[Halibel-Heinrich] : Discussion sur l'oreiller
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[Halibel-Heinrich] : Discussion sur l'oreiller
L'histoire se passe à l'automne précédant la future campagne Next Gen, environ 6 à 9mois avant, après le scénario du 21-11-10
Heinrich veillait tard ce soir là, très tard. Celà faisait bien longtemps qu'il n'avait pas attendu sa femme qu'il aime tant, les travaux de cette dernière avec le Duc lui prenant énormément de temps. Quand elle arriva enfin, celui-ci s'était presque endormi en fumant sa pipe. Il la regarda de haut en bas et se disait qu'il n'aurait pu en rêver de plus belle, même après tout ce temps. Et toutes les mauvaises choses qu'il avait pu imaginer la concernant venaient de s'évanouir en un instant. Après presque trente années à ses côtés, il l'aimait toujours profondément. Cela le mettait sur un petit nuage, et c'est ce qui rendait ce qu'il avait à lui dire si difficile.
- " J'ai attendu un peu que tu rentres, ça fait longtemps qu'on a pas parlé tous les deux et ça me manque un peu. On n'a pas passé beaucoup de temps ensemble en ce moment. Tu as faim? Je t'ai préparé quelque chose. "
Il amena sur la table un verre d'eau et une assiette contenant un ragout encore chaud. Il installa le tout en face d'une chaise et reprit sa position initiale, en face du repas. Il fixa Halibel dans les yeux avec un grand sourire.
- " Tu as des nouvelles de tes frères ces derniers temps? Tu sais je trainais un peu en ville avec Frantz, tu sais, mon collègue gardien du cimetierre, et on a entendu des rumeurs plutôt étranges. Une comme quoi la miss Von Liebnitz serait bien seule. Peut être qu'il t'a prévenu de quelque chose? Malgré nos différents, je l'aime bien ton frère, et je m'inquiète même s'il est très fort."
Il fit une petite pause, laissa son regard errer dans la îèce avant de s'éclaircir la voix et de reprendre.
- " Et ce n'est pas tout. J'en ai entendu d'autres bien plus inquiétantes. Bon, bien entendu comme quoi tu aurais une liaison avec le Duc. Je te rassure tout de suite, je n'y crois pas une seconde, je n'y pretes aucun crédit et je n'ai même pas besoin de réponse de ta part pour en être sûr. "
Ces yeux et son expression trahissait clairement son honneteté. Il croyait sincèrement en la fidélité de sa femme. Aussi sûr qu'il était vivant et que le soleil brille chaque jour que les dieux font.
- " Mais j'ai aussi entendu que tes expériences sont dangereuses. Et on t'a traité de sorcière. L'histoire de Nuln et de la princesse presqu'empalée refait surface. Et Arthurus qui ne se montre pas, ça met les gens en panique. Ils disent tout et n'importe quoi. Mais ils sont unanimes et te traitent de sorcière. Et ça, ça me fais mal. Bien spur que ça touche mon amour propre et mon orgueuil, mais j'ai encore plus mal pour toi. Imagine que nos enfants entendent ça? Nous leur avons raconté notre histoire, ils savent que c'est un peu plus compliqué que ça, mais tu les connais. Les deux garçons se battraient avant que son camarade ne finisse la phrase. Donc j'ai vraiment besoin que tu me dises: qu'est ce qu'il se passe exactement la dedans? Quelles sont les expériences qui t'éloignent de ta famille? Quels sont les risques et les buts de tout ça? Je ne veux pas te mettre mal à l'aise mais c'est très important. Sois franche et parles moi sans détour s'il te plait.
La gorge du vieux middenheimer était sèche, sortir tous ces mots, toutes ces accusations à sa propre femme, l'un des joyaux de sa vie, celle à qui il voudrait consacrer tout le reste de sa vie, et aux enfants qu'elle lui a donné. Il avait essayé de garder son sourire mais c'était dur, très dur. Plongé dans les yeux verts de la magnifique blonde, il sentait qu'il pouvait la froisser et il se jurait chaque jour en se levant qu'il ferait tout pour la rendre heureuse. Mais la vérité était ici trop importante pour qu'il ferme encore les yeux.
