Histoires au coin du feu

"Voulez vous savoir d'où me viens ma balafre ? Oui, la large, sur la joue ... Eh bien, c'est une assez longue histoire, aussi vais je me concentrer sur l'essentiel ..."

Les propos d'Askum, dans la clarté vacillante du feu, sonnaient comme le début d'un conte d'horreur ...

"En fait, j'étais encore qu'un bleu, je n'avais encore jamais participé a un vrai combat et encore moins tué, mais par nécessité, je suis devenu un garde du corps. J'avais, il est vrai, besoin d'argent. Non pour moi, mais ... ma famille."

Il fait une pause

"Quoi qu'il en soit, je m'était rendu à Mordheim, la cité des damnés, lieu de toutes les rencontres et de toutes les morts, mais aussi terre de richesse rapide pour celui qui survit. Une bande cherchait justement des bras supplémentaires, plus par sécurité qu'autre chose. Les guerriers des montagnes rouges, c'était la bande en question, payait bien mais offrai aussi des boulots peu dangereux ... sur le papier."

Il hoche la tête et se frotte la joue lentement ... comme pour se souvenir

"On m'a de suite confié une tâche simple : un apprenti magicien venait récemment de se joindre à eux, avec comme mission d'estimer les fragments de pierre magique trouvés. Je me devais juste de l'accompagner pour dissuader les éventuels voleurs, extorqueurs et autres, en restant à la périphérie de la ville la plupart du temps."

L'auditoire s'accrochait à ses lèvres

"Malheureusement, j'ai appris assez vite que d'autres ... comment dire ... individus, avaient eux aussi les yeux rivés sur ce que l'on appelle la malepierre. Et ce nom, la légende dit qu'il nous viens d'un peuple d'hommes rats appelés les skavens. J'ai toujours cru qu'il s'agissais d'une légende, comme beaucoup de monde. Mais ... en une demi seconde, j'ai su que ces histoires étaient toutes vraies ! L'une de ses créatures m'avait litérallement sauté au visage !"

L'impact de cette dernière phrase fit reculer les plus peureux

"Sa griffe m'a lacéré le visage, mais manqua de peu mon oeil. Mon premier réflèxe, qui s'avéra être le bon, fut de hurler à qui veux l'entendre. Nikoleis, le mage apprenti, semblait vouloir se battre, mais je me suis relevé et lui ai fait signe de fuir. C'était mon travail, me disai je, mais aussi un réflexe. Si je restais là, sans rien faire, il reviendrait et m'achéverai. Mais alors que je m'apprétais à recevoir l'inévitable charge de la créature, un puissant guerrier arriva en hurlant, brandissant une hache d'une proportion titanesque. Il abatti le rat géant d'un seul coup, le coupant presque en deux. Il hurla quelques ordres avant de se tourner vers moi, en disant : "Bon travail". J'ai appris quelques instants plus tard qu'il ne s'agissait ni plus ni moins que de notre chef, celui que tout le monde appelle "le seigneur" Alrik. Je venais d'avoir sa reconnaissance ... et la marque de la cité ... pour le reste de ma vie."

(Fin de la première histoire)

/hrp Houla la cité des damnés, celle où la cométe est tombé (dis il t'en reste un peu de malepierre, aller :p)

Sinon bin bienvenue au Club, (il est d'Enfer ^^)

hrp/ excellent !!! La suite la suite

Voilà, fini !

"C'est tout. Pour le moment."

D'autres histoires plus tard !

hrp/ excellent j'aime beaucoup. *s'en va potasser les secret des Skaven et de Mordheim* :p

/hrp tant que tu nous déterre pas la kermesse du Chaos et la Bète du cratére...

(pendant le début du voyage en Tilée)

"Au fait, je ne vous ai pas parlé beaucoup de mes anciens amis de Mordheim ... A part Millenia, qui a vu Nikoleis, le mage dont j'était le garde du corps, vous ne devriez pas les connaître, mais ca fait du bien de parler, de temps en temps, de gens inconnus ... et puis dès fois que l'on vienne a les croiser !"

* Askum a un petit sourire *

"Non que je voudrais croiser Niko, d'ailleurs ! Il était sympa, ca, je n'en disconviens, pas, mais sur le long terme, il peut s'averer assez énervant. Il a une sorte de complèxe de supériorité, combiné a un humour assez lourd et a une tendance manifeste à approcher les filles de trop près. Mais paradoxalement, il est très réflechi et capable de véritablement surprendre par son érudition ... pas étonnant, d'ailleurs, que j'en sois devenu le garde du corps, je suppose, j'était comme lui, avant ..."

