Les Secrets de la Septième Mer
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Re: Les Secrets de la Septième Mer
Les écoles de Castille, ensuite !
D'abord, les écoles reconnues par la Guilde !
Aldana
Aldana est le style de combat de prédilection des Castillans et l’une des techniques d’escrime qui ne fait appel qu’à une seule main ; le spadassin tient l’autre dans son dos et présente uniquement le flanc à son adversaire, limitant ainsi les zones que ce dernier peut viser.
Cette technique, conçue pour être utilisée avec des armes d’escrime, combine un mélange de bottes d’escrime et de pas de danse et prend la forme d’une série de mouvements imprévisibles et erratiques. Le duelliste compte les temps pour lui-même, se jouant mentalement la musique sur laquelle il « danse », ce qui lui permet d’agir de manière totalement imprévisible en se laissant aller au rythme de cette musique, inconnue de son adversaire ; Ses mouvements erratiques le rendent plus difficile à toucher et désorientent son adversaire, dont les hésitations peuvent lui être fatales ; Les maîtres de cette école sont particulièrement impressionnants : au combat, ils entrent dans une sorte de transe, dans laquelle tout leur être est entièrement concentré sur le duel. Dans cet état, ils surpassent la plupart des escrimeurs.
Le point faible de cette technique réside dans son point fort, à savoir le rythme sur lequel elle est construite. Un duelliste qui connaît ce style d’escrime pourra reconnaître ce rythme particulier et frappera quand le prochain mouvement de son adversaire sera prévisible.
Gallegos
Egalement connu sous le nom du style des « Trois cercles », Gallegos enseigne aux élèves que sauter dans tous les sens est inutile dans un combat. En effet, ils s’entraînent à exécuter des cercles toujours plus petits. Dans chaque cas, alors qu’ils se forcent à rester dans le cercle, leur adversaire se déplace sans arrêt. En gros, l’élève apprend à combattre dans trois cercles avant de devenir maître.
La force principale du style Gallegos est cette faculté quasi surnaturelle à échapper aux bottes en tournant légèrement sur le côté ou en s’écartant tout en exécutant une parade éclair. L’élève apprend à tenir ferme et à patienter jusqu’à ce que l’ennemi vienne à lui, puis riposte en réalisant le moins d’efforts possible.
Toutefois, les élèves du style Gallegos prennent un tel goût à ce genre de combat qu’ils en oublient parfois complètement de se déplacer. Ainsi, un mastodonte de l’école de Leegstra ou une balle bien tirée est souvent capable de sceller leur destin.
Soldano
Ce style de combat est un emprunt aux Montaginois et aux Croissantins, même si les Castillians ont parfaitement réussi à l’imprégner de leur personnalité. L’élève apprend à combattre armé d’une rapière dans chaque main, tourbillonnant et bondissant au beau milieu de ses ennemis comme une tornade, ne laissant que ruines derrière lui.
Les élèves de Soldano combattent avec intuition et panache, dispersant les hordes de guerriers incompétents qui leur font face, courrouçant ensuite leurs ennemis avant d’exécuter un coup meurtrier de leurs lames jumelles.
Cependant, les combattants de Soldano font parfois preuve d’un peu trop d’exubérance. Dans leur excitation, ils laissent de petites ouvertures dans leur défense dont un adversaire de talent saura tirer parti.
Torres
Originellement créé dans le cadre de la tauromachie, le style Torres est l’art d’utiliser une rapière dans une main et une cape dans l’autre.
L’élève réalise des mouvements subtils pour attirer l’attention de son adversaire sur la cape, puis la rapière plonge dans son angle mort.
L’école de Torres constitue un type de défense particulièrement efficace. En effet, la cape et l’épée forment un véritable mur de tissu et d’acier séparant l’élève de la lame de son adversaire. Les maîtres de cette école comptent parmi les hommes les plus vifs et agiles du monde.
Néanmoins, le style de combat Torres n’est que de peu d’utilité lorsqu’il s’agit de passer à l’attaque. Même si ses élèves sont rapides et agiles, ils manquent de cette puissante de pénétration dont disposent les élèves d’Eisenfaust et de Leegstra.
Il y a aussi une école non-reconnue par la Guilde, en Castille (ça va faire plaisir à Butcher !)
Zepeda
Les élèves du style de Zepeda apprennent à combattre avec un fouet. Bien que le fouet soit moins meurtrier qu’une rapière ou un poignard, c’est un bon instrument d’intimidation et de protection. Même les spadassins de talent s’éloigneront le plus souvent de son mordant.
L’école de Zepeda n’enseigne pas simplement à ses élèves l’art de faire claquer un fouet. Ils apprennent aussi tout un assortiment de tours, dont la façon d’intimider un adversaire avec la promesse d’une cinglante raclée.
Toutefois, un adversaire qui supporte la douleur d’un coup de fouet ou deux parvient souvent à s’approcher suffisamment près pour qu’il ne soit guère plus efficace face à l’acier meurtrier d’un simple poignard.
Contrairement aux autres écoles de « spadassins », les élèves de Zepeda ne sont pas automatiquement membres de la guilde des spadassins. Au lieu de cela, ils reçoivent gratuitement un rang dans l’une de leurs compétences de spadassin.
D'abord, les écoles reconnues par la Guilde !
Aldana
Aldana est le style de combat de prédilection des Castillans et l’une des techniques d’escrime qui ne fait appel qu’à une seule main ; le spadassin tient l’autre dans son dos et présente uniquement le flanc à son adversaire, limitant ainsi les zones que ce dernier peut viser.
Cette technique, conçue pour être utilisée avec des armes d’escrime, combine un mélange de bottes d’escrime et de pas de danse et prend la forme d’une série de mouvements imprévisibles et erratiques. Le duelliste compte les temps pour lui-même, se jouant mentalement la musique sur laquelle il « danse », ce qui lui permet d’agir de manière totalement imprévisible en se laissant aller au rythme de cette musique, inconnue de son adversaire ; Ses mouvements erratiques le rendent plus difficile à toucher et désorientent son adversaire, dont les hésitations peuvent lui être fatales ; Les maîtres de cette école sont particulièrement impressionnants : au combat, ils entrent dans une sorte de transe, dans laquelle tout leur être est entièrement concentré sur le duel. Dans cet état, ils surpassent la plupart des escrimeurs.
Le point faible de cette technique réside dans son point fort, à savoir le rythme sur lequel elle est construite. Un duelliste qui connaît ce style d’escrime pourra reconnaître ce rythme particulier et frappera quand le prochain mouvement de son adversaire sera prévisible.
Gallegos
Egalement connu sous le nom du style des « Trois cercles », Gallegos enseigne aux élèves que sauter dans tous les sens est inutile dans un combat. En effet, ils s’entraînent à exécuter des cercles toujours plus petits. Dans chaque cas, alors qu’ils se forcent à rester dans le cercle, leur adversaire se déplace sans arrêt. En gros, l’élève apprend à combattre dans trois cercles avant de devenir maître.
La force principale du style Gallegos est cette faculté quasi surnaturelle à échapper aux bottes en tournant légèrement sur le côté ou en s’écartant tout en exécutant une parade éclair. L’élève apprend à tenir ferme et à patienter jusqu’à ce que l’ennemi vienne à lui, puis riposte en réalisant le moins d’efforts possible.
Toutefois, les élèves du style Gallegos prennent un tel goût à ce genre de combat qu’ils en oublient parfois complètement de se déplacer. Ainsi, un mastodonte de l’école de Leegstra ou une balle bien tirée est souvent capable de sceller leur destin.
Soldano
Ce style de combat est un emprunt aux Montaginois et aux Croissantins, même si les Castillians ont parfaitement réussi à l’imprégner de leur personnalité. L’élève apprend à combattre armé d’une rapière dans chaque main, tourbillonnant et bondissant au beau milieu de ses ennemis comme une tornade, ne laissant que ruines derrière lui.
Les élèves de Soldano combattent avec intuition et panache, dispersant les hordes de guerriers incompétents qui leur font face, courrouçant ensuite leurs ennemis avant d’exécuter un coup meurtrier de leurs lames jumelles.
Cependant, les combattants de Soldano font parfois preuve d’un peu trop d’exubérance. Dans leur excitation, ils laissent de petites ouvertures dans leur défense dont un adversaire de talent saura tirer parti.
Torres
Originellement créé dans le cadre de la tauromachie, le style Torres est l’art d’utiliser une rapière dans une main et une cape dans l’autre.
L’élève réalise des mouvements subtils pour attirer l’attention de son adversaire sur la cape, puis la rapière plonge dans son angle mort.
L’école de Torres constitue un type de défense particulièrement efficace. En effet, la cape et l’épée forment un véritable mur de tissu et d’acier séparant l’élève de la lame de son adversaire. Les maîtres de cette école comptent parmi les hommes les plus vifs et agiles du monde.
Néanmoins, le style de combat Torres n’est que de peu d’utilité lorsqu’il s’agit de passer à l’attaque. Même si ses élèves sont rapides et agiles, ils manquent de cette puissante de pénétration dont disposent les élèves d’Eisenfaust et de Leegstra.
Il y a aussi une école non-reconnue par la Guilde, en Castille (ça va faire plaisir à Butcher !)
Zepeda
Les élèves du style de Zepeda apprennent à combattre avec un fouet. Bien que le fouet soit moins meurtrier qu’une rapière ou un poignard, c’est un bon instrument d’intimidation et de protection. Même les spadassins de talent s’éloigneront le plus souvent de son mordant.
L’école de Zepeda n’enseigne pas simplement à ses élèves l’art de faire claquer un fouet. Ils apprennent aussi tout un assortiment de tours, dont la façon d’intimider un adversaire avec la promesse d’une cinglante raclée.