Heinrich veillait tard ce soir là, très tard. Celà faisait bien longtemps qu'il n'avait pas attendu sa femme qu'il aime tant, les travaux de cette dernière avec le Duc lui prenant énormément de temps. Quand elle arriva enfin, celui-ci s'était presque endormi en fumant sa pipe. Il la regarda de haut en bas et se disait qu'il n'aurait pu en rêver de plus belle, même après tout ce temps. Et toutes les mauvaises choses qu'il avait pu imaginer la concernant venaient de s'évanouir en un instant. Après presque trente années à ses côtés, il l'aimait toujours profondément. Cela le mettait sur un petit nuage, et c'est ce qui rendait ce qu'il avait à lui dire si difficile.
- " J'ai attendu un peu que tu rentres, ça fait longtemps qu'on a pas parlé tous les deux et ça me manque un peu. On n'a pas passé beaucoup de temps ensemble en ce moment. Tu as faim? Je t'ai préparé quelque chose. "
Il amena sur la table un verre d'eau et une assiette contenant un ragout encore chaud. Il installa le tout en face d'une chaise et reprit sa position initiale, en face du repas. Il fixa Halibel dans les yeux avec un grand sourire.
- " Tu as des nouvelles de tes frères ces derniers temps? Tu sais je trainais un peu en ville avec Frantz, tu sais, mon collègue gardien du cimetierre, et on a entendu des rumeurs plutôt étranges. Une comme quoi la miss Von Liebnitz serait bien seule. Peut être qu'il t'a prévenu de quelque chose? Malgré nos différents, je l'aime bien ton frère, et je m'inquiète même s'il est très fort."
Il fit une petite pause, laissa son regard errer dans la îèce avant de s'éclaircir la voix et de reprendre.
- " Et ce n'est pas tout. J'en ai entendu d'autres bien plus inquiétantes. Bon, bien entendu comme quoi tu aurais une liaison avec le Duc. Je te rassure tout de suite, je n'y crois pas une seconde, je n'y pretes aucun crédit et je n'ai même pas besoin de réponse de ta part pour en être sûr. "
Ces yeux et son expression trahissait clairement son honneteté. Il croyait sincèrement en la fidélité de sa femme. Aussi sûr qu'il était vivant et que le soleil brille chaque jour que les dieux font.
- " Mais j'ai aussi entendu que tes expériences sont dangereuses. Et on t'a traité de sorcière. L'histoire de Nuln et de la princesse presqu'empalée refait surface. Et Arthurus qui ne se montre pas, ça met les gens en panique. Ils disent tout et n'importe quoi. Mais ils sont unanimes et te traitent de sorcière. Et ça, ça me fais mal. Bien spur que ça touche mon amour propre et mon orgueuil, mais j'ai encore plus mal pour toi. Imagine que nos enfants entendent ça? Nous leur avons raconté notre histoire, ils savent que c'est un peu plus compliqué que ça, mais tu les connais. Les deux garçons se battraient avant que son camarade ne finisse la phrase. Donc j'ai vraiment besoin que tu me dises: qu'est ce qu'il se passe exactement la dedans? Quelles sont les expériences qui t'éloignent de ta famille? Quels sont les risques et les buts de tout ça? Je ne veux pas te mettre mal à l'aise mais c'est très important. Sois franche et parles moi sans détour s'il te plait.