* Il a les yeux dans le vague *

"En fait, il me manque, le bougre ... il est pourtant la seule personne qui puisse se rendre encore plus insupportable que Cal Gon, mais ca faisait son charme ... Je me demande si ils l'ont gardé, à l'ordre céleste."

* Un nouveau sourire bien franc lui traverse le visage *

"Bon, c'est pas tout ca, mais la Tilée, c'est loin ! Je doute que cet huluberlu s'y trouve !"

hrp/ excellent

hum... quelqu'un pire que moi... j'ai une réputation à tenir ! je vais passer la deuxiéme...

(Voici une histoire à intercaler pendant notre arret à Nuln)

Askum contemple le gobelin, qui découvre la joie de la civilisation

Askum : "Il est assez étonnant, le petit ... rien à voir avec ce que l'on croise habituellement dans la campagne ... Enfin, je dis ca, mais en fait je me suis toujours demandé ce que deviendrai les gobelins si l'on se débarrassait des orcs."

Il envoi un petit truc a grignoter à la "peau verte toute gentille"

Askum : "Ces maudites bestioles ... quand je pense à ce qu'elles pourraient devenir, mais non, ce sont des pillards rustres et sanguinaires. Et ca, je peux en témoigner. Si je suis devenu le garde du corps de Millenia, c'est surtout parce que ma vie, du moins mon ancienne vie, s'est arreté. Lorsque je suis revenu de Mordheim, j'ai trouvé mon village ravagé et brulé jusqu'aux fondation. Ce n'était pas beaucoup plus beau qu'Aukern, quand on y repense ..."

Askum repart alors dans ses souvenirs, avant de reprendre

Askum : "On m'a raconté les évènements, mais pour la plupart, ils se devinaient facilement. Le seigneur de guerre n'avait semble t il pas beaucoup plus d'imagination que les autres et a chargé dans le tas, tuant tous ceux qui osaient sortir des maisons en feu. Et il n'a pas oublié de bien faire savoir aux survivants, avant de partir, son nom, que tous prennent peur à sa prochaine visite. Orgol krane d'acier ... un simple chef de guerre pour certain, à peine pire qu'une épidémie de grippe pour d'autre, ... le meurtier de ma famille pour moi ..."

(Un peu avant d'aller se coucher pour la dernière nuit anvant de quitter Nuln)

Askum tient un petit bout de papier avec un dessin (ci dessous)



Askum : "Seigneur Alrik, je crois bien avoir rencontré un homme aussi fort que vous ... un sacré gaillard, comme vous diriez ! Mais j'avoue avoir perdu lamentablement contre lui. Je doute de pouvoir vous égaler un jour au combat, tout comme je ne suis pas sur de mériter vos éloge d'avant mon départ. J'ai peut être réussi a organiser une défense contre la bande des Sanguinolent, mais lui et ses hommes vont aller chasser des orcs en hiver comme une femme irai faire ses courses !"

Il pousse un soupir

Askum : "Je n'ai pas votre force ou votre courage, et je doute les avoir un jour ..."

Il range alors le papier et jette un coup d'oeil vers le plafond

Askum : "Il faudra que je remercie Nikoleis pour ce dessin, un de ces quatres ... Je ne pouvais rever de meilleur cadeau d'adieu qu'un tel souvenir."

Askum se met alors au lit

Askum : "Enfin ... si les autres pouvaient faire MOINS DE BRUIT !!!"

hrp/ excellent ... *gniark gniark*

Donc voyons, un tel rire signifie qu'il a une idée machiavelique ...

mais il aime aussi donner l'impression qu'il prepare quelque chose pour nous mettre sur les nerfs, pour nous feinter ...

a moins bien sur qu'il ne tente de nous donner cette impression pour encore plus rire quand il a un vrai plan maléfique ...

ARGH !!!

En discutant avec Sypha :

Askum : "Au fait, je n'ai pas passé beaucoup de temps en Tilée, peut être deux mois, mais si je la connais si bien, c'est par ma mêre ... Car oui, elle était tiléenne et elle s'était marié avec mon père plus pour des raisons sociales que par amour, mais elle était tout de même une mêre formidable."

