salissait le parquet, et qui n'était pas capable d'utiliser un Warjack convenablement, dans les plus pures règles de la robotique steam... ces gens-là étaient foncièrement peu recommandables. Il avait beau avoir été prévenu que le choc des cultures risquait de lui donner le mal du pays, il ne pensait pas que ce serait à ce point. A côté de ce monde de fous, les bizarreries de l'écosse profonde était pour ainsi dire d'une normalité entendue.
Il entreprit de reprendre ses occupations là où il les avait laissés. Il ne doutait pas que ses « hôtes » le feraient longuement patienter avant de le livrer à une ambassade civilisée. Son voisin en témoignait : leur égard pour les prisonniers étrangers et leur rapidité administrative ne faisaient aucun doute quant à leur absence la plus absolue.
Il ramassa donc un caillou d’un couleur convenablement plus pâle que celle des murs, et entreprit de griffonner tout un tas de choses qu’il avait vu durant son périple dans ce pays étrange et dérangeant.
La magie occupait indéniablement la première place. Un citadin britannique de pure souche en aurait certainement été plus étonné, mais sa jeunesse écossaise et son tempérament placide vis-à-vis des aléas naturels, et surnaturels, de ce monde le laissait pour le moins indifférent. A toutes ces choses incontrôlées et probablement incontrôlables, il préférait de loin la mécanique subtile et précise, l’ingéniosité de l’ingénierie. Ce n’était évidemment pas le cas de ces gens, qui semblaient se vouer à des pratiques aussi dangereuses qu’aléatoires. Même la sorcière de feu, Mikado, qui l’accompagnait, ne semblait pas complètement contrôler ses « talents ». Le souvenir d’un dragon de feu carbonisant un arbre tout proche le hantait encore…
La seconde curiosité du pays, tout régime alimentaire et coutumes exotiques mis à part, résidait dans ses individus : ils étaient tous affreusement coincés, hormis peut être ce jeune hère qui racontait des histoires étranges, mais il n’avait probablement pas toute sa tête. La solennité de l’aristocratie anglaise semble presque débridée en comparaison du tempérament figé et incroyablement lent de ces gens-là. Inutile de préciser que mêmes les banalités d’usages prenaient ici des proportions démesurées dans les rares discussions, sinon la grande majorité de la discussion elle-même. S’en était encore plus assommant que les invitations à boire le thé chez sa tante à Londres. Cela dit, leur thé, il devait le reconnaître, n’était pas si mauvais, bien que très différent. Leur alcool en revanche était d’un manque de bouquet et de raffinement qui laissait son gosier encore plus septique que lui.
Troisième point qu’il nota sur le mur, après avoir vérifié que son voisin n’avait toujours pas fini sa moitié du bol d’eau, fut le tempérament affreusement incohérent et mal élevé des créatures surnaturelles de ce pays ! Leurs mort-vivants n’avaient clairement pas l’apanage des draugar nordiques, qui eux se comportaient en parfait humains et demain l’autorisation pour venir hanter un lieu de leur présence ancestrale, même après des siècles de sommeil dans une crypte. Au lieu de ceux-là, le moindre petit soldat semblait être ressuscité sans égard, abruti et fort mal entretenu, pour servir d’épouvantail dans un château. Et que dire des esprits ? Ceux-là n’avaient même pas la décence de répondre aux élus qui les voyaient… à moins que le jeune élu qui les accompagnait n’en fut définitivement pas un vrai. Au moins les fairies d’Irlande et d’Ecosse daignaient s’adresser à qui pouvaient les voir et leur parler. Quel genre d’esprits étaient-ce là d’ailleurs ? Des oiseaux ! Encore une preuve de la bêtise de ces gens… pourquoi parler à des oiseaux quand on peut s’adresser à un Leprechaun qui parle la langue et joue du violon ? Il était même fort à parier que ces esprits japonais ne buvaient pas d’alcool. Navrant…
Quant aux fantômes, le souvenir qu’il en gardait était partagé entre rire et larme. Cette mascarade de se faire passer pour l’Ankou, alors même qu’il n’était visiblement pas capable de voler ou de conserver son état spectral, était aussi affligeant que ridicule. Ha, on était bien loin des dignes fantômes écossais de Loc Marneth ! Il en avait pourtant entendu des histoires ridicules, de druides français accrochant du fromage avec le gui, de sorcières bavaroises pratiquant la saucissomancie, ou encore de revenants alcooliques hantant les tavernes irlandaises les soirs de tempêtes… mais un fantôme qui se transforme en pucelle…ou l’inverse peut être ? En tout les cas c’était le comble !