Toutefois, un adversaire qui supporte la douleur d’un coup de fouet ou deux parvient souvent à s’approcher suffisamment près pour qu’il ne soit guère plus efficace face à l’acier meurtrier d’un simple poignard.
Contrairement aux autres écoles de « spadassins », les élèves de Zepeda ne sont pas automatiquement membres de la guilde des spadassins. Au lieu de cela, ils reçoivent gratuitement un rang dans l’une de leurs compétences de spadassin.
Saber- Le concierge du forum
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Date d'inscription : 23/06/2008
Re: Les Secrets de la Septième Mer
Max a écrit:Robertson me plait bien. Ca donne un coté un peu roublard.
Edit : Nan j'ai pas eu le temps de lire les infos sur les cardinaux. Je suis sur Lyon et je n'ai pas internet pour terminer le téléchargement.
Je te passerai mon exemplaire, alors.
Sinon, dans le même style, il y a aussi l'école Torres.
Saber- Le concierge du forum
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Re: Les Secrets de la Septième Mer
Voici les écoles d'Eisen !
Les écoles reconnues par la Guilde :
Drexel
Cette technique fut développée par un mercenaire répondant au nom de Kristoff Drexel, le chef d’une compagnie connue sous le nom des Esprits de Sang. En tant que mercenaire, il découvrit qu’il se retrouvait souvent dans des situations imprévisibles qui exigeaient souplesse de pensée et de combat. Ainsi, il imagina différents moyens d’exploiter la polyvalente Zweihänder eisenöre. Le style de combat de Drexel est très populaire chez les mercenaires en raison de sa faculté à gérer nombre de situations différentes. Souvent, on qualifie ces mercenaires de soldats Doppel, en référence à leurs honoraires : ils sont payés deux fois plus qu’un soldat normal.
Durchsetzungburg
Cette école porte le nom de l'université du Hainzl dont il est originaire – une école plus célèbre pour ses mathématiciens que pour l'entraînement de guerriers. Elle est née du désir de trouver une méthode non léthale de régler des débats, et se focalise sur la précision et l'exactitude. Les duels entre étudiants sont rarement fatals, mais les cicatrices sont courantes et les maîtres de ce style peuvent se révéler redoutables et mortels. Il utilise un sabre long avec une grande garde en panier. Un pratiquant se tient parfaitement perpendiculaire à son adversaire avec sa main libre dans sa poche arrière. Il ne bouge que le bras tenant son sabre, qui sert à la fois pour l'attaque et pour la défense. Cette posture et cette immobilité sont la principale faiblesse de ce style.
Eisenfaust
Cette technique, enseignée dans de nombreuses écoles militaires d’Eisen, repose sur l’utilisation concomitante d’une épée large et d’un Panzerfaust, ou gant d’acier. L’élève apprend à dévier les attaques ou à attraper l’arme avec laquelle elles sont portées, puis à profiter de l’ouverture pour frapper avec son épée large (qui est considérée comme une arme lourde). Il s’agit d’une technique de combat résolument défensive, qui consiste à attendre que l’adversaire fasse une erreur pour attaquer. « Que vous ayez ou non pris l’initiative de l’offensive importe peu si, ce faisant, vous ouvrez votre garde et permettez ainsi à votre adversaire de placer un coup mortel. »
Cette technique qui repose sur l’exploitation des erreurs de l’adversaire est particulièrement efficace. Au fur et à mesure du combat, l’opposant s’impatiente ou s’énerve et finit par en commettre une. Le spadassin en profitera immédiatement et lui assènera une pluie de coups à l’aide de son épée large.
Le point faible de la technique Eisenfaust, c’est la rigidité qu’acquiert le spadassin au travers de son entraînement. Si l’élève apprend plus de soixante-dix passes et bottes, il apprend également à respecter les règles régissant le passage de l’une à l’autre. Il apprend également à ne pas enchaîner certains mouvements, dont la combinaison est peu commode. Un adversaire bien informé saura alors quand frapper.
Pösen
Cette école forme ses élèves à l’utilisation du vouge, une arme d’hast dont on se sert à cheval pour chasser le sanglier. Sa lame est dotée d’une sorte de talon transversal pour éviter que le sanglier ne remonte la hampe et tue monture comme cavalier. Certains des nobles les plus arrogants se mirent à utiliser le vouge dans le but de pourchasser leurs adversaires sur les champs de batailles alors que les flèches et épées rebondissaient sur leur armure en Dracheneisen. Cela devint finalement pour eux un moyen de prouver leur courage au combat – un handicap destiné à atténuer la sécurité conférée par le Dracheneisen. Toutefois, la famille Pösen en développa un usage destiné à faire du vouge une arme de cavalerie dévastatrice. Aujourd’hui, le vouge est moins un handicap qu’un style efficace de combat qui exhibe à la vue de tous la noble extraction du combattant.
La force principale de l’école de Pösen est sa violence dévastatrice. L’élève réalise de nombreux efforts en début de bataille, puis se replie souvent vers les réserves pour récupérer et hâbler au sujet du nombre de « porcs » ou de fantassins qu’il a terrassés. Cependant, si la retraite de l’élève est coupée, ses ennuis commencent. Les techniques de l’école de Pösen sont rapidement éprouvantes au niveau physique, et plus d’un noble s’est vu arraché à sa monture, dépouillé de son armure et haché menu par les « porcs ».
Oui, les écoles d'Eisen sont assez non-conformistes. D'ailleurs, il y en a un certain nombre qui ne sont pas reconnues par la Guilde. Je mets ici celles utilisant des armes de contact contre des adversaire humains :
Loring
Inventé par le chef des Wachhunde, Kelby Loring, et plus tard adopté par la Garde de Freiburg, le style de combat de Loring utilise deux panzerfausts. Il s'agit d'un style défensif, un peu comme Eisenfaust, et ses pratiquants s'en servent afin de maîtriser des criminels potentiellement violents sans (trop) les blesser.
Le principal avantage de l'école de Loring réside dans le fait que les spadassins ont tendance à sous-estimer quelqu'un ne tenant pas en main une longue arme bien aiguisée. Ceci permet au Garde d'approcher et d'empoigner rapidement l'arme d'un adversaire avant même qu'il ait une chance de réagir. Cela empêche aussi la plupart des opposants de dégainer un pistolet ou de poursuivre le combat jusqu'à la mort. Sans l'école de Loring, le taux de mortalité de la Garde de Freiburg serait sensiblement plus élevé.
La faiblesse de cette école vient de son allonge courte et de sa nature défensive. S'il est acculé contre un mur ou s'il fait face à un spadassin doué pour l'esquive, le pratiquant peut se retrouver à la merci de son ennemi.
Unabwendbar
L’académie Unabwendbar de Stärke est le seul endroit où l’on apprenne cette philosophie militaire ; elle enseigne à ne pas lutter contre l’inévitable. Un bon commandant sait quand un flanc va céder ou quand une unité va être coupée des autres et anéantie, mais d’autres gaspilleront des ressources supplémentaires dans une situation désespérée pour une malencontreuse manifestation de loyauté. En permettant à l’inévitable de survenir et en songeant à tirer parti d’une bataille plutôt que de tenter de s’y soustraire, le commandant parvient souvent à faire d’une situation potentiellement dévastatrice une victoire.
Certains des plus grands génies militaires du monde ont instruit cette philosophie. Lorsqu’il envoie ses forces contre un adversaire habile en Unabwendbar, un commandant doit prendre garde à ne pas crier victoire trop vite car cette dernière a parfois le goût d’un piège tendu par l’ennemi.
Toutefois, l’école de Unabwendbar n’instille pas l’extraordinaire loyauté que préconisent les autres philosophies. Il est bien connu que les soldats n’apprécient guère un commandant qui les abandonne en plein milieu d’une bataille pour placer leur armée en meilleure position.
A la différence des autres écoles d’escrime, les élèves de l’école de Unabwendbar ne sont pas membres de la guilde des spadassins. Au lieu de cela, ils reçoivent gratuitement l’avantage Académie militaire.
Steil
Cette école enseigne une philosophie de commandement radicalement différente de celle de l’école de Unabwendbar.
Plutôt que de devenir des commandants efficaces et logiques, les élèves apprennent à inspirer loyauté à leurs troupes. Peu importe les compétences tactiques d’un général si ses hommes refusent de lui obéir. Ce type de commandement est particulièrement adapté aux petites unités comme les compagnies de mercenaires ou navires de pirates, où de bonnes relations entre le commandant et ses troupes sont essentielles.
Toutefois, en se liant d’amitié avec ses hommes, un commandant met son bien-être émotif en danger. De ce fait, il risque de prendre des décisions pénibles qui sauveront la vie de quelques hommes en fuyant simplement les combats – causant sans doute bien plus de morts dans l’opération.
A la différence des autres écoles d’escrime, les élèves de l’école de Steil ne sont pas membres de la guilde des spadassins. Au lieu de cela, ils reçoivent gratuitement l’avantage Académie militaire.
Les écoles reconnues par la Guilde :
Drexel
Cette technique fut développée par un mercenaire répondant au nom de Kristoff Drexel, le chef d’une compagnie connue sous le nom des Esprits de Sang. En tant que mercenaire, il découvrit qu’il se retrouvait souvent dans des situations imprévisibles qui exigeaient souplesse de pensée et de combat. Ainsi, il imagina différents moyens d’exploiter la polyvalente Zweihänder eisenöre. Le style de combat de Drexel est très populaire chez les mercenaires en raison de sa faculté à gérer nombre de situations différentes. Souvent, on qualifie ces mercenaires de soldats Doppel, en référence à leurs honoraires : ils sont payés deux fois plus qu’un soldat normal.