Il se lêche les babines

"Et quel cuisine bon sang mais quel cuisine ! Je crois que j'ai jamais mangé de meilleurs lasagnes de ma vie ! Aucun halfelin n'aurais pu la battre et même l'ours de l'auberge ... qui était très bon, je vous l'accorde ... n'arrive pas à me les faire oublier ..."

Il prend un air un peu moins gai ...

"Mais chaque chose doit finir, je suppose ... on ne peut pas toujours être avec ceux qu'on aime ..."

Jette un oeil vers Cal Gon,juste pour surveiller qu'il ne fasse pas de bétise

"Enfin ... c'est la vie ... il faut savoir se débarasser du passé."

Seul, à la fenetre, dans l'auberge en Bretonnie ...

"Hmmm ... je suppose que je n'ai plus ma place avec eux. A quoi cela sert de mettre ma vie en jeu pour des gens qui considère que je leur suis inutile ? Pourquoi continuer a vivre dans la servitude déshonnorante que l'on m'impose ? Je ne demandais pas grand chose, pourtant ... faire mon travail, protéger les gens ... Je ne voulais même pas de reconnaissance !"

Il va s'assoir sur son lit ...

"Mais elfe noire un jour, elfe noire toujours, je suppose ... Cette manière de dominer les gens, sans en donner l'air ... Pff ... Elle veux jouer les grandes dames, eh bien qu'elle fasse donc !"

"Et l'autre fou ... Pourquoi je ne l'ai pas dénoncé ! Pour profiter de la sécurité du char ? Ah, la belle affaire ! Ils s'attirent les risques, pensant être invincible, maintenant ! Quelle dérision !"

"Quand au péteut et sa "Justice" ... ca ne le dérange, pas, hein, que quelqu'un se fasse exploité, maltraité et ignoré quoi qu'il tente ! Lorsque la pat ... l'elfe m'a endormi, je doute qu'il ai levé le petit doigt. Alors que pour défendre celui qui lui a tiré dessus, là il y a du monde ! Si il représente la justice, alors le monde est corrompu jusqu'a l'os !"

"Et tant que j'y pense, je suppose qu'il doit bien être content, le petit corbeau ! Il a bien joué les charognards ! Qu'il s'etouffe avec son repas ! C'est tout ce que mérite le glouton !"

"... Mais le pire, c'est que celle en qui j'avais le plus confiance, que j'ai entrainé, a qui j'ai appris mes souvenirs malgré ma réticence intérieur ... me mentir et me fuir ! Et c'est un monstre ! Elle ne comprend donc pas que je l'aurais accepté, comme j'ai accepté l'elfe ? Qu'est ce que je représente, un outil ? Un pion ? Que son âme aille pourrir au pied de Nurgle !"

"Demain, ce sera un autre jour ... le premier de ma liberté."

hrp/ excellent !! J'adore !

Merci !!!

hrp/ je te trouve un peu injuste mais bon si proche de la réalité

Petit Corbeau

HRP : Askum est injuste. J'ai jamais dit que je le pensais !

hrp/ y'a pas de mal, t'inquiète

hrp/ oh noon on va perdre Askum

Si je voulais te dire c'est que je ne fait plus confiance au humain, si j'ai parler à millénia c'est parce que c'est une elfe noire et a Elfilon car il a une conception de la justice qui joue en ma faveur.

Le fait de plonger dnas les flammes pour te sauver ne te suffit pas ? Ah la la, ces heros, de nos jours ...

En plus, tu appuies mes dires sur Efilon ! Comme quoi, j'ai même pas besoin d'en rajouter !

hrp/ je sais j'ai oublier de te remercier mais j'était un peu sur le cul (dans les 2 sens du terme) donc ...

De toute facon, l'elfe qui m'agresse, alors que je suis inquiet pour sa sécurité, c'est trop. Et le charbon. Et le fait que je n'ai pas le droit aux information que même Billou detient. Et mes 53 couronnes. Et la balle me ratant de peu (pour atterir sur Efilon, bon). Et le fait que personne ne fait confiance a mes compétences de soigneur. Et le fait que quoi que je dise, j'ai droit à "Ta gueule ! (RP, oui !)". Et aussi que je ne puisse pas bénéficier de la justice de Verena. Je suis sur que j'en oublie !

HRP : Ouais, y'a de quoi raler, quand même ...