Allan Davis - le flic de Manhattan
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Re: Allan Davis - le flic de Manhattan
hrp/ Pas mal, ça classe bien !
J'ai hâte de côtoyer Allan Davis de New York dans une future mission.
J'ai hâte de côtoyer Allan Davis de New York dans une future mission.
rems parken- Baron/Baronne
- Nombre de messages : 432
Localisation : Lémurie
Date d'inscription : 08/03/2008
Re: Allan Davis - le flic de Manhattan
hrp/ C'est clair il a la classe Hihihi j'ai hâte aussi de connaitre son histoire.
Re: Allan Davis - le flic de Manhattan
Informations personnelles
Formation et expérience professionnelle
Compétences
Loisirs et intérêts personnels
- Sexe : Masculin
- Situation de famille : Célibataire
- Nationalité : Américain
- Date de naissance : 12/11/2002
- Lieu de naissance : New York City
Formation et expérience professionnelle
- 2020 : aquisition du 12th Grade (équivalent bac)
- 2020-2024 : Etudes de BS (Bachelor of science) dans la spécialité "Police Science", obtention du Bachelor Degree
- 2024-2025 : Intégration à l'académie du NYPD
- 2027 : Promotion au grade d'inspecteur au NYPD
- 2029 : Entrée dans le LAPD
- 2030 : Entrée au C.O.P.S
Compétences
- Enquêteur de terrain
- Entrainement à l'arme de poing
- Expert en scène de crime
Loisirs et intérêts personnels
- Littérature
- Musique Jazz
- Sa vie de flic
Re: Allan Davis - le flic de Manhattan
Photo du 1311 Ingraham Street
Mon studio se trouve au 5éme étage, le dernier, sur la facade donnant sur un parking à droite de l'image, 2éme fenêtre en partant de l'angle.
Re: Allan Davis - le flic de Manhattan
Je sais ça fait un bail que Allan Davis n'a pas été revu chez les COPS mais j'ai écrit ceci récemment en m'inspirant du background du perso et je me suis dit tant qu'à faire autant faire profiter les quelques personnes qui reviendront s'attarder sur ce COPS porté disparu
D'une balle, traverse mon âme
Comme tous les soirs, je viens au « Philadelphia Jazz Club », après une harassante journée de boulot. Ce que je fais ? Flic à la brigade criminelle, un boulot particulier vous diront certains, mais pour moi cela reste un boulot comme un autre. Est-ce un rêve de gosse ? Probablement, tous les gamins ont un jour rêvé d’être flic. Dans tous les cas, ce n’est pas une tradition familiale. Mon père est un petit employé de bureau sans prétention, quand à ma mère, c’est une institutrice pour les petites classes. J’ai tout fait pour avoir ce boulot. Après avoir mon douzième grade à l’école je me suis inscrit pour un Bachelor Degree en police scientifique. Toute mon enfance fut vouée à mon avenir dans la police. Je fus des plus brillants soit dit en passant. Et après ce dernier je fus intégré à l’académie de police où je reçu tout les honneurs. Sans même me rendre compte des années que j’avais passées je me suis retrouvé inspecteur de police à 25 ans. On vous dira que je fus surement l’un des plus jeunes inspecteurs qu’est connu NY, mais sachez que je ne fais pas partie de ces fils à papa qui sont pistonnés. Ma place, je l’ai gagné à la sueur de mon front. Tout ca pour quoi ? Allez savoir. Regardez où j’en suis maintenant… C’est déjà la troisième clope que je fume de la soirée et mon deuxième verre de cette immonde tord boyaux que m’a servi le barman du « Philadelphia », On croirait l’un de ces paumés accro à la cigarette et à l’alcool, célibataire, qui à pour seul ami les personnes inscrites avec lui aux alcooliques anonymes…
Ah ! La chanteuse vient d’arriver et entre en scène. Mon attente n’aura pas été veine. Carla chante merveilleusement bien. Sa voix m’apaise après les horreurs que j’ai pu voir dans la journée. Et oui, on en voit des bonnes parfois sur les scènes de crimes. Certain psychopathe sont passés maître dans l’art de vous retourner les tripes des plus endurcis. A se demander comment ces malades font eux-mêmes pour rester insensible à pareil spectacle. Mais ne gâchons pas la soirée dans des descriptions sordides. Le pianiste commence à jouer les premières notes, et Carla ferment les yeux tout en balançant sa tête langoureusement en arrière. Ca y est, sa douce voix envoutante vient de faire taire tout les habitués qui n’attendait qu’elle. N’est ce pas tout bonnement magnifique ?