Durchsetzungburg
Cette école porte le nom de l'université du Hainzl dont il est originaire – une école plus célèbre pour ses mathématiciens que pour l'entraînement de guerriers. Elle est née du désir de trouver une méthode non léthale de régler des débats, et se focalise sur la précision et l'exactitude. Les duels entre étudiants sont rarement fatals, mais les cicatrices sont courantes et les maîtres de ce style peuvent se révéler redoutables et mortels. Il utilise un sabre long avec une grande garde en panier. Un pratiquant se tient parfaitement perpendiculaire à son adversaire avec sa main libre dans sa poche arrière. Il ne bouge que le bras tenant son sabre, qui sert à la fois pour l'attaque et pour la défense. Cette posture et cette immobilité sont la principale faiblesse de ce style.
Eisenfaust
Cette technique, enseignée dans de nombreuses écoles militaires d’Eisen, repose sur l’utilisation concomitante d’une épée large et d’un Panzerfaust, ou gant d’acier. L’élève apprend à dévier les attaques ou à attraper l’arme avec laquelle elles sont portées, puis à profiter de l’ouverture pour frapper avec son épée large (qui est considérée comme une arme lourde). Il s’agit d’une technique de combat résolument défensive, qui consiste à attendre que l’adversaire fasse une erreur pour attaquer. « Que vous ayez ou non pris l’initiative de l’offensive importe peu si, ce faisant, vous ouvrez votre garde et permettez ainsi à votre adversaire de placer un coup mortel. »
Cette technique qui repose sur l’exploitation des erreurs de l’adversaire est particulièrement efficace. Au fur et à mesure du combat, l’opposant s’impatiente ou s’énerve et finit par en commettre une. Le spadassin en profitera immédiatement et lui assènera une pluie de coups à l’aide de son épée large.
Le point faible de la technique Eisenfaust, c’est la rigidité qu’acquiert le spadassin au travers de son entraînement. Si l’élève apprend plus de soixante-dix passes et bottes, il apprend également à respecter les règles régissant le passage de l’une à l’autre. Il apprend également à ne pas enchaîner certains mouvements, dont la combinaison est peu commode. Un adversaire bien informé saura alors quand frapper.
Pösen
Cette école forme ses élèves à l’utilisation du vouge, une arme d’hast dont on se sert à cheval pour chasser le sanglier. Sa lame est dotée d’une sorte de talon transversal pour éviter que le sanglier ne remonte la hampe et tue monture comme cavalier. Certains des nobles les plus arrogants se mirent à utiliser le vouge dans le but de pourchasser leurs adversaires sur les champs de batailles alors que les flèches et épées rebondissaient sur leur armure en Dracheneisen. Cela devint finalement pour eux un moyen de prouver leur courage au combat – un handicap destiné à atténuer la sécurité conférée par le Dracheneisen. Toutefois, la famille Pösen en développa un usage destiné à faire du vouge une arme de cavalerie dévastatrice. Aujourd’hui, le vouge est moins un handicap qu’un style efficace de combat qui exhibe à la vue de tous la noble extraction du combattant.
La force principale de l’école de Pösen est sa violence dévastatrice. L’élève réalise de nombreux efforts en début de bataille, puis se replie souvent vers les réserves pour récupérer et hâbler au sujet du nombre de « porcs » ou de fantassins qu’il a terrassés. Cependant, si la retraite de l’élève est coupée, ses ennuis commencent. Les techniques de l’école de Pösen sont rapidement éprouvantes au niveau physique, et plus d’un noble s’est vu arraché à sa monture, dépouillé de son armure et haché menu par les « porcs ».
Oui, les écoles d'Eisen sont assez non-conformistes. D'ailleurs, il y en a un certain nombre qui ne sont pas reconnues par la Guilde. Je mets ici celles utilisant des armes de contact contre des adversaire humains :
Loring
Inventé par le chef des Wachhunde, Kelby Loring, et plus tard adopté par la Garde de Freiburg, le style de combat de Loring utilise deux panzerfausts. Il s'agit d'un style défensif, un peu comme Eisenfaust, et ses pratiquants s'en servent afin de maîtriser des criminels potentiellement violents sans (trop) les blesser.
Le principal avantage de l'école de Loring réside dans le fait que les spadassins ont tendance à sous-estimer quelqu'un ne tenant pas en main une longue arme bien aiguisée. Ceci permet au Garde d'approcher et d'empoigner rapidement l'arme d'un adversaire avant même qu'il ait une chance de réagir. Cela empêche aussi la plupart des opposants de dégainer un pistolet ou de poursuivre le combat jusqu'à la mort. Sans l'école de Loring, le taux de mortalité de la Garde de Freiburg serait sensiblement plus élevé.
La faiblesse de cette école vient de son allonge courte et de sa nature défensive. S'il est acculé contre un mur ou s'il fait face à un spadassin doué pour l'esquive, le pratiquant peut se retrouver à la merci de son ennemi.
Unabwendbar
L’académie Unabwendbar de Stärke est le seul endroit où l’on apprenne cette philosophie militaire ; elle enseigne à ne pas lutter contre l’inévitable. Un bon commandant sait quand un flanc va céder ou quand une unité va être coupée des autres et anéantie, mais d’autres gaspilleront des ressources supplémentaires dans une situation désespérée pour une malencontreuse manifestation de loyauté. En permettant à l’inévitable de survenir et en songeant à tirer parti d’une bataille plutôt que de tenter de s’y soustraire, le commandant parvient souvent à faire d’une situation potentiellement dévastatrice une victoire.
Certains des plus grands génies militaires du monde ont instruit cette philosophie. Lorsqu’il envoie ses forces contre un adversaire habile en Unabwendbar, un commandant doit prendre garde à ne pas crier victoire trop vite car cette dernière a parfois le goût d’un piège tendu par l’ennemi.
Toutefois, l’école de Unabwendbar n’instille pas l’extraordinaire loyauté que préconisent les autres philosophies. Il est bien connu que les soldats n’apprécient guère un commandant qui les abandonne en plein milieu d’une bataille pour placer leur armée en meilleure position.
A la différence des autres écoles d’escrime, les élèves de l’école de Unabwendbar ne sont pas membres de la guilde des spadassins. Au lieu de cela, ils reçoivent gratuitement l’avantage Académie militaire.
Steil
Cette école enseigne une philosophie de commandement radicalement différente de celle de l’école de Unabwendbar.
Plutôt que de devenir des commandants efficaces et logiques, les élèves apprennent à inspirer loyauté à leurs troupes. Peu importe les compétences tactiques d’un général si ses hommes refusent de lui obéir. Ce type de commandement est particulièrement adapté aux petites unités comme les compagnies de mercenaires ou navires de pirates, où de bonnes relations entre le commandant et ses troupes sont essentielles.
Toutefois, en se liant d’amitié avec ses hommes, un commandant met son bien-être émotif en danger. De ce fait, il risque de prendre des décisions pénibles qui sauveront la vie de quelques hommes en fuyant simplement les combats – causant sans doute bien plus de morts dans l’opération.
A la différence des autres écoles d’escrime, les élèves de l’école de Steil ne sont pas membres de la guilde des spadassins. Au lieu de cela, ils reçoivent gratuitement l’avantage Académie militaire.
Saber- Le concierge du forum
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Re: Les Secrets de la Septième Mer
Aaah, la Montaigne, patrie du Panache et des mousquetaires !
Assez peu d'écoles reconnues par la Guilde...
Valroux
Cette technique fait partie de celles qui reposent sur l’utilisation d’une arme d’escrime dans la main directrice et d’une arme de parade dans l’autre. Cette technique de combat est principalement défensive et l’arme accessoire ne sert à parer. Ceux qui la pratiquent apprennent à provoquer leur adversaire : ils lui font remarquer ses erreurs de placement, soulignent les occasions dont il aurait pu profiter, en bref, ils s’amusent à humilier leur adversaire avant de l’achever lorsque le duel devient trop ennuyeux.
L’une des principales forces de cette technique, c’est sa rapidité d’exécution. Les maîtres frappent plus souvent et plus rapidement que n’importe qui d’autre. Ils tournent autour de leur adversaire, tout en frappant de plus en plus vite et en l’insultant afin de le pousser à la faute. Remporter un duel contre un spadassin pratiquant cette technique demande une volonté de fer et une patience à toute épreuve.
A l’opposé, son principal défaut, c’est son arrogance. Un spadassin connaissant cette technique saura faire semblant d’ouvrir sa défense : son adversaire ne manquera pas de lui faire remarquer et baissera légèrement sa garde ; il ne restera plus qu’à frapper.
Gautier
Le style Gautier utilise une rapière dans sa main principale, et une variante de main gauche, la dague triple, dans l'autre main. La dague sert à lier ou à désarmer l'adversaire, permettant ainsi à la rapière d'attaquer sans entrave. Contrairement au style railleur de l'école Valroux, Gautier apprend à ses étudiants à rester silencieux durant un duel, pour être concentré afin de blesser ses opposants avec le fer plutôt qu'avec les mots.
L'efficacité avant tout est un des points forts de cette école, mais le dédain qu'elle enseigne vis-à-vis de mouvements plus élaborés peut aussi desservir ses pratiquants.
Ensuite, il y a toujours des écoles un peu moins conventionnelles :
Boucher
Le style Boucher naquit dans les rues de Montaigne et n’est pas véritablement considéré comme une « école de gentilshommes ». Cependant, certains duellistes s’intéressent plus aux résultats qu’à l’impression qu’ils donnent à leurs pairs ; ce style fut donc conçu en gardant ces résultats à l’esprit. Les élèves du style Boucher manient un long couteau de chaque main et usent des deux pour porter une série d’attaques destinées à embrouiller et à désorienter leur adversaire.
Boucher est l’un des styles de combat les plus rapides existant actuellement à Théah. Une fois l’allonge supérieure de l’adversaire surmontée, le combattant porte une série d’attaques presque impossibles à endiguer.
