Hall des Aventuriers

HRP : Oui le scan est pas top, mais j'ai pas bien mieux!! Ne pas tenir compte de ce qui est écrit, sauf le nom

Himéko est une petite fille surdouée. Dès l'age de 4 ans elle savait déjà lire, écrire et compter. Bon, pas très bien c'est sur, mais toujours est il qu'elle a très rapidemment été placée dans les ordres d'Adathie. Enfin placée... disons que ses parents étaient vexés qu'elle leur rouste intellectuellement la gueule à son âge précoce. Et qu'il voulait qu'elle soit bonne en cuisine parce qu'après tout, c'est ça la vraie place d'une femelle!! Non mais!

Toujours est il qu'au bout de quelques années, ben, la petiote devenait mignonne comme tout, et qu'en plus, ben elle tatannait les prêtres par ses capacités. A dix ans, prise d'un élan totalement inconsidéré, elle passait le concours et fut reçue comme prêtresse officielle d'Adathie. On lui remit la fourchette du Barbeuk sacré, les recettes légendaires de son ordre et elle partie répandre la Justice de par la Terre de Fangh!!

Partie du village de Yakk 'si le MJ est ok), elle a choisi de s'en mettre plein les poches tout en convertissant les gens qu'elle croiserait à la Justice et aux Merguez! Et pis après elle ferait construire une grande cathédrale avec des immenses cuisines... pleines de viande à griller... Nul doute que sa croissance nous révèlera une superbe jeune fille à l'avenir, doublée d'un génie!

Edit MJ : Yakk est un village de bucheron. Complètement imperméable à ta justice divine et à ta beauté. Bilan, tu te retrouvais à faire de merguez toute la journée avec une bande de gros sale qui ne voulait que te bourrer avec leur gros rondin ! Un jour, tu entendis que le village de Plonku avait besoin de personne pour un léger problème. Tu t'es dit que c'était un travail parfait pour t'acheter la relique de ton Dieu que tu rêverais d'avoir : les Sandales d'Yor.

Gol le nain forgeron du clan Goltor était avant de devenir un aventurier un armurier reconnu de la ville de Chnaffon.

Reconnu pour ne jamais payer ses fournisseurs, ni ses créanciers et pour rogner sur les alliages de ses armes.

Il avait développer tout une gamme d'armes et d'armures à très bas prix et à la qualité encore plus basse. Telle que le Marteau à tête Evidé, l'Armure en étain, le Bouclier à trou, l'Epée à lame Molle, le poignard sans manche, Le casque protège oreille, La Lance en trois morceaux payable en trois fois, la hache sans tranchant, La masse à manche à pointe. Le très bas prix devait être payé plusieurs et comprenait un taux d’intérêt d'usurier. Mais le commerce marchait car il permettait aux aventuriers sans le sous d'être exploités de partir à l'aventure tout équipé.

La Guilde des Usuriers de Chnaffon pris ombrage de l'affaire de Gol Golthor. Il débarquèrent chez lui un beau jour et saisirent toutes ses possessions pour exercice illégale du taux d'intérêt, non paiement des taxes, non paiement des amendes sur le non paiement des taxes, fraude fiscale, exercice du commerce non conventionné, maleversasion et mauvaise foi.

Ne lui laissant qu'un vieux marteau pourri et son tablier de forgeron les Usuriers de Chnaffon jettèrent Gol à la rue. Celui-ci de fait se lançant à l'aventure.

Renhaï a grandi dans la prestigieuse cité de Chnafon, connue pour ses universités privées renommées, ses hôpitaux payables à crédits et ses inspecteurs des impôts bien nourris. Les maigres économies de ses parents, paysans ayant émigrés depuis une génération, lui permirent de s'inscrire dans une école de magie prodiguant des cours par correspondance (ceux-ci repartirent dans leur cambrousse quelques mois après, expulsés par les huissiers).