La gorge du vieux middenheimer était sèche, sortir tous ces mots, toutes ces accusations à sa propre femme, l'un des joyaux de sa vie, celle à qui il voudrait consacrer tout le reste de sa vie, et aux enfants qu'elle lui a donné. Il avait essayé de garder son sourire mais c'était dur, très dur. Plongé dans les yeux verts de la magnifique blonde, il sentait qu'il pouvait la froisser et il se jurait chaque jour en se levant qu'il ferait tout pour la rendre heureuse. Mais la vérité était ici trop importante pour qu'il ferme encore les yeux.
shortless- Comte/Comtesse
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Date d'inscription : 13/06/2008
Re: [Halibel-Heinrich] : Discussion sur l'oreiller
Les traits d’Halibel étaient tirés. Il était évident que la femme d’Heinrich travaillait trop et malgré sa maîtrise ultime de la magie, elle subissait quand même l’effet du temps et son corps avait besoin de repos comme celui de n’importe quel autre habitant du vieux monde. Elle avait perdu du poids et même un peu de poitrine.
Elle écoutait ses paroles en mangeant un peu du ragoût qu’il lui avait préparé. Elle avait toujours ce petit côté froid et inaccessible. C’était immuable chez elle, même s’il lui arrivait de lâcher de magnifiques sourires.
Les paroles du magicien l’étonnèrent un peu. Cet étonnement fut marqué par une légère crispation de sa main sur la fourchette, son mouvement en fut légèrement troublé, puis il continua comme si de rien était jusqu’à son assiette.
Elle finit par encaisser la nouvelle sans trop sourciller. Après tout, c’était normal que les gens se méfient d’elle. Stoïque et impassible elle reprit encore une ou deux bouchées de ragoût avant de laisser la moitié de son bol remplit. Elle était repue avec si peu.
- Rien d’étonnant dans toutes ces rumeurs sauf celle qui traite de ma relation avec le duc. Celle-là est fausse et sans aucun fondement.
- Les autres sont logiques, que puis-je y faire ? Nous savions que cela risquerait d’arriver. C’est pour cela que nous avons raconté la vérité à nos enfants. J’espère juste qu’ils auront l’intelligence de faire fie des sarcasmes et des rumeurs.
Halibel marqua une pause. Elle regardait Heinrich avec le regard de quelqu’un qui avait envie de dormir et qu’on lui fiche la paix.
- Écoute, je viens de passer une journée harassante.
- J’ai qu’une seule envie, c’est d’aller me coucher pour me reposer. Tu comprendras aisément que j’ai ni la tête, ni l’envie de me lancer dans une explication de nos recherches sur la malepierre.
- Tu dois me faire confiance et arrêter de douter de moi.
- Maintenant, si tu veux vraiment être un amour de mari, tu vas faire la vaisselle avant de me rejoindre au lit.
- Ensuite, tu me prendras dans tes bras et tu me laisseras dormir jusqu’à demain matin.
- D’accord mon chaton ?
Elle esquissa un petit sourire en prononçant ce dernier mot. Elle savait qu’il allait rappeler des souvenirs à son mari.
Elle écoutait ses paroles en mangeant un peu du ragoût qu’il lui avait préparé. Elle avait toujours ce petit côté froid et inaccessible. C’était immuable chez elle, même s’il lui arrivait de lâcher de magnifiques sourires.
Les paroles du magicien l’étonnèrent un peu. Cet étonnement fut marqué par une légère crispation de sa main sur la fourchette, son mouvement en fut légèrement troublé, puis il continua comme si de rien était jusqu’à son assiette.
Elle finit par encaisser la nouvelle sans trop sourciller. Après tout, c’était normal que les gens se méfient d’elle. Stoïque et impassible elle reprit encore une ou deux bouchées de ragoût avant de laisser la moitié de son bol remplit. Elle était repue avec si peu.
- Rien d’étonnant dans toutes ces rumeurs sauf celle qui traite de ma relation avec le duc. Celle-là est fausse et sans aucun fondement.
- Les autres sont logiques, que puis-je y faire ? Nous savions que cela risquerait d’arriver. C’est pour cela que nous avons raconté la vérité à nos enfants. J’espère juste qu’ils auront l’intelligence de faire fie des sarcasmes et des rumeurs.
Halibel marqua une pause. Elle regardait Heinrich avec le regard de quelqu’un qui avait envie de dormir et qu’on lui fiche la paix.