D’un autre côté, le style Boucher exploite deux armes de petite allonge. Un adversaire avisé qui tient un maître hors de portée ne rencontrera que peu d’ennuis pour se débarrasser du gênant combattant.
Scarron
L’école de Scarron n’est pas tant un style de combat que l’incarnation de la philosophie : « La meilleure arme est celle qui nous tombe sous la main ». Les pratiquants de l’école de Scarron sont connus pour rosser leurs adversaires avec tout ce qui existe, d’une planche à un tisonnier en passant par un pot de chambre. Lorsque vos ennemis vous surprennent dans une taverne et que vous n’avez rien de mieux qu’une bouteille de vin et un jambonneau pour vous défendre, il n’y a pas meilleure école. D’autant que l’école de Scarron est la seule qui offre un entraînement en bonne et due forme dans l’art du maniement des armes improvisées.
Cette « philosophie » s’avère plus efficace quand elle est appuyée d’une arme d’escrime traditionnelle car l’acier est toujours le bienvenu pour se défendre. Les chapeaux à bords larges et lestés au plomb constituent un accessoire assez populaire chez les élèves de Scarron. Un tel couvre-chef est une arme improvisée.
Un tabouret n’inspire pas autant de respect qu’une belle rapière, et des adversaires d’expérience passeront des attaques qui seraient restées sans effet si l’élève avait été mieux armé.
Assez peu d'écoles reconnues par la Guilde...
Valroux
Cette technique fait partie de celles qui reposent sur l’utilisation d’une arme d’escrime dans la main directrice et d’une arme de parade dans l’autre. Cette technique de combat est principalement défensive et l’arme accessoire ne sert à parer. Ceux qui la pratiquent apprennent à provoquer leur adversaire : ils lui font remarquer ses erreurs de placement, soulignent les occasions dont il aurait pu profiter, en bref, ils s’amusent à humilier leur adversaire avant de l’achever lorsque le duel devient trop ennuyeux.
L’une des principales forces de cette technique, c’est sa rapidité d’exécution. Les maîtres frappent plus souvent et plus rapidement que n’importe qui d’autre. Ils tournent autour de leur adversaire, tout en frappant de plus en plus vite et en l’insultant afin de le pousser à la faute. Remporter un duel contre un spadassin pratiquant cette technique demande une volonté de fer et une patience à toute épreuve.
A l’opposé, son principal défaut, c’est son arrogance. Un spadassin connaissant cette technique saura faire semblant d’ouvrir sa défense : son adversaire ne manquera pas de lui faire remarquer et baissera légèrement sa garde ; il ne restera plus qu’à frapper.
Gautier
Le style Gautier utilise une rapière dans sa main principale, et une variante de main gauche, la dague triple, dans l'autre main. La dague sert à lier ou à désarmer l'adversaire, permettant ainsi à la rapière d'attaquer sans entrave. Contrairement au style railleur de l'école Valroux, Gautier apprend à ses étudiants à rester silencieux durant un duel, pour être concentré afin de blesser ses opposants avec le fer plutôt qu'avec les mots.
L'efficacité avant tout est un des points forts de cette école, mais le dédain qu'elle enseigne vis-à-vis de mouvements plus élaborés peut aussi desservir ses pratiquants.
Ensuite, il y a toujours des écoles un peu moins conventionnelles :
Boucher
Le style Boucher naquit dans les rues de Montaigne et n’est pas véritablement considéré comme une « école de gentilshommes ». Cependant, certains duellistes s’intéressent plus aux résultats qu’à l’impression qu’ils donnent à leurs pairs ; ce style fut donc conçu en gardant ces résultats à l’esprit. Les élèves du style Boucher manient un long couteau de chaque main et usent des deux pour porter une série d’attaques destinées à embrouiller et à désorienter leur adversaire.
Boucher est l’un des styles de combat les plus rapides existant actuellement à Théah. Une fois l’allonge supérieure de l’adversaire surmontée, le combattant porte une série d’attaques presque impossibles à endiguer.
D’un autre côté, le style Boucher exploite deux armes de petite allonge. Un adversaire avisé qui tient un maître hors de portée ne rencontrera que peu d’ennuis pour se débarrasser du gênant combattant.
Scarron
L’école de Scarron n’est pas tant un style de combat que l’incarnation de la philosophie : « La meilleure arme est celle qui nous tombe sous la main ». Les pratiquants de l’école de Scarron sont connus pour rosser leurs adversaires avec tout ce qui existe, d’une planche à un tisonnier en passant par un pot de chambre. Lorsque vos ennemis vous surprennent dans une taverne et que vous n’avez rien de mieux qu’une bouteille de vin et un jambonneau pour vous défendre, il n’y a pas meilleure école. D’autant que l’école de Scarron est la seule qui offre un entraînement en bonne et due forme dans l’art du maniement des armes improvisées.
Cette « philosophie » s’avère plus efficace quand elle est appuyée d’une arme d’escrime traditionnelle car l’acier est toujours le bienvenu pour se défendre. Les chapeaux à bords larges et lestés au plomb constituent un accessoire assez populaire chez les élèves de Scarron. Un tel couvre-chef est une arme improvisée.
Un tabouret n’inspire pas autant de respect qu’une belle rapière, et des adversaires d’expérience passeront des attaques qui seraient restées sans effet si l’élève avait été mieux armé.
Saber- Le concierge du forum
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Re: Les Secrets de la Septième Mer
Comme prévu, l'Ussura connaît assez peu d'écoles d'escrime, dont une seule reconnue par la Guilde :
Bogatyr
En temps de guerre, même si le style de combat classique des Ussurans est la hachette et le mur de boucliers, cette méthode n’est guère efficace à un contre un. Le style de combat Bogatyr fait usage de la cognée et met de côté le bouclier. Ses pratiquants sont connus pour leur férocité et leur courage. D’ailleurs, le mot « Bogatyr » fait référence à la classe des chevaliers errants, qui renferme certains des plus grands héros ussurans. En temps de guerre, on rassemble les paysans, on les arme et on leur donne un entraînement de base afin qu’ils sachent former un mur de boucliers et travailler en équipe. La plupart des Bogatyr oeuvrent indépendamment des paysans, traquant et combattant les membres d’élite de l’armée adverse, les officiers en particulier. Les Bogatyr qui oeuvrent en compagnie d’une unité demeurent généralement derrière celle-ci et s’assurent que les paysans restent en formation. Leur secret : être davantage craints que l’armée qui progresse dans leur direction.
Actuellement, l’école de Bogatyr est encore source de tension politique entre la guilde des spadassins et le Gaius. La guilde refusait de reconnaître comme siens les pratiquants des divers styles de combat archaïques et anachroniques d’Ussura. D’un autre côté, la guilde souhaitait être présente en Ussura, et y offrir gracieusement ses services. Le Gaius fit bien comprendre à la guilde qu’elle ne pourrait évoluer au sein de ses frontières que si les Bobatyr devenaient des spadassins officiels. Après de longues querelles politiques, il fut convenu d’un compromis officieux. Les Bogatyr sont désormais des membres de la guilde des spadassins quand ils sont en Ussura ou sur un bâtiment battant pavillon ussuran, à l’exclusion de toute autre situation.
Les forces de cette école sont son écrasante férocité et ses techniques intimidantes. On souhaite rarement s’en prendre à un Bogatyr mugissant. La faiblesse de cette école réside dans le fait qu’elle compte bien plus sur l’attaque que sur la défense. Un adversaire avisé et patient saura prendre le Bogatyr par surprise après un coup manqué par exemple.
Bon, les autres écoles sont une école de tir à l'arc et de lutte. Elles seront assez peu acceptées...
Bogatyr
En temps de guerre, même si le style de combat classique des Ussurans est la hachette et le mur de boucliers, cette méthode n’est guère efficace à un contre un. Le style de combat Bogatyr fait usage de la cognée et met de côté le bouclier. Ses pratiquants sont connus pour leur férocité et leur courage. D’ailleurs, le mot « Bogatyr » fait référence à la classe des chevaliers errants, qui renferme certains des plus grands héros ussurans. En temps de guerre, on rassemble les paysans, on les arme et on leur donne un entraînement de base afin qu’ils sachent former un mur de boucliers et travailler en équipe. La plupart des Bogatyr oeuvrent indépendamment des paysans, traquant et combattant les membres d’élite de l’armée adverse, les officiers en particulier. Les Bogatyr qui oeuvrent en compagnie d’une unité demeurent généralement derrière celle-ci et s’assurent que les paysans restent en formation. Leur secret : être davantage craints que l’armée qui progresse dans leur direction.
Actuellement, l’école de Bogatyr est encore source de tension politique entre la guilde des spadassins et le Gaius. La guilde refusait de reconnaître comme siens les pratiquants des divers styles de combat archaïques et anachroniques d’Ussura. D’un autre côté, la guilde souhaitait être présente en Ussura, et y offrir gracieusement ses services. Le Gaius fit bien comprendre à la guilde qu’elle ne pourrait évoluer au sein de ses frontières que si les Bobatyr devenaient des spadassins officiels. Après de longues querelles politiques, il fut convenu d’un compromis officieux. Les Bogatyr sont désormais des membres de la guilde des spadassins quand ils sont en Ussura ou sur un bâtiment battant pavillon ussuran, à l’exclusion de toute autre situation.
Les forces de cette école sont son écrasante férocité et ses techniques intimidantes. On souhaite rarement s’en prendre à un Bogatyr mugissant. La faiblesse de cette école réside dans le fait qu’elle compte bien plus sur l’attaque que sur la défense. Un adversaire avisé et patient saura prendre le Bogatyr par surprise après un coup manqué par exemple.
