[Evènement] Fin de soirée !
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[Evènement] Fin de soirée !
Premières heures du neuvième jour de summerzeit.
Fin de soirée !
ARRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRG !
Ce fut la première chose qu’il cria en rentrant dans son somptueux manoir. D’un pas cadencé, il se dirigea vers la grande commode qui trônait dans l’immense salon. Ses mains se joignirent et d’un mouvement de swing il envoya bouler tout ce qui se trouvait dessus. Les précieux bibelots vinrent se fracasser sur le sol avant qu’il ne saisisse le meuble et le renversa dans un énorme excès de rage.
Une centaine de couronnes d’or vinrent de partir en fumée en l’espace d’une petite poignée de minutes. Ses yeux se posèrent sur les débris. Il s’était défoulé, mais pas assez. Pour cela, il aurait dû massacrer tout le mobilier de la pièce, mais l’addiction risquerait d’être salé.
Derrière lui, une ombre venait de pénétrer dans la pièce. La silhouette d’ébène ne faisait aucun bruit lorsqu’elle se déplait. C’était un véritable fantôme.
Elle s’arrêta à quelques mètres du maître de maison afin de le laisser en paix. Ce dernier, n’avait visiblement pas apprécié la soirée. En même temps, il venait de se prendre un monumental râteau. Celui que l’on mange avec toutes les dents. Le plus rageant pour lui c’était sans doute le fait que c’était le deuxième en l’espace de deux jours et qu’ils furent administrés tous les deux par la même personne. Un magnifique blond sur qui il avait littéralement flashé.
- Pour qui il se prend ce sale bâtard ?
- Et d’où il sort d’abord ?
La silhouette resta silencieuse. Visiblement, il ne se sentait pas concerné par cette histoire. Il attendait simplement que l’orage passe.
- Qui est-il pour m’humilier de la sorte ?!
- Hein ?
- Je veux qu’on me le ramène vivant !
- Je veux le voir ramper à mes pieds !
- Jamais personne n’avait refusé mes avances !
En regardant la scène on avait vraiment l’impression qu’il était seul dans la pièce. La silhouette était encore là, mais elle était aussi mobile qu’une statue de marbre.
Le jeune homme tournait dans la pièce tel un lyon en cage. Il ne cessait de repenser au déroulement de la soirée. Il s’était fait casser sur toute la ligne, d’est en ouest, du sud en nord et tout ce que vous voulez. Même sa pseudo cavalière avait fini par le lâcher comme une merde.
- Ce que Giuseppe Pantaloni veut, Giuseppe Pantaloni a !
- Je le veux, c’est mon souhait !!
À la fin de cette tirade, il reçut un puissant coup de pied dans le buffet. Tellement puissant qu’il recracha une partie de l’alcool qu’il avait bu chez les de Roelef. La main de la silhouette l’attrapa par le col, le souleva et l’obligea à le regarder dans les yeux.
Un masque de panique se dessina sur le visage de Giuseppe. La silhouette en profita pour prendre la parole. Sa voix était grave et possédait un accent assez exotique. Cependant, elle maniait fort bien le reikspiel.
- Ecoute-moi bien !
- Tes petites histoires de fesse ne m’intéressent pas.
- Si tu le veux, tu n’as qu’à te débrouiller tout seul, parce que nous avons une affaire plus urgente à régler.
- Il semblerait que nous ayons éveillé la curiosité de deux jeunes magiciens. Il faut que tu restes sur tes gardes, c’est bien compris ?
- Rien ne doit se mettre en travers de notre route ! Me suis-je bien fait comprendre ?
Le jeune homme se contenta de hocher la tête frénétiquement en guise d’approbation.
- C’est bien, tu deviens raisonnable.
- Maintenant, si tu veux t’occuper de cette personne libre à toi, mais moi, je vais m’occuper d’une autre personne.
- Elle ne nous est plus d’aucune utilité. Je vais abattre ce pion et nous traiterons directement avec eux.
Une vague d’affolement traversa le corps de Giuseppe comme s’il venait de se prendre une violente décharge au niveau de la colonne vertébrale. Il était toujours tenu par une main ferme et ses yeux ne pouvaient plus lâcher cet étonnant regard.
- Tu m’as très bien compris.
- Il est temps de tirer un trait sur ton amant. Rien que tu ne puisses remplacer puisque aujourd’hui tu sembles préférer les blonds aux bruns.
- Je suis là pour protéger nos intérêts et veiller à que tout se passe bien. Si j’apprends que tu tentes quoi que ce soit pour dans l’espoir de le protéger, je me ferais un plaisir de t’offrir la plus lente et la plus horrible des morts.
Il le lâcha et s’en alla aussi rapidement et discrètement qu’il était venu. La silhouette s’évapora dans l’espace comme si elle n’avait jamais existé. Les jambes du jeune homme flageolaient trop pour le soutenir. Il se laisse tomber sur le sol. Son visage était déformé par la colère et la tristesse.
