Une longue journée !
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Une longue journée !
Hrp : Bien, en ce moment, je garde Alia pour les phases d'action pendant que Syrio s'occupe du reste. Il n'est plus vraiment un combattant. Voila, donc ce qu'il fait, le lendemain de cette fameuse journée et nuit si agitée. Une petite musique d'ambiance.
Une longue journée !
La nuit avait tenu ses promesses à n'en point douter. Il faut dire que Sarah savait comment faire tourner la tête de son beau blond. Il avait eu le droit à du plaisir décliné sous toutes ses formes jusqu'à un peu avant l'aube. Le moment où ils devaient se lever pour retourner à Davos. Le jeune gouverneur se faisait violence pour commencer ses journées aux premières heures de la journée. Ce matin, il était dans les bras de sa femme et sa tête était délicatement posée sur ses seins. Ce n'était plus de la violence de se lever si tôt, c'était le pire des supplices. Il aurait aimé que ce moment dure bien plus longtemps. S'il n'était pas gouverneur, il aurait pu rester au lit jusqu'à pas d'heure, voir même de recommencer ses coquineries avec elle.
Sarah se réveilla presque au même moment que lui et l'embrassa. Ils se levèrent, se préparèrent et allèrent chercher leur petite fille. Le chevalier blanc la tenait délicatement dans ses bras en ayant pris le soin de l'emmitoufler dans une couverture. Il ne fallait pas qu'elle attrape froid, même si le voyage allait être court.
Leur ami « Kallar Brise Lame » était au courant qu'ils devaient partir aux aurores et ils le firent. Quelques secondes plus tard, ils étaient de nouveau à Davos. Syrio recoucha la petite Emillia pour qu'elle puisse faire ses heures de sommeil avant de s'en aller travailler. Le temps d'embrasser Sarah avec sa fouge légendaire et il était déjà dehors en compagnie de Miralas, qui avait relayé les jumelles. Il l'a salua et l'embrassa sur la joue. Puis, ils se dirigèrent à pied vers le sénat. Ils discutèrent de tout et de rien pendant le trajet.
Le soleil se levait et les premiers badauds arpentaient déjà les rues de la cité. Syrio salua les personnes qu'il croisait et répondait avec courtoisie aux différentes sollicitations s'il y en avait.
En arrivant dans son bureau, il constata qu'Alia lui avait laissé un message. L'écriture de la jeune femme était soignée, même si sa calligraphie reflétait son tempérament fougueux. Les lettres étaient très rapprochées et inclinés vers l'avant.
Les sourcils de Syrio se froncèrent en lisant le contenu du message. Il serait plus exact de dire du rapport. Il soupira en le reposant sur son bureau. Son emploi du temps allait devoir subir quelques changements de dernières minutes, mais il ne pouvait pas faire autrement.
Il sortit de son bureau pour avertir un de ces collaborateurs qu'il devait s'absenter toute la journée à cause de l'affaire des meurtres. Puis, il quitta le sénat en étant toujours accompagné de Miralas. Ils avaient pris la direction du temple de Cérès. Le jeune homme voulait se rendre au chevet de la malheureuse qui était entre la vie et la mort à cause de la créature. Sur place, il alla discuter avec ses parents. Ce n'était pas évident de trouver les mots justes pour consoler des parents qui avaient leur enfant entre la vie et la mort. Il prit le temps de les écouter et de leur dire quelques paroles réconfortantes. Il ne pouvait pas en faire plus, si ce n'était de mettre tout en oeuvre pour attraper la créature qui avait ça. Même si la créature devait être puissante pour réussir à résister à Matino, Peter et Alia. Puis, il passa quelques longues minutes au chevet de la jeune femme. La blessure était moche, vraiment très moche. Il espérait vraiment qu'elle puisse s'en sortir. Il exécuta une petite prière à Cérès pour lui demander de veiller et de guérir la jeune femme. Cela avait déjà dû être fait, mais il le fit quand même, il lui fit une bénédiction de Cérès en espérant que cela puisse la sortir de son coma.
