La cage.

Arthurus se trouvait devant la porte de Gaspard, un sentiment d'insécurité lui donnait le vertige
Le duc pris son temps et se remémora, le pourquoi de sa présence.

Des images mentales de la compagnie de Lys et de sa mère lui contant la Malédiction lui revient. Les discours enflammés des prêtres de Sigmar
lui décrivant les silhouettes démoniaques parvint à son esprit.

Remontant le temps dans son esprit, il se vit enfant, en train de dessiner des croquis totalement archaïque de caravanes grillagés.
Chaque croquis portaient son lot de commentaires, les chances qu'avait une créature difforme de s'enfuir de cette cage étaient évalués.

Son obession avait attiré l'attention de son grand père, qui lui avait offert une peinture venant de Nuln. Elle représentait
un grand caisson métallique, avec une chaudière à l'arrière, un immense tube pointait l'horizon...


Cal gon revint brusquement à la réalité, sa main tremblante se dirigea vers le bois de la porte pour la frapper de quelques coups.
Parlant à voie basse :

J'ai consacré toute ma vie à élaborer une cage pour toi, j'ai du fabriquer une prison roulante, pour protéger mon corps.


La paume d'Arthurus frappa en tremblant la porte de la chambre.

J'ai dédié ma vie à assembler un moyen de te sceller, où que je sois, Démon.


Le poing du duc frappa violemment la porte de Gaspard, tandis qu'il regardait avec haine la petite brume qui l'entourait.
Cal gon put même y discerner un sourire carnassier...

Une voix se fit entendre derrière la porte.

- Entrez ! La porte est ouverte !

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Gaspard était en train d'enchainer les pompes sur une main avec une facilité hors du commun. Il était torse nu et tout ruisselant de sueur. En voyant le duc entrée, il se leva pour le saluer.

- Bonjour Monsieur le Duc, que puis-je pour vous ?

Il attrapa une serviette pour s'éponger le front et le torse. Son tronc semblait être taillé dans la roche. Le tatouage de loup qui recouvrait son dos semblait être vivant. On pouvait lire sur les yeux de ce magnifique loup blanc la hargne, la volonté et la bestialité d'Ulric.

Lorsqu'il fut plus ou moins sec, il se retourna vers le duc pour entendre ce qu'il avait à lui dire.

/Hrp (test)