Ajouté à cela, et c’était en soi une insulte personnelle pour un ingénieur, le comportement outrageusement irrespectueux de ces bridés pour la noble technologie steam, constituait un quatrième point non négligeable. Eux qui étaient arrivés en honnêtes commerçants, en hommes de sciences et en porteur de civilisation digne et éduqué, ils avaient amenés sur ce sol savoir et technologie, pour extirper cette nation étrangère de la fange obscurantiste d’un âge féodal révolu. Et en retour, ces derniers avaient pervertis leur connaissance et leur technologie, allant jusqu’à la corrompre de leur magie hasardeuse et malsaine ! Et maintenant, sous des dehors de peuple civilisé et administré, il l’accusait lui, d’avoir nuit à la précieuse technologie qu’il chérissait corps et âme jusqu’à sa perte tragique, mais nécessaire. La vérité, à ses yeux, ne faisait aucun doute : leur justice corrompue n’avait d’égale que leur mépris à l’égard des étrangers. Comment dans ce cas, ne pas devenir soi-même xénophobe à leur égard ? Surtout lorsqu’on constatait le manque de dignité avec lequel il pervertissait la science mécanique, sous couvert d’un honneur malsain et suicidaire.
Enfin, ses souvenirs le menèrent à un cinquième et dernier point, qui était, cela va sans dire, le pire de tous : un yankee pratiquant la magie ! Et de fait, cela ne pouvait qu’être une forme noire et encore plus dégénérée de la magie. Cette pensée le mettait dans un état de rage profond… l’idée qu’un américain sans scrupule, puisse manipuler à sa guise, et en usant de magie perverse, ces bridés déjà sérieusement atteints, était le summum de l’abjection.
Son ventre le rappela soudain à la réalité en gargouillant bruyamment. Cela faisait plusieurs jours qu’il n’avait rien mangé, en dehors d’une demi-boulette rassie. Appeler les gardes ne servirait probablement à rien…
Plus il y pensait, et plus il lui semblait évident qu’il ne verrait jamais l’ambassade britannique. Et ils osaient prétendre être des gens honorables…
Un bref coup d’œil au sol ne fit que le conforter dans sa vision des choses. L’eau n’avait pratiquement pas baissé dans le bol de son voisin. Et cela faisait déjà plusieurs heures.
Deniel se renfrogna et s’assit dans un coin de la cellule pour réfléchir à un moyen de sortir de là. Ses yeux recommencèrent à scruter l’ensemble de la pièce, en examinant chaque recoin, des gonds de portes aux fissures entre les pierres…
Re: A Kyoto
@Mikado: MP envoyé
@Asadar: MP envoyé
@Naoki: Tu as été amené au Temple Toji. Il forme le gros des Tensai de la région. Le lendemain, on va te faire passer un entretien durant lequel on te posera une batterie de question sur ta vie, les dieux et tout un tas d'autres choses. On essaie d'évaluer ta capacité à ressentir la magie, à demander des choses aux esprits et compagnie. Une chose étrange pour toi, c'est que Kyoto est un nid à kami. Il y en a partout et ces soi-disant pretres ne semblent même pas les voir... Il ne voit même pas ce chien bizarre qui semble te dire qu'un ami te recherche en ville...