Le jeune homme était de plus sincère, ce n'était pas du bluff, il n'était pas là pour ce faire bien voir du peuple. Il était là, parce que cela le touchait. Il lui glissa quelques mots de réconfort à l'oreille en passant délicatement sa main sur le front de la malheureuse.
Il quitta ensuite le temple pour alerter toutes les autorités de la ville qui pouvaient se rendre utile dans ce genre de situation. Si un dragon ou un mage métamorphe ou autre chose encore, se baladait dans la ville, il fallait le neutraliser le plus vite possible. Il était inutile d'aller chez les enquêteurs parce que Matino était déjà au taquet. Quant aux ombres de Davos, il était aussi inutile de les prévenir puisque Peter était déjà de la partie. Il lui restait la milice, les mages, l'armée et les moines de Henki. De plus, il pouvait aussi compter sur l'aide des paladins. Après tout, c'était leur domaine de prédilection, la chasse de ce genre de créatures magiques. Il prit le reste de la matinée pour aller voir les responsables de ces différentes organisations. Il ne voulait pas que Davos soit encore le théâtre de ce genre d'agressions.
La milice devait renforcer les patrouilles dans les rues de la ville. Ils allaient pouvoir compter sur le renfort de l’armée et des moines d’Henki. Il fallait impérativement sécuriser les rues de la ville surtout pendant la nuit. Ils devaient aussi encourager les gens à limiter leur déplacement pendant les heures les plus avancées de la nuit.
Les magiciens devaient également mettre la main à la pâte en fonction des domaines magiques qu’ils maîtrisaient. Le jeune chevalier blanc ne s’y connaissait pas beaucoup en magie, mais il comptait vraiment sur leur aide.
Les paladins de Carnos furent également sollicités pour donner un coup de main. Syrio se doutait bien que cela n’allait pas forcément faire plaisir à Matino, mais dans ce genre de situation, il n’avait pas le choix. Si ce sont des experts dans la neutralisation de ce genre de créatures, il serait idiot de se priver de leur aide. Surtout, qu’entre temps, la créature risquait de faire de nouvelles victimes et cela, il ne le voulait pas. Les citoyens de Davos ne méritaient pas de vivre sous la terreur à cause de ce genre de créature. Il se devait de recourir à tous les moyens qu’il avait à sa disposition pour les protéger.
Ensuite, il passa également voir les cinq familles qui étaient endeuillées à cause de cette histoire. La famille des égoutiers et des deux jeunes filles qui avaient eu moins de chance que la dernière. Avec sa sincérité, sa simplicité et sa diplomatie habituelle, il passa quelques moments avec les familles. Il écouta plus qu'il ne parla. Ses mots furent simples et se voulaient réconfortants.
La journée du gouverneur s'acheva dans le bois de Maylie avec l'arbre gardien et son forestier. Syrio était venu constater l'ampleur des dégâts et présenter ses excuses. Il ne lui faisait aucun doute que les flammes étaient l'oeuvre d'Alia. Décidément cette zone avait été durement frappée ces derniers temps. Il promit au forestier et à l'arbre qu'il ramènerait un peu de renfort pour les aider à protéger et à reconstruire le bois. Il ne pouvait hélas pas en faire plus pour les aider. La reforestation n'était absolument pas un sujet qu'il maîtrisait.
La journée fut longue et éprouvante pour le jeune homme, mais aussi pour Miralas qui l'avait accompagné tout le long. Il l'a remercia chaleureusement pour ce qu'elle faisait pour lui. Il lui confia également qu'il allait sûrement partir dans les forets du nord pour aller chercher des renforts pour le bois de Maylie. Il savait que la jeune guerrière adorait passer du temps en forêt et qu'elle avait adoré le séjour qu'ils avaient fait là-bas il y a environ un ans et qu'elle était bien sûre conviée pour ce deuxième voyage.
