résumé succint de fin de partie pour Julio

Résumé de la fin de la dernière partie :
Je m'excuse par avance, n'ayant que peu de temps devant moi je ne fais qu'un résumé succinct et non joué pour que Julio puisse suivre :

Après l'usine Robots Corps, nous sommes retourné au dôme de Prométhé. R66-Y étant très endommagé, et vous au bord de l'épuisement. Marle arriva à votre rencontre et vous ramena à labris. Derrière la porte clause, qu'elle avait pu ouvrir il n'y avait rien, mais Lucca détecta une faille. Vous avez d'abord passé la nuit a vous reposé, Marle tentant de vous soigner au mieux de ses capacités. Au matin, Lucca répara un peu R66-Y. Chrono le libéra de sa servitude à lui et lui demanda de se choisir un nom. Après une période d'incompréhension, R66-Y choisit de se nommé Prométhée.
Fin prêt, nous avons sauté tous les 4 dans la faille, Marle en tête trouvant toujours cela très drôle, mais cette fois cela ne se passa pas comme prévu. Nous somme arrivé à un endroit fort étrange, entouré de grille et par delà du vide. Un viel homme dormant sous un unique lampadaire indiqua à Marle que nous nous trouvions à la fin des temps (voir la description du lieu faite par notre meujeu).
En gros, 7 portails lumineux, 3 vers notre époque en 1000 cr : la forêt royal, la place de Lynne, l'ile de Medina; Un vers un lointain passé – 65 000 000 cr ; un vers l'époque de la reine Lynne en 600cr : Canyon de Truce; enfin deux vers le futur 2300 cr Dôme de Bangor et Dôme de Prométhée. C'est le fait de voyager à plus de 3 de différentes époques qui nous à plongé vers la fin des temps. Dorénavant tous les portail nous mèneront ici. On lui a demandé son nom, il a dit de l'appeler vieil homme (Osan), on arrive pas a voir son visage sous sont chapeau, il nous a fait apparaître par magie de la nourriture (sympa le gars). Puis il nous a conseillé d'aller dans la pièce à coté rencontrer une certaine personne.

On s'est exécuté, et on à rencontré un truc ridicule, petit mais haut sur patte, malingre, avec une crête du nom de Spekkio, sois disant le Dieu de la guerre. Il paraît que c'est notre propre force qui lui donne son apparence, s'il est ridicule, c'est que nous sommes faible (moi surtout à souligné Marle) il nous a révélé qu'avant Guardia, il y avait un royaume magique qui disparu, et que tous comme les mystiques, nous avions tous les trois hérité d'une des 4 essences magique, Chrono la lumière, Lucca le feux, Marlandia l'eau. La quatrième essence magique étant les ténèbres. (l'armement de Promethée est un mixte ténèbres et lumière).
Il nous a proposé d'éveiller en nous la magie. Sur une musique ridicule il commence a se concentrer et à faire des hakas et nous dit de faire pareille. Rapidement chrono développe des sorts de rapidité ou d'éclair a lors que spekkio en lance de tout typeà qui mieux mieux, Lucca apprends des sort de feux (la bourrine, du genre s'entourer d'un bouclier de flamme, lancer des flammes, etc) et Marle des sort de discrétion (brume, disparaître, rendre flou) et de soins. A un moment Spekkio est moins drôle, il nous frappe avec ses sorts, désintègre même Chronos, Lucca et Marle n'apprécient pas, lucca tente de lui envoyer du feux, ça le fait marrer, marle essaye de le gifler puis de lancer un sort de protection sur Lucca, Spekkio fait réapparaitre chrono et dit en gros que nous ne sommes pas super dole, que nous avons atteint nos limites, que nous sommes super faibles de revenir quand nous serons plus fort il nous apprendra d'autre sorts, enfin il dit que le jeu durera plus longtemps.... voilà en gros, a nous de décider où nous allons la semaine prochaine.
ha oui les deux (Spekkio et le vieil homme ne sont que des observateurs)

Pour des raisons de décence je ne parlerais pas de chrono qui veut attaquer Spekkio au corps à corps, n'y arrive pas, lui dit de le faire sans magie, Spepkio accepte, chrono qui utilise un sort pour se booster, l'autre qui l'annule et lui fait remarquer que chrono à dit sans magie, bref chrono qui y va et se fait carrément ridiculiser par un truc de 80cm de haut qui fait 10 kilos tout mouillé, non je n'en parlerais pas...