- Écoute, je viens de passer une journée harassante.
- J’ai qu’une seule envie, c’est d’aller me coucher pour me reposer. Tu comprendras aisément que j’ai ni la tête, ni l’envie de me lancer dans une explication de nos recherches sur la malepierre.
- Tu dois me faire confiance et arrêter de douter de moi.
- Maintenant, si tu veux vraiment être un amour de mari, tu vas faire la vaisselle avant de me rejoindre au lit.
- Ensuite, tu me prendras dans tes bras et tu me laisseras dormir jusqu’à demain matin.
- D’accord mon chaton ?
Elle esquissa un petit sourire en prononçant ce dernier mot. Elle savait qu’il allait rappeler des souvenirs à son mari.
Re: [Halibel-Heinrich] : Discussion sur l'oreiller
Le visage d'Heinrich s'attrista de plus en plus. Il n'avait pas veillé pour rien, et c'était pire que ce qu'il pensait. Sa femme dépérissait. Et lui n'avait rien vu jusque là. Il eut du mal à tirer une bouffé sur sa pipe. La fumée qu'il recrachait se lovait autour de ses cheveux, créant une ambiance bien particulière autour de lui. Il espérait qu'Halibel ne remarque pas à quel point il était peiné de ce qu'elle lui disait.
- " Tu n'as rien mangé. Tu ne veux pas te forcer un peu? Enfin, c'est toi qui vois, après tout quand on est fatigué on a moins faim. J'irai voir Arthurus avec toi demain. Il est grand temps de prendre des vacances. Et je ne dis pas ça que pour toi, mais pour tous ceux qui travaillent d'arrache pied et qui doivent être dans le même état que toi, voire pire. Ca me fait de la peine de te voir terrassée comme ça. Ce n'est pas une petite semaine qui va vous ralentir non? Ca fait combien de temps que tu travailles sans t'arreter? Une femme qui ne serait pas aussi résistante que toi y serais peut être restée. "
- " Les rumeurs désobligeantes à ton égard tu sais, ça me retourne. Je fais un gros effort sur moi pour ne pas faire de bêtise. Je te rappelle que je viens d'un pays où tous les problèmes se règlent à coups de poings. "
Il commença à tout ranger et à s'occuper de ce que sa femme lui avait demandé. En prenant le bol en terre cuite assez lourd il fut soudain prit par une flemmingite aigue et hésita un instant avant de s'acquiter de sa tache. Puis il s'y résigna.
- " Tu sais quoi? Je suis sûr qu'un gars pourrait tirer profit d'un concept de vaisselle jetable. On s'embêterait moins, à la fin du repas on balance tout dans les douves. Ca attirera les chacals, ce sera bien. "
Il essayait de détendre un peu l'atmosphère, ce qu'il ne voulait pas, c'était froisser sa douce moitié après une dure journée. Elle avait besoin d'être écoutée, bichonnée et il le sentait bien. Les femmes sont vraiment capables de tout; faire passer les plus graves malheurs d'un homme pour des pécadilles avec un sourire ou anéantir une vie d'un coup de cil.
- " On n'avait pas dit qu'on évitait ce surnom débile? Je dirais y'a environ trente ans? J'ai la rancune tenace de ce coté. Mais allonge toi, je vais te rejoindre pour que tu puisses te blottir contre moi. On reparlera de toutes ces choses quand tu sera plus en forme. "
- " Tu n'as rien mangé. Tu ne veux pas te forcer un peu? Enfin, c'est toi qui vois, après tout quand on est fatigué on a moins faim. J'irai voir Arthurus avec toi demain. Il est grand temps de prendre des vacances. Et je ne dis pas ça que pour toi, mais pour tous ceux qui travaillent d'arrache pied et qui doivent être dans le même état que toi, voire pire. Ca me fait de la peine de te voir terrassée comme ça. Ce n'est pas une petite semaine qui va vous ralentir non? Ca fait combien de temps que tu travailles sans t'arreter? Une femme qui ne serait pas aussi résistante que toi y serais peut être restée. "
- " Les rumeurs désobligeantes à ton égard tu sais, ça me retourne. Je fais un gros effort sur moi pour ne pas faire de bêtise. Je te rappelle que je viens d'un pays où tous les problèmes se règlent à coups de poings. "
Il commença à tout ranger et à s'occuper de ce que sa femme lui avait demandé. En prenant le bol en terre cuite assez lourd il fut soudain prit par une flemmingite aigue et hésita un instant avant de s'acquiter de sa tache. Puis il s'y résigna.