Bon, les autres écoles sont une école de tir à l'arc et de lutte. Elles seront assez peu acceptées...
Saber- Le concierge du forum
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Re: Les Secrets de la Septième Mer
Ah ah j'ai trouvé : style Boucher de Montaigne. C'est ça que je veux !! rapide et efficace. Les opposants de l'Eglise du Prohphètes n'ont qu'à bien se tenir !
En plus c'est idéal si je veux embrayer sur le style Mortis de la société Die Kreuzritter (avec les deux stylet et qui joue sur la peur) Notamment au niveau maitre : "Une fois que l’élève maîtrise totalement le style Mortis, il connaît les litanies de la mort. Il administre à son adversaire les derniers sacrements afin de lui faire perdre son sang-froid."
hé hé ... t'aurais pas du nous donner ce lien...
J'ai trouvé le style vestimentaire de mon perso :
En plus c'est idéal si je veux embrayer sur le style Mortis de la société Die Kreuzritter (avec les deux stylet et qui joue sur la peur) Notamment au niveau maitre : "Une fois que l’élève maîtrise totalement le style Mortis, il connaît les litanies de la mort. Il administre à son adversaire les derniers sacrements afin de lui faire perdre son sang-froid."
hé hé ... t'aurais pas du nous donner ce lien...
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Max- Comte/Comtesse
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Re: Les Secrets de la Septième Mer
Voici les écoles de Vendel et du Vestenmannavnjar !
D'abord, celles acceptées par la Guilde :
Kjemper
Kjemper est l'un des plus anciens styles de combat Vestenmannavnjar, datant seulement de quelques générations après l'époque des Runes Vivantes ayant combattu contre le Grand Serpent. Il a perduré au travers des âges, non seulement par le sens de la tradition des Vestenmannavnjar, mais aussi grâce à son efficacité.
Ce style utilise une épée longue pour l'attaque et un bouclier rond pour la défense. Souvent, la cible des attaques d'un spadassin ne sera pas son ennemi, mais plutôt son arme ou son bouclier. Les experts du style Kjemper aiment briser l'arme de leur ennemi avant de poursuivre leurs assauts. Quand il fait face à un ennemi agressif, l'étudiant de Kjemper s'abrite derrière son bouclier. Une fois que son adversaire est bien épuisé, le spadassin attaque avec son bouclier, et enchaîne par une série de coups à l'épée. Si un ennemi se rapproche un peu trop, il se retrouve assommé au sol par un coup vicieux.
La faiblesse du style Kjemper vient du fait qu'il cherche à éliminer les menaces plutôt que d'en créer lui-même.
Larsen
L’école de Larsen est le style d’escrime couramment utilisé par le guet de nuit de Kirk, mais également par quelques criminels et brigands de cette ville. L’école enseigne à ses élèves à tirer profit de l’obscurité, mais aussi à confondre leurs adversaires en ouvrant et en refermant le volet d’une lanterne vive. Le faisceau soudain et dansant de lumière distrait l’adversaire, ce qui permet à l’élève de passer ses défenses. La faiblesse du style de Larsen réside dans le fait que ses élèves ont tendance à frapper là ou leur lanterne est braquée, ce qui les rends quelque peu prévisibles.
Leegstra
Cette technique n’est pas tant un style de combat qu’une manifestation de volonté ou une certaine forme de philosophie. Cette technique, qui s’adresse plus particulièrement aux PJ équipés d’une arme lourde, comme une épée large ou en une hache, fait peu de cas de la sécurité de celui qui la pratique.
On compare souvent le guerrier qui utilise cette technique à un glacier : se déplaçant lentement, ignorant les coups qu’il reçoit et, en définitive, impossible à arrêter. L’élève apprend à encaisser des coups qui tueraient un homme plus faible et à concentrer toute sa puissance dans un coup unique mais mortel. De nombreux récits évoquent ces guerriers, capables de décapiter un adversaire d’un simple mouvement de poignet.
Le défaut principal de cette technique, ainsi que pourra vous l’apprendre n’importe quel élève la connaissant un peu, c’est sa lenteur. La plupart des spadassins combattent ces guerriers comme n’importe quel autre adversaire, commençant par éprouver leurs défenses par quelques petits coups d’estoc. Ils découvrent avec surprise, mais généralement trop tard, que les maîtres Leegstra n’évitent pas ces premiers coups pour porter un seul coup dévastateur. La solution consiste donc à être rapide et efficace. Un adversaire avisé visera au coeur ou à la tête, avant de se mettre à distance sur-le-champ.
Snedig
Snedig est un dérivé du style Leegstra, mais utilisant des armes d'escrime à la place d'épées larges ou de haches. Ce style combine la détermination sans faille de l'école Leegstra et la connaissance chirurgicale de l'anatomie humaine. Bien qu'une rapière ne puisse mesurer sa force brute à celle d'une arme lourde, elle peut pénétrer profondément les zones vitales du corps. Ce style enseigne à ses étudiants à viser les organes vitaux pour maximiser les dégâts et le choc causés par l'attaque, tout en se concentrant essentiellement et avant tout sur la défense. Sa faiblesse est similaire à celle de Leegstra, son parent.
Swanson
Ce style est théoriquement conçu pour combattre avec une arme d'escrime dans une main, et son fourreau dans l'autre, mais presque personne ne porte son épée détachée (en général le fourreau est attaché à la ceinture). Le seul type d'arme d'escrime qui n'est pas porté à la ceinture est la canne à épée, que le style Swanson préfère à toute autre. Sans Swanson, l'absence de garde de la canne, et la tendance à ne pas utiliser le fourreau, seraient des entraves considérables dans les duels. La principale faiblesse de ce style est l'allonge plus courte de la canne ce qui oblige le combattant à se rapprocher de son adversaire.
Urostifer
Autre ancien style de combat des Vesten, Urostifter utilise une paire d'épées longues avec une grande efficacité. Il n'est pas aussi défensif que celui de Kjemper, préférant déconcerter l'ennemi en frappant son arme ou en utilisant des feintes éclatantes pour créer des ouvertures dans sa défense. Ceci est habituellement accompagné d'un flot incessant de railleries et de moqueries envers l'adversaire. Il lui manque le style et l'élégance d'un spadassin de Valroux, qui minimisera les talents d'un opposant par la lame et par la parole, mais il l'aveuglera plutôt avec du pur vitriol. Les étudiants d'Urostifter ont l'habitude de dire des choses horribles sur la femme de leur adversaire, sur leur mère, leur soeur, leur taille, leur poids, et leur intelligence.
Certains pensent que la faiblesse d'Urostifter apparaît lorsque le spadassin perd l'une de ses armes, mais ce n'est pas le cas. Si l'une des épées est brisée ou perdue, il est tout à fait capable de se défendre avec l'arme restante.
La réelle faiblesse de cette école est qu'elle se focalise trop sur la feinte et la moquerie, ce qui fait que si l'ennemi ne réagit pas à ces piques, le spadassin Urostifter est lui-même déstabilisé.
Les écoles non-reconnues sont principalement vesten (la seule école vendelar non-reconnue est une école de combat au pistolet) :
Halfdansson
Les Vesten se servent de harpons pour chasser en mer. Ils se révèlent particulièrement utiles face aux serpents marins et sirènes, mais également lors d’abordages. Les élèves de l’école de combat de Halfdansson exploitent le harpon de bien violente manière. Ils plongent leur arme dans le corps de leur adversaire puis se saisissent d’un second harpon. Inutile de préciser qu’il est très difficile de combattre lorsque l’on vient d’être empalé par un long objet barbelé. Les élèves de Halfdansson cherchent donc à harponner leur adversaire pour ensuite le terrasser à loisir.
La faiblesse de cette école réside dans le fait que ses élèves attachent trop d’importance à cette première attaque, permettant ainsi à un adversaire malin de tirer le meilleur parti de leur préoccupation.
Siggursdottir
L’école de Siggursdottir exploite deux hachettes maniées à la vitesse de l’éclair. Ses élèves apprennent d’abord à lancer une hachette et à en produite rapidement une seconde. Lorsque le combat a lieu au corps à corps, l’élève lance une série d’attaques meurtrières en hurlant des cris de guerre.
La principale faiblesse du style réside dans son attachement à l’instinct et à la rapidité plutôt qu’à la raison et à la prudence.
D'abord, celles acceptées par la Guilde :
Kjemper
Kjemper est l'un des plus anciens styles de combat Vestenmannavnjar, datant seulement de quelques générations après l'époque des Runes Vivantes ayant combattu contre le Grand Serpent. Il a perduré au travers des âges, non seulement par le sens de la tradition des Vestenmannavnjar, mais aussi grâce à son efficacité.
Ce style utilise une épée longue pour l'attaque et un bouclier rond pour la défense. Souvent, la cible des attaques d'un spadassin ne sera pas son ennemi, mais plutôt son arme ou son bouclier. Les experts du style Kjemper aiment briser l'arme de leur ennemi avant de poursuivre leurs assauts. Quand il fait face à un ennemi agressif, l'étudiant de Kjemper s'abrite derrière son bouclier. Une fois que son adversaire est bien épuisé, le spadassin attaque avec son bouclier, et enchaîne par une série de coups à l'épée. Si un ennemi se rapproche un peu trop, il se retrouve assommé au sol par un coup vicieux.
La faiblesse du style Kjemper vient du fait qu'il cherche à éliminer les menaces plutôt que d'en créer lui-même.
Larsen
L’école de Larsen est le style d’escrime couramment utilisé par le guet de nuit de Kirk, mais également par quelques criminels et brigands de cette ville. L’école enseigne à ses élèves à tirer profit de l’obscurité, mais aussi à confondre leurs adversaires en ouvrant et en refermant le volet d’une lanterne vive. Le faisceau soudain et dansant de lumière distrait l’adversaire, ce qui permet à l’élève de passer ses défenses. La faiblesse du style de Larsen réside dans le fait que ses élèves ont tendance à frapper là ou leur lanterne est braquée, ce qui les rends quelque peu prévisibles.