@Asadar: MP envoyé
@Naoki: Tu as été amené au Temple Toji. Il forme le gros des Tensai de la région. Le lendemain, on va te faire passer un entretien durant lequel on te posera une batterie de question sur ta vie, les dieux et tout un tas d'autres choses. On essaie d'évaluer ta capacité à ressentir la magie, à demander des choses aux esprits et compagnie. Une chose étrange pour toi, c'est que Kyoto est un nid à kami. Il y en a partout et ces soi-disant pretres ne semblent même pas les voir... Il ne voit même pas ce chien bizarre qui semble te dire qu'un ami te recherche en ville...
Re: A Kyoto
Alors que Mikado-san s'en vient apporter un peu de nourriture et discuter, deniel se rue sur la nourriture en oubliant la bienséance et pense tout juste à en garder un peu pour son voisin.
Il remercie la jeune femme tout en mâchonnant sans retenue, et lui explique tant bien que mal la situation :
Son voisin, un compatriote britannique, ingénieur assermenté en recherche sur l'armement dans l'artillerie terrestre (il lui décrit brièvement l'effet d'un tir d'artillerie comme un déluge de plomb et de feu plus dévastateur que sa magie, déjà redoutable) a été enfermé depuis longtemps et semble pourrir dans sa cellule, probablement jusqu'à ce que mort s'en suive. Il soupçonne que cet homme n'ait jamais été jugé, et que l'ambassade britannique n'ait jamais eut vent de son arrestation. Deniel redoute que ce même sort lui soit réservé. Surtout depuis qu'il a découvert des prières japonaises, sans doute de désespoir, gravées un peu partout dans sa cellule.
De son côté, il a mené son enquête dans la pièce, dans l'éventualité d'une évasion, et a découvert quelques points important : Avec un peu de temps, il est capable de changer de cellule sans trop de difficulté, et peu éventuellement affaiblir la porte en maltraitant un peu le verrou, mais une barre en bois continue de la bloquer de l'extérieur. Il ira voir dès que possible dans la cellule voisine, pour examiner la porte. Heureusement, les rondes sont absentes, et les gardes ne viennent que pour donner de l'eau, de la nourriture, et parfois amener une fille, visiblement contre son gré, dans la cellule du fond.
Il lui explique ensuite quelques démarches administratives rudimentaires, à commencer par les horaires, pour accélérer un peu son accès à l'ambassade britannique, et souligne l'importance d'alerter cette dernière de la présence de plusieurs prisonniers britanniques, des "sujets de la reine", l'un étant proche de la mort en l'état actuel, et le(s) autre(s) étant traité(s) de façon inhumaine. Il s'évertue à lui enseigner très rapidement quelques expressions typiquement britanniques, dans l'espoir de donner un peu plus de poids à sa présence, priant pour que le côté insolite suffise à attirer l'attention. Il lui donne ensuite le nom de maître Westminster, en lui indiquant que c'est la personne qu'il doit joindre à Edo, et que par conséquent, la justice japonaise fait obstruction au bon déroulement d'une "affaire de la couronne britannique", et insiste bien sur cette dernière expression. En disant cela, il n'a guère de conviction dans la voix (car il sait que sa mission n'est pas d'une importance capitale à priori) quant à l'intérêt que cet argument aurait, mais il espère qu'un nom plus connu pourra lui servir.
Cela étant, il remercie une bonne douzaine de fois mikado, d'une façon qui n'a rien de très digne, mais qui est incroyablement expressive et reconnaissante pour le geijin qu'elle a côtoyé durant leur périple (lui qui n'a jamais été très bavard en dehors du fonctionnement du warjack ou de la curiosité scientifique, et qui a toujours fait montre d'une certaine méfiance, voire d'une certaine ironie, envers leur culture, se montre incroyablement chaleureux avec elle).