- " Tu sais quoi? Je suis sûr qu'un gars pourrait tirer profit d'un concept de vaisselle jetable. On s'embêterait moins, à la fin du repas on balance tout dans les douves. Ca attirera les chacals, ce sera bien. "
Il essayait de détendre un peu l'atmosphère, ce qu'il ne voulait pas, c'était froisser sa douce moitié après une dure journée. Elle avait besoin d'être écoutée, bichonnée et il le sentait bien. Les femmes sont vraiment capables de tout; faire passer les plus graves malheurs d'un homme pour des pécadilles avec un sourire ou anéantir une vie d'un coup de cil.
- " On n'avait pas dit qu'on évitait ce surnom débile? Je dirais y'a environ trente ans? J'ai la rancune tenace de ce coté. Mais allonge toi, je vais te rejoindre pour que tu puisses te blottir contre moi. On reparlera de toutes ces choses quand tu sera plus en forme. "
shortless- Comte/Comtesse
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Re: [Halibel-Heinrich] : Discussion sur l'oreiller
Halibel esquissa un léger sourire. Un sourire franc, mais un sourire fatigués, ses lèvres s’étirèrent lentement, presque au ralentit.
- Je le sais très bien pour le surnom, c’était juste pour te détendre un peu et parce que je n’avais pas envie que l’on parte dans une longue et pénible discussion au sujet de mes recherches.
- Ce soir, j’ai besoin de tout sauf de ça. Sauf bien sûr, si tu voulais me pousser à bout et m’exaspérer, mais ce n’était visiblement pas ton intention.
- Alors mon amour, allons nous coucher et demain matin j’aurais meilleure mine. En ce qui concerne les vacances, pour le moment ce n’est pas envisageable. Nos expériences sont longues et je ne peux pas partir comme ça du jour au lendemain. Surtout que sans ma présence, le laboratoire et l’équipe ne peuvent pas tourner.
- Quant à des vacances collectives c’est tout simplement une utopie. Tu sais quand même ce qu’est la malepierre … Tu nous vois partir en vacances et laisser tout comme ça ? Non, ce serait criminel, voyons …
- Je suis désolée, mais je suis maintenant trop impliquée dans ces recherches pour faire marche arrière.
La magicienne Henlil commença à enlever la première couche de vêtement pour se sentir plus à l’aise. Son corps malgré les années et la fatigue était toujours aussi bien charpenté. Il y aurait beaucoup de jeunes étalons qui donneraient cher pour une nuit d’amour avec une telle beauté. Cependant, son corps allait-il supporter cette cadence encore longtemps ?
- Je sais d’où tu viens mon chéri … Dois-je te rappeler qu’il fut un temps où moi aussi j’aurais réglé ce petit problème avec une méthode bien plus radicale. C’est d’ailleurs à cause de ça qu’aujourd’hui encore les gens ne m’apprécient guère. Je pourrais sans aucun problème les réduire en petit cubes pour leur faire cracher toutes leurs entrailles et le venin qu’elles contiennent !!
- Mais, tu m’as dit à plusieurs reprises que ce n’était pas comme ça que l’on devait régler les problèmes … Alors, il faut que toi aussi tu saches te maîtriser pour donner l’exemple à nos enfants.
Halibel continuait à se déshabiller en disant cela et elle glissa sous la couette lorsqu’elle acheva sa phrase.