Leegstra
Cette technique n’est pas tant un style de combat qu’une manifestation de volonté ou une certaine forme de philosophie. Cette technique, qui s’adresse plus particulièrement aux PJ équipés d’une arme lourde, comme une épée large ou en une hache, fait peu de cas de la sécurité de celui qui la pratique.
On compare souvent le guerrier qui utilise cette technique à un glacier : se déplaçant lentement, ignorant les coups qu’il reçoit et, en définitive, impossible à arrêter. L’élève apprend à encaisser des coups qui tueraient un homme plus faible et à concentrer toute sa puissance dans un coup unique mais mortel. De nombreux récits évoquent ces guerriers, capables de décapiter un adversaire d’un simple mouvement de poignet.
Le défaut principal de cette technique, ainsi que pourra vous l’apprendre n’importe quel élève la connaissant un peu, c’est sa lenteur. La plupart des spadassins combattent ces guerriers comme n’importe quel autre adversaire, commençant par éprouver leurs défenses par quelques petits coups d’estoc. Ils découvrent avec surprise, mais généralement trop tard, que les maîtres Leegstra n’évitent pas ces premiers coups pour porter un seul coup dévastateur. La solution consiste donc à être rapide et efficace. Un adversaire avisé visera au coeur ou à la tête, avant de se mettre à distance sur-le-champ.
Snedig
Snedig est un dérivé du style Leegstra, mais utilisant des armes d'escrime à la place d'épées larges ou de haches. Ce style combine la détermination sans faille de l'école Leegstra et la connaissance chirurgicale de l'anatomie humaine. Bien qu'une rapière ne puisse mesurer sa force brute à celle d'une arme lourde, elle peut pénétrer profondément les zones vitales du corps. Ce style enseigne à ses étudiants à viser les organes vitaux pour maximiser les dégâts et le choc causés par l'attaque, tout en se concentrant essentiellement et avant tout sur la défense. Sa faiblesse est similaire à celle de Leegstra, son parent.
Swanson
Ce style est théoriquement conçu pour combattre avec une arme d'escrime dans une main, et son fourreau dans l'autre, mais presque personne ne porte son épée détachée (en général le fourreau est attaché à la ceinture). Le seul type d'arme d'escrime qui n'est pas porté à la ceinture est la canne à épée, que le style Swanson préfère à toute autre. Sans Swanson, l'absence de garde de la canne, et la tendance à ne pas utiliser le fourreau, seraient des entraves considérables dans les duels. La principale faiblesse de ce style est l'allonge plus courte de la canne ce qui oblige le combattant à se rapprocher de son adversaire.
Urostifer
Autre ancien style de combat des Vesten, Urostifter utilise une paire d'épées longues avec une grande efficacité. Il n'est pas aussi défensif que celui de Kjemper, préférant déconcerter l'ennemi en frappant son arme ou en utilisant des feintes éclatantes pour créer des ouvertures dans sa défense. Ceci est habituellement accompagné d'un flot incessant de railleries et de moqueries envers l'adversaire. Il lui manque le style et l'élégance d'un spadassin de Valroux, qui minimisera les talents d'un opposant par la lame et par la parole, mais il l'aveuglera plutôt avec du pur vitriol. Les étudiants d'Urostifter ont l'habitude de dire des choses horribles sur la femme de leur adversaire, sur leur mère, leur soeur, leur taille, leur poids, et leur intelligence.
Certains pensent que la faiblesse d'Urostifter apparaît lorsque le spadassin perd l'une de ses armes, mais ce n'est pas le cas. Si l'une des épées est brisée ou perdue, il est tout à fait capable de se défendre avec l'arme restante.
La réelle faiblesse de cette école est qu'elle se focalise trop sur la feinte et la moquerie, ce qui fait que si l'ennemi ne réagit pas à ces piques, le spadassin Urostifter est lui-même déstabilisé.
Les écoles non-reconnues sont principalement vesten (la seule école vendelar non-reconnue est une école de combat au pistolet) :
Halfdansson
Les Vesten se servent de harpons pour chasser en mer. Ils se révèlent particulièrement utiles face aux serpents marins et sirènes, mais également lors d’abordages. Les élèves de l’école de combat de Halfdansson exploitent le harpon de bien violente manière. Ils plongent leur arme dans le corps de leur adversaire puis se saisissent d’un second harpon. Inutile de préciser qu’il est très difficile de combattre lorsque l’on vient d’être empalé par un long objet barbelé. Les élèves de Halfdansson cherchent donc à harponner leur adversaire pour ensuite le terrasser à loisir.
La faiblesse de cette école réside dans le fait que ses élèves attachent trop d’importance à cette première attaque, permettant ainsi à un adversaire malin de tirer le meilleur parti de leur préoccupation.
Siggursdottir
L’école de Siggursdottir exploite deux hachettes maniées à la vitesse de l’éclair. Ses élèves apprennent d’abord à lancer une hachette et à en produite rapidement une seconde. Lorsque le combat a lieu au corps à corps, l’élève lance une série d’attaques meurtrières en hurlant des cris de guerre.
La principale faiblesse du style réside dans son attachement à l’instinct et à la rapidité plutôt qu’à la raison et à la prudence.
Saber- Le concierge du forum
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Re: Les Secrets de la Septième Mer
Max a écrit:Ah ah j'ai trouvé : style Boucher de Montaigne. C'est ça que je veux !! rapide et efficace. Les opposants de l'Eglise du Prohphètes n'ont qu'à bien se tenir !
En plus c'est idéal si je veux embrayer sur le style Mortis de la société Die Kreuzritter (avec les deux stylet et qui joue sur la peur) Notamment au niveau maitre : "Une fois que l’élève maîtrise totalement le style Mortis, il connaît les litanies de la mort. Il administre à son adversaire les derniers sacrements afin de lui faire perdre son sang-froid."
hé hé ... t'aurais pas du nous donner ce lien...
Wowoh ! Ne t'emballe pas trop, là.
Les Kreuzritter ne vous sont pas connus, à la base. Tu es un agent de l'Eglise, pour l'instant...
Saber- Le concierge du forum
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Re: Les Secrets de la Septième Mer
La patrie des nobles arrogants et des femmes fatales : la Vodacce !
Peu d'écoles non-reconnues par la Guilde, ici :
Ambrogia
Le style Ambrogia, qui s'est répandu comme une traînée de poudre ces dernières années, a deux caractéristiques principales. Tout d’abord, les spadassins qui le pratiquent tiennent leur épée de la main gauche et leur dague de parade dans la main droite ; ensuite, le créateur de cette technique d’escrime, Véronica Ambrogia, est aussi l’une des plus célèbres courtisanes de Vodacce.
Si le style Ambrogia se focalise sur l’utilisation de la main gauche (un élément que de nombreux spadassins trouvent difficile à appréhender), il donne surtout la priorité à l’efficacité plutôt qu’au style. Les élèves apprennent à utiliser tout ce qui peut leur tomber sous la main pour remporter leurs duels. « Après tout, ce sont les vainqueurs qui écrivent l’histoire » leur enseigne Madame Ambrogia.
Et si les autres spadassins appellent ceux qui sortent de cette école « les gamins de Véronica », aucun d’entre eux n’oserait nier la redoutable efficacité de cette technique d’escrime.
La principale faiblesse de ce style, c’est qu’il repose trop sur le fait de forcer l’adversaire à réagir aux mouvements et aux feintes : si ce dernier choisit de les ignorer, le spadassin adepte de cette technique de combat risque de se retrouver en mauvaise posture.
Bernouilli
Les Bernouilli font plus qu’importer des artefacts de l’Empire du Croissant ; ils en rapportent aussi le savoir. L’école de Bernouilli naquit de l’utilisation du cimeterre des Croissantins et incorpora le sabre de cavalerie occidental à ses fioritures stylistiques. Les spadassins de l’école de Bernouilli présentent le flanc à leur adversaire (à l’instar du style Aldana de Castille) , limitant ainsi les points vulnérables. Les mouvements circulaires du sabre tiennent les adversaires à distance jusqu’à ce qu’ils faiblissent ou laissent une ouverture, dont un maître du style Bernouilli saura profiter.
L’école souffre quelque peu de son approche défensive et la nature du sabre empêche tout ajustement stratégique de dernière seconde. D’un autre côté, il est difficile de toucher les spadassins du style Bernouilli, qui peuvent garder leurs ennemis à distance assez longtemps sans se fatiguer. En Vodacce, où les coups rapides sont d’actualité, les grands gestes méthodiques de l’école de Bernouilli constituent une planche de salut.
Lucani
Les Lucani ont basé leur propre style sur l'utilisation de l'épée large introduite sur leurs terres par des mercenaires Kosars. Par la suite, cette école fut ouverte non seulement aux membres de la famille, mais aussi à leurs serviteurs et à leurs soldats. La famille autorisa en fin de compte tout ceux qui pouvaient payer un modeste cachet à recevoir une instruction dans ce style, et l'ont perpétué même après la mort de leur Prince. Ce style, qui n'est pas spécialement à la mode en Vodacce, utilise une épée large dans une main, garde l'autre poing bien serré, et attaque avec l'un et l'autre. Il est très agressif et énergique, et n'évite pas le contact physique avec l'adversaire.
Bien que cela puisse être une grande force, l'impatience avec laquelle les combattants Lucani se rapprochent de leur ennemi peut aussi provoquer leur perte.