Il la supplie de revenir le plus vite possible avec un peu de nourriture supplémentaire, pas seulement pour lui, mais surtout pour son voisin, et que si jamais elle ne parvenait pas à se faire entendre auprès de l'ambassade britannique... un objet fin, plat et allongé, de préférence métallique, serait la bienvenue pour crocheter la serrure et soulever le loquet en bois de l'intérieur.
Il remercie la jeune femme tout en mâchonnant sans retenue, et lui explique tant bien que mal la situation :
Son voisin, un compatriote britannique, ingénieur assermenté en recherche sur l'armement dans l'artillerie terrestre (il lui décrit brièvement l'effet d'un tir d'artillerie comme un déluge de plomb et de feu plus dévastateur que sa magie, déjà redoutable) a été enfermé depuis longtemps et semble pourrir dans sa cellule, probablement jusqu'à ce que mort s'en suive. Il soupçonne que cet homme n'ait jamais été jugé, et que l'ambassade britannique n'ait jamais eut vent de son arrestation. Deniel redoute que ce même sort lui soit réservé. Surtout depuis qu'il a découvert des prières japonaises, sans doute de désespoir, gravées un peu partout dans sa cellule.
De son côté, il a mené son enquête dans la pièce, dans l'éventualité d'une évasion, et a découvert quelques points important : Avec un peu de temps, il est capable de changer de cellule sans trop de difficulté, et peu éventuellement affaiblir la porte en maltraitant un peu le verrou, mais une barre en bois continue de la bloquer de l'extérieur. Il ira voir dès que possible dans la cellule voisine, pour examiner la porte. Heureusement, les rondes sont absentes, et les gardes ne viennent que pour donner de l'eau, de la nourriture, et parfois amener une fille, visiblement contre son gré, dans la cellule du fond.
Il lui explique ensuite quelques démarches administratives rudimentaires, à commencer par les horaires, pour accélérer un peu son accès à l'ambassade britannique, et souligne l'importance d'alerter cette dernière de la présence de plusieurs prisonniers britanniques, des "sujets de la reine", l'un étant proche de la mort en l'état actuel, et le(s) autre(s) étant traité(s) de façon inhumaine. Il s'évertue à lui enseigner très rapidement quelques expressions typiquement britanniques, dans l'espoir de donner un peu plus de poids à sa présence, priant pour que le côté insolite suffise à attirer l'attention. Il lui donne ensuite le nom de maître Westminster, en lui indiquant que c'est la personne qu'il doit joindre à Edo, et que par conséquent, la justice japonaise fait obstruction au bon déroulement d'une "affaire de la couronne britannique", et insiste bien sur cette dernière expression. En disant cela, il n'a guère de conviction dans la voix (car il sait que sa mission n'est pas d'une importance capitale à priori) quant à l'intérêt que cet argument aurait, mais il espère qu'un nom plus connu pourra lui servir.
Cela étant, il remercie une bonne douzaine de fois mikado, d'une façon qui n'a rien de très digne, mais qui est incroyablement expressive et reconnaissante pour le geijin qu'elle a côtoyé durant leur périple (lui qui n'a jamais été très bavard en dehors du fonctionnement du warjack ou de la curiosité scientifique, et qui a toujours fait montre d'une certaine méfiance, voire d'une certaine ironie, envers leur culture, se montre incroyablement chaleureux avec elle).
Il la supplie de revenir le plus vite possible avec un peu de nourriture supplémentaire, pas seulement pour lui, mais surtout pour son voisin, et que si jamais elle ne parvenait pas à se faire entendre auprès de l'ambassade britannique... un objet fin, plat et allongé, de préférence métallique, serait la bienvenue pour crocheter la serrure et soulever le loquet en bois de l'intérieur.
Re: A Kyoto
Naoki écoute ce que les prêtres ont a lui dire et ce qu'ils ont vu de lui. Mais il commence à comprendre qu'il est peut être plus puissant qu'il le pensait si les prêtre n’interagissent pas avec les esprits qu'il voit lui.