- Maintenant, mon bel ours du Middenland, tu veux bien venir me réchauffer ?
- Je le sais très bien pour le surnom, c’était juste pour te détendre un peu et parce que je n’avais pas envie que l’on parte dans une longue et pénible discussion au sujet de mes recherches.
- Ce soir, j’ai besoin de tout sauf de ça. Sauf bien sûr, si tu voulais me pousser à bout et m’exaspérer, mais ce n’était visiblement pas ton intention.
- Alors mon amour, allons nous coucher et demain matin j’aurais meilleure mine. En ce qui concerne les vacances, pour le moment ce n’est pas envisageable. Nos expériences sont longues et je ne peux pas partir comme ça du jour au lendemain. Surtout que sans ma présence, le laboratoire et l’équipe ne peuvent pas tourner.
- Quant à des vacances collectives c’est tout simplement une utopie. Tu sais quand même ce qu’est la malepierre … Tu nous vois partir en vacances et laisser tout comme ça ? Non, ce serait criminel, voyons …
- Je suis désolée, mais je suis maintenant trop impliquée dans ces recherches pour faire marche arrière.
La magicienne Henlil commença à enlever la première couche de vêtement pour se sentir plus à l’aise. Son corps malgré les années et la fatigue était toujours aussi bien charpenté. Il y aurait beaucoup de jeunes étalons qui donneraient cher pour une nuit d’amour avec une telle beauté. Cependant, son corps allait-il supporter cette cadence encore longtemps ?
- Je sais d’où tu viens mon chéri … Dois-je te rappeler qu’il fut un temps où moi aussi j’aurais réglé ce petit problème avec une méthode bien plus radicale. C’est d’ailleurs à cause de ça qu’aujourd’hui encore les gens ne m’apprécient guère. Je pourrais sans aucun problème les réduire en petit cubes pour leur faire cracher toutes leurs entrailles et le venin qu’elles contiennent !!
- Mais, tu m’as dit à plusieurs reprises que ce n’était pas comme ça que l’on devait régler les problèmes … Alors, il faut que toi aussi tu saches te maîtriser pour donner l’exemple à nos enfants.
Halibel continuait à se déshabiller en disant cela et elle glissa sous la couette lorsqu’elle acheva sa phrase.
- Maintenant, mon bel ours du Middenland, tu veux bien venir me réchauffer ?
Re: [Halibel-Heinrich] : Discussion sur l'oreiller
Heinrich se disait que sa femme savait vraiment ou appuyer. Il ne pouvait absolument rien lui refuser quand elle était comme ça.
- " Très bien. On va mettre ça de coté pour ce soir, on verra quand tu auras le temps et la motivation pour en parler. Je compte sur toi hein? "
Il la rejoint peu après dans leur couche, et l'invita à se caler contre lui tendrement
- " Mais promets moi aussi de te ménager un peu. Je ne veux pas vraiment te voir ainsi tous les soirs sans discontinuer. Faut bien que je prenne soin de toi non? Sinon personne ne le fera. Et laisse tomber le coup de faire cracher le venin aux entrailles. "
Il lui glissa doucement quelques mots, comme il le faisait avant, par télépathie.
- " Peu importe les rumeurs, c'est dans tes bras que se trouve mon paradis..."
- " Très bien. On va mettre ça de coté pour ce soir, on verra quand tu auras le temps et la motivation pour en parler. Je compte sur toi hein? "
Il la rejoint peu après dans leur couche, et l'invita à se caler contre lui tendrement
- " Mais promets moi aussi de te ménager un peu. Je ne veux pas vraiment te voir ainsi tous les soirs sans discontinuer. Faut bien que je prenne soin de toi non? Sinon personne ne le fera. Et laisse tomber le coup de faire cracher le venin aux entrailles. "
Il lui glissa doucement quelques mots, comme il le faisait avant, par télépathie.
- " Peu importe les rumeurs, c'est dans tes bras que se trouve mon paradis..."
shortless- Comte/Comtesse
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