Je savais que cela vous plairez aussi. C’est vrai que nous n’avons même pas été présentés. Je m’appelle Allan, Allan Davis. Je vous offre un verre ? Je lis dans vos yeux que vous voulez en savoir plus sur ce qui à pu m’amener à sombrer ainsi. Je n’ai pas toujours été comme ça vous savez. Comme je le disais tout à l’heure, il y a six ans, je rejoignis ma première équipe au sein du commissariat centrale de New York City. Je fus très vite adopté par tout le reste de l’équipe grâce à mon efficacité sur le terrain. Le lieutenant Jonas, le chef, devint vite un très bon ami. C’est lui qui m’expliqua les ficelles du métier. Souvent, le week-end il m’invitait à manger chez lui et sa femme, Elisabeth, nous cuisinait des plats délicieux. J’en ai l’eau à la bouche rien que d’y repenser. C’était un bon flic comme on en fait rarement… Tout allait très bien jusqu’à l’année dernière. Je faisais mon bonhomme de chemin au NYPD quand je fus chargé d’une affaire qui semblait banale aux premiers abords, mais ce que j’allais découvrir est ce qui foutu ma vie en l’air…
Humm… ce whisky aura ma peau, même si au fond c’est comme si j’étais mort depuis octobre dernier lorsque je me pris cette balle. Vous voulez savoir comment je me l’a suis pris ? Je vais vous raconter sinon je sens que vous ne lâcherez pas le morceau de si tôt. C’est Jonas qui m’a tiré dessus, je vous avouerai que moi aussi je lui ai tiré dessus mais j’étais loin de le faire de gaîté de cœur, seulement c’est lui qui est mort. Il mourut sur le coup, et je dois dire que de mon coté j’avais bien morflé physiquement. Mais ce ne fut pas tant le choc physique qui me fit perdre connaissance mais plutôt ce que je venais de faire. D’une balle, il traversa mon âme pour que jamais plus elle ne soit capable de se mettre debout, comme si j’étais devenu un infirme coincé dans une chaise roulante, seulement des chaises roulantes pour ce genre de cas il n’en existe pas et des remèdes pour soigner cette douleur je n’ai trouvé que la cigarette et l’alcool pour l’atténuer…
Je vais donc vous raconter ce qui c’est passé jusqu’à octobre dernier, qui sait, peut-être qu’en en parlant à quelqu’un un miracle va se produire et je verrai enfin comme un aveugle qui retrouverait la vue. Je ne suis pas vraiment croyant et je doute fortement que cela m’apporte grand-chose, mais au moins cela vous aura occupé la soirée à écouter un jeune ivrogne en train de se morfondre sur son sort…
Ah ! La chanteuse vient d’arriver et entre en scène. Mon attente n’aura pas été veine. Carla chante merveilleusement bien. Sa voix m’apaise après les horreurs que j’ai pu voir dans la journée. Et oui, on en voit des bonnes parfois sur les scènes de crimes. Certain psychopathe sont passés maître dans l’art de vous retourner les tripes des plus endurcis. A se demander comment ces malades font eux-mêmes pour rester insensible à pareil spectacle. Mais ne gâchons pas la soirée dans des descriptions sordides. Le pianiste commence à jouer les premières notes, et Carla ferment les yeux tout en balançant sa tête langoureusement en arrière. Ca y est, sa douce voix envoutante vient de faire taire tout les habitués qui n’attendait qu’elle. N’est ce pas tout bonnement magnifique ?
Je savais que cela vous plairez aussi. C’est vrai que nous n’avons même pas été présentés. Je m’appelle Allan, Allan Davis. Je vous offre un verre ? Je lis dans vos yeux que vous voulez en savoir plus sur ce qui à pu m’amener à sombrer ainsi. Je n’ai pas toujours été comme ça vous savez. Comme je le disais tout à l’heure, il y a six ans, je rejoignis ma première équipe au sein du commissariat centrale de New York City. Je fus très vite adopté par tout le reste de l’équipe grâce à mon efficacité sur le terrain. Le lieutenant Jonas, le chef, devint vite un très bon ami. C’est lui qui m’expliqua les ficelles du métier. Souvent, le week-end il m’invitait à manger chez lui et sa femme, Elisabeth, nous cuisinait des plats délicieux. J’en ai l’eau à la bouche rien que d’y repenser. C’était un bon flic comme on en fait rarement… Tout allait très bien jusqu’à l’année dernière. Je faisais mon bonhomme de chemin au NYPD quand je fus chargé d’une affaire qui semblait banale aux premiers abords, mais ce que j’allais découvrir est ce qui foutu ma vie en l’air…
Humm… ce whisky aura ma peau, même si au fond c’est comme si j’étais mort depuis octobre dernier lorsque je me pris cette balle. Vous voulez savoir comment je me l’a suis pris ? Je vais vous raconter sinon je sens que vous ne lâcherez pas le morceau de si tôt. C’est Jonas qui m’a tiré dessus, je vous avouerai que moi aussi je lui ai tiré dessus mais j’étais loin de le faire de gaîté de cœur, seulement c’est lui qui est mort. Il mourut sur le coup, et je dois dire que de mon coté j’avais bien morflé physiquement. Mais ce ne fut pas tant le choc physique qui me fit perdre connaissance mais plutôt ce que je venais de faire. D’une balle, il traversa mon âme pour que jamais plus elle ne soit capable de se mettre debout, comme si j’étais devenu un infirme coincé dans une chaise roulante, seulement des chaises roulantes pour ce genre de cas il n’en existe pas et des remèdes pour soigner cette douleur je n’ai trouvé que la cigarette et l’alcool pour l’atténuer…
Je vais donc vous raconter ce qui c’est passé jusqu’à octobre dernier, qui sait, peut-être qu’en en parlant à quelqu’un un miracle va se produire et je verrai enfin comme un aveugle qui retrouverait la vue. Je ne suis pas vraiment croyant et je doute fortement que cela m’apporte grand-chose, mais au moins cela vous aura occupé la soirée à écouter un jeune ivrogne en train de se morfondre sur son sort…
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