[Evènement] Les prisonniers
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[Evènement] Les prisonniers
Les prisonniers
Pietro et Brune se réveillèrent hors de leur cellule. Très vite et très violemment, ils ressentirent une énorme douleur qui leur tiraillait les poignets et les chevilles. Malheureusement, la position de leurs membres inférieurs et supérieurs ne leur permettait pas de voir ce qui provoquait cette agonie. Après quelques instants de réflexion et en essayant de bouger ces parties de leurs anatomie, ils comprirent ce qui se passait.
Déjà, on avait dû leur casser quelques os, car ils avaient vraiment du mal à bouger les bras et les jambes, mais en plus, ils étaient entravés par des liens qui étaient ni de la corde, ni une chaîne. Non, ils avaient un énorme bout de métal planté dans les chevilles et les poignets. Un bout qui traversait ces parties de part en part et qui servait de lien entre la gauche et la droite. Comme ça, le moindre mouvement pour tenter de se défaire de ses liens était un véritable supplice qui était d’ailleurs renforcé par les fractures.
Ils avaient fait ça pendant leur sommeil. Il savait qu’ils ne devaient ni boire, ni manger ce qu’on leur donnait dans cette infâme prison. Néanmoins, l’instinct de survie avait pris le pas et après un long jeune, ils se jetèrent tous sur la boisson et la nourriture. Surtout sur la boisson, il était difficile de rester longtemps sans boire, même pour Brune et Pietro.
Ces chiens avaient profité de leur sommeil pour leur appliquer cet ignoble traitement. D’ailleurs, ils étaient allongés sur un sol qui ne pouvait pas être plus crade. L’odeur d’urine et de pourriture qui en émanait était infecte. C’était une véritable agression pour les narines. Ils avaient l’impression d’être allongés sur un matelas fait avec un mélange de pisse, de vomi et de merde. Personne ne pouvait dire qu’elle genre de maladie ils pouvaient attrapé dans cette antichambre de l’enfer.
D’ailleurs, ce sol bougeait. C’était vraiment étrange, car il ne bougeait pas comme le planché d’une carriole. C’était quelque chose qui semblait être bien plus grand, bien plus massif et qui allait bien plus vite.
Ils étaient seuls dans cet espace. En tout cas, ils étaient les seuls prisonniers. Ce qui voulait dire que … Une grande tristesse commençait à envahir leurs cœurs. Ils venaient de comprendre que leurs compagnons avaient sûrement été tués par leurs geôliers ou par leurs étranges ravisseurs.
Dans la tristesse et la confusion, ils se rendirent compte qu’ils n’étaient finalement pas seul. Il y avait avec eux une personne. Difficile de dire si c’était un homme ou une femme. L’éclairage se résumait à quelques chandelles et cette silhouette était habillée avec une longue cape à capuchon noir. Son visage était dissimulé derrière un masque qui représentait la caricature d’un chat ou de quelque chose qui s’en approchait.
En tout cas, cet individu était assis sur une chaise et il les regardait se débattre comme des poissons hors de l’eau sans esquisser le moindre geste. La seule chose qu’on pouvait dire de lui c’était qu’il était serein. Il contrôlait la situation et il ne semblait pas être inquiété par les prisonniers qu’il devait surveiller.
La distance qui les séparait du lien de rendez-vous était encore longue, mais elle serait vite avalée par cette incroyable chose.
Déjà, on avait dû leur casser quelques os, car ils avaient vraiment du mal à bouger les bras et les jambes, mais en plus, ils étaient entravés par des liens qui étaient ni de la corde, ni une chaîne. Non, ils avaient un énorme bout de métal planté dans les chevilles et les poignets. Un bout qui traversait ces parties de part en part et qui servait de lien entre la gauche et la droite. Comme ça, le moindre mouvement pour tenter de se défaire de ses liens était un véritable supplice qui était d’ailleurs renforcé par les fractures.
Ils avaient fait ça pendant leur sommeil. Il savait qu’ils ne devaient ni boire, ni manger ce qu’on leur donnait dans cette infâme prison. Néanmoins, l’instinct de survie avait pris le pas et après un long jeune, ils se jetèrent tous sur la boisson et la nourriture. Surtout sur la boisson, il était difficile de rester longtemps sans boire, même pour Brune et Pietro.
Ces chiens avaient profité de leur sommeil pour leur appliquer cet ignoble traitement. D’ailleurs, ils étaient allongés sur un sol qui ne pouvait pas être plus crade. L’odeur d’urine et de pourriture qui en émanait était infecte. C’était une véritable agression pour les narines. Ils avaient l’impression d’être allongés sur un matelas fait avec un mélange de pisse, de vomi et de merde. Personne ne pouvait dire qu’elle genre de maladie ils pouvaient attrapé dans cette antichambre de l’enfer.
D’ailleurs, ce sol bougeait. C’était vraiment étrange, car il ne bougeait pas comme le planché d’une carriole. C’était quelque chose qui semblait être bien plus grand, bien plus massif et qui allait bien plus vite.
Ils étaient seuls dans cet espace. En tout cas, ils étaient les seuls prisonniers. Ce qui voulait dire que … Une grande tristesse commençait à envahir leurs cœurs. Ils venaient de comprendre que leurs compagnons avaient sûrement été tués par leurs geôliers ou par leurs étranges ravisseurs.
Dans la tristesse et la confusion, ils se rendirent compte qu’ils n’étaient finalement pas seul. Il y avait avec eux une personne. Difficile de dire si c’était un homme ou une femme. L’éclairage se résumait à quelques chandelles et cette silhouette était habillée avec une longue cape à capuchon noir. Son visage était dissimulé derrière un masque qui représentait la caricature d’un chat ou de quelque chose qui s’en approchait.
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