Une fois isolé, il cherche à appeler le chien pour avoir plus de détail. Il demande aussi à ce grand esprit de revenir le voir cette nuit si le chien propose de le guider jusqu'à cet ami. Il fait une caresse à cet esprit et lui propose à manger et à boire.
Une fois isolé, il cherche à appeler le chien pour avoir plus de détail. Il demande aussi à ce grand esprit de revenir le voir cette nuit si le chien propose de le guider jusqu'à cet ami. Il fait une caresse à cet esprit et lui propose à manger et à boire.
Tanuky- Duc/Duchesse
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Date d'inscription : 15/12/2011
Re: A Kyoto
L'odeur de moisissure humide mélangée à celle des corps sales des prisonniers avait de quoi écoeurer n'importe qui, mais Torihime n'en avait cure. Elle maitrisait depuis longtemps un petit tour lui permettant de répandre une odeur d'encens brulé depuis la flamme qui jaillissait de sa main. Un des premiers tours qu'elle avait appris, et elle ne pensait pas qu'il lui serait si utile un jour.
Elle avait passé les gardes, ils l'avaient fouillée. Elle prenait un malin plaisir à rester impassible et inflexible face aux allusions parfois à peine voilées et souvent graveleuse de ses outres à sake indigne de servir l'Empire (ou qui que ce soit d'ailleurs). Elle restait stoïque lors de chacune de leur fouille, mais jouait avec l'intensité des flammes des lampes à huile à chaque fois qu'elle estimé les gardes un peu trop "familiers". La crainte d'une fin brulante et douloureuse semblait avoir convaincu les moins polis d'entre eux de lui montrer un semblant de respect.
A mesure qu'elle avançait, elle constatait un peu plus la désolation de ce lieu. Il était conçu pour tuer l'âme et pousser au renoncement de sa propre existence. Elle espérait de Rei et Deniel auraient la force de volonté suffisante pour résister à cette épreuve. Elle avait de la peine pour cette jeune Geiko. Il ne faudrait plus beaucoup de temps avant qu'elle ne soit brisée, et Torihime ne pouvait y faire grand chose. Il faudrait qu'elle sache de quel gaijin elle s'était entichée, peut être pourrait il acheter sa liberté, le théatre de kabuto l'avait déjà visiblement oubliée, voir même effacée.
Elle approchait de la cellule de Deniel, et se préparait mentalement. La langue de ce gaijin, l'anglais, était assez éloignée du japonais. Bon nombre des sonorités qu'elle lui demandait exigeaient d'elle un exercice auquel sa voix n'était pas habituée.
"Deniel-san, voici le bol de riz que je vous ai promis. Si vous pouviez vous plaindre de son gout fade en japonais avant de m'exposer votre plan sur le même ton, mais en anglais ça m'arrangerait. Pour information je l'ai aromatisé au poulet yakitori, presque pas épicé."
Le britannique semblait ne pas apprécier la cuisine épicée...
Elle avait passé les gardes, ils l'avaient fouillée. Elle prenait un malin plaisir à rester impassible et inflexible face aux allusions parfois à peine voilées et souvent graveleuse de ses outres à sake indigne de servir l'Empire (ou qui que ce soit d'ailleurs). Elle restait stoïque lors de chacune de leur fouille, mais jouait avec l'intensité des flammes des lampes à huile à chaque fois qu'elle estimé les gardes un peu trop "familiers". La crainte d'une fin brulante et douloureuse semblait avoir convaincu les moins polis d'entre eux de lui montrer un semblant de respect.
A mesure qu'elle avançait, elle constatait un peu plus la désolation de ce lieu. Il était conçu pour tuer l'âme et pousser au renoncement de sa propre existence. Elle espérait de Rei et Deniel auraient la force de volonté suffisante pour résister à cette épreuve. Elle avait de la peine pour cette jeune Geiko. Il ne faudrait plus beaucoup de temps avant qu'elle ne soit brisée, et Torihime ne pouvait y faire grand chose. Il faudrait qu'elle sache de quel gaijin elle s'était entichée, peut être pourrait il acheter sa liberté, le théatre de kabuto l'avait déjà visiblement oubliée, voir même effacée.