Cependant, ses aptitudes exceptionnelles le firent remarquer auprès d'un maître ensorceleur, le professeur Myrro, qui le vit à l'œuvre dans son emploi à mi-temps de congélateur de poulets fermiers.
Se voyant offrir une place sur les bancs de l'université de magie renommée Stra & Thur tous frais payés, Renhaï commença de véritables études de magie et s'imaginait déjà puissant et vénérable mage. Des traces de ses prises de contact dans les journaux d'une agence immobilière offrant ses services de location de tour de magicien indiquent à quel point il pensait à vendre le poulet avant de l'avoir congelé.

Cruelle ironie, son protecteur Myrro fut déclaré mentalement déficient par ses confrères (l'âge, parait-il) et fut démis de ses fonctions. Ne pouvant plus assurer les droits d'inscriptions, Renhaï se tourna vers la contrebande d'objets « magiques », notamment des huiles miracles à base de graisse de gobelin et des bâtons magiques du Bouhk. Une activité particulièrement rentable à Chnafon, car on évitait ainsi de payer les 9 taxes sur l'importation.

Il se fit pigeonner par son associé, un gnome borgne nommé Ut'nubu, qui s'enfuit avec le stock d'abats de gobelins et une grande partie de la recette.
Ruiné par les taxes et sans emploi (la vente de poulet étant en chute libre à ce moment là), il fut expulsé de l'école Stra & Thur et ses maigres économies furent saisies par les huissiers.
Alors, comme beaucoup de rebuts sans le sou ni avenir, Renhaï prit une courageuse décision : il partit à l'aventure, compagnons !

Chihiro Etsuko

Elle originaire du petit village de Mlaük.

Quand elle parle de son enfance, on remarque la place importante qu'y avait son père, grand paladin de l'ordre de Slanoush. C'est donc tout naturellement qu'elle s'est retournée vers les dignes traces paternelles. Sa mère ? Une brasseuse dans un bar. Elle a connu très tôt les plaisirs des biberons de malt pur... Et... Bien d'autre plaisirs...

A sa naissance, son père lui donna naturellement le doux prénom de Chihiro qui se mariait à merveille avec son nom...
Chihiro Etsuko ou la fille des plaisirs très profond.

* Mode histoire historique... *

Un jour qu'elle vadrouillait, innocente jeune fille, à travers les champs d'orge afin de vérifier l'humidité de la terre, elle est tombé sur un spectacle des plus étranges.
Un homme, torse nu... la peau luisante sous le terrible soleil, faisant perler quelques gouttes de sueur le long de sa ligne dorsale... était en train de s'amuser gaiement avec une des paysannes de la ferme voisine.
Elle resta éberluée, regardant ce spectacle avec curiosité... Les cris emplissant l'air, lui tirèrent malgré elle un sourire. A ce moment là, l'homme tourna la tête et la regarda droit dans les yeux.
Quand les cris s'estompèrent, elle eu la décence juvénile de se cacher.
Tandis que la paysanne s'en allait dans la direction opposée, l'homme vint vers elle. Elle reconnu sur ses jambières le digne ordre de son père. Un paladin de l'ordre de Slanoush.
Il lui mit alors dans les mains l'objet qu'il tenait peu avant. Et ce fut à ce moment qu'elle remarqua sa poitrine.

En rentrant chez elle ce jour là, elle pris la décision de toujours suivre l'ordre de Slanoush et de ne jamais juger de la beauté sur l'apparence. Cet homme-femme... lui avait ouvert l'esprit. Et le digne objet qu'il lui avait remis lui a permis de lui ouvrir bien d'autres horizon.

* Fin mode histoire historique... *

Depuis, elle a appris que cet artefact, son Gadjet Indécent de Nihilia est un présent direct de Slanoush. Elle est persuadée que l'homme-femme était l'incarnation de Slanoush sur terre.

Quelques années s'écoulèrent, et sa mère la pressant de se lancer dans l'ouverture d'une brasserie, elle prit prétexte de partir à la recherche de LA recette de bière qui amènerait gloire et honneur à sa future taverne pour quérir l'aventure. Au nom de Slanoush !