Avant de rentrer à la maison, il passa au sénat récupérer les dossiers qu'il n'avait pas pu traiter dans la journée. Ce soir, il ferait quelques heures supplémentaires, mais il les ferait chez lui en compagnie de sa femme et de sa fille.
D'ailleurs, il était temps de rentrer pour la faire manger et aller la coucher. Il se dépêcha pour y être le plus rapidement possible et il y arriva même avec un peu d'avance.
Sarah se réveilla presque au même moment que lui et l'embrassa. Ils se levèrent, se préparèrent et allèrent chercher leur petite fille. Le chevalier blanc la tenait délicatement dans ses bras en ayant pris le soin de l'emmitoufler dans une couverture. Il ne fallait pas qu'elle attrape froid, même si le voyage allait être court.
Leur ami « Kallar Brise Lame » était au courant qu'ils devaient partir aux aurores et ils le firent. Quelques secondes plus tard, ils étaient de nouveau à Davos. Syrio recoucha la petite Emillia pour qu'elle puisse faire ses heures de sommeil avant de s'en aller travailler. Le temps d'embrasser Sarah avec sa fouge légendaire et il était déjà dehors en compagnie de Miralas, qui avait relayé les jumelles. Il l'a salua et l'embrassa sur la joue. Puis, ils se dirigèrent à pied vers le sénat. Ils discutèrent de tout et de rien pendant le trajet.
Le soleil se levait et les premiers badauds arpentaient déjà les rues de la cité. Syrio salua les personnes qu'il croisait et répondait avec courtoisie aux différentes sollicitations s'il y en avait.
En arrivant dans son bureau, il constata qu'Alia lui avait laissé un message. L'écriture de la jeune femme était soignée, même si sa calligraphie reflétait son tempérament fougueux. Les lettres étaient très rapprochées et inclinés vers l'avant.
Les sourcils de Syrio se froncèrent en lisant le contenu du message. Il serait plus exact de dire du rapport. Il soupira en le reposant sur son bureau. Son emploi du temps allait devoir subir quelques changements de dernières minutes, mais il ne pouvait pas faire autrement.
Il sortit de son bureau pour avertir un de ces collaborateurs qu'il devait s'absenter toute la journée à cause de l'affaire des meurtres. Puis, il quitta le sénat en étant toujours accompagné de Miralas. Ils avaient pris la direction du temple de Cérès. Le jeune homme voulait se rendre au chevet de la malheureuse qui était entre la vie et la mort à cause de la créature. Sur place, il alla discuter avec ses parents. Ce n'était pas évident de trouver les mots justes pour consoler des parents qui avaient leur enfant entre la vie et la mort. Il prit le temps de les écouter et de leur dire quelques paroles réconfortantes. Il ne pouvait pas en faire plus, si ce n'était de mettre tout en oeuvre pour attraper la créature qui avait ça. Même si la créature devait être puissante pour réussir à résister à Matino, Peter et Alia. Puis, il passa quelques longues minutes au chevet de la jeune femme. La blessure était moche, vraiment très moche. Il espérait vraiment qu'elle puisse s'en sortir. Il exécuta une petite prière à Cérès pour lui demander de veiller et de guérir la jeune femme. Cela avait déjà dû être fait, mais il le fit quand même, il lui fit une bénédiction de Cérès en espérant que cela puisse la sortir de son coma.
Le jeune homme était de plus sincère, ce n'était pas du bluff, il n'était pas là pour ce faire bien voir du peuple. Il était là, parce que cela le touchait. Il lui glissa quelques mots de réconfort à l'oreille en passant délicatement sa main sur le front de la malheureuse.