Elle approchait de la cellule de Deniel, et se préparait mentalement. La langue de ce gaijin, l'anglais, était assez éloignée du japonais. Bon nombre des sonorités qu'elle lui demandait exigeaient d'elle un exercice auquel sa voix n'était pas habituée.
"Deniel-san, voici le bol de riz que je vous ai promis. Si vous pouviez vous plaindre de son gout fade en japonais avant de m'exposer votre plan sur le même ton, mais en anglais ça m'arrangerait. Pour information je l'ai aromatisé au poulet yakitori, presque pas épicé."
Le britannique semblait ne pas apprécier la cuisine épicée...
Xalendar- Duc/Duchesse
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Re: A Kyoto
Le goût légèrement épicé du bol de riz n'était pas franchement le genre de cuisine dont Deniel raffolait, mais son estomac affamé n'en avait cure. Il mangea les trois quarts du bol, et pensa in extremis à en laisser un peu à son voisin, en faisant mine d'un léger écoeurement du à son empressement.
Accéder à la requête de Mikado-san de se plaindre du riz ne fut pas des plus difficiles : il avait oublié comment dire "fade" en japonais, mais pas comment formuler de façon assez grossière que le riz n'était pas à son goût. La suite avait été plus simple. Il avait parlé un anglais basique et articulé, sur un ton incroyablement monocorde et désabusé. Ce dernier n'était cependant en rien simulé, car la fatigue et la lassitude parlaient d'elles-mêmes.
A la fin cependant, il ne put se retenir de craquer et de la remercier pour son aide, en anglais heureusement. Toutefois de l'extérieur, ce spectacle devait être pour le moins pitoyable. Ce n'était sans doute pas la première fois que les gardes voyaient un prisonnier se montrer aussi reconnaissant pour un simple bol de riz, surtout vu le régime qu'il imposait aux détenus. Deniel prit même soin d'y rajouter une petite larme ou deux, pour se rendre encore plus pitoyable à leurs yeux, feignant d'être à bout. Ce qui était déjà à moitié vrai.
Toutefois la jeune japonaise avait réussi à lui redonner un peu d'espoir et de confiance.
"Revenez-moi vite Mikado-san, acheva-t-il en anglais, je vais faire mon possible pour trouver un moyen de sortir de ma cellule, au cas où, et en apprendre plus sur mon compatriote (il désigna discrètement une pierre maladroitement remise à sa place au pied du mur), mais il faut que vous parveniez à prévenir l'ambassade. Je ne tiens pas à risquer une évasion à moins que cela ne soit inévitable."
Accéder à la requête de Mikado-san de se plaindre du riz ne fut pas des plus difficiles : il avait oublié comment dire "fade" en japonais, mais pas comment formuler de façon assez grossière que le riz n'était pas à son goût. La suite avait été plus simple. Il avait parlé un anglais basique et articulé, sur un ton incroyablement monocorde et désabusé. Ce dernier n'était cependant en rien simulé, car la fatigue et la lassitude parlaient d'elles-mêmes.
A la fin cependant, il ne put se retenir de craquer et de la remercier pour son aide, en anglais heureusement. Toutefois de l'extérieur, ce spectacle devait être pour le moins pitoyable. Ce n'était sans doute pas la première fois que les gardes voyaient un prisonnier se montrer aussi reconnaissant pour un simple bol de riz, surtout vu le régime qu'il imposait aux détenus. Deniel prit même soin d'y rajouter une petite larme ou deux, pour se rendre encore plus pitoyable à leurs yeux, feignant d'être à bout. Ce qui était déjà à moitié vrai.
Toutefois la jeune japonaise avait réussi à lui redonner un peu d'espoir et de confiance.