Villanova
La sinistre famille Villanova use depuis bien longtemps de machinations politiques pour imposer sa volonté, mais elle abrite également de meurtriers spadassins. L’école de Villanova permet de rendre rapidement les coups, mais elle inclut également de vilaines bottes à son style de combat. Les élèves apprennent dans une académie reculée dissimulée au plus profond des marécages des terres de la famille. Les rumeurs prétendent que tous les diplômés doivent prêter allégeance à la famille Villanova, même si des pratiquants affirment le contraire.
La plus grande force de l’école de Villanova est cette faculté à renvoyer les attaques des adversaires. Elle exploite un mouvement appelé coup fourré, qui consiste à faire glisser sa lame le long de celle de son adversaire pour lui infliger des dommages dévastateurs.
Elle use également d’un grand nombre de feintes et autres manœuvres trompeuses qui permettent au spadassin de dissimuler ses véritables intentions aux yeux de son adversaire.
Malheureusement, l’école de Villanova encourage également la confiance à outrance des ses pratiquants, qui croient souvent que leurs adversaires ne voient pas clair dans leur jeu. Beaucoup d’élèves de Villanova ont sous-estimé leurs adversaires en se relâchant, pour se faire étriper par une botte inattendue. On ne peut arrêter un spadassin de l’école de Villanova prudent. Ceci dit, les spadassins prudents vont généralement dans une autre école.
La seule école non-reconnue est exclusivement réservée aux femmes :
Cappuntina
Bien que la guilde des spadassins et beaucoup d’autres cercles ne la reconnaissent pas comme une véritable école, les femmes de Vodacce restent persuadées que le style Cappuntina est un outil très précieux. C’est avant tout une forme d’autodéfense. Le nom vient de « épingle à chapeau » et l’école fut créée à l’attention des femmes seules qui doivent se défendre lorsque leur mari n’est pas dans les environs. Aujourd’hui, elle exploite les couteaux de lancer, qu’une femme peut aisément dissimuler dans sa manche ou attacher dans ses cheveux.
La force principale du style Cappuntina est sa surprenante rapidité. Les élèves apprennent à neutraliser leurs adversaires en leur clouant les mains ou les manches, à leur couper les tendons pour les ralentir et à les frapper quand ils ne peuvent plus se défendre. Les pratiquantes du style Cappuntina apprennent à frapper vite, puis à fuir avant que leurs adversaires n’aient la chance de recouvrer les esprits.
La faiblesse de l’école de Cappuntina est qu’elle manque de la résistance des autres écoles de spadassins. Si une élève ne peut rapidement neutraliser son adversaire, elle n’aura alors guère de chances de l’arrêter. Les maîtresses de Cappuntina peuvent « couper les jarrets » de leurs adversaires avant même qu’ils réalisent être attaqués, puis fuir avant qu’il ne leur faille faire face à une lame.
Peu d'écoles non-reconnues par la Guilde, ici :
Ambrogia
Le style Ambrogia, qui s'est répandu comme une traînée de poudre ces dernières années, a deux caractéristiques principales. Tout d’abord, les spadassins qui le pratiquent tiennent leur épée de la main gauche et leur dague de parade dans la main droite ; ensuite, le créateur de cette technique d’escrime, Véronica Ambrogia, est aussi l’une des plus célèbres courtisanes de Vodacce.
Si le style Ambrogia se focalise sur l’utilisation de la main gauche (un élément que de nombreux spadassins trouvent difficile à appréhender), il donne surtout la priorité à l’efficacité plutôt qu’au style. Les élèves apprennent à utiliser tout ce qui peut leur tomber sous la main pour remporter leurs duels. « Après tout, ce sont les vainqueurs qui écrivent l’histoire » leur enseigne Madame Ambrogia.
Et si les autres spadassins appellent ceux qui sortent de cette école « les gamins de Véronica », aucun d’entre eux n’oserait nier la redoutable efficacité de cette technique d’escrime.
La principale faiblesse de ce style, c’est qu’il repose trop sur le fait de forcer l’adversaire à réagir aux mouvements et aux feintes : si ce dernier choisit de les ignorer, le spadassin adepte de cette technique de combat risque de se retrouver en mauvaise posture.
Bernouilli
Les Bernouilli font plus qu’importer des artefacts de l’Empire du Croissant ; ils en rapportent aussi le savoir. L’école de Bernouilli naquit de l’utilisation du cimeterre des Croissantins et incorpora le sabre de cavalerie occidental à ses fioritures stylistiques. Les spadassins de l’école de Bernouilli présentent le flanc à leur adversaire (à l’instar du style Aldana de Castille) , limitant ainsi les points vulnérables. Les mouvements circulaires du sabre tiennent les adversaires à distance jusqu’à ce qu’ils faiblissent ou laissent une ouverture, dont un maître du style Bernouilli saura profiter.
L’école souffre quelque peu de son approche défensive et la nature du sabre empêche tout ajustement stratégique de dernière seconde. D’un autre côté, il est difficile de toucher les spadassins du style Bernouilli, qui peuvent garder leurs ennemis à distance assez longtemps sans se fatiguer. En Vodacce, où les coups rapides sont d’actualité, les grands gestes méthodiques de l’école de Bernouilli constituent une planche de salut.
Lucani
Les Lucani ont basé leur propre style sur l'utilisation de l'épée large introduite sur leurs terres par des mercenaires Kosars. Par la suite, cette école fut ouverte non seulement aux membres de la famille, mais aussi à leurs serviteurs et à leurs soldats. La famille autorisa en fin de compte tout ceux qui pouvaient payer un modeste cachet à recevoir une instruction dans ce style, et l'ont perpétué même après la mort de leur Prince. Ce style, qui n'est pas spécialement à la mode en Vodacce, utilise une épée large dans une main, garde l'autre poing bien serré, et attaque avec l'un et l'autre. Il est très agressif et énergique, et n'évite pas le contact physique avec l'adversaire.
Bien que cela puisse être une grande force, l'impatience avec laquelle les combattants Lucani se rapprochent de leur ennemi peut aussi provoquer leur perte.
Villanova
La sinistre famille Villanova use depuis bien longtemps de machinations politiques pour imposer sa volonté, mais elle abrite également de meurtriers spadassins. L’école de Villanova permet de rendre rapidement les coups, mais elle inclut également de vilaines bottes à son style de combat. Les élèves apprennent dans une académie reculée dissimulée au plus profond des marécages des terres de la famille. Les rumeurs prétendent que tous les diplômés doivent prêter allégeance à la famille Villanova, même si des pratiquants affirment le contraire.
La plus grande force de l’école de Villanova est cette faculté à renvoyer les attaques des adversaires. Elle exploite un mouvement appelé coup fourré, qui consiste à faire glisser sa lame le long de celle de son adversaire pour lui infliger des dommages dévastateurs.
Elle use également d’un grand nombre de feintes et autres manœuvres trompeuses qui permettent au spadassin de dissimuler ses véritables intentions aux yeux de son adversaire.
Malheureusement, l’école de Villanova encourage également la confiance à outrance des ses pratiquants, qui croient souvent que leurs adversaires ne voient pas clair dans leur jeu. Beaucoup d’élèves de Villanova ont sous-estimé leurs adversaires en se relâchant, pour se faire étriper par une botte inattendue. On ne peut arrêter un spadassin de l’école de Villanova prudent. Ceci dit, les spadassins prudents vont généralement dans une autre école.
La seule école non-reconnue est exclusivement réservée aux femmes :
Cappuntina
Bien que la guilde des spadassins et beaucoup d’autres cercles ne la reconnaissent pas comme une véritable école, les femmes de Vodacce restent persuadées que le style Cappuntina est un outil très précieux. C’est avant tout une forme d’autodéfense. Le nom vient de « épingle à chapeau » et l’école fut créée à l’attention des femmes seules qui doivent se défendre lorsque leur mari n’est pas dans les environs. Aujourd’hui, elle exploite les couteaux de lancer, qu’une femme peut aisément dissimuler dans sa manche ou attacher dans ses cheveux.
La force principale du style Cappuntina est sa surprenante rapidité. Les élèves apprennent à neutraliser leurs adversaires en leur clouant les mains ou les manches, à leur couper les tendons pour les ralentir et à les frapper quand ils ne peuvent plus se défendre. Les pratiquantes du style Cappuntina apprennent à frapper vite, puis à fuir avant que leurs adversaires n’aient la chance de recouvrer les esprits.
La faiblesse de l’école de Cappuntina est qu’elle manque de la résistance des autres écoles de spadassins. Si une élève ne peut rapidement neutraliser son adversaire, elle n’aura alors guère de chances de l’arrêter. Les maîtresses de Cappuntina peuvent « couper les jarrets » de leurs adversaires avant même qu’ils réalisent être attaqués, puis fuir avant qu’il ne leur faille faire face à une lame.
Saber- Le concierge du forum
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Re: Les Secrets de la Septième Mer
Euuuuuuuuuhhh....
Un serviteur de l'église castillane avec un style de combat Montaginois ? C'est possible par les temps qui courent ?
Un serviteur de l'église castillane avec un style de combat Montaginois ? C'est possible par les temps qui courent ?
damB- Comte/Comtesse
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Re: Les Secrets de la Septième Mer
Je vais terminer avec la seule école de société secrète que vous pouvez utiliser au grand jour. Elle n'est pas reconnue par la Guilde, mais on peut l'utiliser en public.
C'est l'école d'escrime des Chevaliers de la Rose et de la Croix, l'école Desaix :
Le style de combat de Desaix est dérivé de celui de Valroux. Il utilise lui aussi la combinaison populaire d’une rapière et d’une main gauche, mais s’éloigne de la stratégie défensive de l’école de Valroux. L’école de Desaix s’avère plus sérieuse que son ancêtre et manque de ces sarcasmes et de cette dérision si chères à celle de Valroux. Elle enseigne toutefois une double attaque particulièrement vicieuse qui fait à la fois appel à la rapière et à la main gauche
L’école de Desaix est une excellente école offensive ; la main gauche s’efforce de créer des ouvertures que la rapière peut alors exploiter, et vice versa. Pendant ce temps, les réflexes éclairs de l’étudiant permettent de réagir immédiatement aux attaques de l’adversaire.