Il quitta ensuite le temple pour alerter toutes les autorités de la ville qui pouvaient se rendre utile dans ce genre de situation. Si un dragon ou un mage métamorphe ou autre chose encore, se baladait dans la ville, il fallait le neutraliser le plus vite possible. Il était inutile d'aller chez les enquêteurs parce que Matino était déjà au taquet. Quant aux ombres de Davos, il était aussi inutile de les prévenir puisque Peter était déjà de la partie. Il lui restait la milice, les mages, l'armée et les moines de Henki. De plus, il pouvait aussi compter sur l'aide des paladins. Après tout, c'était leur domaine de prédilection, la chasse de ce genre de créatures magiques. Il prit le reste de la matinée pour aller voir les responsables de ces différentes organisations. Il ne voulait pas que Davos soit encore le théâtre de ce genre d'agressions.
La milice devait renforcer les patrouilles dans les rues de la ville. Ils allaient pouvoir compter sur le renfort de l’armée et des moines d’Henki. Il fallait impérativement sécuriser les rues de la ville surtout pendant la nuit. Ils devaient aussi encourager les gens à limiter leur déplacement pendant les heures les plus avancées de la nuit.
Les magiciens devaient également mettre la main à la pâte en fonction des domaines magiques qu’ils maîtrisaient. Le jeune chevalier blanc ne s’y connaissait pas beaucoup en magie, mais il comptait vraiment sur leur aide.
Les paladins de Carnos furent également sollicités pour donner un coup de main. Syrio se doutait bien que cela n’allait pas forcément faire plaisir à Matino, mais dans ce genre de situation, il n’avait pas le choix. Si ce sont des experts dans la neutralisation de ce genre de créatures, il serait idiot de se priver de leur aide. Surtout, qu’entre temps, la créature risquait de faire de nouvelles victimes et cela, il ne le voulait pas. Les citoyens de Davos ne méritaient pas de vivre sous la terreur à cause de ce genre de créature. Il se devait de recourir à tous les moyens qu’il avait à sa disposition pour les protéger.
Ensuite, il passa également voir les cinq familles qui étaient endeuillées à cause de cette histoire. La famille des égoutiers et des deux jeunes filles qui avaient eu moins de chance que la dernière. Avec sa sincérité, sa simplicité et sa diplomatie habituelle, il passa quelques moments avec les familles. Il écouta plus qu'il ne parla. Ses mots furent simples et se voulaient réconfortants.
La journée du gouverneur s'acheva dans le bois de Maylie avec l'arbre gardien et son forestier. Syrio était venu constater l'ampleur des dégâts et présenter ses excuses. Il ne lui faisait aucun doute que les flammes étaient l'oeuvre d'Alia. Décidément cette zone avait été durement frappée ces derniers temps. Il promit au forestier et à l'arbre qu'il ramènerait un peu de renfort pour les aider à protéger et à reconstruire le bois. Il ne pouvait hélas pas en faire plus pour les aider. La reforestation n'était absolument pas un sujet qu'il maîtrisait.
La journée fut longue et éprouvante pour le jeune homme, mais aussi pour Miralas qui l'avait accompagné tout le long. Il l'a remercia chaleureusement pour ce qu'elle faisait pour lui. Il lui confia également qu'il allait sûrement partir dans les forets du nord pour aller chercher des renforts pour le bois de Maylie. Il savait que la jeune guerrière adorait passer du temps en forêt et qu'elle avait adoré le séjour qu'ils avaient fait là-bas il y a environ un ans et qu'elle était bien sûre conviée pour ce deuxième voyage.
Avant de rentrer à la maison, il passa au sénat récupérer les dossiers qu'il n'avait pas pu traiter dans la journée. Ce soir, il ferait quelques heures supplémentaires, mais il les ferait chez lui en compagnie de sa femme et de sa fille.
D'ailleurs, il était temps de rentrer pour la faire manger et aller la coucher. Il se dépêcha pour y être le plus rapidement possible et il y arriva même avec un peu d'avance.
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