"Revenez-moi vite Mikado-san, acheva-t-il en anglais, je vais faire mon possible pour trouver un moyen de sortir de ma cellule, au cas où, et en apprendre plus sur mon compatriote (il désigna discrètement une pierre maladroitement remise à sa place au pied du mur), mais il faut que vous parveniez à prévenir l'ambassade. Je ne tiens pas à risquer une évasion à moins que cela ne soit inévitable."
Re: A Kyoto
@naoki: c'est un kami, il se fout de ta bouffe. Il veut bien te guider, mais va falloir sortir. Et c'est pas le club med le temple toji...
@mikado: l'administration va être une véritable épreuve de force mentale. au jour 5 sur 7, tu finiras par apprendre qu'il est impossible que des ressortissants britanniques croupissent en jaule, tout se passe bien entre les deux gouvernements. Le Deniel dont tu fais mention est inconnu au bataillon, ils vont se renseigner pour voir s'il n'est pas deja auprès de westminster... Maintenant, il est 17h, il va falloir songer à partir, hein... Ne perds pas espoir, il reste deux jours... et on commence a te connaitre maintenant
@mikado: l'administration va être une véritable épreuve de force mentale. au jour 5 sur 7, tu finiras par apprendre qu'il est impossible que des ressortissants britanniques croupissent en jaule, tout se passe bien entre les deux gouvernements. Le Deniel dont tu fais mention est inconnu au bataillon, ils vont se renseigner pour voir s'il n'est pas deja auprès de westminster... Maintenant, il est 17h, il va falloir songer à partir, hein... Ne perds pas espoir, il reste deux jours... et on commence a te connaitre maintenant
Re: A Kyoto
Naoki explique gentillement au Kami qu'il ne peut pas sortir si facilement. Il faut attendre la nuit la plus profonde que tout le monde dorme pour sortir.
Et au plus profond de la nuit Naoki attend le chien. Il demande gentillement au Kami de l'aider à passer inaperçu et de faire en quelque sorte son éclaireur tant qu'ils ne sont pas sorti du temple.
Et au plus profond de la nuit Naoki attend le chien. Il demande gentillement au Kami de l'aider à passer inaperçu et de faire en quelque sorte son éclaireur tant qu'ils ne sont pas sorti du temple.
Tanuky- Duc/Duchesse
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Date d'inscription : 15/12/2011
Re: A Kyoto
Torihime avance une fois de plus dans les couloirs sombres de la jaule en direction de la cellule de Deniel. Une fois de plus elle apporte deux bols de riz cuit, mais froid. Elle aimerait amener quelque chose de plus consistant, consciente que l'artifice sur le gout qu'elle peut produire ne confère qu'un réconfort modéré. Mais cette fois Torihime a un plan.
"Deniel-san, je vous apporte un peu de riz." En japonais.
"Deniel-san, j'ai un plan pour vous faire sortir de là vous et Akodo-san, et faire en sorte que vous ne soyez pas poursuivis par la justice. Mais il est dangereux, potentiellement mortel. Votre gouvernement semble vous avoir abandonné et le père d'Akodo-san assistera bien à son seppuku. Quiconque se trouve derrière nos malheurs a trop d'influence pour que nous puissions lutter selon les règles, il va nous falloir user de subterfuges et faire parvenir les informations dont nous disposons sur cette félonie jusqu'aux oreille de l'Empereur lui-même. Même si cela doit nous couter la vie." En anglais.
Le regard de la kannagi se fait extrêmement pesant.
"Êtes vous près à écouter mon plan ?" Toujours en anglais.
"Deniel-san, je vous apporte un peu de riz." En japonais.
"Deniel-san, j'ai un plan pour vous faire sortir de là vous et Akodo-san, et faire en sorte que vous ne soyez pas poursuivis par la justice. Mais il est dangereux, potentiellement mortel. Votre gouvernement semble vous avoir abandonné et le père d'Akodo-san assistera bien à son seppuku. Quiconque se trouve derrière nos malheurs a trop d'influence pour que nous puissions lutter selon les règles, il va nous falloir user de subterfuges et faire parvenir les informations dont nous disposons sur cette félonie jusqu'aux oreille de l'Empereur lui-même. Même si cela doit nous couter la vie." En anglais.