Visiblement ce n’était absolument pas sa soirée.
Ce fut la première chose qu’il cria en rentrant dans son somptueux manoir. D’un pas cadencé, il se dirigea vers la grande commode qui trônait dans l’immense salon. Ses mains se joignirent et d’un mouvement de swing il envoya bouler tout ce qui se trouvait dessus. Les précieux bibelots vinrent se fracasser sur le sol avant qu’il ne saisisse le meuble et le renversa dans un énorme excès de rage.
Une centaine de couronnes d’or vinrent de partir en fumée en l’espace d’une petite poignée de minutes. Ses yeux se posèrent sur les débris. Il s’était défoulé, mais pas assez. Pour cela, il aurait dû massacrer tout le mobilier de la pièce, mais l’addiction risquerait d’être salé.
Derrière lui, une ombre venait de pénétrer dans la pièce. La silhouette d’ébène ne faisait aucun bruit lorsqu’elle se déplait. C’était un véritable fantôme.
Elle s’arrêta à quelques mètres du maître de maison afin de le laisser en paix. Ce dernier, n’avait visiblement pas apprécié la soirée. En même temps, il venait de se prendre un monumental râteau. Celui que l’on mange avec toutes les dents. Le plus rageant pour lui c’était sans doute le fait que c’était le deuxième en l’espace de deux jours et qu’ils furent administrés tous les deux par la même personne. Un magnifique blond sur qui il avait littéralement flashé.
- Pour qui il se prend ce sale bâtard ?
- Et d’où il sort d’abord ?
La silhouette resta silencieuse. Visiblement, il ne se sentait pas concerné par cette histoire. Il attendait simplement que l’orage passe.
- Qui est-il pour m’humilier de la sorte ?!
- Hein ?
- Je veux qu’on me le ramène vivant !
- Je veux le voir ramper à mes pieds !
- Jamais personne n’avait refusé mes avances !
En regardant la scène on avait vraiment l’impression qu’il était seul dans la pièce. La silhouette était encore là, mais elle était aussi mobile qu’une statue de marbre.
Le jeune homme tournait dans la pièce tel un lyon en cage. Il ne cessait de repenser au déroulement de la soirée. Il s’était fait casser sur toute la ligne, d’est en ouest, du sud en nord et tout ce que vous voulez. Même sa pseudo cavalière avait fini par le lâcher comme une merde.
- Ce que Giuseppe Pantaloni veut, Giuseppe Pantaloni a !
- Je le veux, c’est mon souhait !!
À la fin de cette tirade, il reçut un puissant coup de pied dans le buffet. Tellement puissant qu’il recracha une partie de l’alcool qu’il avait bu chez les de Roelef. La main de la silhouette l’attrapa par le col, le souleva et l’obligea à le regarder dans les yeux.
Un masque de panique se dessina sur le visage de Giuseppe. La silhouette en profita pour prendre la parole. Sa voix était grave et possédait un accent assez exotique. Cependant, elle maniait fort bien le reikspiel.
- Ecoute-moi bien !
- Tes petites histoires de fesse ne m’intéressent pas.
- Si tu le veux, tu n’as qu’à te débrouiller tout seul, parce que nous avons une affaire plus urgente à régler.
- Il semblerait que nous ayons éveillé la curiosité de deux jeunes magiciens. Il faut que tu restes sur tes gardes, c’est bien compris ?
- Rien ne doit se mettre en travers de notre route ! Me suis-je bien fait comprendre ?
Le jeune homme se contenta de hocher la tête frénétiquement en guise d’approbation.
- C’est bien, tu deviens raisonnable.
- Maintenant, si tu veux t’occuper de cette personne libre à toi, mais moi, je vais m’occuper d’une autre personne.
- Elle ne nous est plus d’aucune utilité. Je vais abattre ce pion et nous traiterons directement avec eux.
Une vague d’affolement traversa le corps de Giuseppe comme s’il venait de se prendre une violente décharge au niveau de la colonne vertébrale. Il était toujours tenu par une main ferme et ses yeux ne pouvaient plus lâcher cet étonnant regard.
- Tu m’as très bien compris.
- Il est temps de tirer un trait sur ton amant. Rien que tu ne puisses remplacer puisque aujourd’hui tu sembles préférer les blonds aux bruns.
- Je suis là pour protéger nos intérêts et veiller à que tout se passe bien. Si j’apprends que tu tentes quoi que ce soit pour dans l’espoir de le protéger, je me ferais un plaisir de t’offrir la plus lente et la plus horrible des morts.
Il le lâcha et s’en alla aussi rapidement et discrètement qu’il était venu. La silhouette s’évapora dans l’espace comme si elle n’avait jamais existé. Les jambes du jeune homme flageolaient trop pour le soutenir. Il se laisse tomber sur le sol. Son visage était déformé par la colère et la tristesse.
Visiblement ce n’était absolument pas sa soirée.
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