Un réveil difficile

Roméo s'assit sur sont lit et regarda l'homme.

-Hé le vieux... Qu'est-ce que tu fais ici ?

Il avait perdu son sourire et semblait maussade. Il sortit de son lit et s'engagea dans la pièce.

- J'ai dormi longtemps ?

Einhard grommela.

- Vieux, vieux. Je ne suis pas si vieux que ça, gamin. Et ce que je fais ici, c'est que je veille sur ton sommeil, voilà tout.
Tu as dormi toute la nuit et toute la journée qui a suivi.
Tu devrais rester allongé, tu vas rouvrir tes points. Mais le chirurgien a l'air d'avoir fait du bon boulot, tu te remettras rapidement.

Roméo revins avec une bouteille a la main et deux verres ainsi qu'un plateau il posa les verre sur le plateau puis celui-ci sur le lit,
il tendu alors la bouteille a l'Einsenor.
sur l'étiquette joliment décore était inscrit Amore De Falisci

-je me suis dit que vous pourriez me raconter ce qu'il c'est passé avec une bonne bouteille, j'espère que vous serai l'apressier!


puis tendit la main pour récupéré la bouteille un tire bouchon a la main.

Einhard rit.

- Rien de tel qu'un bon vin pour se remettre d'aplomb. C'est une valeur universelle, assurément. Et je dois avouer qu'aucun vin n'égale celui des Falisci.
Je serais bien incapable de reconnaître une année d'une autre, par contre. Avec vos foutues manières de les coder...

(hrp : un Amore ! Tu me gâtes ^^)

- Voilà ce qu'il s'est passé : quand tu es tombé à terre, inconscient, l'inquisiteur a voulu essuyer sa lame sur ta chemise. Pas qu'elle ne soit pas gâchée de toutes manières, mais j'ai trouvé cela irrespectueux et j'ai retenu sa lame. Je l'ai retenu un moment, mais pas longtemps. Il est trop rapide pour mes vieux os. C'est le taciturne qui m'a sauvé, bien que je n'approuve pas son acte. Il lui a planté son arme dans le dos pendant que je le combattais.
Puis les lumières se sont éteintes et l'inquisiteur a disparu. Il y avait des traces de sang sur un mur, donc je penche pour le Porte. Mais tout ne colle pas. Enfin, peu importe. J'espère juste pouvoir un jour perdre honorablement.
On a remis El Vago sur pied, et il est parti sans demander son reste. On l'a revu le lendemain, fringuant et flambant neuf. Soit il maitrise une puissante magie, soit ils sont plusieurs. Et au vu de la petite discussion que l'on a eu avec lui, la première solution est vraiment improbable.

Comme toujours, Einhard était direct. Il annonçait l'essentiel, en ne mentionnant que les détails qu'il jugeait utile. Il donnait les faits bruts, sans les colorer de sa propre opinion.

- On a ramené l'homme, un couard et un traitre qui méritait à peine qu'on le sauve, et empoché la récompense. J'ai laissé ta part près de ton lit, bien qu'une partie ait déjà servi pour payer le chirurgien.
Mais plus important, fils : comment te sens-tu ?

Roméo fit couler le magnifique nectar a la robe rouge et au parfum légèrement fruité.
A l'odeur on aurait presque pu se croire dans le salon d'une grande maison vodacce en plein été, et sentir le soleil sur sa peau.
Son gout rappelais le baisé d'une femme fugace et fruité... Il resta un moment bête en se revoyant chez lui entouré de ses 3 sœurs le jours de Sont 16eme anniversaires.
Puis la question de sont oncle le fuit revenir sur cette dure terre.

-j'accuse le coup, je me sens mal, j'ai perdu, j'ai fait honte a mon école et a ma familles je devrais être mort et je suis encore la ...

Il se mit a rire

-Et le plus drôle dans tout ça... c'est que je sais que j'aurai pu le battre... enfin au moins je vais etre forcé de travailler.
j'ai beau avoir du talent je me suis fait battre... au moins gandalfo sera content que je soit plus investi dans notre école!

- Honte à ton école ?

Einhard éclata de rire.

- Tu as salement amoché un maître de son école, fils. Alors qu'il était déjà blessé, j'ai à peine réussi à le retenir quelques secondes. On ne peut pas gagner à tous les coups. Arrange toi pour apprendre de tes erreurs, c'est tout.
Et tu sais bien que je ne t'aurais jamais laissé mourir...