Ticlid est né d’une mère ninja et d’un père elfe inconnu, probablement séduit par la ninjette au cours de l’une de ses missions.
Il a grandi dans le village caché de la feuille de papier, célèbre pour ses fabriques de parchemin. Contrairement à ce qu’on pourrait penser, le fait d’être fortement reconnu pour son exportation de parchemins ne l’empêche pas de rester caché à la face du monde, si son emplacement approximatif est connu, peu de gens ont pu s’y aventurer et le raconter ensuite.

Ceci s’explique probablement par la deuxième spécialité de ce village : la maitrise des arts ninjas enseignée à l’académie par trois professeurs.
Maître Chacal enseigne l’athlétisme et l’art de la discrétion et se limite à cela. On dit qu’il n’a même jamais poignardé quelqu’un, ce qui ne fait pas très sérieux pour un ninja. D’après les rumeurs, le pauvre homme serait d’une extrême sensibilité et ne supporterait pas la vue du sang. Certaines mauvaises langues prétendent qu’il s’agit plutôt d’un couard qui n’a jamais eu le courage de planter sa dague dans quelqu’un, même de dos.
Ceci laisse donc le soin à maître Splinter Cell d’apprendre l’art du combat, un guerrier redoutable mais un peu étrange qui se borne à essayer d’apprendre les arts ninjas à quatre tortues.
Enfin, l’apprentissage de l’éthique ninja est laissé à l’appréciation de maître Soda, un petit homme au teint verdâtre et aux grandes oreilles ayant quelques problèmes d’élocution. On dit que pas une seule fois dans sa vie, il n’a réussit à faire une phrase avec les mots dans le bon ordre. Il est donc en charge de faire entrer dans la tête des étudiants les préceptes ninja à respecter.

Ticlid suivit l’enseignement ninja à l’académie, la production de parchemins représentant bien peu d’intérêts pour quelqu’un ne sachant pas lire. Le jeune demi-elfe appris donc à maitriser toutes sortes de techniques effrayantes, du meurtre silencieux à l’art de faire des sushis, bien qu’il n’excelle pas dans ce dernier domaine.
"Travailler gratuitement tu ne dois pas. Bon marché l’art ninja n’est pas." est en fait le seul précepte que Ticlid ait retenu, c’est ainsi qu’il quitta le village caché de la feuille de papier après avoir été diplômé et s’aventura dans le vaste monde.

padbol est née dans le village de schnaffon.elle a 22 ans et 11 mois.elle est née de parents fermiers qui lui destinait à être la personne la plus éduquée du village,mais préférant l'école buissonnière à l'école tout court,elle restait la plupart de ses soirées enfermée dans sa chambre .de la , elle apprit l'art d'ouvrir des serrures avec ce qu'elle avait sous sa main .et puis s'ennuyant ,elle essaya toutes les serrures du village et très peu lui résistèrent ,mais n'ayant pas une très grande confiance entre villageois,elle ne trouvait jamais rien.

il faut dire aussi qu’être née à schnaffon n'a pas été une très grande chance pour les habitants de ce village.en effet,le jours de sa naissance un grand incendie décima la moitié des récoltes.si ce n'était que cela ,ça irait encore.mais l'année suivante,tous le bétail sortit du village en une ruée et il fallu 2 jours pour les rassembler.et ainsi tous les ans ,il se passait quelque chose le jour de son anniversaire de sorte qu'elle fut exilée chaque année ce jour et ou elle allait ,elle amenait sa malédiction avec elle.de sorte qu'à l'age de 19 ans,elle quitta sa région natale parce qu'aucun village ne voulait plus l'accueillir.

c'est ainsi qu'elle commença sa vie d'aventurière,voulant tester ses aptitudes sur d'autres serrures .elle s'est mêlée à quelques compagnie.elle a survécu à cinq compagnie,la dernière en date est morte sur le chemin de muej asphyxiée dans un chargement d'engrais à la recherche d'un anneau qui était tombé à l'intérieur.