Le regard de la kannagi se fait extrêmement pesant.
"Êtes vous près à écouter mon plan ?" Toujours en anglais.
Xalendar- Duc/Duchesse
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Date d'inscription : 26/01/2011
Re: A Kyoto
En dépit de son envie de sortir et aider ses compagnons d'infortune, Naoki fait l'objet d'une attention tout particulière au Temple Toji et se retrouve embarqué dans l'étude la prêtrise...
@Mikado: C'est couillu, mais ça devrait fonctionner...
@Deniel, c'est la même cellule à côté, sauf elle est en face des yakuza.
@Mikado: C'est couillu, mais ça devrait fonctionner...
@Deniel, c'est la même cellule à côté, sauf elle est en face des yakuza.
Re: A Kyoto
Naoki comprend qu'il ne pourra pas sortir, il l'explique au Kami, lui demande d'aller voir son amie pour l'informer.
Il a pris la décision de montrer aux autres prêtres ce qu'il est capable de faire pour apprendre!! Il se met à méditer tout les soir et demande l'aide des Kami qu'il voit lui et que les autres ne perçoivent pour montrer de quoi il est capable et qu'on arrête de le prendre pour un simple d'esprit.
(ça va prendre du temps :p)
Il a pris la décision de montrer aux autres prêtres ce qu'il est capable de faire pour apprendre!! Il se met à méditer tout les soir et demande l'aide des Kami qu'il voit lui et que les autres ne perçoivent pour montrer de quoi il est capable et qu'on arrête de le prendre pour un simple d'esprit.
(ça va prendre du temps :p)
Tanuky- Duc/Duchesse
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Localisation : Grenoble
Date d'inscription : 15/12/2011
Re: A Kyoto
Dans l'obscurité de la prison Torihime explique son audacieux plan à Deniel (puis elle en touchera un mot à Rei).
"Demain soir je vais mettre le feu à plusieurs endroit de la prison et déclencher un énorme incendie. La panique poussera les garde à fuir, voir à faire n'importe quoi. J'en profiterai pour m'introduire dans la prison et venir vous chercher. Je devrais pouvoir nous ménager un passage dans un incendie sans trop de difficulté, même si je dois vous prévenir que je ne l'ai jamais fait. Vu l'incompétence des gardes, l'incendie ne devrait pas être éteint avant que ce bâtiment ne soit en cendre, avec plusieurs corps calcinés méconnaissable et des archive (pour peu quelles soient à jour) parties en fumé. Ensuite, il faudra juste que vous modifiez un peu votre apparence pour passer inaperçu. Changer de vêtements, de coiffure, etc. devrait suffire."
"Demain soir je vais mettre le feu à plusieurs endroit de la prison et déclencher un énorme incendie. La panique poussera les garde à fuir, voir à faire n'importe quoi. J'en profiterai pour m'introduire dans la prison et venir vous chercher. Je devrais pouvoir nous ménager un passage dans un incendie sans trop de difficulté, même si je dois vous prévenir que je ne l'ai jamais fait. Vu l'incompétence des gardes, l'incendie ne devrait pas être éteint avant que ce bâtiment ne soit en cendre, avec plusieurs corps calcinés méconnaissable et des archive (pour peu quelles soient à jour) parties en fumé. Ensuite, il faudra juste que vous modifiez un peu votre apparence pour passer inaperçu. Changer de vêtements, de coiffure, etc. devrait suffire."
Xalendar- Duc/Duchesse
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Date d'inscription : 26/01/2011
Re: A Kyoto
(Désolé si je prends pas le temps de répondre en RP d'ici dimanche, mais j'ai bien lu vos posts. Je suis juste un chouille occupé pour les jours à venir. )
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