L’actuel aîné de la famille Desaix enseigne exclusivement cette technique aux chevaliers de la rose et la croix ; Cette charge se transmet de père en fils depuis de nombreuses générations. Heureusement pour les spadassins de Montaigne, les étudiants qui connaissent déjà l’école de Valroux trouvent celle de Desaix très facile à apprendre.
Toutefois, cet ensemble de techniques possède un énorme point faible : on apprend aux élèves à être très offensif, ce qui les mets parfois en danger. Un spadassin expérimenté sait les pousser à attaquer quand il le souhaite puis en profite pour les terrasse lorsqu’ils mordent à l’hameçon
Le post de Max me fait penser à une chose : ça serait bien de ne pas aller voir les écoles des sociétés secrètes, histoire de ne pas vous gâcher des révélations en jeu.
Je vous en remercie.
C'est l'école d'escrime des Chevaliers de la Rose et de la Croix, l'école Desaix :
Le style de combat de Desaix est dérivé de celui de Valroux. Il utilise lui aussi la combinaison populaire d’une rapière et d’une main gauche, mais s’éloigne de la stratégie défensive de l’école de Valroux. L’école de Desaix s’avère plus sérieuse que son ancêtre et manque de ces sarcasmes et de cette dérision si chères à celle de Valroux. Elle enseigne toutefois une double attaque particulièrement vicieuse qui fait à la fois appel à la rapière et à la main gauche
L’école de Desaix est une excellente école offensive ; la main gauche s’efforce de créer des ouvertures que la rapière peut alors exploiter, et vice versa. Pendant ce temps, les réflexes éclairs de l’étudiant permettent de réagir immédiatement aux attaques de l’adversaire.
L’actuel aîné de la famille Desaix enseigne exclusivement cette technique aux chevaliers de la rose et la croix ; Cette charge se transmet de père en fils depuis de nombreuses générations. Heureusement pour les spadassins de Montaigne, les étudiants qui connaissent déjà l’école de Valroux trouvent celle de Desaix très facile à apprendre.
Toutefois, cet ensemble de techniques possède un énorme point faible : on apprend aux élèves à être très offensif, ce qui les mets parfois en danger. Un spadassin expérimenté sait les pousser à attaquer quand il le souhaite puis en profite pour les terrasse lorsqu’ils mordent à l’hameçon
Le post de Max me fait penser à une chose : ça serait bien de ne pas aller voir les écoles des sociétés secrètes, histoire de ne pas vous gâcher des révélations en jeu.
Je vous en remercie.
Saber- Le concierge du forum
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Re: Les Secrets de la Septième Mer
dam'B a écrit:Euuuuuuuuuhhh....
Un serviteur de l'église castillane avec un style de combat Montaginois ? C'est possible par les temps qui courent ?
La guerre ne dure pas depuis si longtemps et rien n'empêche un maître de l'école Boucher d'être un fervent vaticin.
Saber- Le concierge du forum
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Re: Les Secrets de la Septième Mer
Ok, je m'emballe pour le style Mortis.
Edit : ah ben le Mj semble valider cette possibilité. Cool. Je vais pouvoir jouer mon bras vengeur de l'Eglise.
ben pourquoi pas ? Un espagnol ne peut-il pas avoir appris à parler français ?Un serviteur de l'église castillane avec un style de combat Montaginois ? C'est possible par les temps qui courent ?
Edit : ah ben le Mj semble valider cette possibilité. Cool. Je vais pouvoir jouer mon bras vengeur de l'Eglise.
Max- Comte/Comtesse
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Date d'inscription : 05/03/2008
Re: Les Secrets de la Septième Mer
Ouais, mais vu la mentalité castillane, j'aurai pensé que tous ceux qui sont de près ou de loin lié à la Montaigne passe sur le bucher ^^ .
Max, ce que je veux dire, c'est que par temps de guerre, tous ce qui touche à l'ennemi est mal vue. Et au sein de l'eglise castillane en plus... voir ligne du dessus. C'est pas un espagnol normal que tu veux jouer hein. ^^
Mais bon, je parle pour ne rien dire si ça ne dérange pas le MJ.
Max, ce que je veux dire, c'est que par temps de guerre, tous ce qui touche à l'ennemi est mal vue. Et au sein de l'eglise castillane en plus... voir ligne du dessus. C'est pas un espagnol normal que tu veux jouer hein. ^^
Mais bon, je parle pour ne rien dire si ça ne dérange pas le MJ.
damB- Comte/Comtesse
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Re: Les Secrets de la Septième Mer
Oui, mon perso se fiche d'être mal vu, ce n'est pas un gentilhomme de la haute. Il viendra des bas-quartiers. Tout ce qui compte, c'est servir son Cardinal. Et son Cardinal, tout castillan qu'il soit, aime le style Boucher pour son efficacité et sa rapidité à éliminer des agitateurs et contestataires de l'Eglise.
Edit : En plus le coté "sale" du style Boucher (qui porte bien son nom avec des victimes couvertes de coups de couteaux) a un coté intimidant et sert de dissuasion aux ennemis du Cardinal.
Durant toutes guerres, on avait beau ne pas aimer l'adversaire, quand il inventait une arme efficace, on ne se retenait pas de la copier.
Edit : En plus le coté "sale" du style Boucher (qui porte bien son nom avec des victimes couvertes de coups de couteaux) a un coté intimidant et sert de dissuasion aux ennemis du Cardinal.
Durant toutes guerres, on avait beau ne pas aimer l'adversaire, quand il inventait une arme efficace, on ne se retenait pas de la copier.
Max- Comte/Comtesse
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Re: Les Secrets de la Septième Mer
Bon, on en parlera en privé, maintenant que le concept est posé.
Saber- Le concierge du forum
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Date d'inscription : 23/06/2008
Re: Les Secrets de la Septième Mer
Au fait, je voulais préciser un point qui peut avoir son importance :
Votre PJ dispose de 100 points de création, à la base.
Si vous voulez acheter une école d'escrime, cela vous coûtera 25 points si elle vient de votre pays et 35 points si elle vient d'un pays étranger au vôtre.
Voilà.
Votre PJ dispose de 100 points de création, à la base.
Si vous voulez acheter une école d'escrime, cela vous coûtera 25 points si elle vient de votre pays et 35 points si elle vient d'un pays étranger au vôtre.
Voilà.
Saber- Le concierge du forum
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Date d'inscription : 23/06/2008
Re: Les Secrets de la Septième Mer
On peut faire la création de perso par forum ? Bon, ça nécessite que tu nous donnes le cout des différentes options...
Max- Comte/Comtesse
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Localisation : Grenoble
Date d'inscription : 05/03/2008
Re: Les Secrets de la Septième Mer
Si j'ai écrit ça, c'est juste pour que les joueurs sachent que certaines combinaisons de nationalités et d'école coûtent plus cher en points de création. C'est pour qu'ils fassent leur concept de personnage en connaissance de cause.
Pour la création de personnage, je préfère le faire directement avec le joueur. Ca permet de l'aider dans la création plus facilement que par forum.
Pour la création de personnage, je préfère le faire directement avec le joueur. Ca permet de l'aider dans la création plus facilement que par forum.
Saber- Le concierge du forum
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Date d'inscription : 23/06/2008
Re: Les Secrets de la Septième Mer
En tout cas, je peux vous dire que mon perso ressemblera à ça ^^ :
Thorgy- Chevalier
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Localisation : Seyssins
Date d'inscription : 10/03/2008
Re: Les Secrets de la Septième Mer
Il est fort probable que la guilde héberge Isabella d'Aldanna, une castillane amoureuse de la musique. N'hésitez pas à l'inviter pour une danse...
Image qui vient de Deviant-art : http://kalikula.deviantart.com/art/Flamenco-69920033
Je commence à cerner le personnage... Il va encore y avoir de sombres histoires de meurtres et d'amoureux éconduits
Image qui vient de Deviant-art : http://kalikula.deviantart.com/art/Flamenco-69920033
Je commence à cerner le personnage... Il va encore y avoir de sombres histoires de meurtres et d'amoureux éconduits
Amalya- Chevalier
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Age : 38
Date d'inscription : 29/01/2009
Re: Les Secrets de la Septième Mer
(En recherche de BG)
Dernière édition par Thorgynette le Mar 5 Mai - 20:30, édité 1 fois
Thorgynette- Paysan/Paysanne
- Nombre de messages : 9
Age : 46
Date d'inscription : 06/10/2008
Re: Les Secrets de la Septième Mer
Jolis !
J'ai hâte d'entendre vos backgrounds.
J'ai hâte d'entendre vos backgrounds.
Saber- Le concierge du forum
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Localisation : Grenoble
Date d'inscription : 23/06/2008
Re: Les Secrets de la Septième Mer
Whoua. Beaux costumes ! Mais c'est vous sur les photos ? C'est la classe.
Max- Comte/Comtesse
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Localisation : Grenoble
Date d'inscription : 05/03/2008
Re: Les Secrets de la Septième Mer
Tiens d'ailleurs sur le capharnaum qu'est ce qu'on peut télécharger sans risque, histoire de se cultiver ?
Nan parce que j'ai pas envie de tomber sur un secret par hasard...
En particulier le truc sur la Guilde des Spadassins : on peut ?
Nan parce que j'ai pas envie de tomber sur un secret par hasard...
En particulier le truc sur la Guilde des Spadassins : on peut ?
Amalya- Chevalier
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Age : 38
Date d'inscription : 29/01/2009
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