Nilbril est un nain fort en barbe mais au caractère somme toute jovial (pour un nain).
Originaire de Kilbür petite ville où il était forgeron (spécialiste ès fer à cheval), il gagna pour la 1ère fois le tournoi du Forgemartal qui consiste à forger le plus beau marteau à partir des mêmes matériaux que ses concurrents.

Au nombre ahurissant de 8 compétiteurs, la compétition fut pourtant vite remporté par Nilbril. En effet le jour même du tournoi ses adversaires sont arrivés bourrés comme pas 2 et firent de la merde en boite. D'ailleurs ce fût aussi l'année où fût créée le marteau runique boite-à-meuh. Marteau devenu célèbre par son ridicule, à chaque coup les enchantements du martal devaient faire devenir l'ennemi aussi intelligent qu'une vache mais au lieu de ça (le fort titrage en alcool de son concepteur aidant) c'est plutôt un vachissement qui en sortait.
C'est ainsi que sa ville fût renommé KilbürMeuh sous les quolibets des spectateurs hargneux d'avoir payé leurs places si cher pour voir de la merde.
Après une enquête diligenté par le grand conseil de la ville, les tonneaux de bière stratégiquement disséminés sur la route de tous les compétiteurs sauf Nilbril portait le sceau de la taverne Familiale Brouzouf.

Nilbril fût donc bannie de sa ville pour avoir triché au Forgemartal !

S'est bien décidé à montrer à ses concitoyens qu'il est le meilleur Forgeron et qu'il n'est en rien dans ce coup monté qu'il prit la route. (Pis aussi que quand t'es bannie ben t'as le choix faut partir...)

Devant l’âtre crépitant, Yéti, l’elfe noir ninja savourait son repas.
Le regard perdu dans les braises il se remémorait le combat épique à l’issue incertaine qu’il avait mené l’après midi même.
Un de ces combats au cours desquels on sent que la mort n’a pas choisi son camp, et dont on ressort en sueur, meurtri, mais vivant.
Seul avec sa son courage et son couteau contre cinq ennemis déterminés, la partie n’était pas gagnée, mais, coincé dans l’arène et encerclé par cinq furies c’était tuer ou être tué.
Pour approcher discrètement le repère il avait choisi d’escalader le mur d’enceinte et de progresser en rampant sur les toits.
Les cibles étaient là, quelques mètres en contrebas, lorsque sa main glissa sur une tuile recouverte de mousse. S’en suivit une glissade interminable vers les abimes, au cours de laquelle son pantalon s’accrocha dans une tuile saillante et qui se termina à plat ventre au beau milieu du poulailler.
Puis les furies se déchainèrent…
Dans les premiers instants il crû qu’il allait mourir là, dans la fange et les plumes, picoré vif par les poules…
Mais c’était sans compter sur des années d’entrainement son instinct de survie…
Il parvint à se relever pour combattre s’enfuir mais le poulailler se révéla être un piège mortel, dont les impitoyables grillages semblaient se refermer petit à petit sur lui…
Aculé dans un coin face aux terribles volatiles, la peau trouée par maints coups de becs tranchants, il sorti son couteau et fit face, dignement, à la mort.
Loin devant lui, à une distance qui semblait infinie, il entraperçut son salut, le portail salvateur dont la vieille serrure rouillée ne résisterait pas à sa force sa panique.
Rassemblant son courage il sorti son couteau, puis, taillant de droite et de gauche, les yeux mis clos il couru au travers des ennemis vers la sortie.
Ce n’est que longtemps après qu’il cessa de hurler et courir, pour réaliser qu’une poule était restée plantée dans son arme.
Quelques doigts écrasés entre deux silex plus tard, un tapis de braises accueilli la carcasse de la gallinacée, promesse d'un fastueux repas…